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Cartomanciennes

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Message  Cedrina Lun 16 Avr 2012 - 10:47

Bonjour à tous,

Un extrait du premier chapitre juste pour savoir si cela plait :




Chapitre 1 : Barcelone à la Renaissance


La brune était immobile assise sur les marches de l’église, sa robe rouge sombre descendait en cascade le long de la pierre jaune. Comme chaque jour de sa pale existence, elle se devait d’attendre le premier passant avant de rejoindre sa roulotte.

Le jour commençait à pointer les premiers rayons du soleil, c’est alors qu’elle se mit à trembler.

Elle se devait de rester la, figée devant ce parvis qu’elle connaissait comme si la pierre et elle n’étaient fait que d’une seule substance.

Soudain la lourde cloche retentit, le coup de six heures, le premier passant allait arriver.

Elle frissonna mais c’était son destin, elle allait recommencer.

Elle ne pouvait aller contre cette fatalité.

C’était ce qui lui était imposé par la grâce, même si aujourd’hui elle annonçait la mort.

Une ombre la sorti de la torpeur ou elle s’était installée depuis quelques minutes.

Quelqu’un s’adressait à elle avec douceur, elle n’avait pas l’habitude d’être interpeler de la sorte ; certaines personnes lui jetaient plutôt des cailloux en la menaçant de passer à l’échafaud comme on le faisait avec les femmes de son espèce.

- « Bonjour Mademoiselle, que diable faites-vous seule sur le parvis de l’église de petit matin ? » lui murmurait le jeune homme bourgeois qui s’était avancé vers elle à pas de loup.

Il était vêtu de noir et d’un pantalon bouffant en soie, ce devait être un aristocrate car la collerette blanche qui avait autour du cou était immaculée.

« Mademoiselle …… » Chuchota t-il.

Elle leva les yeux surprise de sa voix douce et respectueuse :

« Plait-il Senior, que puis-je faire pour vous ? » dit-elle avec crainte.

Elle grelotait et de voir ce jeune homme lui parler de cette manière et cela ne lui plaisait vraiment pas.

Elle savait qu’elle devrait lui toucher la main mais elle se remémora le vieux dicton que sa mère lui avait répéter afin de la déculpabiliser lors de son initiation « *Accomplis chaque acte de ta vie comme s’il devait être le dernier ».
Le jeune homme lui chantonna de sa voix suave et mélodieuse :

- « Sans vouloir vous importuner Mademoiselle, ne restez pas seule, cette avenue est sombre et mal éclairée. Allez plutôt sur la place du marché où les allées sont emplies de badauds et marchands. Vous serez plus en sécurité et je serai plus rassuré de vous voir entourée. »
Lui dit-il et tendant la main à la belle inconnue.

Le voila le moment tant redouté, elle ne pouvait ignorer la main qui lui tendait.
* Citation de Marc Aurèle

Elle ne put faire autrement que de la saisir ; sa main était douce et ferme, elle aurait aimé garder sa main dans la sienne une éternité mais elle partit dans les profondeurs de l’abime d’une noirceur incomparable.

Son âme était pure mais son esprit rongé par le remord.
Des centaines d’âmes le pourchassaient lui le gentilhomme qui servait sa patrie.

Ce n’était pas un criminel simplement un justicier de la royauté pour laquelle il s’était engagé.

L’homme qu’elle rêvait sensible et délicat était destiné à la mort, pas une mort douce et indolore une mort par arme à feu.
Ce n’était que la simple justice de Dieu pour celui lui qui avait tué tant de personnes innocentes.

Que devait-elle faire ? Que pouvait-elle dire ? Lui conter la vérité, sa vérité, son destin ou lui cacher et lui faire accomplir la volonté du tout puissant.

La était le fardeau et le triste destin de celle qui se nommait Rita.

Le cœur avait choisi depuis longtemps pour Rita. Elle allait lui raconter, lui énoncer son tragique destin. Allait-il la prendre pour une illuminée et passer son chemin.


- « Senior, puis-je vous apprendre ce que j’ai vu en prenant votre main ? » lui rétorqua t-elle d’une voix chevrotante.
- « Ma main ? » répondu-t-il surprit.
- « Vous allez mourir à la guerre….. » murmura t-elle.

Le jeune homme vacilla et comprit que cette jeune femme n’était pas comme les autres.

