Alexander Davidson, soldat aéroporté
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Alexander Davidson, soldat aéroporté
Hier, j'ai été parachuté au dessus de la Normandie. Une Normandie occupé par les allemands. J'ai perdu les 11 autres qui étaient avec moi dans cet avion. J'ai été le premier à sauté, l'avion allait beaucoup trop vite, le vent m'a emporté loin d'eux. L'avion à du ralentir avant que les autres sautent. Je suis seul depuis peut-être 20 heures, j'ai dormi 3 ou 4 heures et le plus dur à été de me réveiller et de réaliser que ce n'est pas un cauchemar, que je suis réellement seul au milieu de ces nazis.
Oh merde! Je crois que je viens de voir des allemands de l'autre côté des arbres. Je vais aller me cacher derrière le buisson, là. Ils m'ont vu et commencent à vider leur chargeur sur moi. Le mien est pratiquement vide; j'en ai rencontré d'autre il y a quelques heures.
Je n'ai plus de balle, je n'ai que mon couteau.
En cherchant quelque chose à manger dans mes poches je suis tombé sur une photo de ma fille, Laïka et de ma femme Rose. J'ai peur de ne jamais plus les revoir. Elle a seulement 4 ans, elle a besoin de son père. Je pense trop, je dois dormir.
Ils me disent de me tourner face à cet arbre. Je sais ce qui va m'arriver. Je les entends parler mais je ne comprends pas l'allemand. Je n'ai jamais eu aussi peur de toute ma vie, tellement que je me suis pissé dessus. J’entends la gâchette se presser.
La sueur ruissèle sur mon corps frigorifié. J'ai fais le plus horrible des cauchemars. J'étais un prisonnier. Mais je dois me reprendre et marcher vers les plages.
Je n'ai jamais été croyant mais je me surprends à prier à chaque fois que je ressens la peur, c'est-à-dire presque tout le temps. Elle me serre les trips dès que j'entends un craquement de branches et surtout un mot allemand. Les allemands... Je ne suis toujours demandé comment ils pouvaient avoir un cœur aussi glacial. Lorsque la guerre sera terminée je crois que je vais me construire une petite maison très, très éloignée et ne plus jamais la quitter et surtout, je ne retournerai pas à la guerre.
Je devais vraiment manger alors j'ai abattu un lièvre, ce n'est pas beaucoup mais il n'y a vraiment pas grand chose dans cette forêt.
En allant nettoyer mon couteau dans une flaque d'eau je me suis fait surprendre et je me suis fait tirer, la balle a seulement frôlé mon épaule, ce n'est pas si grave. Mais ça fait très mal. Ils sont parti, il ont du me croire mort. J'ai rampé jusqu'à mon sac et j'ai mis un bandage sur mon épaule couverte de sang.
***
Je me sens faible, cela fait trois jours que je n'ai rien mangé et que je n'ai presque pas bu. J'hallucine ma femme dans sa plus belle robe, avec un sourire si beau qu'une déesse en serait jalouse. Je fais toujours la même hallucination; je vois Rose courir vers moi et Laïka qui la suit. Elles arrivent proche de moi et se penchent pour m'embrasser et avant de sentir leurs lèvres rosées sur mes joues elles disparaissent dans un nuage blanchâtre.
J'ai atrocement mal au pied mais je n'ai aucune idée pourquoi. En me penchant vers mon pied je le voie mauve, il doit être casé mais je ne me rappelle pas comment j'ai pu faire ça.
Je voie bizarrement, je sombre dans l'inconscience.
***
Je crois que je les entends! Après tout ce temps j'avais perdu espoir de les retrouver, mais ils sont là. Je reconnais leurs voix, elles m'ont sorti de l'inconscience dans laquelle je suis plongé depuis plusieurs jours.
Je les aperçois aux travers des buissons. Je suis très faible mais je réussis à me lever. Je cours le plus vite possible et je traverse le champs, il est long, ce champs. J'ai mal partout, mes blessures se font sentir.
Je ne les avais pas vu, les allemands. Ils sont caché tout autour du champ et me tirent dessus sans retenue. Mais jamais je m'arrêterai, pas aussi proche du but. Mes amis me crient de me coucher pendant qu'ils essaient d'achever ces allemands.
Je la voie arriver, elle se dirige vers mon ventre mais je n'ai plus le temps de me pencher. Je tombe parterre et je vois mes plus fiels amis crier mon nom. Mon meilleur ami, John, me regarde dans les yeux et je comprend ce qu'il veut me dire: il va gagner la guerre pour moi et abattre ces allemands. Je sais aussi qu'il s'occupera de ma petite famille.
Je suis mort.
