La grande glace de l'entrée

Mince : j'ai un inter titre qui a sauté. Si c'est possible, merci de corriger ça car ça casse le truc. Comme toujours, je vois deux ou trois autres erreurs pas graves, mais celle là, c'est carrément chiant !
C'est là :

Où es-tu ? Si tu es quelque part.

Un mois plus tard

Il n'était
toujours pas la plus belle du royaume. Mais il fallait bien une période
d'adaptation. Il y en avait des choses à reprendre.

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< C'est fait.
La Modération >
.

Mince ! J'aurais bien aimé t'égratigner, te saquer !
Mais non, c'est du tout bon. Une autre fois, peut-être ? :-)

miroir sans tain, pas teint !

Mince ! oué c'est bon
J'y reviendrai dès que

L'idée est bonne, et j'aime la démonstration, la façon dont on s'enfonce dans le texte, dont on remontre le temps en découvrant le passé du personnage au fur et à mesure qu'il (le temps) continue à progresser, à aller de l'avant (suis je claire ?). Je ne sais pas pourquoi mais j'ai eu en lisant le texte une impression d'entonnoir ou même d'une expérience à la Alice, on tombe à reculons dans le trou et tout un tas de choses affluent.
Toutefois, tu parles trop ami Narbah, trop pour moi en tout cas. Je te conseillerais bien de tailler dans le vif à grands coups de serpe pour te débarrasser du superflu qui n'apporte rien et me donne envie de sauter des lignes pour découvrir la suite sans m'encombrer de bavardages.

Bien séduite par la construction qui donne effectivement une sensation d'entonnoir.
J'adore " ses joues soigneusement mal rasées"
Je n'irai pas jusqu'à dire qu'il faut sabrer, mais un petit coup de ponçage, voire même de lime ne serait pas superflu.
Mais globalement, j'aime. Le thème du double me fait toujours beaucoup d'effet et tu le traites avec subtilité.

Oui, un petit ponçage de parquet, à la relecture
Surtout dans la première partie, tu peux aller plus vite à l'essentiel, là tu nous noies un peu

Mais quand même c'est bon, comme d'hab

J'aime bien l'idée de ce miroir comme un présent du passé , qui contient tout le passé du personnage , ses images en strates jusque dans son présent et qui le reflétera jusque dans sa mort.
Je suis d'accord qu'on pourrait élaguer le texte sans que cela ne lui nuise avec la perspective de le rendre plus percutant.