A plus !

Bonsoir à tous, voici mon tout dernier texte avant mon départ que je ne veux pas solennel, même si j'y ai contribué, dîtes vous bien qu'un soir où vous guetterez un possible commentaire, des yeux seront là, à regarder paisiblement sans préoccupations critiques, bien plus souvent qu'auparavant. Je reviendrai peut-être, sans doute, mais pas maintenant. A toutes et à tous, bonne continuation ! ( le texte est excessivement court, c'est une description d'un état bien précis )


Ses mots lui pèsent dans la gorge, ils résonnent lourdement ; il les étouffe avec un sourire forcé en plus de passer sa main dans ses cheveux, il cherche à cacher ses tremblements. Il se dénude verbalement, évoque les sinuosités de son esprit châtié. Voilà qu’il ne peut guère faire plus, ses yeux se remplissent et son sourire se change, son menton se convulse de spasmes qu’il tente de retenir. Il s’efforce d’échapper à l’inévitable révélation de tristesse qu’il offre à ses auditeurs, sa famille, son proche. Et davantage il pleure, hurle et perd en un moment futile la dignité dont il se pense doté. Doucement il révèle les spécificités intimes de son corps, jusqu’au paroxysme de l’abandon de soi.

"moment futile", je pense pas qu'on puisse dire cela, surtout vu la lourdeur affichée de ce court.

pas grand chose a dire d'autre.

Adieu peut être, bien que je ne comprenne généralement pas les motivations d'afficher ses intentions de la sorte.

Le paroxysme de l'abandon de soi est un moment très particulier, oui. Mais quand on l'a passé, tout s'ouvre.
Bonne route, le Greico.
N'oublie pas de revenir.