A. Davidson, soldat aéroporté américain.
1920-1944
MayaB- Nombre de messages : 6
Age : 27
Localisation : Canada
Date d'inscription : 11/05/2012
Re: Alexander Davidson, soldat aéroporté
Chère Maya, l'idée est bonne, mais ... Il y a encore beaucoup de fautes d'orthographe, de grammaire et de syntaxe que des personnes avisées relèveront sans doute. L'enchainement du récit, le récit lui-même n'est pas très plausible (il rêve ou pas, il mange ou pas, on le tue ou, ah oui à la fin il est mort ; RIP).
Mais l'idée est bonne ; je l'aurais fait atterrir sur un clocher dans un bled que j'aurais appelé, tiens, Sainte-Mère-Eglise pour le côté mystique, et le type aurait vécu toute la bataille pendu sur son clocher ...
Plus sérieusement, remettez un peu d'ordre dans le récit et corrigez ce qui doit l'être.
Mais l'idée est bonne ; je l'aurais fait atterrir sur un clocher dans un bled que j'aurais appelé, tiens, Sainte-Mère-Eglise pour le côté mystique, et le type aurait vécu toute la bataille pendu sur son clocher ...
Plus sérieusement, remettez un peu d'ordre dans le récit et corrigez ce qui doit l'être.
Invité- Invité
Du potentiel.
Hello,
Bienvenue parmi nous. Je vous souhaite de fructueux échanges et d'intéressantes rencontres.
Je vais tâcher de commenter votre texte. Vous êtes censée répondre dans le fil spécial pour les commentaires ( avant qu'on vous tombe dessus, je vous préviens, ici c'est l'usage ).
Sujet intéressant, qui me concerne d'autant plus que je sévis ici depuis un certain temps, à propos de ces nazis qui ont bien fait ch... le monde à un moment donné.
Entrons dans le vif de notre propos :
Surpris par le prénom de la fille, à consonance Russe, de la part d'un soldat Américain. Mais passons.
Des petites erreurs d'accords, des effets de répétition, des histoires de pluriel et de singulier, de conjugaison... Je cite, en vrac :
... Des maladresses :
... Dans l'ensemble, un texte qui possède un fort potentiel ( la tension, l'action ), présent ici mais entaché de maladresses à mon avis tout à fait faciles à corriger. Comprenez-moi bien : je ne dis pas ça pour vous faire suer, mais pour vous permettre de repérer des défauts et d'améliorer le résultat. Vous pouvez du reste parfaitement nous proposer une version corrigée, une fois les observations des uns et des autres triées par vous - il faut sans doute en prendre et en laisser.
Un thème intéressant ( si ça vous branche, vous verrez que je donne dans le genre moi aussi ), ici l'opération Overlord avec tout ce qu'elle comporte de courage, d'abnégation, de souffrances et déchirements, que vous restituez très bien du reste, eu égard à votre âge, si j'en crois les informations que j'ai sous les yeux.
Très bonne idée de rajouter : "A. Davidson, soldat aéroporté américain. 1920-1944". J'ignore si vous vous êtes basée sur des témoignages réels ( le livre de Cornelius Ryan ? ), mais ça fait vrai en tous cas, très bon point.
Voilà. Courage. Il est rare qu'un texte soit bon du premier coup. C'est un boulot particulier, on y revient, on peaufine, on hésite... Mais l'avantage, c'est qu'on peut, à force de patience, obtenir un magnifique rendu, c'est un peu comme l'infographie. Long, mais à la fin, ça crache !
Et encore bienvenue parmi nous.
Ubik.
Bienvenue parmi nous. Je vous souhaite de fructueux échanges et d'intéressantes rencontres.
Je vais tâcher de commenter votre texte. Vous êtes censée répondre dans le fil spécial pour les commentaires ( avant qu'on vous tombe dessus, je vous préviens, ici c'est l'usage ).
Sujet intéressant, qui me concerne d'autant plus que je sévis ici depuis un certain temps, à propos de ces nazis qui ont bien fait ch... le monde à un moment donné.
Entrons dans le vif de notre propos :
Surpris par le prénom de la fille, à consonance Russe, de la part d'un soldat Américain. Mais passons.
Des petites erreurs d'accords, des effets de répétition, des histoires de pluriel et de singulier, de conjugaison... Je cite, en vrac :
MayaB a écrit:
... Une Normandie occupé par les allemands.
... J'ai perdu les 11 autres qui étaient avec moi dans cet avion. J'ai été le premier à[/u]sauté, [u]l'avion allait beaucoup trop vite, le vent m'a emporté loin d'eux. L'avion à du ralentir avant que les autres sautent.
... Ils m'ont vu et commencent à vider leur chargeur sur moi. Le mien est pratiquement vide; j'en ai rencontré d'autre il y a quelques heures.
... Je n'ai plus de balle, je n'ai que mon couteau.
... La sueur ruissèle sur mon corps frigorifié. J'ai fais le plus horrible des cauchemars.
... Elle me serre les trips dès que j'entends un craquement de branches et surtout un mot allemand.
