Les 4 saisons

Il fut un temps où il m'était bon de vivre,
Ses mots s'emmêlaient m'en rendant ivre,
Chaque instant était vécu à 200 pour 100,
Et les longs hiver jamais n'étaient lassants.

Il fut un temps je ne peux le nier,
Son doux parfum aux zestes acidulés,
Chaque matin au levé m'enivrait,
Et les tempus printaniers jamais seule je ne les passais.

Il eut deux mois, on ne se vit pas,
Sa voix cristalline venant de l'haut-delà,
Chaque fois qu'elle le pouvait me rejoignait,
Et les soirs d'été jamais je ne les oublierait.

Il fut une fois où naquit chantage,
Sa vieille amie qui fit bien des ravages,
Chaque argument le rendait plus sauvage,
Et les soirs d'automne n'était jamais plus qu'orage.

N'hésitait pas à critiquer

Nous n'hésiterons pas (enfin surtout les autres), mais attention à la conjugaison (on me le dit souvent à moi aussi, mais comme je suis plus vieux, je sais quoi répondre). ll y a des temps et des personnes.

Pour la forme et le fond, je ne sais que dire, mais ça doit être très difficile de se lancer quand on a cet âge.

Il y a encore beaucoup de boulot ...

merci beaucoup! oui assez compliqué en effet ...



< Sans vouloir en ajouter une couche, il vient de vous être demandé de lire attentivement le texte de notre page d'accueil. Il y est question de répondre aux commentaires "avec parcimonie". Ce qui signifie : éviter de répondre trop systématiquement à chaque intervenant de manière à ne pas faire remonter votre texte en haut de page au détriment des textes des autres auteurs.
Si vous voulez simplement remercier ou développer un point particulier, c'est ICI que cela doit se passer.
C'est le même principe pour la section "Prose".
Merci.
la Modération >
.

Bonsoir,

Beaucoup de fautes dans ce poème ... et des chiffres !
... et même, me semble-t-il, une maîtrise imparfaite du vocabulaire qui empêche de saisir pleinement le sens de ces vers.

Amicalement,
midnightrambler