Les solitudes
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Les solitudes
Se perdre et retrouver. Cheminer simplement le chemin qu’on évite : le prendre !
Absence de sens, oubli du passé : je suis dans le présent.
https://www.youtube.com/watch?v=mD3jTHMOdrU&feature=share
délesté du bagage élagué, favori de la scène, tableaux de tes lumières.
Je marche. Dans les rues nues et froides, affables et dérisoires. J’en ai assez de décrire d’une manière conventionnelle ce que chacun décrit. Je m’égare à d’autres horizons je m’ennuie dans ce paysage connu.
Tu es là, fière et froide, instrument de torture. Horrible chose et délicieux pinson aux becs experts et pourtant si fragiles
Tu n’es rien que ma soif.
Un médecin de campagne dans sa voiture rapide se dirige vers demain, il n’a qu’à décider : laisser mourir la vieille ou emmener sa proie. Elle est là, lèvres roses, sordides incandescences de sa beauté levée… je suis sûr que tu as choisis, oiseau glacé entre le sort de l’une ou le dessein de l’autre ne fût-ce l’espace d’une seule seconde, lui non ! ce médecin embrasse cette jeune fille avinée, plonge ses lèvres dans les siennes et la vie dans la sienne. Il a, déjà, expérimenté la mort assez pour la craindre trop peu.
La mort, la distance, l’amour : tout ça n’est rien, elle se dit.
La mort, le sexe, la distance : tout ça n’est rien, il se dit.
Et leurs lèvres se touchent.
Lave toi les mains, elles ont l’odeur de ton sexe tu ne vas pas retourner à ce repas de famille avec un peu de sexe sur les doigts ? Non !
Non je vais aller au repas de famille avec sur mes doigt le rance de ne pas avoir agité l’oblongue décision de profiler nos fêtes, d’être dépareillé, d’être décomposé.
Je Ne Veux Pas Que Tu Me Lises !!!!!!!!!
JE NE VEUX PAS !
Tu n’y comprends rien : pour toi, tout est un jeu… pour moi non, pour moi le mot « mot » est un mot que je pense et j’exulte. J’expulse.
Je t’ai déjà embrassée, tu es à moi, donc !
Je suis à l’aube nouvelle, comme ce groupe que j’ai vu un jour au jardin de Saint-Gilles. En quelques instants, quelques brindilles, ils ont construit un cerf-volant, et ils l’ont fait aller dans les cieux si lointain que vous intellectuels, et autres prétentieux jamais vous n’atteindrez : que vous songez concevoir, envisagez décrire, jamais n’effleurerez!
Parfois tes gribouillages sont des dessins, parfois je souffre si j’ouvre mes oreilles.
Mais ce monde, qu’est ce qu’il offre ?
de$
putain$
d’
otarie$
de$ putain$ d’otarie$!!!
$ecoue des putain$ de main$, rebelle $ociopathe et fruit du $y$tème,
Nous sommes, tous dans des autres sphères.
Le chariot de feu qui me guide a déjà des yeux insolents que tu ne peux contraindre, mon regard fort.
Nos regards forts.
On se caresse la joue en vrai ou en longueur et puis à un moment on arrête et on fait front. À la réalité.
Le son dans le son, le miroir dans ma gueule me renvoie une image que je n’aime pas. Que je n’aime pas pour des raisons sensibles.
Je t’écoute pleurer, et je pleure avec toi.
Absence de sens, oubli du passé : je suis dans le présent.
https://www.youtube.com/watch?v=mD3jTHMOdrU&feature=share
délesté du bagage élagué, favori de la scène, tableaux de tes lumières.
Je marche. Dans les rues nues et froides, affables et dérisoires. J’en ai assez de décrire d’une manière conventionnelle ce que chacun décrit. Je m’égare à d’autres horizons je m’ennuie dans ce paysage connu.
Tu es là, fière et froide, instrument de torture. Horrible chose et délicieux pinson aux becs experts et pourtant si fragiles
Tu n’es rien que ma soif.
Un médecin de campagne dans sa voiture rapide se dirige vers demain, il n’a qu’à décider : laisser mourir la vieille ou emmener sa proie. Elle est là, lèvres roses, sordides incandescences de sa beauté levée… je suis sûr que tu as choisis, oiseau glacé entre le sort de l’une ou le dessein de l’autre ne fût-ce l’espace d’une seule seconde, lui non ! ce médecin embrasse cette jeune fille avinée, plonge ses lèvres dans les siennes et la vie dans la sienne. Il a, déjà, expérimenté la mort assez pour la craindre trop peu.
La mort, la distance, l’amour : tout ça n’est rien, elle se dit.
La mort, le sexe, la distance : tout ça n’est rien, il se dit.
Et leurs lèvres se touchent.
Lave toi les mains, elles ont l’odeur de ton sexe tu ne vas pas retourner à ce repas de famille avec un peu de sexe sur les doigts ? Non !
Non je vais aller au repas de famille avec sur mes doigt le rance de ne pas avoir agité l’oblongue décision de profiler nos fêtes, d’être dépareillé, d’être décomposé.
Je Ne Veux Pas Que Tu Me Lises !!!!!!!!!
JE NE VEUX PAS !
Tu n’y comprends rien : pour toi, tout est un jeu… pour moi non, pour moi le mot « mot » est un mot que je pense et j’exulte. J’expulse.
Je t’ai déjà embrassée, tu es à moi, donc !
Je suis à l’aube nouvelle, comme ce groupe que j’ai vu un jour au jardin de Saint-Gilles. En quelques instants, quelques brindilles, ils ont construit un cerf-volant, et ils l’ont fait aller dans les cieux si lointain que vous intellectuels, et autres prétentieux jamais vous n’atteindrez : que vous songez concevoir, envisagez décrire, jamais n’effleurerez!
Parfois tes gribouillages sont des dessins, parfois je souffre si j’ouvre mes oreilles.
Mais ce monde, qu’est ce qu’il offre ?
de$
putain$
d’
otarie$
de$ putain$ d’otarie$!!!
$ecoue des putain$ de main$, rebelle $ociopathe et fruit du $y$tème,
Nous sommes, tous dans des autres sphères.
Le chariot de feu qui me guide a déjà des yeux insolents que tu ne peux contraindre, mon regard fort.
Nos regards forts.
On se caresse la joue en vrai ou en longueur et puis à un moment on arrête et on fait front. À la réalité.
Le son dans le son, le miroir dans ma gueule me renvoie une image que je n’aime pas. Que je n’aime pas pour des raisons sensibles.
Je t’écoute pleurer, et je pleure avec toi.
levaran82- Nombre de messages : 145
Age : 42
Localisation : belgique
Date d'inscription : 26/01/2010
Re: Les solitudes
Très convenu dans l'expression de la colère, un ton presque ridicule tant il est forcé.
J'ai du passé à côté. A moins qu'il faille le prendre au second degré, ce texte, mais même au second degré je le trouve prétentieux et mal écrit.
J'ai du passé à côté. A moins qu'il faille le prendre au second degré, ce texte, mais même au second degré je le trouve prétentieux et mal écrit.
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