... Ils sont parti, il ont du me croire mort.
... En me penchant vers mon pied je le voie mauve, il doit être casé mais je ne me rappelle pas comment j'ai pu faire ça.
... Je voie bizarrement, je sombre dans l'inconscience.
... Je cours le plus vite possible et je traverse le champs, il est long, ce champs.
... Je la voie arriver, elle se dirige vers mon ventre mais je n'ai plus le temps de me pencher. Je tombe parterre et je vois mes plus fiels amis crier mon nom.
... Des maladresses :
A mon avis, fin de phrase inutile, qu'on peut facilement supprimer. Ce qui précède suffit amplement.MayaB a écrit: ... Je suis seul depuis peut-être 20 heures, j'ai dormi 3 ou 4 heures et le plus dur à été de me réveiller et de réaliser que ce n'est pas un cauchemar, que je suis réellement seul au milieu de ces nazis.
Idem. On s'en doute.MayaB a écrit: ... J'ai peur de ne jamais plus les revoir. Elle a seulement 4 ans, elle a besoin de son père. Je pense trop, je dois dormir.
... Surtout si elle est finie !MayaB a écrit: ...Lorsque la guerre sera terminée je crois que je vais me construire une petite maison très, très éloignée et ne plus jamais la quitter et surtout, je ne retournerai pas à la guerre.
Euh, tirer dessus ? Sinon, ça prend une connotation... Enfin, vous m'avez pigé.MayaB a écrit: ...En allant nettoyer mon couteau dans une flaque d'eau je me suis fait surprendre et je me suis fait tirer,
Soit elles sont proches, et le pluriel s'impose. Soit elles arrivent près de. Et "avant de sentir" renvoie au narrateur, pas à elles. Donc changement de sujet en cours de phrase. Il eût suffit de couper, mettre un point virgule, et commencer une autre phrase.MayaB a écrit: Elles arrivent proche de moi et se penchent pour m'embrasser et avant de sentir leurs lèvres rosées sur mes joues elles disparaissent dans un nuage blanchâtre.
Là aussi, à mon avis ça se comprend vu ce qui précède.MayaB a écrit: Mon meilleur ami, John, me regarde dans les yeux et je comprend ce qu'il veut me dire: il va gagner la guerre pour moi et abattre ces allemands. Je sais aussi qu'il s'occupera de ma petite famille.
Je suis mort.
... Dans l'ensemble, un texte qui possède un fort potentiel ( la tension, l'action ), présent ici mais entaché de maladresses à mon avis tout à fait faciles à corriger. Comprenez-moi bien : je ne dis pas ça pour vous faire suer, mais pour vous permettre de repérer des défauts et d'améliorer le résultat. Vous pouvez du reste parfaitement nous proposer une version corrigée, une fois les observations des uns et des autres triées par vous - il faut sans doute en prendre et en laisser.
Un thème intéressant ( si ça vous branche, vous verrez que je donne dans le genre moi aussi ), ici l'opération Overlord avec tout ce qu'elle comporte de courage, d'abnégation, de souffrances et déchirements, que vous restituez très bien du reste, eu égard à votre âge, si j'en crois les informations que j'ai sous les yeux.
Très bonne idée de rajouter : "A. Davidson, soldat aéroporté américain. 1920-1944". J'ignore si vous vous êtes basée sur des témoignages réels ( le livre de Cornelius Ryan ? ), mais ça fait vrai en tous cas, très bon point.
Voilà. Courage. Il est rare qu'un texte soit bon du premier coup. C'est un boulot particulier, on y revient, on peaufine, on hésite... Mais l'avantage, c'est qu'on peut, à force de patience, obtenir un magnifique rendu, c'est un peu comme l'infographie. Long, mais à la fin, ça crache !
Et encore bienvenue parmi nous.
Ubik.
Merci Ubik
Merci d'avoir passé du temps à analyser mon texte. Je suis désolée pour les erreurs, j'écris que très rarement(c'est mon premier texte que j'écris hors de l'école, donc hors des règles du sujet, etc.) et je n'ai jamais été doutée en français! Je vais essayer de l'améliorer le plus possible et peut-être en réécrire une !
Mais autre chose, je ne comprends pas votre phrase où vous dit :«Un thème intéressant ( si ça vous branche, vous verrez que je donne dans le genre moi aussi ), ici l'opération Overlord avec tout ce qu'elle comporte de courage, d'abnégation, de souffrances et déchirements, que vous restituez très bien du reste, eu égard à votre âge, si j'en crois les informations que j'ai sous les yeux.»
Merci encore, Maya
< MayaB : si vous désirez intervenir souvent pour répondre à des commentaires, développer un point particulier etc, c'est ICI qu'il faudra le faire.
En effet il est demandé aux auteurs - dans le texte de notre page d'accueil - de répondre "avec parcimonie", cela afin d'éviter de faire remonter ou de maintenir leurs textes en haut de page au détriment de ceux des autres auteurs.
