Les yeux dans des seins
3 participants
Page 1 sur 1
Les yeux dans des seins
Des yeux dans des seins.
L'enfance.
L'alcool.
La tristesse, l'adipeux réconfort.
La mélancolie.
Quant à la réalité… on l'occulte, on la conçoit ou on l'accepte… mais il n'y a que tes seins pour m'apaiser contre tous les moulins.
Quand ma tête y repose, j'y rêve! Des collines se dressent, et mon sexe avec elles. Et s'il te plait, avoue : j'ai raison ! Ce monde insipide n'a tellement pas lieu d'être, c'est moi qui ai raison. Mais dis-le ! Dis-le! Dis-le-moi dans tes seins tellement on y est bien.
Laisses-moi encore agripper tes hanches... Je redeviens enfant, je suis un enfant roi ! Je sais, tu sais, chacun sait que j'ai raison. Cette saleté de réel je n'en fais qu'une bouchée si tes tétons je palpe : laisse les dans mes mains : rend moi ce qui me rend plus fort et à moi-même. Je suis simple soldat, et pourtant je combats. Rien moins que le monde. Seul. A tes seins je m'abreuve, dans mes mains ils m'apaisent. Nourricière ennemie, imbattable et superbe, femelle inimitable, partage un peu ta force! Laisse-moi cette étape, cent fois renouvelée!
Que serions-nous sans vous, tétins donneurs de vie, et les tiens que j'adore!
Comprends... je t'en supplie, comprend que je n'ai qu'eux ! Boucliers de ma lutte impalpable, et qui sont de mes vents la rosace, de ma bouche le gîte.
Ils sont fiers, comme toi que j'aime…
Et doux dès que dévoilent, d'aube en aube, leur dociles douceurs, à doubles tes deux dômes dardant d'un doux dédain réclament
moult et moult murmures, mamelles mélodiques, mammaires monticules, au milieu mes babines s'y démènent un moment, mystiques monument ;
je t'honore, te chéris.
Permets moi je t'en prie de demeurer enfant, je n'en serais que "le plus fort des plus fort, tout comme mon papa, qui était policier (dans le préau, t'en souviens-tu?)"
Je ne suis qu'un pauvre homme voué à son enfance, et puis à me débattre, entre deux bras de fer.
En fait je suis si faible, le plus faible des faibles que c'est entre tes bras que je puise ma force, que c'est dans tes beaux yeux que s'exerce le vrai, que c'est contre ta bouche que je nourris mes rêves, que c'est, que c'est, que c'est…
Tes seins sont mes collines, tu es mon univers, je n'y comprends plus rien, j'en cherche les confins.
Eternellement.
L'enfance.
L'alcool.
La tristesse, l'adipeux réconfort.
La mélancolie.
Quant à la réalité… on l'occulte, on la conçoit ou on l'accepte… mais il n'y a que tes seins pour m'apaiser contre tous les moulins.
Quand ma tête y repose, j'y rêve! Des collines se dressent, et mon sexe avec elles. Et s'il te plait, avoue : j'ai raison ! Ce monde insipide n'a tellement pas lieu d'être, c'est moi qui ai raison. Mais dis-le ! Dis-le! Dis-le-moi dans tes seins tellement on y est bien.
Laisses-moi encore agripper tes hanches... Je redeviens enfant, je suis un enfant roi ! Je sais, tu sais, chacun sait que j'ai raison. Cette saleté de réel je n'en fais qu'une bouchée si tes tétons je palpe : laisse les dans mes mains : rend moi ce qui me rend plus fort et à moi-même. Je suis simple soldat, et pourtant je combats. Rien moins que le monde. Seul. A tes seins je m'abreuve, dans mes mains ils m'apaisent. Nourricière ennemie, imbattable et superbe, femelle inimitable, partage un peu ta force! Laisse-moi cette étape, cent fois renouvelée!
Que serions-nous sans vous, tétins donneurs de vie, et les tiens que j'adore!
Comprends... je t'en supplie, comprend que je n'ai qu'eux ! Boucliers de ma lutte impalpable, et qui sont de mes vents la rosace, de ma bouche le gîte.
Ils sont fiers, comme toi que j'aime…
Et doux dès que dévoilent, d'aube en aube, leur dociles douceurs, à doubles tes deux dômes dardant d'un doux dédain réclament
moult et moult murmures, mamelles mélodiques, mammaires monticules, au milieu mes babines s'y démènent un moment, mystiques monument ;
je t'honore, te chéris.
