VIOLENCE : Ainsi parlait Friedrich...
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VIOLENCE : Ainsi parlait Friedrich...
"La violence de la réponse n'est que la réponse de la violence"
L'aspiration à la destruction, au changement, au devenir peut être l'expression de la force surabondante, grosse d'avenir... mais ce peut être aussi la haine du raté, de l'indigent, du déshérité...
(Nietzsche, Le gai savoir)
Bon, j'en fais quoi moi de tous ces mots maintenant... Il est gentil Friedrich, je l'aime bien, mais ça m'inspire pas beaucoup. Y en a qui disent que c'est facile d'être philosophe, il suffit d'aligner des mots compliqués, des trucs que personne ne comprend et puis hop, le tour est joué. Deux cent mille élèves recalés au bac et quelques malins pour pérorer à la télé, de ceux qui font semblant de comprendre, genre Michel Onfray ou Luc Ferry.
Et puis il y a les autres, ceux qui pigent ou du moins essaient. Ceux que ces mots inspirent, chez qui ces lignes font naître mille pensées intellectuelles qu'il est difficile de coucher sur papier.
Du genre que dans le cas présent, c'est l'histoire d'un serpent qui se mord la queue. Parce qu'en fait, la violence, elle aimerait bien qu'on lui fiche la paix. Dormir tranquille, se retrouver au chômage. Y a pas d'ANPE pour la violence, y en aura sans doute jamais. Dommage. Pour elle. Pour nous aussi.
La violence, quand on la cherche, on la trouve. C'est ce qu'on dit. A force, elle en a marre. Alors elle se fâche. la violence devient violente. Et...
Bon sang, si je raconte ça aux autres, ils vont rien piger. Moi même je risque de m'y perdre.
D'abord parce que je me fiche complètement de ce propos. C'est creux, même pas beau. C'est comme si je disais que la faim dans la monde c'est pas bien et que la guerre c'est mal. Tiens, avec ça, je pourrais écrire des poèmes ou faire Miss France, voire Président de la République... Mais non, il a fallu que je fasse philo à l'école. L'usine à chômeurs, m'a dit mon père quand j'ai annoncé fièrement que je renonçais à une brillante carrière potentielle de médecin légiste pour me lancer dans des études de philo. Il m'a laissé faire, il s'est fait violence. La violence, encore elle.
Et aujourd'hui, me voilà, face à ces mots vides qui me laissent de marbre. Et même Friedrich, le grand, le fort, celui à qui je dois quatre années de plaisir mental et un diplôme, ne m'est d'aucun secours cette fois.
Parce que bon, même lui, le grand, le fort, celui qui..., il peut sortir des platitudes sans nom. Il aurait pu faire poète aussi. A défaut de Miss France.
Mais il a fait philosophe. Comme moi. Enfin plutôt moi comme lui. Et lui est devenu fou. A force d'être trop malin. Et moi je deviendrai folle. A force de rien du tout.
Allez, je vais me faire violence et poster mon texte. Avant que la folie ne survienne pour de bon. Après tout, Friedrich a dit "Il y a toujours aussi un peu de raison dans la folie" *
* Ainsi parlait Zarathoustra
L'aspiration à la destruction, au changement, au devenir peut être l'expression de la force surabondante, grosse d'avenir... mais ce peut être aussi la haine du raté, de l'indigent, du déshérité...
(Nietzsche, Le gai savoir)
Bon, j'en fais quoi moi de tous ces mots maintenant... Il est gentil Friedrich, je l'aime bien, mais ça m'inspire pas beaucoup. Y en a qui disent que c'est facile d'être philosophe, il suffit d'aligner des mots compliqués, des trucs que personne ne comprend et puis hop, le tour est joué. Deux cent mille élèves recalés au bac et quelques malins pour pérorer à la télé, de ceux qui font semblant de comprendre, genre Michel Onfray ou Luc Ferry.
Et puis il y a les autres, ceux qui pigent ou du moins essaient. Ceux que ces mots inspirent, chez qui ces lignes font naître mille pensées intellectuelles qu'il est difficile de coucher sur papier.
Du genre que dans le cas présent, c'est l'histoire d'un serpent qui se mord la queue. Parce qu'en fait, la violence, elle aimerait bien qu'on lui fiche la paix. Dormir tranquille, se retrouver au chômage. Y a pas d'ANPE pour la violence, y en aura sans doute jamais. Dommage. Pour elle. Pour nous aussi.
La violence, quand on la cherche, on la trouve. C'est ce qu'on dit. A force, elle en a marre. Alors elle se fâche. la violence devient violente. Et...
Bon sang, si je raconte ça aux autres, ils vont rien piger. Moi même je risque de m'y perdre.
D'abord parce que je me fiche complètement de ce propos. C'est creux, même pas beau. C'est comme si je disais que la faim dans la monde c'est pas bien et que la guerre c'est mal. Tiens, avec ça, je pourrais écrire des poèmes ou faire Miss France, voire Président de la République... Mais non, il a fallu que je fasse philo à l'école. L'usine à chômeurs, m'a dit mon père quand j'ai annoncé fièrement que je renonçais à une brillante carrière potentielle de médecin légiste pour me lancer dans des études de philo. Il m'a laissé faire, il s'est fait violence. La violence, encore elle.
Et aujourd'hui, me voilà, face à ces mots vides qui me laissent de marbre. Et même Friedrich, le grand, le fort, celui à qui je dois quatre années de plaisir mental et un diplôme, ne m'est d'aucun secours cette fois.
Parce que bon, même lui, le grand, le fort, celui qui..., il peut sortir des platitudes sans nom. Il aurait pu faire poète aussi. A défaut de Miss France.
Mais il a fait philosophe. Comme moi. Enfin plutôt moi comme lui. Et lui est devenu fou. A force d'être trop malin. Et moi je deviendrai folle. A force de rien du tout.
Allez, je vais me faire violence et poster mon texte. Avant que la folie ne survienne pour de bon. Après tout, Friedrich a dit "Il y a toujours aussi un peu de raison dans la folie" *
* Ainsi parlait Zarathoustra
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: VIOLENCE : Ainsi parlait Friedrich...
bon, bon ... comment dire ... je connais bien tes écrits et donc là, j'ai envie de dire, pour faire un peu "rugby", que tu nous l'a joué un peu "petit bras" ;-)
on sent que t'avais pas trop de temps mais tout le même l'envie de participer ! Alors, disons que ça me semble en dessous de ta production habituelle mais que le principal, c'est d'avoir participé et respecté les contraintes ;-)
on sent que t'avais pas trop de temps mais tout le même l'envie de participer ! Alors, disons que ça me semble en dessous de ta production habituelle mais que le principal, c'est d'avoir participé et respecté les contraintes ;-)
Charles- Nombre de messages : 6288
Age : 49
Localisation : Hte Savoie - tophiv@hotmail.com
Date d'inscription : 13/12/2005
Re: VIOLENCE : Ainsi parlait Friedrich...
J'aime assez la façon dont tu nous balades dans ce cheminement de pensées, on a l'impression de zig-zagger. J'aime bien aussi la référence à Miss France :0))
Sinon, je crois aussi que ça aurait pu être retravaillé, et meilleur, mais la lecture reste agréable!
Sinon, je crois aussi que ça aurait pu être retravaillé, et meilleur, mais la lecture reste agréable!
Re: VIOLENCE : Ainsi parlait Friedrich...
lu.
Ce n'est pas trop court.
pour moi tu as voulu en arriver là:
c'est écrit comme un état de fait, un écrou serré qu'il serait bien malaisé de dévisser.
le ptit soucis c'est que tu dégomme au passage nos fantasmes de luttes et de revendications, mais là encore, même topo,c'est difficile à contrer.
à moins d'en faire une réponse de 20 pages, ce que le texte lui même n'appelle pas de ses voeux.
c'est du Sahkti.on est coincé dans le texte.adroitement mené.
:-)
Ce n'est pas trop court.
pour moi tu as voulu en arriver là:
cela ne nécessitait pas un discour de 20 pages.A force d'être trop malin.
c'est écrit comme un état de fait, un écrou serré qu'il serait bien malaisé de dévisser.
le ptit soucis c'est que tu dégomme au passage nos fantasmes de luttes et de revendications, mais là encore, même topo,c'est difficile à contrer.
à moins d'en faire une réponse de 20 pages, ce que le texte lui même n'appelle pas de ses voeux.
c'est du Sahkti.on est coincé dans le texte.adroitement mené.
:-)
Invité- Invité
Re: VIOLENCE : Ainsi parlait Friedrich...
à ton tour de plancher sur le sujet. Est-ce à croire que le thème de la violence ouvre les horizons où la raison s'égare ? La philosophie permet de se questionner sur nos réactions face à un tel événement. Le sujet est inépuisable, demandant une implication profonde dans la réflexion à mener.
Ne penses-tu pas que Nietzsche aurait disserté sur la négation de l'énnoncé "n'est que" ?
Ne penses-tu pas que Nietzsche aurait disserté sur la négation de l'énnoncé "n'est que" ?
bertrand-môgendre- Nombre de messages : 7526
Age : 104
Date d'inscription : 15/08/2007
Re: VIOLENCE : Ainsi parlait Friedrich...
Nietzsche a longuement disserté sur le thème de la violence tout au long de son oeuvre. J'aurais pu en parler des pages (PW ne croit pas si bien dire en évoquant "20 pages, oui, mais pourquoi faire") et s'est intéressé de très près à ce "n'est que". Un auteur que je recommande souvent ce Friedrich :-)bertrand-môgendre a écrit:Ne penses-tu pas que Nietzsche aurait disserté sur la négation de l'énnoncé "n'est que" ?
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: VIOLENCE : Ainsi parlait Friedrich...
On ne discute pas philo sur le fil de Sahkti.bertrand-môgendre a écrit:à ton tour de plancher sur le sujet. Est-ce à croire que le thème de la violence ouvre les horizons où la raison s'égare ? La philosophie permet de se questionner sur nos réactions face à un tel événement. Le sujet est inépuisable, demandant une implication profonde dans la réflexion à mener.
Ne penses-tu pas que Nietzsche aurait disserté sur la négation de l'énnoncé "n'est que" ?
Si elle s'en aperçoit, l'exo live n'aura pas lieu.
et d'abord on ne discute pas sur le fil d'un auteur sans sa présence
(c'est le loup kia dit)
;-)
Invité- Invité
Re: VIOLENCE : Ainsi parlait Friedrich...
Ha si si!! Mais à vos risques et périls si je me mets à causer, je peux être pénible :-)))pandaworks a écrit:On ne discute pas philo sur le fil de Sahkti.
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: VIOLENCE : Ainsi parlait Friedrich...
:-))))))pandaworks a écrit:trop tard...
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: VIOLENCE : Ainsi parlait Friedrich...
2.27 c'est l'heure qu'il est ici et je ne suis pas en état d'amorcer le truc que j'ai dans la tête lié a bertrand, à la violence et à Nietzsche.
le coup de l'homme qui admire de plus en plus la nature au fur et à mesure qu'il se désinteresse de l'homme.
Bertrand, dans ton exo violence, si tu as mis un cadre famillial, c'est pour te démarquer de la pensée Friedrichienne attenante à ton écriture?
;-)
le coup de l'homme qui admire de plus en plus la nature au fur et à mesure qu'il se désinteresse de l'homme.
Bertrand, dans ton exo violence, si tu as mis un cadre famillial, c'est pour te démarquer de la pensée Friedrichienne attenante à ton écriture?
;-)
Invité- Invité
Re: VIOLENCE : Ainsi parlait Friedrich...
Un goût de trop peu c’est vrai, et puis j’entrave que dalle à l’œuvre du monsieur, le fort, tout ça. J’en retiens qu’il n’a jamais été Miss France, moi non plus, mais est-ce pour autant un pas vers la philosophie ?
Yali- Nombre de messages : 8624
Age : 60
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: VIOLENCE : Ainsi parlait Friedrich...
Une réflexion adroitement menée. Manque quelque chose, une diversion, un grain de folie, une once de poésie, un doigt de Guinness… je sais pas.
Kilis- Nombre de messages : 6085
Age : 78
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: VIOLENCE : Ainsi parlait Friedrich...
Moi, je dis juste, bof, bof...
ninananere- Nombre de messages : 1010
Age : 49
Localisation : A droite en haut des marches
Date d'inscription : 14/03/2007
Re: VIOLENCE : Ainsi parlait Friedrich...
en définitive, tu as fait ce texte à partir de la phrase de Fred ou bien de la phrase imposée ? J’ai pas tout capté ;-) Disons que j’ai senti comme une gêne par rapport au sujet, son traitement, comme si tu tournais autour sans savoir par quel bout le prendre, pour au bout du compte ne pas le prendre du tout. Tiens, hors sujet mais tant pis : j’ai commencé à lire La raison gourmande de Michel Onfray (à cause de L’élégance du Hérisson !), ben j’ai fermé le bouquin après 45 pages. Lecture pénible et sans aucun intérêt ! Tu connais ?
Re: VIOLENCE : Ainsi parlait Friedrich...
Oui. et tu as bien résumé Onfray: sans intérêt!mentor a écrit:La raison gourmande de Michel Onfray (à cause de L’élégance du Hérisson !), ben j’ai fermé le bouquin après 45 pages. Lecture pénible et sans aucun intérêt ! Tu connais ?
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: VIOLENCE : Ainsi parlait Friedrich...
Un texte qui me semble un peu déstructuré, même si tu finis par retomber sur tes pieds. Il semble vouloir dire beaucoup et reste pourtant en surface.
Néanmoins, quelques tournures ou clins d'oeil ponctuent le texte et le rendent agréable. J'aime bien ce passage par exemple :
Et lui est devenu fou. A force d'être trop malin. Et moi je deviendrai folle. A force de rien du tout.
Néanmoins, quelques tournures ou clins d'oeil ponctuent le texte et le rendent agréable. J'aime bien ce passage par exemple :
Et lui est devenu fou. A force d'être trop malin. Et moi je deviendrai folle. A force de rien du tout.
Re: VIOLENCE : Ainsi parlait Friedrich...
Juste envie de "réagir" (guilemets quand on parle de réaction et que Nietzsche est dans les parages!) à partir de certains passages, ici et là, de ton texte Sahkti, sans intervenir sur les contraintes de l'exercice.
La folie quand elle vous accompagne ne vous lâche pas; ça doit être une violence sans nom, non? Elle n'a pas de mots pour se dire, elle dit autre chose qu'elle. On a toujours du mal à la coincer, c'est elle qui vous coince... non? Elle délire monde, elle délire désert, elle délire femme, elle délire cauchemard, elle délire entrailles (cf. Deleuze, pour faire des raccourcis ignobles), elle délire et construit, infiniment, la folie, pas la névrose; la névrose se garde au chaud et se regarde. La violence ne se sait pas violence. La folie se fait aussi violence à elle-même, etc...
Il y aurait peut-être matière à textes, là ?
La folie quand elle vous accompagne ne vous lâche pas; ça doit être une violence sans nom, non? Elle n'a pas de mots pour se dire, elle dit autre chose qu'elle. On a toujours du mal à la coincer, c'est elle qui vous coince... non? Elle délire monde, elle délire désert, elle délire femme, elle délire cauchemard, elle délire entrailles (cf. Deleuze, pour faire des raccourcis ignobles), elle délire et construit, infiniment, la folie, pas la névrose; la névrose se garde au chaud et se regarde. La violence ne se sait pas violence. La folie se fait aussi violence à elle-même, etc...
Il y aurait peut-être matière à textes, là ?
claire- Nombre de messages : 590
Age : 56
Date d'inscription : 07/05/2007
Re: VIOLENCE : Ainsi parlait Friedrich...
une phrase couperet qui mérite un approfondissement
Oui. et tu as bien résumé Onfray: sans intérêt!
bertrand-môgendre- Nombre de messages : 7526
Age : 104
Date d'inscription : 15/08/2007
Re: VIOLENCE : Ainsi parlait Friedrich...
Je ne me lancerai pas dans une diatribe anti-Onfray Bertrand, je l'ai fait plus d'une fois sur ce site et ailleurs, pas vraiment envie de recommencer. Ce type brasse du vide et de la pensée populiste.bertrand-môgendre a écrit:une phrase couperet qui mérite un approfondissement
Oui. et tu as bien résumé Onfray: sans intérêt!
Ceci dit, je comprends que ça marche. La simplification à outrance a toujours eu du succès et si elle peut rendre la philo accessible au plus grand nombre, je suis pour, pour autant que vulgarisation ne rime pas avec abrutissement.
Sauf que Onfray ne se contente pas de ça, il se permet aussi de juger et d'attaquer (lire ses vérités absolues sur les religions par exemple) en argumentant de manière assez pauvre et en se présentant comme LE détenter de LA vérité. Que chaque philosophe pense détenir le secret absolu est une évidence mais qu'il interdise aux autres d'avoir les leurs et qu'ils dise aux masses populaires de faire ou ne pas faire ceci, il y a des limites à ne pas franchir, surtout lorsqu'elles abordent des domaines de la sphère intime qui se voient condamnées.
Mais bon, chacun ses goûts, il a son fan-club, je respecte ça.
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: VIOLENCE : Ainsi parlait Friedrich...
Bé moi j'aime bien cette manière de se fiche de la gueule du sujet. Et c'est vrai que la phrase à commenter ne vaut pas tripette. Une tautologie un peu boiteuse qui, au bout du compte, ne dit pas autre chose que la violence est violente. Dès lors, s'en tirer par une pirouette élégante et ironique comme tu le fais devient une échappatoire justifiée.
Gobu
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Gobu- Nombre de messages : 2400
Age : 70
Date d'inscription : 18/06/2007
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