Par ailleurs, un passage - même court - par ICI serait de bon aloi.
Merci.
La Modération >
.
Mais autre chose, je ne comprends pas votre phrase où vous dit :«Un thème intéressant ( si ça vous branche, vous verrez que je donne dans le genre moi aussi ), ici l'opération Overlord avec tout ce qu'elle comporte de courage, d'abnégation, de souffrances et déchirements, que vous restituez très bien du reste, eu égard à votre âge, si j'en crois les informations que j'ai sous les yeux.»
Merci encore, Maya
< MayaB : si vous désirez intervenir souvent pour répondre à des commentaires, développer un point particulier etc, c'est ICI qu'il faudra le faire.
En effet il est demandé aux auteurs - dans le texte de notre page d'accueil - de répondre "avec parcimonie", cela afin d'éviter de faire remonter ou de maintenir leurs textes en haut de page au détriment de ceux des autres auteurs.
Par ailleurs, un passage - même court - par ICI serait de bon aloi.
Merci.
La Modération >
.
MayaB- Nombre de messages : 6
Age : 27
Localisation : Canada
Date d'inscription : 11/05/2012
Re: Alexander Davidson, soldat aéroporté
Alexander Davidson, un hommage à Walking Dead ? (le "co"fondateur de leur dernier refuge en date (enfin je crois))
sinon, oui j'aime bien, un peu court un peu résumé.
petite maladresse supplémentaire pour moi :
sans retenue : pourquoi ils en auraient ? Je veux dire, quand on commence a tirer on s’arrête que quand on réussit, on tire pas un coup, on hésite, allez encore un... Un fois qu'on y réfléchis, on peut pas se dire cela. (quand on lit un texte pour aider l'auteur, ça nous arrête, quand on le lit pour le plaisir, ça passe je pense.
Achever : généralement quand on achève c'est que la chose est bien entamé.
voila, un texte a retravailler, la fin peut être plus dramatique, moins explicative, des phraes un peu plus poétique. Ca vient avec le temps, j'ose espéré pour moi en tout cas.
Bonne continuation.
sinon, oui j'aime bien, un peu court un peu résumé.
petite maladresse supplémentaire pour moi :
J'hallucine ma femme dans sa plus belle robe, avec un sourire si beau qu'une déesse en serait jalouse. Je fais toujours la même hallucination;
Ils sont cachés tout autour du champ et me tirent dessus sans retenue. Mais jamais je m'arrêterai, pas aussi proche du but. Mes amis me crient de me coucher pendant qu'ils essaientces allemands.d'achever
sans retenue : pourquoi ils en auraient ? Je veux dire, quand on commence a tirer on s’arrête que quand on réussit, on tire pas un coup, on hésite, allez encore un... Un fois qu'on y réfléchis, on peut pas se dire cela. (quand on lit un texte pour aider l'auteur, ça nous arrête, quand on le lit pour le plaisir, ça passe je pense.
Achever : généralement quand on achève c'est que la chose est bien entamé.
voila, un texte a retravailler, la fin peut être plus dramatique, moins explicative, des phraes un peu plus poétique. Ca vient avec le temps, j'ose espéré pour moi en tout cas.
Bonne continuation.
Re : alexander davidson
Etrange cette envie de se mettre dans un telle situation, à 22 ans ; c'est une rêverie cauchemardesque
sur les épisodes emblématiques, aujourd'hui un peu stéréotypées, de la dernière guerre mondiale...
Les fragments sont là, intéressants. Maintenant, pour moi, il reste à construire un texte, un récit... avec distance, un regard personnel. Sinon, on demeure dans le fantasme d'une génération sur une autre.
sur les épisodes emblématiques, aujourd'hui un peu stéréotypées, de la dernière guerre mondiale...
Les fragments sont là, intéressants. Maintenant, pour moi, il reste à construire un texte, un récit... avec distance, un regard personnel. Sinon, on demeure dans le fantasme d'une génération sur une autre.
Raoulraoul- Nombre de messages : 607
Age : 63
Date d'inscription : 24/06/2011
Re: Alexander Davidson, soldat aéroporté
Orthographe, quand tu nous tiens...
L'idée est comme pas mal, mais le texte pourrait être foutrement mieux abouti.
Le "je suis mort" de la fin me paraît superflu.
En enlevant une bonne partie des pathos, je suis certaine que tu "toucherais" davantage le lecteur. Jouer, également, sur le fait qu'il est désorienté. Ça fonctionne en l'état (il est dans les airs, puis on voit une plage, une forêt, un champ) mais ça pourrait être plus intense et prenant.
Il y a du travail, une idée ; il reste encore du travail pour achever de développer l'idée en question.
L'idée est comme pas mal, mais le texte pourrait être foutrement mieux abouti.