Ce qu’il avait décelé dés le premier regard ; ses longs cheveux noirs coiffés de façon très différente de l’époque ; sa robe couleur pourpre tachetée de noir et ses yeux de chat ; l’avaient attiré avec un je ne sais quoi de magique.

L’homme la regarda et envahi par le doute, lui lâcha la main qu’elle tenait encore dans la sienne.

La rue était de moins en moins déserte ce qui donnait une impression de brouhaha qui résonnait contre le parvis de l’église.

Il avait choisi, il allait s’enfuir aussi vite qu’il le pouvait aussi loin de Barcelone que ses jambes lui permettraient d’aller.
* Citation de Marc Aurèle

Rita avait compris. Dans les yeux du bel inconnu se lisait la peur et le mépris.

Il la détesterait et l’aimerait toute sa vie, elle sera celle qui l’aura éloigné de sa mission mais aussi la femme qui lui a sauvé la vie.

Elle n’eut pas le temps de le convaincre de rester prés d’elle, que le jeune homme avait escaladé les marches de l’église dans son élan il avait laissé derrière lui une besace noire faite de cuir que Rita s’empressa de ramasser.

L’homme en noir étant parti, Rita ne pouvait rester devant cette église il fallait qu’elle aille au devant des passants tel était son ultime but.

Elle se leva, épousseta comme elle pouvait sa lourde robe, remit sa coiffe et plaça la besace de l’inconnu dans une de ses poches.

Péniblement elle prit le chemin de la place du marché comme lui avait si gentiment conseillé le soldat ; son esprit se brouilla lorsqu’elle se mit à penser à lui.

« Que faisait-il à cet instant ?
Ou comptait-il se rendre ?
Allait-il échapper à son destin ?
Le saurais-je un jour ? »

Lorsqu’elle arriva sur la place, elle fut surprise par l’ambiance qui y régner, les calèches avaient pris possession d’une partie de la route et les commerçants déballaient lentement les étales.

Cette effervescence de vie la troubla et lui donna le tournis.

Le claquement de ses talons résonnait sur le pavé, certains marchands lui envoyaient des regards réprobateurs.

Rita savait ce que les autres pensaient de son don.

Beaucoup l’ont méprisé mais par désespoir ils se rendaient la nuit tombante auprès de sa roulotte pour qu’elle leur tire les cartes.

De temps à autre, il lui arrivait de concocter quelques potions.

Ou de fabriquer quelques poupées, cette discipline l’effrayait ; elle s’exécutait que chichement payée.

C’est ainsi qu’elle pouvait survivre. Cela ne lui plaisait guère de n’avoir que ce fichu don pour gagner le pain qu’elle mangeait le soir venu.

Un pli de sa robe se coinça entre les pavés de la promenade, elle tira dessus, le tissu se déchira. Lorsqu’elle leva les yeux, elle croisa ceux du petit garçon qui la regardait depuis quelques minutes déjà.

Rita fut éblouie par les rayonnements du petit garçon, bien qu’habillé très simplement et plutôt négligé il était d’une beauté fracassante.

Ses cheveux avaient les mêmes reflets que ceux de la lune, sa bouche était pâle, ses cheveux tout ébouriffés et son teint presque transparent.

La jeune femme ne put s’empêcher de frémir en sa présence tellement il avait l’air solitaire, il semblait irréel, tout droit sorti de son imagination.

Pourquoi croisait-il son chemin aujourd’hui ?

L’air rêveur et profondément mélancolique, il semblait flotter.

Il détonnait tellement de ce paysage coloré et bruyant des halles du marché que Rita devait lui parler avant qu’il ne s’évapore.

- Comment te prénommes-tu jeune garçon ? le questionna t-elle.
- Marcellino ! lui susurra t-il
- D’où viens-tu ? Que fais tu seul sur cette place ?
- ……….
- Tu ne souhaites pas me répondre ? S’inquiéta t-elle.

Rita n’avait aucune idée de ce que voulait Marcellino. Il continuait à la regarder de façon étrange. Cela la rendait nerveuse. Encore plus angoissée que lorsqu’elle avait rencontré le jeune soldat.
Elle décida de l’ignorer. Elle rejoignit à grand pas le centre de la place des lumières. Elle arriva devant la tour où tout avait débuté. C’était à cet endroit précis que sa défunte mère l’avait initié.

