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Un homme remarquable

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CROISIC
polgara
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Message  Invité Sam 20 Oct 2012 - 18:37

< Texte supprimé à la demande de l'auteur.
La Modération. >

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Message  polgara Dim 21 Oct 2012 - 2:15

Le choix de la victime dictée par la victime même, j'ai beaucoup aimé. La langueur du récit ne m'a pas déplu, même si je ne voyais pas où elle allait m'emmener. Et puis la chute, d'une troublante évidence.
le faux rythme imprimé par le récit rend bien l'atmosphère vue d'une proie qui ne sait pas encore qu'elle l'est. J'aurais peut être juste préféré un peu d'inquiétude à la fin, quand, de nuit l'inconnu descend avant elle, plus que les interrogations qui en découlent.
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Message  Invité Dim 21 Oct 2012 - 7:46

La chute fonctionne bien à mes yeux, je veux dire l'ellipse qui amène à la chute .
C'est un bon texte, avec ce choix du contre-pied quant au rôle des personnages, et qui pourrait à mon avis être rendu encore meilleur, plus incisif, en en resserrant chaque passage, celui du restaurant, du cinéma, et du bus.

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Message  Invité Dim 21 Oct 2012 - 8:14

j'aime vraiment cette idée d'opposer le "vide" de cet homme à l'avidité de la fille, curieuse: ça tranche, peut être le cas de le dire...
en tout cas, tu les fais se rejoindre dans une forme de complémentarité, quand l'histoire se retourne en morsure finale.

la lecture est portée par un pressentiment mystérieux car non identifié, teinté de naïveté. tu détournes l'attention avec une légèreté suffisamment neutralisée pour instiller le doute, la méfiance. la description de détails qui font se rapprocher tout près des personnages, à travers les yeux de la "proie", après avoir éveillé en nous la même curiosité qu'elle pour l'homme, renforce l'effet de surprise du dénouement. c'est bien amené je trouve. tout part comme s'il s'agissait d'une attirance qui aboutirait à une bluette. alors qu'en fait elle se jette dans la gueule du loup: un loup qui semble ne rien remarquer, mais à qui rien n'échappe.

oui, j'aime vraiment!
l'idée, et ta façon de la dérouler.

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Message  CROISIC Dim 21 Oct 2012 - 19:40

Beaucoup, beaucoup aimé ce texte, du titre à la chute.
Beau scénario, je me suis parfaitement identifiée à la fille.
Une foule de détails m'a enchantée, notamment la chemise en rayonne qui exalte les mauvaises odeurs, l'interrogation sur la propreté des oreilles et la tache sur la braguette du serveur.
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Message  Invité Jeu 25 Oct 2012 - 7:48

Pour faire suite à vos commentaires, je publie ici une version travaillée que j'espère plus nerveuse.
Ça m'intéresserais si vous me disiez…
J'aimerais bien également avoir des avis sur le titre.
Merci d'avance.



Un homme remarquable
La fille le suivait discrètement, regardant encore son dos dans la sombre allée mouillée.
Il se retourna enfin, juste sous le petit réverbère. Son visage n'avait rien de particulier. Il était vide de toute expression.

Elle avait croisé son regard une première fois, tout à l'heure, au restaurant. Il n'avait pourtant rien de remarquable, mais elle l'avait remarqué. Depuis, elle cherchait ce qui avait ainsi d'accroché son attention. Une façon obstinée de ne rien faire pendant son repas peut-être. Pas de livre, pas de journal. Pas de sudoku ni de mots croisés. Pas un regard, ni pour les voisins de table, ni pour le garçon, ni pour le décor convenu de lambris vernissés. Elle observait tout. Elle avait vu que la pendule marquait onze heure alors que la nuit était à peine tombée, ce qui, étant donné la saison et l'horaire d'hiver récemment revenu, donnait plutôt quelque chose comme huit heures. Elle avait vu quelque temps plus tard que ladite pendule était morte, raide coincée sur onze heures.