Le "je suis mort" de la fin me paraît superflu.
En enlevant une bonne partie des pathos, je suis certaine que tu "toucherais" davantage le lecteur. Jouer, également, sur le fait qu'il est désorienté. Ça fonctionne en l'état (il est dans les airs, puis on voit une plage, une forêt, un champ) mais ça pourrait être plus intense et prenant.
Il y a du travail, une idée ; il reste encore du travail pour achever de développer l'idée en question.
Lucy- Nombre de messages : 3411
Age : 46
Date d'inscription : 31/03/2008
Re: Alexander Davidson, soldat aéroporté
Incohérences, fautes d'orthographe, absence d'intérêt - triangle équilatéral.
(Gainsbourg, dans l'idée)
(Gainsbourg, dans l'idée)
Saner- Nombre de messages : 58
Age : 27
Date d'inscription : 14/11/2011
Re: Alexander Davidson, soldat aéroporté
Bonsoir,
Les incohérences et fautes ont été relevées,
En revanche, le sujet m'a plu et m'intéresse, quoi qu'il arrive !
Peut-être nous proposer une version corrigée ?
Ou nous proposer un autre texte, pour ma part j'ai apprécié la façon de mener le récit,
Bien à vous,
Remus
Les incohérences et fautes ont été relevées,
En revanche, le sujet m'a plu et m'intéresse, quoi qu'il arrive !
Peut-être nous proposer une version corrigée ?
Ou nous proposer un autre texte, pour ma part j'ai apprécié la façon de mener le récit,
Bien à vous,
Remus
Remus- Nombre de messages : 2098
Age : 34
Date d'inscription : 02/01/2012
Voici une version «amélioré», je ne suis pas sur si elle est meilleure...
Alexander Davidson, soldat aéroporté
Hier, j'ai été parachuté au dessus de la Normandie. Une Normandie occupée par les allemands. J'ai perdu les 11 autres qui étaient avec moi dans cet avion. J'ai été le premier à sauté. Le vent m’a amené loin d’eux. Je suis seul depuis peut-être 20 heures, j'ai dormi quelques heures et le plus dur a été de me réveiller et de réaliser que ce n'est pas un rêve.
Oh merde! Je crois que je viens de voir des allemands de l'autre côté des arbres. Je vais aller me cacher là, derrière le buisson. Ils m'ont vu et commencent à vider leur chargeur sur moi. Le mien est pratiquement vide; j'en ai rencontré d'autres il y a quelques heures.
Je n'ai plus de bale, je n'ai que mon couteau.
En cherchant quelque chose à manger dans mes poches je suis tombé sur une photo de ma fille, Abby et de ma femme Rose. J'ai peur de ne jamais plus les revoir. Je pense trop, je dois dormir.
Ils me disent de me tourner face à cet arbre. Je sais ce qui va m'arriver. Je les entends parler mais je ne comprends pas l'allemand. Je n'ai jamais eu aussi peur de toute ma vie, tellement que je me suis pissé dessus. J’entends la gâchette se presser.
La sueur ruisselle sur mon corps frigorifié. J'ai fait le plus horrible des cauchemars. J'étais un prisonnier des allemands. Mais je dois me reprendre et marcher vers les plages.
Je n'ai jamais été croyant mais je me surprends à prier à chaque fois que je ressens la peur, c'est-à-dire presque tout le temps. Elle me serre les tripes dès que j'entends un craquement de branches et surtout un mot allemand. Les allemands... Je ne suis toujours demandé comment ils pouvaient avoir un cœur aussi glacial. Lorsque la guerre sera terminée je crois que je vais me construire une petite maison très, très éloignée et ne plus jamais la quitter.
Je devais vraiment manger alors j'ai abattu un lièvre, ce n'est pas beaucoup mais il n'y a vraiment pas grand chose dans cette forêt.
***
Je me sens faible, cela fait trois jours que je n'ai rien mangé et que je n'ai presque pas bu. Je fais toujours la même hallucination; j'hallucine ma femme dans sa plus belle robe, avec un sourire si beau qu'une déesse en serait jalouse ensuite je vois Rose courir vers moi et Abby qui la suit. Elles arrivent proche de moi et se penchent pour m'embrasser. Avant de sentir leurs lèvres rosées sur mes joues elles disparaissent dans un nuage blanchâtre.
J'ai atrocement mal au pied mais je n'ai aucune idée pourquoi. En me penchant je le vois mauve, il doit être cassé mais je ne me rappelle pas comment j'ai pu faire ça.
Je vois bizarrement, je sombre dans l'inconscience.
***
Je crois que je les entends! Après tout ce temps j'avais perdu espoir de les retrouver, mais ils sont là. Je reconnais leurs voix, elles m'ont sorti de l'inconscience dans laquelle je suis plongé depuis plusieurs jours.