La tour était composée de voutes et de piliers soutenues par des contreforts et des arcs-boutants. De larges ouvertures étaient apparentes et laissaient pénétrer les rayons du soleil. Au sommet de celle-ci se trouvaient de magnifiques vitraux où l’ombre et la lumière se mêlaient à l’infini.

Marcellino décida de prendre la parole :
- « Tu dois te rendre dans cette tour »
Rita fut surprise du ton de l’enfant, elle décida néanmoins d’y entrer.

Elle poussa la lourde porte du monument en se demandant ce que le gardien lui dirait s’il la surprenait.

Le portail se referma brusquement sur les deux indiscrets. Dés qu’ils furent à l’intérieur du bâtiment, un sentiment d’oppression s’empara de la jeune femme.

D’imposantes statues en formes de gargouilles avaient pris la possession des lieux.

Contrairement à la température extérieure, il régnait un froid qui gelait les entrailles.
Une épaisse fumée semblait flotter au centre de l’immense hall.

Une vasque reposé sur le sommet d’une colonne avec une structure sur le coté qui représentait une étrange créature.
Encastrées dans le mur du fond, cinq pierres tombales dont les noms avaient été effacées par le temps.
Dans l’angle gauche, un escalier en colimaçon semblait mener au premier étage.

Rita vérifia si Marcellino était toujours à ses cotés. Oui il était bien la, le regard rivé vers le haut.
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Message  Cedrina Lun 16 Avr 2012 - 13:28

Il lui fallait monter, contemplait ce qui devait être encore plus inquiétant que la salle du bas.

Des qu’elle fut sur la première marche son pouls accéléra. Elle pouvait entendre les battements de cœur de l’enfant qui semblait attacher à son épaule.

Gravir les quatorze marches qui les séparaient du palier du premier étage fut un exercice difficile pour la jeune femme qui avait des difficultés à manier sa lourde robe. A contrario Marcellino se déplaçait aussi léger qu’une plume.

Si bien que l’enfant fut le premier à frôler le sol de l’étage supérieur.

Ce que Rita observa lui arracha un cri de terreur.

L’endroit était lugubre. Des cierges étaient disposés dans la pièce de façon à former un cercle au centre de celle-ci. Il n’y avait aucune fenêtre pour y laisser pénétrer la lumière.

Des statuettes étaient les seuls ornements du lieu.
L’ambiance qui régnait était si glauque que même Marcellino avait perdu son air angélique. Son visage reflétait l’angoisse et la peur se lisait dans ses yeux.

Malgré la crainte, la femme déterminée à percer le secret de la tour s’approcha un peu plus du cercle que formaient les reflets des flammes.

Rita fit un pas en arrière en découvrant avec stupeur la statuette qui se tenait de l’autre coté de l’alcôve. Elle se tenait face à face avec son reflet.
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Message  Invité Lun 16 Avr 2012 - 14:46

OK, doucement Cedrina, laisse-nous le temps de lire et commenter.
Pour ma part, j'y reviendrai plus tard.

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Message  Cedrina Lun 16 Avr 2012 - 14:48

Désolée ...



< La faute du titre est corrigée.
Voir ICI svp, merci.
La Modération >

.
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Message  Invité Lun 16 Avr 2012 - 15:42

Bon, disons carrément que ce n'est pas ma tasse de thé du tout. Trop romantique, trop eau de rose pour moi. J'ai été attirée par l'aspect aéré du texte mais tout cela est bien trop linéaire, manque de relief et d'originalité dans l'expression, enfin ne se démarque pas d'une littérature qui n'en est pas ...
Sur le plan de la forme, il y a vraiment beaucoup de fautes d'orthographe, en particulier sur les participes passés.
Il y a aussi deux ou trois reprises cette phrase incongrue "citation de Marc Aurèle", une indication qui a dû s'égarer en cours de route parce qu'elle ne paraît pas renvoyer à quoi que ce soit.

Merci Cedrina d'attendre d'autres commentaires avant de répondre ou alors de le faire ici : http://www.vosecrits.com/t10500-discussions-autour-de-nos-textes


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Message  heartincages Lun 16 Avr 2012 - 20:48

Je suis vraiment désolée, mais je n'ai pas réussis à accrocher complètement. Ce n'est pas non plus un genre qui est ma tasse de thé. Je trouve que c'est un texte qui aurait gagné à être abordé de façon différente que les autres vus sur un sujet semblable. J'avais un peu de difficulté à suivre, parce que j'avais l'impression que tu sautais d'une idée à une autre sans toujours de lien évident entre elles. Il y avait quelques maladresses côté fautes d'orthographes, mais aussi de la syntaxe, comme des virgules manquantes et une phrase longue qui aurait pu en être deux. Les citations glissées un peu partout dans le texte m'ont aussi dérangées dans ma lecture. Si tu tiens absolument à les conserver, peut-être y aurait-il moyen à les glisser de façon différente?