A un moment, il avait seulement tourné la tête vers elle et leurs regards s'étaient rencontrés.
Son regard vide. Elle s'était sentie coupable.
Comme le client de cette table proche semblait vraiment ne s'intéresser à rien, elle s'était enhardie à le scruter sans vergogne. Elle examinait depuis le plateau de fromage les différentes pièces de son habillement. Chaussures fatiguées et mal cirées, talons usés, veste de tweed avachie. Elle ne voyait pas son pantalon, caché par la nappe. Rien de remarquable là encore. Son regard trottinait à la découverte. Son regard à elle comme un petit chat qui découvre un environnement inconnu après s'être tout d'abord caché sous un lit. Son regard qui, de pudique et timide, s'était peu à peu enhardi, était devenu effronté et presque indécent. L'homme ne remarquait rien, ne bougeait pas, perdu dans le vide. Comme il était un peu de dos, elle voyait son profil de trois quart arrière ; et sa nuque. Ses cheveux taillés courts, très noirs, étaient rasés droits depuis la base des oreilles. Ils descendaient à la façon d'une bande de gazon foncé, pour disparaître dans la béance sombre et inconnue de son col de chemise blanc-bleu à fines rayures roses ; rayonne probablement ; inconfortable et peut-être même odoriférante.
Elle détaillait —faute de pouvoir observer commodément le nez, le front et le visage— le lobe pendant des oreilles. Elle prenait familiarité de ce corps étranger à l'insu de son propriétaire. Et c'est précisément au moment où elle essayait de deviner si ses conduits auditifs étaient poilus ou non, propres ou pas, qu'il s'était retourné et que leurs regards s'étaient croisés. Elle s'était sentie coupable.
Elle aurait voulu rentrer sous la nappe. Elle avait stupidement rougi. Mais il n'avait, semblait-il, rien remarqué.

Il avait seulement levé la main pour demander sa note puis s'était rendu aux toilettes. Ses chaussures avaient fait un pas ou deux vers elle alors qu'elle avait les yeux baissés ; ce qui lui avait fait battre le cœur un coup plus violemment.

Elle s'était levée, avait payé, était sortie. La nuit était tombé et la soirée était douce. La pluie avait cessé. La rue était comme une estampe américaine reluisant du néon des commerces : Celio, Macburger, Fnac, UGC. Tout était un peu comme tout devrait toujours être. Elle marcha lentement vers la station de bus. Rien ne lui disait moins que de rentrer dans son quartier d'immeubles résidentiels ; hall de carrelage froid, ascenseur feutré, grand miroir reflétant le vide éclairé aux néons, plantes vertes.
Le cinéma ? Pourquoi pas. Elle serait couchée à minuit. Les soirées sans enfants sont après tout bien rares. Ce nanar amerloque fera l'affaire, pas le temps de finasser.

C'est long un film parfois.
Celui-ci était situé dans un espace temps improbable. Crânes rasés et tenue inter-spatiale pour les hommes, fourreaux de skaï moulants pour les femmes, tous et toutes pourvus de fesses ultra musclées. Des pistolets gros comme des marteaux piqueurs, des seins fuselés et dressés comme des missiles. Elle n'avait rien compris à l'intrigue. On pouvait aller se coucher. Il avait plu à nouveau pendant la projection. L'averse était passée.

Alors elle l'avait vu. Il venait de la doubler. Donc elle le suivi. Il marchait vite et elle failli le percuter lorsqu'il stoppa net sous l'abribus.

Elle attendit derrière lui, étonnée de voir à nouveau la toison familière disparaître dans le col du veston. Ils étaient seuls tous les deux. Il était éclairé par derrière par le panneau publicitaire. Les portes du bus s'ouvrirent en chuintant. Le chauffeur indifférent, les yeux perdu dans le lointain de la nuit, accoudé sur son volant d'un air las, ne sembla même pas les voir alors qu'ils franchissaient les marches comme un vieux couple. La voiture était déserte. Ils étaient encore seuls tous les deux. Lui choisit de rester debout accroché d'une main à la barre devant la porte de sortie. “Il n'ira pas loin“ se dit-elle. Et elle pris un siège. Elle le voyait encore de dos. C'était agaçant. Elle aurait voulu découvrir une bonne fois son visage. Elle s'ennuyait. Ce dos devenait lassant. Il ne bougeait pas, ne frémissait pas, ne se retournait pas. Le pantalon de toile beige tout à l'heure masqué par la nappe n'apportait rien de nouveau. Pas de montre, pas de sac. La seule chance de rebondissement était d'attendre qu'il descende pour tenter d’apercevoir son visage de face lorsqu'il aurait rejoint le trottoir. Mais il ne descendait pas. Il restait planté là dans le passage.

Ça y est : c'est à elle de descendre. A l'avant dernier arrêt avant le terminus. Elle appuie sur le bouton qui allume le machin et tout ça. “Mon sac. Où sont mes clefs ?“ Tout ça quoi. Il descend en même temps qu'elle. “C'est un voisin“ se dit-elle, “un habitant de la résidence peut-être“.

Lorsqu'on découvrit son cadavre le lendemain matin dans la petite allée serpentine entre l'abribus et la résidence, le premier flic arrivé dit au second : “il devait l'attendre là, derrière ce massif de troènes. Probablement qu'il la connaissait“.

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Message  polgara Jeu 25 Oct 2012 - 10:14

je lirai ta nouvelle version plus tard Narbah. Déjà, concernant le titre, je le trouve "remarquable" et n'en imagine pas d'autre tant il sied parfaitement à ce récit.
Par ailleurs, aurais-tu envie d'écrire ce même texte du point de vue de l'homme? Ton approche est tellement singulière que j'aimerais bien te lire de ce point de vue aussi.

et si cela ne t'intéresse pas, avec ton accord bien sur, je pense que je m'y risquerais :-D
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Message  Invité Jeu 25 Oct 2012 - 20:11

Le problème étant que une fois qu'on a lu, qu'on est familiarisé avec un texte, on perd de son esprit critique à la relecture, s'agirait-il d'une nouvelle mouture.
Je vois, je sens que c'est raccourci, mais je n'arrive pas trop à dire en quoi cela change quoi que ce soit. Plus sec peut-être.
Pour me faire pardonner :-), voici quelques remarques de forme :

elle cherchait ce qui avait ainsi d'accroché son attention.
Elle avait vu que la pendule marquait onze heures
Elle ne voyait pas son pantalon, caché par la nappe. Rien de remarquable là encore. (complètement contradictoire ou redondant par rapport à ce qui précède ; si elle ne le voit pas, le pantalon n'a en effet rien de remarquable)
elle voyait son profil de trois quarts arrière
Ses cheveux taillés courts (adverbe ici), très noirs, étaient rasés droits (idem) depuis la base des oreilles.
Ce nanar amerloque ferait l'affaire, pas le temps de finasser. (pour la concordance des temps avec la phrase qui précède)
Donc elle le suivit. Il marchait vite et elle faillit
les yeux perdus dans le lointain de la nuit,
Et elle pris un siège. (prit)

Il reste des cas de tirets manquants, je n'ai pas relevé.

Pour finir, le titre est bon, parfaitement équivoque, je l'avais pensé dès la première version.

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Message  Invité Jeu 25 Oct 2012 - 20:15

Elle avait vu que la pendule marquait onze heure alors que la nuit était à peine tombée, ce qui, étant donné la saison et l'horaire d'hiver récemment revenu, donnait plutôt quelque chose comme huit heures.
Ils descendaient à la façon d'une bande de gazon foncé, pour disparaître dans la béance sombre et inconnue de son col de chemise blanc-bleu à fines rayures roses
La seule chance de rebondissement était d'attendre qu'il descende pour tenter d’apercevoir son visage de face lorsqu'il aurait rejoint le trottoir.


Quelques exemples de phrases longues dont il est bien possible qu'elles ralentissent la narration, l'alourdissent.
A voir.


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Message  Invité Jeu 25 Oct 2012 - 21:44

Je préfère le 2e incipit, en revanche, le premier paragraphe me plaisait plus dans la 1ere version : il me semble que cette curiosité qu'elle a d'un tas de détails a un intérêt plus paradoxal ne s'appliquant pas à l'homme. En revanche, je raccourcirais les descriptions de l'homme, surtout au début : elle est intéressée mais n'ose pas. J'ai l'impression que c'est plus fort si on sent à la fois l'attirance et la réticence.
C'est bien vu qu'elle s'enhardisse de plus en plus, mais je ferais intervenir vraiment plus de détails seulement dans l'autobus, dans une sorte d'avidité crescendo...