Je les aperçois aux travers des buissons. Je suis très faible mais je réussis à me lever. Je cours le plus vite possible et je traverse le champ, il est long, ce champ. J'ai mal partout, mes blessures se font sentir.
Je ne les avais pas vu, les allemands. Ils sont caché tout autour du champ et me tirent dessus sans retenue. Mais jamais je m'arrêterai, pas aussi proche du but. Mes amis me crient de me coucher pendant qu'ils essaient d'achever ces allemands.
Je la vois arriver, elle se dirige vers mon ventre mais je n'ai plus le temps de me pencher. Je tombe sur le sol et je vois mes plus fidèles amis crier mon nom. Mon meilleur ami, John, me regarde dans les yeux et ce regard me fait comprendre qu’il vengera ma mort par tous les moyens possibles.
A. Davidson, soldat aéroporté américain.
1920-1944
Hier, j'ai été parachuté au dessus de la Normandie. Une Normandie occupée par les allemands. J'ai perdu les 11 autres qui étaient avec moi dans cet avion. J'ai été le premier à sauté. Le vent m’a amené loin d’eux. Je suis seul depuis peut-être 20 heures, j'ai dormi quelques heures et le plus dur a été de me réveiller et de réaliser que ce n'est pas un rêve.
Oh merde! Je crois que je viens de voir des allemands de l'autre côté des arbres. Je vais aller me cacher là, derrière le buisson. Ils m'ont vu et commencent à vider leur chargeur sur moi. Le mien est pratiquement vide; j'en ai rencontré d'autres il y a quelques heures.
Je n'ai plus de bale, je n'ai que mon couteau.
En cherchant quelque chose à manger dans mes poches je suis tombé sur une photo de ma fille, Abby et de ma femme Rose. J'ai peur de ne jamais plus les revoir. Je pense trop, je dois dormir.
Ils me disent de me tourner face à cet arbre. Je sais ce qui va m'arriver. Je les entends parler mais je ne comprends pas l'allemand. Je n'ai jamais eu aussi peur de toute ma vie, tellement que je me suis pissé dessus. J’entends la gâchette se presser.
La sueur ruisselle sur mon corps frigorifié. J'ai fait le plus horrible des cauchemars. J'étais un prisonnier des allemands. Mais je dois me reprendre et marcher vers les plages.
Je n'ai jamais été croyant mais je me surprends à prier à chaque fois que je ressens la peur, c'est-à-dire presque tout le temps. Elle me serre les tripes dès que j'entends un craquement de branches et surtout un mot allemand. Les allemands... Je ne suis toujours demandé comment ils pouvaient avoir un cœur aussi glacial. Lorsque la guerre sera terminée je crois que je vais me construire une petite maison très, très éloignée et ne plus jamais la quitter.
Je devais vraiment manger alors j'ai abattu un lièvre, ce n'est pas beaucoup mais il n'y a vraiment pas grand chose dans cette forêt.
***
Je me sens faible, cela fait trois jours que je n'ai rien mangé et que je n'ai presque pas bu. Je fais toujours la même hallucination; j'hallucine ma femme dans sa plus belle robe, avec un sourire si beau qu'une déesse en serait jalouse ensuite je vois Rose courir vers moi et Abby qui la suit. Elles arrivent proche de moi et se penchent pour m'embrasser. Avant de sentir leurs lèvres rosées sur mes joues elles disparaissent dans un nuage blanchâtre.
J'ai atrocement mal au pied mais je n'ai aucune idée pourquoi. En me penchant je le vois mauve, il doit être cassé mais je ne me rappelle pas comment j'ai pu faire ça.
Je vois bizarrement, je sombre dans l'inconscience.
***
Je crois que je les entends! Après tout ce temps j'avais perdu espoir de les retrouver, mais ils sont là. Je reconnais leurs voix, elles m'ont sorti de l'inconscience dans laquelle je suis plongé depuis plusieurs jours.
Je les aperçois aux travers des buissons. Je suis très faible mais je réussis à me lever. Je cours le plus vite possible et je traverse le champ, il est long, ce champ. J'ai mal partout, mes blessures se font sentir.
Je ne les avais pas vu, les allemands. Ils sont caché tout autour du champ et me tirent dessus sans retenue. Mais jamais je m'arrêterai, pas aussi proche du but. Mes amis me crient de me coucher pendant qu'ils essaient d'achever ces allemands.
Je la vois arriver, elle se dirige vers mon ventre mais je n'ai plus le temps de me pencher. Je tombe sur le sol et je vois mes plus fidèles amis crier mon nom. Mon meilleur ami, John, me regarde dans les yeux et ce regard me fait comprendre qu’il vengera ma mort par tous les moyens possibles.
A. Davidson, soldat aéroporté américain.
1920-1944
MayaB- Nombre de messages : 6
Age : 27
Localisation : Canada
Date d'inscription : 11/05/2012
Excellentes intentions, mais...
