Exo : Votre pseudo en acrostiche

C’est l’heure de la récréation !

(suivant une idée d’Embellie)

J’ai, vous, nous avons un pseudo ! Acrostichons-le donc !

Deux contraintes :
-des alexandrins en bonne et due forme (oui, c’est vrai, j’aime bien les alexandrins).
-votre poème acrostiche doit impérativement parler de votre pseudo, de près ou de loin, et en aucun cas constituer un propos qui n’aurait pas de rapport direct avec ledit pseudo.


Bon, c’est sûr, il n’y aura pas d’égalité puisque pour Ba, par exemple, ce sera très simple, tandis que pour le mec qui a pris comme pseudo : Anticonstitutionnellement, ce sera plus difficile.

Bon, c’est les vacances hein, on y va molo. Commettez déjà votre pseudo en acrostiche. Si ça intéresse du monde, on pourra revenir ultérieurement sur l’exercice, mais alors avec une nouvelle contrainte fondamentale ; tout le monde sera logé à la même enseigne :

Une série d’initiales imposée formant un mot ou autre chose (on verra). Bonnes vacances !

Si ça intéresse…

Comme d’hab’, un post par semaine et par personne (suis curieux de voir ça)

Exemple d’intitulé : Exo : Votre pseudo en acrostiche : Tartempion

Les jeux sont ouverts, bien sûr, immédiatement, sans date butoir (c'est d'actualité).

y aurait il moyen d'avoir un exemple...? mmm ?

igloo a écrit:y aurait il moyen d'avoir un exemple...? mmm ?

Igloo au glougloutant tant glouglou qui glougloutte
Glougloute temps glougloute en igloo goutte à goutte
Louloute mes doutes de l'eau coule et s'égoutte
O coulant d'égout l'eau se déroute ma route
Où toujours au goulot a du goût mon Igloote !

(igloo, j'espère que tu ne verras que gentille malice,
si tu le veux tu peux m'assassiner itou !!!)

t'assassiner, et pourquoi faire...!?
:-)))))

I l y a en Islande des landes à banquise :
G laces, aurores boréales et volcans et séismes,
L ’ours polaire les arpente, y chasse, y joue, y dort.
O r la neige compacte, en pierres d’eau s’érige.
O ù a-t-on chaud dedans, la nuit et dans le froid…?

Non, pas en alexandrins ! Je n'en écris plus depuis... pffftttt !

J'aurais aimé participer, dusha n'a que 5 lettres mais je préfère le vers libre ou, à défaut, le vers impair. J'aime suivre l'art poétique de Verlaine :

"De la musique avant toute chose,
Et pour cela préfère l'Impair
Plus vague et plus soluble dans l'air,
Sans rien en lui qui pèse ou qui pose."

déjà que je n'apprécie pas trop les acrostiches...

Dommage !

Frédéric Prunier a écrit:

igloo a écrit:y aurait il moyen d'avoir un exemple...? mmm ?

Igloo au glougloutant tant glouglou qui glougloutte
Glougloute temps glougloute en igloo goutte à goutte
Louloute mes doutes de l'eau coule et s'égoutte
O coulant d'égout l'eau se déroute ma route
Où toujours au goulot a du goût mon Igloote !

(igloo, j'espère que tu ne verras que gentille malice,
si tu le veux tu peux m'assassiner itou !!!)

Ha ha ! mdr ! Terriblement jouissif ! C'est la bonne humeur de notre FP !

dusha a écrit:Non, pas en alexandrins ! Je n'en écris plus depuis... pffftttt !

On s'en fout ! Tu fais ce que tu veux ou rien. Je ne peux mieux te dire.

igloo a écrit:I l y a en Islande des landes à banquise :
G laces, aurores boréales et volcans et séismes,
L ’ours polaire les arpente, y chasse, y joue, y dort.
O r la neige compacte, en pierres d’eau s’érige.
O ù a-t-on chaud dedans, la nuit et dans le froid…?

Pas mal mais, cependant, métrique non respectée.

Tu voulais encore un exemple ?

Ici je meurs ma mie, dans les couloirs du temps !
Grand est mon désespoir quand mon bonheur s’estompe,
Liesse qui périt, ne t’en va pas, attends !
Ô rage, ô désespoir, loin de moi cette pompe !
Or, je m’abîme, las… Morte est ma joie d’antan…

(attention, diérèse sur Liesse)

Frédéric Prunier a écrit:

igloo a écrit:y aurait il moyen d'avoir un exemple...? mmm ?

Igloo au glougloutant tant glouglou qui glougloutte
Glougloute temps glougloute en igloo goutte à goutte
Louloute mes doutes de l'eau coule et s'égoutte
O coulant d'égout l'eau se déroute ma route
Où toujours au goulot a du goût mon Igloote !

(igloo, j'espère que tu ne verras que gentille malice,
si tu le veux tu peux m'assassiner itou !!!)

Excellent Frédéric !

Bon, je vais tenter l'exo en alexandrin.

Colin en son maillard engendra la colline
Oh, sans penser à mal ! il lui rogna une l.
Las, elle se courrouça, et ignorant son zèle,
Illico s’esbigna vers des zones câlines,
Ne se retourna pas, snoba son créateur
Et elle n’hésita pas, même, à l’envoyer paître,
Déclarant à tout va qu’un dé l’avait fait naitre
Et que Colin moins qu’elle pouvait se dire hauteur !

À 23 h 24 j’intervenais sur ce fil. Ensuite je suis allé voir ailleurs. Je suis tombé sur le poème acrostiche d’Embellie, qui est superbe, et qui m’a rappelé une chose :

Je dois préciser une deuxième contrainte, (que je n’ai pas mentionnée) :
Votre poème acrostiche doit impérativement parler de votre pseudo, de près ou de loin, et en aucun cas constituer un propos qui n’aurait pas de rapport direct avec ledit pseudo.

L’exemple que j’ai donné plus haut pour igloo était donc relativement hors sujet puisque je n’ai tenu compte que des initiales et non du sens du pseudo.

MESSAGE POUR COLINE DÉ :

Coline, chère Coline, ton acrostiche est très intéressant, et plus que cela même ! (décidément, c’est fou comme les gens ont du talent sur VE), mais il faut que tu le postes en créant un sujet perso. Tu peux faire ça ? Ici c’est le fil de conversation autour de l’exo.

Tu crées ton truc : Exo votre pseudo en acrostiche : coline Dé

En définitive :

Cet exercice ne fera pas long feu. Une fois qu'on a posté un acrostiche sur un pseudo, c'est terminé.
Donc exo de vacances très bref.

Ne me remerciez pas, ça me fait rougir... c'est que je suis timide...

Adam' dé !!

Il n'est pas de plus beaux souvenirs de vacances
quand au pic du midi
s'admirent les collines )))

Pascal-Claude Perrault a écrit:
On s'en fout ! Tu fais ce que tu veux ou rien. Je ne peux mieux te dire.

Donc, en heptamètres...


De la lointaine Russie,
Un jour ce mot fut donné
Sans aucune affèterie.
Humble, il fut vite adopté.
« Âme », c’est ce qu’il veut dire…

coline Dé a écrit:Colin en son maillard engendra la colline
Oh, sans penser à mal ! il lui rogna une l.
Las, elle se courrouça, et ignorant son zèle,
Illico s’esbigna vers des zones câlines,
Ne se retourna pas, snoba son créateur
Et elle n’hésita pas, même, à l’envoyer paître,
Déclarant à tout va qu’un dé l’avait fait naitre
Et que Colin moins qu’elle pouvait se dire hauteur !

Le ton m'a beaucoup amusée !