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Message  Janis Ven 26 Oct 2012 - 10:54


Je ne sais pas pourquoi j'avais l'impression de l'avoir commenté
sans doute parce que je l'ai lu

je crois que je préfère la première version

et pour ma part surtout le premier incipit, plus incisif, plus direct

La fille le suivait discrètement, le regardant de dos dans l'allée mouillée.

Ce que j'aime, c'est le dos dans l'allée mouillée
toujours ces précisions qui aussitôt accrochent
très cinématographique

Bon je lirai plus avant, plus fouillé
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Message  Louis Ven 26 Oct 2012 - 16:23

Le personnage féminin est très observateur, rien n’échappe à son regard aigu, jusqu'à prêter attention à un homme qui ne présente « rien de remarquable ». Son visage n’a pas un « charme particulier », ni même une expression singulière, susceptibles d’attirer sur lui une attention.
L’homme, tout au contraire du personnage féminin, ne semble accorder aucun intérêt à ce qui l’entoure : « Pas un regard, ni pour les voisins de table, ni pour le garçon, ni pour le décor convenu ». Quand la femme regarde tout, lui ne regarde rien. Elle voit tout, il ne voit rien. Elle contemple tout en artiste : « Elle observait tout, curieuse, pie voleuse de gouaches, sanguines, esquisses, aquarelles. », présente à tout ce qui existe, mais lui est absent, « il avait semblé complètement absent », comme fermé au monde. Elle aime les lignes, les formes, les couleurs ; elle peint de ses yeux d’artiste le tableau du monde ; elle rend tout présent par la vision, et fait tout exister par elle, une chose n’existe, apparente, que si elle est perçue, alors que l‘homme sans regard, ou plutôt au regard absent, tue les choses, les anéantit dans l’inapparent.
Ces deux regards se rencontrent. Le sien est « vide », « Elle s'était sentie coupable. ». Coupable d’exister à ses propres yeux, à elle, coupable de faire exister un monde, coupable aussi de le faire exister, lui, par l’attention qu’elle lui porte, de faire exister ce trou noir où s’éteint toute chose, toute lumière qui rend visible, où s’estompe l’apparence,
Son regard se porte sur l’homme sans regard quand le monde perd son « charme », quand la beauté n’est plus dans ce qui paraît, « aucun charme ne subsistait au dehors… Alors elle l’a vu ». Elle le voit et le suit, et fait surgir dans l’apparence, quand la beauté n’est plus là, ce qui détruit le paraître, ce qui rend absent ; elle le suit sans réussir d’abord à provoquer un face à face. « Elle le voyait encore de dos. C'était agaçant. Elle aurait voulu découvrir une bonne fois son visage. »
« La mort, ni le soleil ne peuvent se regarder en face », avait écrit Héraclite. Elle a regardé la mort en face.

Un texte intéressant, plus profond qu’il n’y paraît.

Louis

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Message  Chonsdevie Ven 26 Oct 2012 - 19:23

D'accord avec Estaer(Island) et CROISIC, j'ai beaucoup aimé, on est transporté dans un milieu littéraire charmant et la chute est surprenante !

Chonsdevie

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Message  Invité Sam 27 Oct 2012 - 5:18

Tout a été dit, dans les nombreux commentaires.
Alors je ferai juste une petite remarque au sujet du cadre du restaurant :
pour le décor convenu de lambris vernissés sur lequel pendouillaient des assiettes pensives aux dessins humoristes : gros hommes rougeauds aux grosses fesses et matrones incendiaires brandissant leurs rouleaux
décor très dix-neuvième siècle où l'on ne s'étonnerait pas de voir déjeuner le Père Goriot. Et ces assiettes blanches aux dessins humoristiques rouges ou bleus, on en trouve encore chez les brocanteurs ou dans les greniers.

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Message  bertrand-môgendre Jeu 11 Avr 2013 - 11:15

Bien vu. Bonne chute.
Je note quelques redites telles que le vide, remarque, bref, juste de quoi travailler un tout petit peu les répétitions. L'ambiance est parfaite, sauf lorsqu'elle sort du cinéma, la dernière phrase du paragraphe est en trop (à mon avis). L'averse était passée.
Pour le titre, rien à dire. Suggestion : Le non homme ?
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