Salut,
Pour un texte "revu et corrigé", me semble qu'il reste encore beaucoup de coquilles et d'étourderies... Voire de contresens...
... Dont certaines vous ont déjà été signalées : les Allemands n'ont aucune raison de se "retenir" pendant qu'ils tirent, si vous tenez à ajouter quelque chose à votre phrase, vous pourriez dire par exemple qu'ils tirent "rageusement". De même, pour achever quelqu'un, faut-il l'avoir déjà touché. Là, les GIs essaient déjà de les avoir en ligne de mire, et les aligner.
Je suppose que ces Allemands n'ont pas qu'un seul chargeur à se partager ?
Après, pour un type qui est resté "plusieurs jours inconscient", je trouve qu'il cavale bien, comme un lapin de garenne. Je pense qu'au bout de trois jours maximum, sans boire on est déjà dans un très sale état. A fortiori avec une blessure qui forcément, s'infecte si elle n'est pas soignée.
Bref, tout ça part d'excellentes intentions, mais... Il y a du boulot pour rendre la chose correcte.
Je ne sais plus qui disait : époque qui fascine, clichés... Quelque chose comme ça. Un autre, ici même aussi, disait, fort justement : ce ne sont pas les clichés qui me dérangent, mais les clichés des clichés.
Je trouve cette dernière phrase particulièrement pertinente. On ne peut pas raconter la guerre et les soldats de la Wehrmacht autrement qu'ils étaient, sauf à leur faire porter un tutu et situer l'histoire dans la quatrième dimension. Les clichés sont là, quasiment incontournables, sauf à se livrer à des acrobaties loufoques ou faire raconter le tout par un narrateur sous acides. Par contre, évitons les clichés de clichés. Tâchons de restituer ces clichés sans en créer d'autres, au niveau de l'écriture. Tâchons de faire oublier les clichés par la force de notre écriture. Bref, faisons passer la pilule.
J'espère ne pas avoir été obscur, cette fois.
Ubik.
Pour un texte "revu et corrigé", me semble qu'il reste encore beaucoup de coquilles et d'étourderies... Voire de contresens...
MayaB a écrit:
J'ai été le premier à sauté.
Ils m'ont vu et commencent à vider leur chargeur sur moi. Le mien est pratiquement vide;
Je n'ai plus de bale, je n'ai que mon couteau.
Je fais toujours la même hallucination; j'hallucine ma femme dans sa plus belle robe, avec un sourire si beau qu'une déesse en serait jalouse ensuite je vois Rose courir vers moi et Abby qui la suit. Elles arrivent proche de moi et se penchent pour m'embrasser.
Je ne les avais pas vu, les allemands. Ils sont caché tout autour du champ et me tirent dessus sans retenue. Mais jamais je m'arrêterai, pas aussi proche du but. Mes amis me crient de me coucher pendant qu'ils essaient d'achever ces allemands.
... Dont certaines vous ont déjà été signalées : les Allemands n'ont aucune raison de se "retenir" pendant qu'ils tirent, si vous tenez à ajouter quelque chose à votre phrase, vous pourriez dire par exemple qu'ils tirent "rageusement". De même, pour achever quelqu'un, faut-il l'avoir déjà touché. Là, les GIs essaient déjà de les avoir en ligne de mire, et les aligner.
Je suppose que ces Allemands n'ont pas qu'un seul chargeur à se partager ?
Après, pour un type qui est resté "plusieurs jours inconscient", je trouve qu'il cavale bien, comme un lapin de garenne. Je pense qu'au bout de trois jours maximum, sans boire on est déjà dans un très sale état. A fortiori avec une blessure qui forcément, s'infecte si elle n'est pas soignée.
Bref, tout ça part d'excellentes intentions, mais... Il y a du boulot pour rendre la chose correcte.
Je ne sais plus qui disait : époque qui fascine, clichés... Quelque chose comme ça. Un autre, ici même aussi, disait, fort justement : ce ne sont pas les clichés qui me dérangent, mais les clichés des clichés.
Je trouve cette dernière phrase particulièrement pertinente. On ne peut pas raconter la guerre et les soldats de la Wehrmacht autrement qu'ils étaient, sauf à leur faire porter un tutu et situer l'histoire dans la quatrième dimension. Les clichés sont là, quasiment incontournables, sauf à se livrer à des acrobaties loufoques ou faire raconter le tout par un narrateur sous acides. Par contre, évitons les clichés de clichés. Tâchons de restituer ces clichés sans en créer d'autres, au niveau de l'écriture. Tâchons de faire oublier les clichés par la force de notre écriture. Bref, faisons passer la pilule.
J'espère ne pas avoir été obscur, cette fois.
Ubik.
Re: Alexander Davidson, soldat aéroporté
Bonjour !
