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Suckerhero : La promenade d'une vieille dame

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Suckerhero : La promenade d'une vieille dame Empty Suckerhero : La promenade d'une vieille dame

Message  Miranda-Baasama Jeu 3 Jan 2013 - 17:26


Spoiler:


18 octobre 2012, 23h47, NY.

La plupart des gens se retourne lorsqu'ils passent à coté d'elle, dans la rue. Ce n'est pas qu'elle soit une de ces femmes opulentes, grandes, blondes, éloquentes de par leurs courbes... Non, la p'tite dame, emmitouflée dans son grand manteau noir, n'est rien de tout ça. Le col rabattu sur les oreilles, elle se faufile entre les passants, son sac à main noir pressé contre ses hanches. Des jeunes à une table, dans un mac do, s'étouffent dans leur soda en l'apercevant :

- ...elle se croit dans Matrix c'te meuf !?...

Mais la "p'tite vieille" a vite disparu dans la nuit. C'est une japonaise, toute menue. Elle a le corps d'une fille de 12 ans : à peine plus d'un mètre et demi pour 40 kilos. Un petit sourire est fixement attaché sur ses lèvres. Elle n'est pas maquillée. Quelque rides, discrètes sous les lunettes, noires elles aussi. Ses cheveux sont totalement bruns malgré ses 60 ans, et coupés courts.

Tout d'un coup, elle tourne sur sa droite, dans l'espace entre un restaurant italien et une boite de streap-tease. Un frisson de dégoût passe brièvement sur ses lèvres... Elle marche toujours avec son allure de conquérante et s'engage dans une ruelle assez étroite et sale, comme on en trouve partout dans les banlieues sombres. Les murs de brique font résonner chacun de ses pas. Seule maintenant, la vieille dame chemine, à peine éclairée par la lumière de la Lune. Quelque détritus, vomient par les poubelles, jonchent le sol, entre les flaques d'eau.

Elle tourne et tourne encore, s'éloignant de plus en plus de la sécurité des rues bruyantes, s'enfonçant toujours plus profondément dans les quartiers louches.

Et enfin elle trouva. Ou plutôt : on la trouva.

- Eh m'dame ! Ouaicheuh ?! Tu vas où là !? C'est mon territoire que tu piétines là ! T'as pas assez d'place dans ton appart' à Chinatown pour v'nir sur mon territoire quoi ? Ptain, t'es de la police c'est ça ? dit le loup, sur un ton agressif et très (trop) insolent.

C'est un Noir, la vingtaine, habillé dans le style gangsta : de courtes dread locks sous un bonnet sportwear ; des chaînes proéminentes et dorées autour du cou ; une fine barbe taillée en pointe ; un marcel blanc pour faire voir les muscles saillants ; un large jean qui montre assez bien le caleçon bleu sur les hanches et le cul, seulement retenu par la dernière prise possible...

Au premier son de sa bouche, le petit chaperon rouge (noir) s'est arrêté, tournant vivement la tête dans sa direction, surpris. Il était dans l'ombre, adossé contre un mur, et elle ne l'avait pas remarqué. Elle serra plus étroitement son sac à main contre son ventre, haletante.

- On veut rentrer chez soi, mamie ?

Elle reste paralysée par la peur tandis que le Noir se rapproche. Il est désormais suffisamment prêt pour pouvoir la frapper avec ses poings... Elle tremble et tente de se retourner pour faire demi-tour. Mais il l'attrape au dessus du coude, sans lui laisser le temps de faire un pas, et l'oblige à le regarder. Cette fois elle pousse de petits cris de douleurs parce qu'il tire son bras trop vers le haut. Elle serre son sac contre sa poitrine, le suppliant du regard, des "non" muets se forment sur ses lèvres.

Un méchant sourire déchire la bouche de l'homme. De son autre main, il lui arrache le sac à main noir, promettant des horreurs si jamais elle l'en empêche. Il le jette par terre, quelque mètres derrière lui. Et puis reporte son attention sur sa proie, l'oblige à le regarder dans les yeux, et ne voit que peur derrière les lunettes de soleil. Il la fixe quelque instants encore, et la dame gémit à cause de son bras ankylosé... Et puis sans prévenir il relâche son bras et elle s'écroule sur lui, buttant contre sa cuisse, s'accrochant un instant à la hauteur de sa ceinture, avant de s'écrouler complètement sur ses genoux...

Sans faire plus attention à elle, l'afro-américain se dirige vers son sac à main et lui tourne le dos... Il le ramasse et l'ouvre en grand, la couture de la fermeture éclair se déchirant. Et quelle surprise ! Une boite de tampax et un paquet de mouchoir.

- Écoute moi bien, 50 cents de mes deux !

Le gangsta man se retourne, étonné plus que furieux... Avant de se prendre un jet de spray au poivre en pleine gueule ! Se tordant en deux, le visage crispé, les mains tremblantes et plaquées sur les yeux, les joues inondées par les larmes, il se mit à gémir et à insulter son agresseur très violemment.

Tenant toujours devant elle la bombe à poivre dans sa main gauche, mais un autre objet dans celle de droite : le portable de l'homme. Un large sourire vengeur illumine ses traits. Elle s'écrie :

- D'une, je n'habite pas à Chinatown. De deux, ... fouiller dans mon sac, connard ! (et elle lui fout un coup de talon dans les burnes). Et pour finir : j'emmerde ton territoire à la con ! gueulant tout ça très vite et avec son petit accent asiatique.

Le pauvre homme s'effondre sur le sol, en se tenant les parties et en hurlant. Elle se penche et ramasse son sac, sans lui tourner le dos. Remarquant le mauvais état de ses vêtements, elle se retient de lui donner une autre raison de gueuler comme il le fait.

- Oh ! Et je te prend ton portable, petit con, dit la vieille dame, et puis, cèdant a ses envies, elle lui fout cette fois un coup dans le crâne

L'effet est immédiat, le Black s'écroule, mort peut-être, au moins assommer.

Dans la ruelle, le silence et la nuit reprennent leur cours paisibles. Mais la mamie, méfiante, et effrayée à l'idée que débarque un des camarades de sa victime, elle se mit d'accord et choisi d'attendre quelques instants, planquée, pour voir si quelqu'un aller venir, alerter ou non par le bruit. Personne.

Alors la vieille, un peu soulagée, compose un numéro sur le téléphone du gangsta. Après trois sonneries quelqu'un décroche à l'autre bout du fil et sans rien dire écoute ce qu'elle lui dit :

- C'est bon, je l'ai, je suis en train de t'appeler avec. Je viens te le livrer tout de suite, je ne veux pas attendre que les flics me chopent avec cette connerie.

Laconique, la voix cuivrée d'une jeune femme lui répondit : "Rejoins moi à mon hôtel.", avant de raccrocher.
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Message  Invité Jeu 3 Jan 2013 - 21:05

La description de la petite dame aux lunettes noires... c'est drôle, j'ai comme l'impression de l'avoir déjà vue, cette petite dame !
Il y a des trucs sympa dans ton histoire, mais aussi quelques incohérences ou plutôt des éléments qui ne trouvent pas d'explication , et un problème avec les temps : tu démarres au présent - ce qui fonctionne parfaitement pour ce genre d'histoire, puis tu passe au passé simple, pour revenir au présent, puis de nouveau au passé simple... Ensuite, le portrait de la petite dame présente des aspects bizarres :d'abord très déterminée pour rentrer dans ce territoire, puis tremblante de peur, puis agressive... on dirait trois personnages différents.
Sans compter ces tampax assez incongrus pour une " vieille dame".
J'ai cru un moment que c'était une policière déguisée... mais le coup de téléphone semble indiquer une autre piste...bref, je crois que je n'ai pas les clefs pour comprendre ( ou j'ai lu trop vite...)
J'attends d'autres avis qui peut-être éclaireront mon cerveau embrumé !

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Message  Miranda-Baasama Jeu 3 Jan 2013 - 23:40

Voici donc mon texte revu, remanier :

18 octobre 2012, 23h47, NY.

La plupart des gens se retourne lorsqu'ils passent à coté d'elle, dans la rue. Ce n'est pas qu'elle soit une de ces femmes opulentes, grandes, blondes, éloquentes de par leurs courbes... Non, la p'tite dame, emmitouflée dans son grand manteau noir, n'est rien de tout ça. Le col rabattu sur les oreilles, elle se faufile entre les passants, son sac à main noir pressé contre ses hanches. Des jeunes à une table, dans un mac do, s'étouffent dans leur soda en l'apercevant :

- ...elle se croit dans Matrix c'te meuf !?...

Mais la "p'tite vieille" a vite disparu dans la nuit. C'est une japonaise, toute menue. Elle a le corps d'une fille de 12 ans : à peine plus d'un mètre et demi pour 40 kilos. Un petit sourire est fixement attaché à ses lèvres. Elle n'est pas maquillée. Quelque rides, discrètes sous les lunettes, noires elles aussi. Ses cheveux sont totalement bruns malgré ses 60 ans, et coupés courts.

Tout d'un coup, elle tourne sur sa droite, dans l'espace entre un restaurant italien et une boite de streap-tease. Un frisson de dégoût passe brièvement sur ses lèvres... Elle marche toujours à la même allure et s'engage dans une ruelle assez étroite et sale, comme on en trouve partout dans les banlieues sombres. Les murs de brique font résonner chacun de ses pas. Seule maintenant, la vieille dame chemine, à peine éclairée par la lumière de la Lune. Quelque détritus, vomient par les poubelles, jonchent le sol, entre les flaques d'eau.

Elle tourne et tourne encore, s'éloignant de plus en plus de la sécurité des rues bruyantes, s'enfonçant toujours plus profondément dans les quartiers louches.

Jusqu'à ce qu'elle trouve. Ou plutôt : qu'on la trouve.

- Eh m'dame ! Ouaicheuh ?! Tu vas où là !? C'est mon territoire que tu piétines là ! T'as pas assez d'place dans ton appart' à Chinatown pour v'nir sur mon territoire quoi ? Ptain, t'es de la police c'est ça ? dit le loup, sur un ton racaille, agressif et très (trop) insolent.

C'est un Noir, la vingtaine, habillé dans le style gangsta : de courtes dread locks sous un bonnet sportwear ; des chaînes proéminentes et dorées autour du cou ; une fine barbe taillée en pointe ; un marcel blanc pour faire voir les muscles saillants ; un large jean qui montre assez bien le caleçon bleu sur les hanches et le cul, seulement retenu par la dernière prise possible...

Au premier son de sa bouche, le petit chaperon rouge (noir) s'arrête, tourne vivement la tête dans sa direction, surpris. Il était dans l'ombre, adossé contre un mur, et elle ne l'avait pas remarqué. Le sourire a disparu, remplacé par une moue craintive. Elle serre plus étroitement son sac à main contre son ventre, haletante.

- On veut rentrer chez soi, mamie ? sussure-t-il.

Elle reste paralysée par la peur tandis que le Noir se rapproche de ce pas traînant, qui boîte presque. Il est désormais suffisamment prêt pour pouvoir la frapper avec ses poings... Elle tremble et tente de se retourner pour faire demi-tour. Mais il l'attrape au dessus du coude, sans lui laisser le temps de faire un pas, et l'oblige à le regarder. Cette fois elle pousse de petits cris de douleurs parce qu'il tire son bras trop vers le haut. Elle serre son sac contre sa poitrine, plus étroitement encore, le suppliant du regard, tandis que des "non" muets se forment sur ses lèvres.

Un méchant sourire vient fendre le visage du jeune homme. D'un geste, il lui arrache son sac à main noir, promettant d'horribles représailles si jamais elle l'en empêche. Il le balance par dessus son épaule, et le maigre magot s'en va plonger dans le caniveau, quelque mètres derrière lui. Ce dernier, reportant son attention sur sa proie, il l'oblige à le regarder encore, bien dans les yeux, et ne voit que peur derrière les lunettes de soleil. Il la fixe quelque instants encore, et la dame gémit à cause de son bras ankylosé... Et puis sans prévenir il relâche son bras et elle s'écroule sur lui, buttant contre sa cuisse, s'accrochant un instant à la hauteur de sa ceinture, avant de s'écrouler complètement sur ses genoux...

Sans faire plus attention à elle, l'afro-américain se dirige vers son sac à main et lui tourne le dos... Il le ramasse, ruisselant et couvert de boue, et l'ouvre en grand, comme un paquet de bonbon, la couture de la fermeture éclair se déchirant sur tout le long. Et quelle surprise ! Une boite de Cachoux et un paquet de mouchoir...

- Écoute moi bien, 50 cents de mes deux ! dit une voix au léger accent asiatique dans son dos.

Le gangsta man se retourne, étonné plus que furieux... Avant de se prendre un jet de spray au poivre en pleine gueule ! Se tordant en deux, le visage crispé, les mains tremblantes et plaquées sur les yeux, les joues inondées par les larmes, il se met à gémir et à l'insulter violemment.

Tenant toujours devant elle la bombe à poivre dans sa main gauche, elle tient un autre objet dans celle de droite : le portable du gansta man, le but de toute cette mascarade ! Un large sourire vengeur illumine les traits de la vieille, "le masque est tombé !", s'exclame-t-elle intérieurement. Alors, elle s'écrie :

- D'une, je n'habite pas à Chinatown. De deux, ... fouiller dans le sac d'une vieille femme !... connard ! (et elle lui fout un coup de talon dans les burnes). Et pour finir : j'emmerde ton territoire à la con !

Le pauvre homme s'effondre sur le sol, en se tenant les parties et en hurlant. Elle se penche et ramasse son sac, sans faire la même erreur que le black : lui tourner le dos (on ne sait jamais). Remarquant le mauvais état de ses vêtements, elle se retient de lui donner une autre raison de gueuler comme il le fait.

- Oh ! Et je te prend ton portable, petit con, dit la vieille dame, et puis, cèdant à ses envies, elle lui fout cette fois un coup dans le crâne.

Le Black s'écroule, mort peut-être, au moins assommer.

