Bas, moi, mon coeur bats-toi
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Bas, moi, mon coeur bats-toi
Comme la pluie qui expire quand je sors le soir
Une carcasse tiède aux vents du noir d'espoir
Comme la cendre qui brûle au bord des mes paupières
Comment le vent qui s'élève dans mes os pleins de haine
Comme la vie qui s'enlève tout au fond de l'espoir
Comme le chant qui meurt tout au bord de mes lèvres
Je viens ce soir te dire mon angoisse et ma peur
Je viens ce soir écrire la douleur du labeur
D'aimer d'aimer encore si c'est à l'infini
Bats-moi mon cœur bats-toi à ton dernier soupir
Si c'est sur tes lèvres que j'ai pris le désir
Si c'est toi qui me hais où j'ai pris ta jeunesse
Si c'est toi mon absente que je n'en rêve plus
Non que je n'en puis plus non que je ne puisse plus
Si c'est toi mon amour viens-là et rejoins-moi
Prie dans mes bras un peu que j'entende ton souffle
Prie moi encore un peu la douleur que je souffre
Que je m'entende enfin dans d'autres bras amants
Que ceux de ciel de sang de fumée de chimères
Inventées chaque soir à ce demain qui ment
Et je me mens encore toujours pour me faire vivre
Et je t'aime comme un fou moi qui n'a eu de peau
Que de mots que de mots
Que de mon bavardage qui se voudrait sincère
Et qui périt toujours dans un langage amer
Que je ne peux tenir mon cœur mon cœur bats-toi
Bats-moi encore un peu d'une pulsation tendre
Mon cœur amour de vivre bas en nous de mourir
Bats-moi encore un peu que je puisse m'entendre
Brise-moi peu ma foi car je n'ai plus que toi
Mon cœur, mon cœur, bats-toi...
Une carcasse tiède aux vents du noir d'espoir
Comme la cendre qui brûle au bord des mes paupières
Comment le vent qui s'élève dans mes os pleins de haine
Comme la vie qui s'enlève tout au fond de l'espoir
Comme le chant qui meurt tout au bord de mes lèvres
Je viens ce soir te dire mon angoisse et ma peur
Je viens ce soir écrire la douleur du labeur
D'aimer d'aimer encore si c'est à l'infini
Bats-moi mon cœur bats-toi à ton dernier soupir
Si c'est sur tes lèvres que j'ai pris le désir
Si c'est toi qui me hais où j'ai pris ta jeunesse
Si c'est toi mon absente que je n'en rêve plus
Non que je n'en puis plus non que je ne puisse plus
Si c'est toi mon amour viens-là et rejoins-moi
Prie dans mes bras un peu que j'entende ton souffle
Prie moi encore un peu la douleur que je souffre
Que je m'entende enfin dans d'autres bras amants
Que ceux de ciel de sang de fumée de chimères
Inventées chaque soir à ce demain qui ment
Et je me mens encore toujours pour me faire vivre
Et je t'aime comme un fou moi qui n'a eu de peau
Que de mots que de mots
Que de mon bavardage qui se voudrait sincère
Et qui périt toujours dans un langage amer
Que je ne peux tenir mon cœur mon cœur bats-toi
Bats-moi encore un peu d'une pulsation tendre
Mon cœur amour de vivre bas en nous de mourir
Bats-moi encore un peu que je puisse m'entendre
Brise-moi peu ma foi car je n'ai plus que toi
Mon cœur, mon cœur, bats-toi...
Re: Bas, moi, mon coeur bats-toi
En toute franchise, je trouve que c'est très bien écrit.
Les anaphores jouent parfaitement leur rôle, les images sont présentes...
Ce n'est pas le style d'écrit que je préfère (j'adore l'irrégularité...), mais j'apprécie la plume.
Au plaisir, Ji.
Les anaphores jouent parfaitement leur rôle, les images sont présentes...
Ce n'est pas le style d'écrit que je préfère (j'adore l'irrégularité...), mais j'apprécie la plume.
Au plaisir, Ji.
JI- Nombre de messages : 202
Age : 35
Date d'inscription : 23/09/2011
Bas-moi, mon coeur, bas-toio
Peut-être l'absence de ponctuation est-elle destinée à interdire à ton cœur de faire la moindre pause, mais cela m’a gêné. Dommage. Et, dans cette hypothèse, pourquoi deux virgules apparaissent-elles soudain dans le dernier vers ?
Albert-Robert- Nombre de messages : 492
Age : 82
Localisation : Drôme
Date d'inscription : 21/04/2012
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