Ubik a tout dit :-)
Je rajoute juste une petite remarque : ne désespérez pas. C'est là tout l'intérêt du site, travailler, travailler et retravailler un texte ; trouver des lecteurs qui sont là pour ça, pour aider. Et si ces mêmes lecteurs vous commentent, cherchent à vous faire améliorer votre texte, même après une version corrigée, c'est qu'ils sont intéressés par votre travail. Et c'est une très bonne chose !
À bientôt,
Remus
Ubik a tout dit :-)
Je rajoute juste une petite remarque : ne désespérez pas. C'est là tout l'intérêt du site, travailler, travailler et retravailler un texte ; trouver des lecteurs qui sont là pour ça, pour aider. Et si ces mêmes lecteurs vous commentent, cherchent à vous faire améliorer votre texte, même après une version corrigée, c'est qu'ils sont intéressés par votre travail. Et c'est une très bonne chose !
À bientôt,
Remus
Remus- Nombre de messages : 2098
Age : 34
Date d'inscription : 02/01/2012
Re: Alexander Davidson, soldat aéroporté
"Je vois bizarrement, je sombre dans l'inconscience"
hum, je vois bizarrement ça me fait penser à pas mal de chose mais rien de vraiment medical.
bizarrement ? en bleu, en rose ? trouble ?
sinon, tu peux reagir a nos annotation dans le fil prévu pour, et nous exposer tes choix, on a pas la science infuse, mais quand on propose, on aime bien que l'auteur nous dise , oui, non... Visiblement là mes annotations, c'était non, car tu n'a rien changer ni expliquer ;). Juste histoire de montrer qu'on ne prend pas du temps pour rien.
hum, je vois bizarrement ça me fait penser à pas mal de chose mais rien de vraiment medical.
bizarrement ? en bleu, en rose ? trouble ?
sinon, tu peux reagir a nos annotation dans le fil prévu pour, et nous exposer tes choix, on a pas la science infuse, mais quand on propose, on aime bien que l'auteur nous dise , oui, non... Visiblement là mes annotations, c'était non, car tu n'a rien changer ni expliquer ;). Juste histoire de montrer qu'on ne prend pas du temps pour rien.
AleK...
Je lis tous vos commentaires, vous ne faite pas cela pour rien. Et non, ce n'est pas un hommage à Walking Dead, je ne savais même pas que quelqu'un s'appelait comme ça là dedans. Ce nom à une signification pour moi, c'est pourquoi je ne l'ai pas changé. J'aimerais que dans les prochains commentaires, vous donniez une note sur 10, si possible, Merci!
Maya
Maya
MayaB- Nombre de messages : 6
Age : 27
Localisation : Canada
Date d'inscription : 11/05/2012
Re: Alexander Davidson, soldat aéroporté
tu vas te faire taper sur les doigts par la dame en vert car tu poste ici plutôt que dans le sujet fait pour répondre aux commentaires que l'on te fait sur tes textes. (cela évite aux auteurs de remonter leurs textes.)
une note sur 10 ? je parle ne mon nom mais je pense pas être dans l'erreur. On ne note pas, jamais, à part à l'école et dans les administrations, et dans les deux cas, c'est pour des choses quantifiable, bien que des fois peu objective.
on ne peut pas noter un texte, le ressentis de chacun ne se calcule pas en 1/2 points.
Une note ne fait pas avancer, une note te juge.
une note sur 10 ? je parle ne mon nom mais je pense pas être dans l'erreur. On ne note pas, jamais, à part à l'école et dans les administrations, et dans les deux cas, c'est pour des choses quantifiable, bien que des fois peu objective.
on ne peut pas noter un texte, le ressentis de chacun ne se calcule pas en 1/2 points.
Une note ne fait pas avancer, une note te juge.
Re: Alexander Davidson, soldat aéroporté
Désoler mais je ne sais pas c'est où(la page où je dois écrire mes commentaires)
ICI : http://www.vosecrits.com/t10500-discussions-autour-de-nos-textes
Il suffit de cliquer sur le lien.
Plus aucune excuse maintenant.
La Modération
ICI : http://www.vosecrits.com/t10500-discussions-autour-de-nos-textes
Il suffit de cliquer sur le lien.
Plus aucune excuse maintenant.
La Modération
MayaB- Nombre de messages : 6
Age : 27
Localisation : Canada
Date d'inscription : 11/05/2012
Re: Alexander Davidson, soldat aéroporté
Modération a écrit :
en rouge cliques dessus< MayaB : si vous désirez intervenir souvent pour répondre à des commentaires, développer un point particulier etc, c'est ICIqu'il faudra le faire.
En effet il est demandé aux auteurs - dans le texte de notre page d'accueil - de répondre "avec parcimonie", cela afin d'éviter de faire remonter ou de maintenir leurs textes en haut de page au détriment de ceux des autres auteurs.
Par ailleurs, un passage - même court - par ICI serait de bon aloi.
Merci.
La Modération >
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