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Message  midnightrambler Lun 16 Avr 2012 - 21:32

Bonsoir,

Sept kilomètres dans un vent glacial ... bbrrrr ...

Ton texte ? Je me devais de le lire puisque je te l'avais promis !
Not my cup of tea either ... même si c'est le genre à la mode parmi les gens qui sont quatre fois plus jeunes que moi !
Le lecteur est pris par la main et guidé tout au long du texte comme on le fait dans la littérature pour la jeunesse et pourtant tout cela est bien confus !
C'est laborieusement raconté - je suis la nouvelle J. K. Rowling, il faut que je réussisse à tout prix - et il y a des graves lacunes d'orthographe et surtout de conjugaison.

Amicalement,
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Message  Hop-Frog Lun 16 Avr 2012 - 22:48

Un extrait du premier chapitre juste pour savoir si cela plait :
Pour être honnête non et, d’après moi, ce n’est pas une question de genre, mais bien votre écriture qui est déficiente.
Je m’explique.
La brune était immobile assise sur les marches de l’église, sa robe rouge sombre descendait en cascade le long de la pierre jaune. Comme chaque jour de sa pale existence, elle se devait d’attendre le premier passant avant de rejoindre sa roulotte.
Quelle brune ? La connaît-on déjà ? Plutôt une brune alors ? Mais quoi, une Guinness ? Non, une femme brune. Donc commençons clairement : Une femme/jeune fille brune…

Pour des raisons d’économie, on peut enlever le qualificatif immobile, puisqu’elle est assise.
Descendre en cascade ? Le mot tomber serait peut-être plus approprié.
Sa pâle existence ? Moi, j’y ai déjà trouvé du rouge sombre et du jaune.
D’ailleurs sa robe rouge sombre me gêne, c’est un peu lourd…

On aurait pu faire simple finalement :

Une femme brune était assise sur les marches de l’église, sa robe rouge tombait en cascade le long de la pierre jaune. Elle y attendait les passants pour les mener à sa roulotte.

(Ceci n’est qu’une proposition bien sûr).
Le jour commençait à pointer les premiers rayons du soleil, c’est alors qu’elle se mit à trembler.
Répétition de premier.
Le jour qui commence à pointer les premiers rayons du soleil ? C'est un peu maladroit... Le jour pointe le bout du nez, le soleil darde ses rayons, voire il se pointe (mais je suppose que vous ne voulez pas de langage familier). Attention aux redondances aussi, avec commençait, pointer, premiers.
C’est alors qu’… me paraît lourd, et n’apporte pas grand-chose.
La brune se met à trembler tout de go ? Un peu téléphoné, non ?
Elle se devait de rester la, figée devant ce parvis qu’elle connaissait comme si la pierre et elle n’étaient fait que d’une seule substance.
Alors, est-elle figée ou tremblante ?
Elle et la pierre faites d’une même substance ? La pierre est figée et tremblante aussi ?
Soudain la lourde cloche retentit, le coup de six heures, le premier passant allait arriver.
Répétition le premier passant
Elle frissonna mais c’était son destin, elle allait recommencer.
C’était son destin de frissonner ? Ponctuation à revoir, formulation aussi…
Elle ne pouvait aller contre cette fatalité.
Fatalité, destin, on se répète…
C’était ce qui lui était imposé par la grâce,
…encore et toujours : redondances.

Je ne continue pas plus loin. Le but n’est pas de descendre le texte, mais de vous montrer pourquoi je n'aime pas, en espérant que mes commentaires ne vous paraissent pas gratuits, ou infondés. Je crois qu’il y a un manque de travail ici, en tout cas d’efficacité et de clarté : maîtrise de la narration très approximative, dialogues qui n'échappent pas aux clichés, écriture maniérée, fautes d'orthographes (que je n'ai d'ailleurs pas relevées)…etc.
Vous prenez certainement plaisir à écrire, et je regrette de pas en avoir eu à vous lire. Je vous encourage à vous exercer, et à dévorer quelques livres.

Avec l'espoir, toutefois, de ne pas avoir galvaudé votre envie d'écrire.
Bonne continuation !
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Message  Lucy Mar 17 Avr 2012 - 0:34

Désolée, mais j'interromps ma lecture.

Trop de fautes, de phrases bancales et une histoire qui ne me pousse pas à continuer. Reprenez, corrigez, clarifiez et repostez au besoin, mais tel quel, ça ne fonctionne pas.
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Message  Janis Mar 17 Avr 2012 - 9:13

À moi

j'apprécie la mise en page aérée, si importante et souvent négligée (combien de textes je laisse tomber parce qu'ils se présentent, compacts et fermés comme forteresses)

J'aime la simplicité douce du début, jusqu'à "le premier passant allait arriver", et ce malgré les fautes qui sautent à la figure et sont vraiment gênantes.

ensuite je commence à m'ennuyer, et je laisse tomber j'avoue.

Tu devrais venir faire les exos, on écrit dans la bonne humeur (à part les mauvais coucheurs) à partir de mêmes contraintes et on est un peu plus à l'abri des commentaires lapidaires, on se plante tous un peu parce qu'on est limités dans le temps (exo de coline de jeudi soir 20h15, guette-le)
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Message  Invité Mar 17 Avr 2012 - 19:47

Un genre qui fait fort penser au XIXe siècle ou début XXe, dans le style Mystères de Paris, ou les Pardaillans... pourquoi pas ! J'ai été une grande lectrice de Zévaco il y a ...longtemps.
Mais il faut soigner le style, Cédrina : le genre est déjà assez peu prisé de nos jours, si dès le début, le lecteur tombe sur des facilités, répétitions etc, il va laisser tomber, je pense.
Tu peux te servir de plusieurs outils extrêmement utiles : le répétoscope, qui met en évidence les répétitions, même les plus cachées et une autre application qui repère les clichés. Je te met les liens
http://www.babelweb.be/babel.acgi$Spc_fr?Session=S908910347&Skin=cla&serial=846634865

et : http://cliches.entre2lettres.com./

La brune était immobile assise sur les marches de l’église, sa robe rouge sombre descendait en cascade le long de la pierre jaune. Comme chaque jour de sa pale existence, elle se devait d’attendre le premier passant avant de rejoindre sa roulotte.

Le jour commençait à pointer les premiers rayons du soleil, c’est alors qu’elle se mit à trembler.

Elle se devait de rester la, figée devant ce parvis qu’elle connaissait comme si la pierre et elle n’étaient fait que d’une seule substance.
Elle grelotait et de voir ce jeune homme lui parler de cette manière et cela ne lui plaisait vraiment pas.
Drôle de structure de phrase !
Voilà un exemple de ce que je te disais. Sans compter npmbre de fautes d'orthographe facilement évitables, même simplement avec le correcteur de Word.
Donc, pour moi, tu as posté beaucoup trop rapidement, sans te relire, et ça sent le travail bâclé !

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Message  Invité Mar 17 Avr 2012 - 19:48

nombre bien sûr, pas npmbre

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Message  Pascal-Claude Perrault Mar 17 Avr 2012 - 23:28

Veni, vidi, vici !
je suis venu, j'ai vu et lu surtout.
Cedrina, tu nous a livré un brouillon bourré de fautes d'orthographes et de défauts de syntaxe, ce n'est pas sérieux. Il faut retravailler ça fissa !
Prends ton sécateur, tes cisailles ou ta tronçonneuse et élague-moi vite fait cet arbre touffu. pour ce qui est du fond, cela ne me déplait pas ; j'ai l'impression de me retrouver avec Esméralda sur le parvis de Notre Dame. Continue...
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Message  Pascal-Claude Perrault Mar 17 Avr 2012 - 23:32

Post scriptum :

Cartomancie ou chiromancie ?
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Message  Remus Mer 18 Avr 2012 - 10:21

Bonjour !

J'ai eu moi aussi l'impression d'être avec Esmeralda,
Peut-être retravailler un peu tout ça, et nous proposer une correction ?!

Par contre, Hop-frog, je suis pas bien d'accord avec votre correction de "La brune ..." Une femme brune, c'est pas jolie, c'est lourd ... On se doute bien, en plus, que Cedrina ne parle pas d'une bière ! Enfin, je n'en dis pas plus, on commente pas les commentaires :-)

Bien à vous,
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