Permets moi je t'en prie de demeurer enfant, je n'en serais que "le plus fort des plus fort, tout comme mon papa, qui était policier (dans le préau, t'en souviens-tu?)"
Je ne suis qu'un pauvre homme voué à son enfance, et puis à me débattre, entre deux bras de fer.
En fait je suis si faible, le plus faible des faibles que c'est entre tes bras que je puise ma force, que c'est dans tes beaux yeux que s'exerce le vrai, que c'est contre ta bouche que je nourris mes rêves, que c'est, que c'est, que c'est…
Tes seins sont mes collines, tu es mon univers, je n'y comprends plus rien, j'en cherche les confins.
Eternellement.
levaran82- Nombre de messages : 145
Age : 42
Localisation : belgique
Date d'inscription : 26/01/2010
Re: Les yeux dans des seins
Une déclaration d'amour tumultueuse, ébouriffée. Un credo amoureux assez convaincant.
Je redeviens enfant, je suis un enfant roi !
Je ne suis qu'un pauvre homme voué à son enfance
Sincérité touchante.
Il n'est que le titre que je n'aime pas beaucoup.
Je redeviens enfant, je suis un enfant roi !
Je ne suis qu'un pauvre homme voué à son enfance
Sincérité touchante.
Il n'est que le titre que je n'aime pas beaucoup.
Invité- Invité
Re: Les yeux dans des seins
Des collines se dressent.... Tout est beau et en rondeur dans ce texte. Apaisants les seins.. Oui! on le ressent bien , dommage l'image du sexe qui se dresse dans ces images de collines. Cela enlève le fait qu'il redevient enfant. Mais bon!!!! Je comprends!
Quant au titre qui ne plait pas trop à Embellie... Je le trouve pas mal!
Quant au titre qui ne plait pas trop à Embellie... Je le trouve pas mal!
Maryse- Nombre de messages : 811
Age : 81
Localisation : Montélimar
Date d'inscription : 22/09/2010
Re: Les yeux dans des seins
merci pour ces avis contradictoires mais enrichissants.
concernant les reliefs topographiques, plus que pour couper le lien avec l'enfance, c’était simplement pour tisser un lien entre le corps masculin et féminin dans cette petite déclaration d'amour à un corps et à ce qu'il implique... désolé que ce soit l'aspect animal qui l'emporte apparemment.
< Prière d'éviter de réagir dès le 2ème commentaire. On demande aux auteurs de bien vouloir attendre quelque peu avant de répondre, ou alors de le faire ICI.
Lisez ou relisez attentivement le texte de notre page d'accueil, il y est question de "parcimonie".
Il y est également dit que VOS ECRITS n'est pas une simple VITRINE où l'on vient s'exposer, mais qu'il est souhaité, dans la mesure du temps disponible à chacun, de commenter également les textes des autres auteurs.
Merci de votre compréhension.
La Modération >
.
concernant les reliefs topographiques, plus que pour couper le lien avec l'enfance, c’était simplement pour tisser un lien entre le corps masculin et féminin dans cette petite déclaration d'amour à un corps et à ce qu'il implique... désolé que ce soit l'aspect animal qui l'emporte apparemment.
< Prière d'éviter de réagir dès le 2ème commentaire. On demande aux auteurs de bien vouloir attendre quelque peu avant de répondre, ou alors de le faire ICI.
Lisez ou relisez attentivement le texte de notre page d'accueil, il y est question de "parcimonie".
Il y est également dit que VOS ECRITS n'est pas une simple VITRINE où l'on vient s'exposer, mais qu'il est souhaité, dans la mesure du temps disponible à chacun, de commenter également les textes des autres auteurs.
Merci de votre compréhension.
La Modération >
.
levaran82- Nombre de messages : 145
Age : 42
Localisation : belgique
Date d'inscription : 26/01/2010
Les yeux dans des seins
Cela ne me déplait pas, mais je n'adhère pas. En dehors des seins, point de salut, pas de vie ?
Et puis ce titre qui gâche tout !
Albert-Robert- Nombre de messages : 492
Age : 82
Localisation : Drôme
Date d'inscription : 21/04/2012
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum