Exo anonyme « L'attente » : On s'est connu
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Exo anonyme « L'attente » : On s'est connu
On s’est connu, j’étais haut comme trois pommes, tout frais sorti du ventre de ma mère. Je ne savais rien du monde, de l’air, de la lumière, des mains qui vous touchent, des yeux qui vous détaillent. Je pleurais avec toi mes premiers besoins, mes premiers désirs. Et puis très vite nous avons grandis, mais il me fallu du temps pour te comprendre. Tu allais et venais, mue par je ne sais quel mystérieux destin, ne faisant que passer ou bien t’éternisant. C’est ainsi pourtant que tu t’installas dans ma vie, que je nous découvris inséparables.
Je t’ai trouvée là au premier jour de classe : tu me faisais de l’œil, du coin de la fenêtre. Au delà des murs, on avait vidé l’air, le ciel et la terre. Dans la pièce au haut plafond, plancher vernis de frais, pupitres propres impeccablement alignés, régnait un long malaise. L’appel du dehors me parvenait dans un chant d’oiseau, le ronronnement des voitures. Et je regardais de ton côté, déjà moitié inattentif à la voix qui, devant, dictait. J’avais pour toi des riches réserves d’objets, d’histoires, de gestes qu’il me fallait tenir enfermés. Pas une journée tu ne manquas dans les semaines, les mois, je dirais même les années qui suivirent. Lentes. Interminables.
Tu étais là l’hiver, dans le gris, dans le froid, dans la neige. L’été si court me manquait tellement. Je te reconnaissais bien dans les vêtements gonflés, nombreux, qu’il nous fallait porter. De la fin juin au de début septembre les jours bourdonnent, rayonnent, verdoient. Mais novembre, mais décembre, mais janvier, mais février et même mars, oh si souvent mars ! Les congères, tout à fait patientes, meublaient l’espace assourdi. Nous étions comme exilés ensemble, mes os glacés, moi torturé dans tout mon être. Avaient-elles existé, ces heures remplie d’un chaud soleil ? D’éternelles nuits s’enchainaient, m’enchainaient, égrenant lentement leurs chapelets d’heures, de minutes, de secondes. Tu m’occupais sans cesse, je ne voyais que toi. Hiver après hiver, même aujourd’hui.
C’est toujours toi qui m’accompagnais quand on me voulait sage. Moi qu’animait l’espoir d’imminents combats, de renversements, de liberté. Tu me tenais compagnie alors que, cloué sur place, j’envisageais d’autres mondes, je tendais vers l’ailleurs. Souvent quand j’écrivais tu étais seule à répondre, seule aussi à rester avec moi quand je ratais mon bus, mon tour, ma chance. Niant l’irrémédiable du départ de celles qui m’ont quitté, tu m’as nourrie jusqu’à ce que l’idée d’un retour me quitte également. Dans les salles de cabinets (qu’ils soient dentistes ou avocats), les aire de terminaux, dans les salons, les restos, dans les avions, au téléphone… tu m’as suivi partout.
Soit : je n’ai point connu d’impatiences dont tu n’aies été la cause, point d’urgences que tu n’aies aggravées, nul empressement qui ne souffrit de toi. Mais si tout doit finir, si la mort doit venir, pour une fois je veux compter sur toi. Savoir que tu te tiens, puissante et tenace, entre mon présent fugace et le moment du trépas. Que tu gardes à distance la Faucheuse insensible. Que la Camarde et que ses psychopompes, comme moi, subissent ton emprise... Ah ! qu’ils attendent !
Je t’ai trouvée là au premier jour de classe : tu me faisais de l’œil, du coin de la fenêtre. Au delà des murs, on avait vidé l’air, le ciel et la terre. Dans la pièce au haut plafond, plancher vernis de frais, pupitres propres impeccablement alignés, régnait un long malaise. L’appel du dehors me parvenait dans un chant d’oiseau, le ronronnement des voitures. Et je regardais de ton côté, déjà moitié inattentif à la voix qui, devant, dictait. J’avais pour toi des riches réserves d’objets, d’histoires, de gestes qu’il me fallait tenir enfermés. Pas une journée tu ne manquas dans les semaines, les mois, je dirais même les années qui suivirent. Lentes. Interminables.
Tu étais là l’hiver, dans le gris, dans le froid, dans la neige. L’été si court me manquait tellement. Je te reconnaissais bien dans les vêtements gonflés, nombreux, qu’il nous fallait porter. De la fin juin au de début septembre les jours bourdonnent, rayonnent, verdoient. Mais novembre, mais décembre, mais janvier, mais février et même mars, oh si souvent mars ! Les congères, tout à fait patientes, meublaient l’espace assourdi. Nous étions comme exilés ensemble, mes os glacés, moi torturé dans tout mon être. Avaient-elles existé, ces heures remplie d’un chaud soleil ? D’éternelles nuits s’enchainaient, m’enchainaient, égrenant lentement leurs chapelets d’heures, de minutes, de secondes. Tu m’occupais sans cesse, je ne voyais que toi. Hiver après hiver, même aujourd’hui.
C’est toujours toi qui m’accompagnais quand on me voulait sage. Moi qu’animait l’espoir d’imminents combats, de renversements, de liberté. Tu me tenais compagnie alors que, cloué sur place, j’envisageais d’autres mondes, je tendais vers l’ailleurs. Souvent quand j’écrivais tu étais seule à répondre, seule aussi à rester avec moi quand je ratais mon bus, mon tour, ma chance. Niant l’irrémédiable du départ de celles qui m’ont quitté, tu m’as nourrie jusqu’à ce que l’idée d’un retour me quitte également. Dans les salles de cabinets (qu’ils soient dentistes ou avocats), les aire de terminaux, dans les salons, les restos, dans les avions, au téléphone… tu m’as suivi partout.
Soit : je n’ai point connu d’impatiences dont tu n’aies été la cause, point d’urgences que tu n’aies aggravées, nul empressement qui ne souffrit de toi. Mais si tout doit finir, si la mort doit venir, pour une fois je veux compter sur toi. Savoir que tu te tiens, puissante et tenace, entre mon présent fugace et le moment du trépas. Que tu gardes à distance la Faucheuse insensible. Que la Camarde et que ses psychopompes, comme moi, subissent ton emprise... Ah ! qu’ils attendent !
Modération- Nombre de messages : 1362
Age : 18
Date d'inscription : 08/11/2008
Re: Exo anonyme « L'attente » : On s'est connu
Peut-être à travailler... Beaucoup de répétitions qui alourdissent... ce semble me semble écrit un epu trop rapidement et c'est dommage.
Des erreurs d'orthographe comme :
nous avons grandis, mais il me fallut du temps
plancher vernis de frais
ces heures remplies
Des maladresses, par exemple :
Dans la pièce au haut plafond : au plafond haut évite le o - o
De la fin juin au de début septembre
Des erreurs d'orthographe comme :
nous avons grandi
plancher verni
ces heures remplies
Des maladresses, par exemple :
Dans la pièce au haut plafond : au plafond haut évite le o - o
De la fin juin au de début septembre
Invité- Invité
Re: Exo anonyme « L'attente » : On s'est connu
J'ai l'impression qu'il me manque une clef pour rentrer dans ce texte foisonnant, un peu brouillon mais pas sans charme.
J'attendais une espèce de chute (en fait j'attendais une chute décevante ! une révélation finale tonitruante) mais non, ou alors j'ai pas compris ?
J'aime bien le Tu, l'adresse à quelqu'un.
Mais oui, à élaguer, à clarifier un peu, à retravailler.
Janis- Nombre de messages : 13490
Age : 63
Date d'inscription : 18/09/2011
Re: Exo anonyme « L'attente » : On s'est connu
Je crois n'avoir pas bien saisi à qui il s'adressait. Enfin, j'ose à peine dire ce que je crois avoir compris : pour que cette entité ne le lâche pas d'une semelle, depuis sa naissance, et jusqu'à sa mort... c'est sa vie, sa conscience ? Pardon si je suis à côté de la plaque
Invité- Invité
Re: Exo anonyme « L'attente » : On s'est connu
Je n'ai pas bien compris non plus à qui s'adresse ce message : l'attente en elle-même, source d'ennui ou d'impatience ?
J'ai dû m'y reprendre à plusieurs fois pour arriver à cette interprétation qui n'est peut-être pas la bonne.
J'ai dû m'y reprendre à plusieurs fois pour arriver à cette interprétation qui n'est peut-être pas la bonne.
Re: Exo anonyme « L'attente » : On s'est connu
Sans doute dirons nous tous "mais c'était bien sur" lorsque nous connaitrons la destinataire de ce texte, moi j'ai pensé à ton imagination.
Le texte est fort bien écrit mais cette inconnue qui y règne désarçonne un peu trop la lectrice que je suis, et les différentes hypothèses qui se présentent au fur et à mesure me font sortir de ma lecture. Et ça je n'aime pas :-)))
Le texte est fort bien écrit mais cette inconnue qui y règne désarçonne un peu trop la lectrice que je suis, et les différentes hypothèses qui se présentent au fur et à mesure me font sortir de ma lecture. Et ça je n'aime pas :-)))
Rebecca- Nombre de messages : 12502
Age : 65
Date d'inscription : 30/08/2009
Re: Exo anonyme « L'attente » : On s'est connu
C'est peut-être de la paresse mais j'aimerais , moi aussi, qu'on me dise qui est ce tu. Sinon j'aurai l'impression qu'on se moque de moi...
obi- Nombre de messages : 574
Date d'inscription : 24/02/2013
Re: Exo anonyme « L'attente » : On s'est connu
Ce “tu“, c'est l'attente selon moi ; qui ne fonctionne pas bien…
Invité- Invité
Re: Exo anonyme « L'attente » : On s'est connu
Un peu de mal, l'impression d'être face à quelques longueurs ou quelque chose qui empêche le texte de sombrer dans le tourne-en-rond, comme si il ne savait pas très bien où aller. Mais c'est aussi cela l'attente, certes, simplement que j'ai un peu de mal à m'y frayer un passage.
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: Exo anonyme « L'attente » : On s'est connu
"Je pleurais avec toi mes premiers besoins," j"avoue ne pas comprendre cette phrase, encore moins si nous sommes dans la prime enfance. J'imagine deux mômes inspectant, l'air dubitatif et les larmes aux yeux, le fond d'une couche-culotte et, ça ne doit pas être ça.
Faudrait le retravailler ce texte et comme précisé maintes fois ci-dessus, lever le voile sur ce "tu".
Faudrait le retravailler ce texte et comme précisé maintes fois ci-dessus, lever le voile sur ce "tu".
Yali- Nombre de messages : 8624
Age : 60
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: Exo anonyme « L'attente » : On s'est connu
Comme Yali, pour les "besoins", j'ai eu une vision semblable.
Après deux lectures, j'ai l'impression que c'est trop "fouillé", je veux dire qu'il y aurait trop de détails et que ça perd en essentiel. Du coup je ne sais que penser même si je comprends bien le sens, cette attente de l'autre - à sens unique me semble-t-il - pesante, mais ça me parait trop chargé pour être accessible et y être sensible.
Phylisse- Nombre de messages : 963
Age : 62
Localisation : Provence
Date d'inscription : 05/05/2011
Re: Exo anonyme "l'attente" : On s'est connu
J'ai lu, relu, mais le flou, le fond assombri sans discontinuer m'ont déroutée. Je donne ma langue au chat.
Invité- Invité
Re: Exo anonyme « L'attente » : On s'est connu
Moi aussi j'ai le sentiment que c'est adressé à l'attente elle-même, et ça colle assez bien à la relecture. Mais cette interrogation qui accompagne toute la lecture distrait du texte et empêche de vraiment le goûter.
Invité- Invité
Re: Exo anonyme « L'attente » : On s'est connu
je ne suis pas entrée dans ce texte... j'ai lu et relu, je n'y arrive pas... l'écriture trop appliquée, des passages hermétiques pour moi (notamment celui sur "les besoins" comme le signale Yali), et cette adresse à un mystérieux "tu"... et la révélation de l'identité de ce "tu" ne changera rien à mes impressions de lecture.
Pussicat- Nombre de messages : 4846
Age : 57
Localisation : France
Date d'inscription : 17/02/2012
Re: Exo anonyme « L'attente » : On s'est connu
Hello!
Je suis le coupable derrière cet opus qui se révèle, ma fois, bien plus obscure que je ne l'aurais cru. Comme quoi...
J'apprécierais beaucoup vos suggestions pour retravailler.
Quelques "réponses" à vos messages:
Le tu: Eh oui, le "tu" c'est l'attente, que j'ai penser personnifier tout en jouant un peu d'ubiquité (trop, je vois bien). Après l'écriture de ce qui est devenu le second paragraphe mais qui était mon point de départ ("Je t’ai trouvée là au premier jour de classe"), j'ai voulu travailler ces bases. C'est peut-être trop, trop long? Si ça ne "fonctionne pas bien" c'est peut-être parce que je suis aller trop loin dans les retranchements de l'attente telle que je la voie.. alors même que son identité pour le lecteur est trop incertaine?
Écriture: Ce n'est pas écrit "rapidement", mais il y a effectivement des fautes qui gênes. Par contre, le "au haut plafond" était voulu. Mais peut-être c'est trop, simplement. Mais je suis un brin confus, car ici je lis que c'est "un peu brouillon" et ailleurs que c'est "trop appliqué".
Chute: Dans ma lecture, le texte présente un relation douce-amer avec ce "tu", avec l'attente. Ça semble jolie, mais il y a toujours une sorte de contre-point, et le narrateur ne se prononce jamais, en fait, sur sa relation au tu. Il parle de sa relation au reste et note la présence de l'attente (j'utilise souvent des adjectifs ou des formules qu'on associe à l'attente pour parler de ces choses). Le dernier paragraphe, par contre, est beaucoup plus explicite. Il parle de comment l'attente ne fait pas qu’accompagner certaines choses, mais qu'elle est aussi cause, ou condition. Perspective qui ouvre le narrateur à maintenant faire appel à l'attente, vouloir que pour une fois elle ne soit pas seulement présente ou contre lui, mais agisse en sa faveur: lui qui a attendu tout sa vie, il voudrait néanmoins que la mort attende.
Voila. C'est en effet beaucoup, assez dense, et en même temps peut-être longuet... Vous auriez des pistes? Ou plus généralement des conseils? Je remarque que j'ai tendance (sauf dans les chansons!) à faire des textes pleins de petits rouages cachés mais qui restent trop difficile d'interprétation pour être vraiment appréciés...
Merci!!
Je suis le coupable derrière cet opus qui se révèle, ma fois, bien plus obscure que je ne l'aurais cru. Comme quoi...
J'apprécierais beaucoup vos suggestions pour retravailler.
Quelques "réponses" à vos messages:
Le tu: Eh oui, le "tu" c'est l'attente, que j'ai penser personnifier tout en jouant un peu d'ubiquité (trop, je vois bien). Après l'écriture de ce qui est devenu le second paragraphe mais qui était mon point de départ ("Je t’ai trouvée là au premier jour de classe"), j'ai voulu travailler ces bases. C'est peut-être trop, trop long? Si ça ne "fonctionne pas bien" c'est peut-être parce que je suis aller trop loin dans les retranchements de l'attente telle que je la voie.. alors même que son identité pour le lecteur est trop incertaine?
Écriture: Ce n'est pas écrit "rapidement", mais il y a effectivement des fautes qui gênes. Par contre, le "au haut plafond" était voulu. Mais peut-être c'est trop, simplement. Mais je suis un brin confus, car ici je lis que c'est "un peu brouillon" et ailleurs que c'est "trop appliqué".
Chute: Dans ma lecture, le texte présente un relation douce-amer avec ce "tu", avec l'attente. Ça semble jolie, mais il y a toujours une sorte de contre-point, et le narrateur ne se prononce jamais, en fait, sur sa relation au tu. Il parle de sa relation au reste et note la présence de l'attente (j'utilise souvent des adjectifs ou des formules qu'on associe à l'attente pour parler de ces choses). Le dernier paragraphe, par contre, est beaucoup plus explicite. Il parle de comment l'attente ne fait pas qu’accompagner certaines choses, mais qu'elle est aussi cause, ou condition. Perspective qui ouvre le narrateur à maintenant faire appel à l'attente, vouloir que pour une fois elle ne soit pas seulement présente ou contre lui, mais agisse en sa faveur: lui qui a attendu tout sa vie, il voudrait néanmoins que la mort attende.
Voila. C'est en effet beaucoup, assez dense, et en même temps peut-être longuet... Vous auriez des pistes? Ou plus généralement des conseils? Je remarque que j'ai tendance (sauf dans les chansons!) à faire des textes pleins de petits rouages cachés mais qui restent trop difficile d'interprétation pour être vraiment appréciés...
Merci!!
jfmah- Nombre de messages : 38
Age : 51
Date d'inscription : 03/03/2013
Re: Exo anonyme « L'attente » : On s'est connu
A mon avvis, il faudrait que tu aides le lecteur à identifier plus clairement ce " tu", plus rapidement, de façon à ce qu'il puisse " découvrir" les petits rouages secrets dont tu parles. Tant qu'on est dans l'expectative, on passe sur les détails sans vraiment les voir, cherchant seulement une confirmation à l'hypothèse qu'on a formée au départ...
Sur la généralité, je pense que c'est comme pour faire un bouquet : une seule fleur bien placée dans des feuillages choisis fera toujours beaucoup plus d'effet qu'un tas de fleurs où chacune vient en rivalité avec sa voisine...
Sur la généralité, je pense que c'est comme pour faire un bouquet : une seule fleur bien placée dans des feuillages choisis fera toujours beaucoup plus d'effet qu'un tas de fleurs où chacune vient en rivalité avec sa voisine...
Invité- Invité
Re: Exo anonyme « L'attente » : On s'est connu
Eh bien merci pour l'éclairage que tu apportes. La seconde lecture en est modifiée. Encore que, l'hypothèse que j'avais émise, à savoir que le "tu" était ta conscience, fonctionne aussi. En tout cas pour la lectrice que je suis.
Invité- Invité
Re: Exo anonyme « L'attente » : On s'est connu
je suis vraiment désolée mais je suis au regret de n'avoir pas pu ou su entrer dans ce texte, Marine.
la prochaine fois, j'espère...
la prochaine fois, j'espère...
Invité- Invité
Re: Exo anonyme « L'attente » : On s'est connu
Merci pour ces quelques pistes. Pas ce qu'il y a de plus précis, mais je vais essayer d'en faire quelque chose...
Est-ce que je dépose ici une version révisée?
PS: Oui, ça fonctionne assez pour la conscience, et j'aimais bien que ça soit un tantinet ambiguë. Seulement, ça marche moins bien pour la conscience que pour l'attente... à l'analyse, à mon avis! J'aurais choisi d'autres images pour parler de la conscience.
PPS: Ici, pas Marine, ici jfmah.. La première liste était un poisson d'avril!
Est-ce que je dépose ici une version révisée?
PS: Oui, ça fonctionne assez pour la conscience, et j'aimais bien que ça soit un tantinet ambiguë. Seulement, ça marche moins bien pour la conscience que pour l'attente... à l'analyse, à mon avis! J'aurais choisi d'autres images pour parler de la conscience.
PPS: Ici, pas Marine, ici jfmah.. La première liste était un poisson d'avril!
jfmah- Nombre de messages : 38
Age : 51
Date d'inscription : 03/03/2013
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