Dans la ruelle, le silence et la nuit reprennent leur cours paisibles. Mais la mamie, méfiante, et effrayée à l'idée que débarque un des camarades de sa victime, décide d'attendre quelques instants, planquée derrière une poubelle, pour voir si quelqu'un va venir, alerter ou non par le bruit. Personne.

Soulagée, elle compose un numéro sur le téléphone du gangster en carton. Après trois sonneries quelqu'un décroche à l'autre bout du fil et sans rien dire écoute ce qu'elle lui dit :

- C'est bon, je l'ai, je suis en train de t'appeler avec. Je viens te le livrer tout de suite, je ne veux pas attendre que les flics me chopent avec cette connerie.

Laconique, la voix cuivrée d'une jeune femme lui répondit : "Rejoins moi à mon hôtel.", avant de raccrocher.





< Précisons pour les lecteurs que cela a été fait après accord de la modération mais qu'il ne s'agit pas que cela devienne une habitude de demander à modifier un texte dès qu'un commentaire a été fait.
C'est tout à fait contraire aux petites "règles" en vigueur ici.
La demande portait primitivement sur le remplacement pur et simple du premier texte par ce deuxième, ce qui aurait rendu le message de Coline incompréhensible pour les lecteurs suivants.
Prière, enfin, de revoir l'orthographe, il y a encore bien des fautes ! (au moins 14 !).
Merci. >

.
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Message  midnightrambler Dim 6 Jan 2013 - 21:34

Bonsoir,

J'ai lu le premier texte ne sachant pas qu'il y en avait un deuxième ... Lorsque je m'en suis aperçu, j'ai parcouru le second : pas de modifications décisives ... sauf peut-être la transmutation des Tampax en Cachoux !
Je n'ai pas accroché car j'avais vu NY pour New York sans doute, et j'ai pensé que nous suivions cette petite dame dans le Bronx, le Queens ou l'East Side ...
Dès lors le dialogue plutôt nord-périph m'est apparu complètement déplacé ... namow from the 9-3 !
Sur le fond, sommes-nous en présence d'un Charles Bronson déguisé en vieille femme asiatique dans un enième remake du Justicier Terrorise la Pègre ?

D'un texte à l'autre les fautes d'orthographe sont restées ... snif ! snif !
Notamment ce formidable "vomient" ( Quelques détritus, vomis par les poubelles, jonchent le sol, entre les flaques d'eau. )

Amicalement,
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Message  Invité Lun 7 Jan 2013 - 13:30

Voici donc mon texte revu, remanier : remanié

La plupart des gens se retourne(retournent) lorsqu'ils passent à coté d'elle, dans la rue.

Tout d'un coup, elle tourne sur sa droite, dans l'espace entre un restaurant italien et une boite de streap-tease.(strip)

Quelques détritus, vomient(vomis) par les poubelles, jonchent le sol, entre les flaques d'eau.

- On veut rentrer chez soi, mamie ? sussure-t-il.(susure)

Elle reste paralysée par la peur tandis que le Noir se rapproche de ce pas traînant, qui boîte presque. Il est désormais suffisamment prêt (près)pour pouvoir la frapper avec ses poings... Elle tremble et tente de se retourner pour faire demi-tour. Mais il l'attrape au dessus (au-dessus)du coude, sans lui laisser le temps de faire un pas, et

couvert de boue, et l'ouvre en grand, comme un paquet de bonbon,(bonbons) la couture de la fermeture éclair se

Avant de se prendre un jet de spray au poivre en pleine gueule !(supprimer "se")

- Oh ! Et je te prend ton portable, petit con, dit la vieille dame, et puis, cèdant(cédant) à ses envies,

Le Black s'écroule, mort peut-être, au moins assommer.(assommé)

Dans la ruelle, le silence et la nuit reprennent leur cours paisibles. (paisible)une poubelle, pour voir si

quelqu'un va venir, alerter (alerté)ou non par le bruit.


Voilà. Je te signale où sont les fautes, pensant que cela t'évitera sans doute de refaire les mêmes sur un prochain écrit...
Outre les changements de temps inopportuns qui t'ont été signalés, je relève cette phrase d'un des personnages :

- D'une, je n'habite pas à Chinatown. De deux, ... fouiller dans le sac d'une vieille femme !... connard ! (et elle lui fout un coup de talon dans les burnes). Et pour finir : j'emmerde ton territoire à la con !

Personnellement je fuis ce genre de littérature, affaire de goût.

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Message  Invité Mar 8 Jan 2013 - 8:33

Ton écriture est étrange. Ton texte semble avoir été écrit par deux personnes différentes qui se relaient, au p'tit bonheur la chance. Tu te mues parfois en un pré-adolescent qui enfile les fautes d'orthographe. A certains moments, on s'interroge : qui écrit ? un ado ? un homme ? une femme qui veut faire jeune ?
Ceci est une simple réflexion amusée. N'y vois aucune méchanceté ! :-)

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