Exo live, vendredi 11 octobre, 22 heures
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Exo live, vendredi 11 octobre, 22 heures
Comme ça ?
Bon, je vous propose des consignes ; il s'agit d'écrire un texte autour du sujet : le traquenardeur traquenardé.
on se donne une limite de temps ou pas ?
Bon, je vous propose des consignes ; il s'agit d'écrire un texte autour du sujet : le traquenardeur traquenardé.
on se donne une limite de temps ou pas ?
Re: Exo live, vendredi 11 octobre, 22 heures
Ah, oui, je veux ! et des contraintes bien tarabiscotées !
Re: Exo live, vendredi 11 octobre, 22 heures
Pas trop de limite de temps, je suis à cheval sur deux forums et vu ma rapidité ... !!!
Invité- Invité
Re: Exo live, vendredi 11 octobre, 22 heures
Pour continuer sur le thème du traquenard, chacun pourrait rajouter une ou deux contraintes ? (je dis A, tu dis B, Coline dit Z, et tout le monde fait A+B+Z)
Je commence, le texte :
-doit finir par le mot « bisou »
-contenir le mot « verglas »
à vous, pis je résume et on commence (presque) à l'heure (?)
Je commence, le texte :
-doit finir par le mot « bisou »
-contenir le mot « verglas »
à vous, pis je résume et on commence (presque) à l'heure (?)
Re: Exo live, vendredi 11 octobre, 22 heures
Ah zut, j'avais pas vu qu'il fallait déjà finir par bisou !
Donc ce ne sera pas la conclusion forcément, mais dans les dernières phrases.
Donc ce ne sera pas la conclusion forcément, mais dans les dernières phrases.
Invité- Invité
Re: Exo live, vendredi 11 octobre, 22 heures
Le texte doit contenir une prétérition : parler de quelque chose après avoir annoncé que l'on ne va pas en parler.
ex : « Je n'essaierai donc pas de vous décrire quel sombre enthousiasme se manifesta dans l'armée insurgée après l'allocution de Biassou. Ce fut un concert distordant de cris, de plaintes, de hurlements. Les uns se frappaient la poitrine, les autres heurtaient leurs massues et leurs sabres… »
Et Manu donne une consigne par mon intermédiaire (une gentille pisqu'elle n'était pas comptée) : le texte doit contenir une métaphore.
ex : « Je n'essaierai donc pas de vous décrire quel sombre enthousiasme se manifesta dans l'armée insurgée après l'allocution de Biassou. Ce fut un concert distordant de cris, de plaintes, de hurlements. Les uns se frappaient la poitrine, les autres heurtaient leurs massues et leurs sabres… »
Et Manu donne une consigne par mon intermédiaire (une gentille pisqu'elle n'était pas comptée) : le texte doit contenir une métaphore.
Re: Exo live, vendredi 11 octobre, 22 heures
Je résume :
Sujet : Le traquenardeur traquenardé.
Contraintes :
-faire une prétérition et une métaphore
-caser le mot « verglas », finir par le mot « bisou »
-conclure (dans les dernières phrases) par un faux proverbe
à vos plumes !
Sujet : Le traquenardeur traquenardé.
Contraintes :
-faire une prétérition et une métaphore
-caser le mot « verglas », finir par le mot « bisou »
-conclure (dans les dernières phrases) par un faux proverbe
à vos plumes !
Petit salopiot
Pff, ça ne vaut pas un pet de canard ! ( je préfère au lapin )
- Jérémie, c'est l'heure !
A force de m'égosiller, j'ai une voix qui évoque une porte de château hanté ! La vapeur a fait des spirales au-dessus du bol pendant un bon quart d'heure et bien sûr, il va boire son café au lait froid en râlant qu'il l'aime brûlant.
-Jérémie !!!
J'ai eu le temps de donner les croquettes au chat Bada, de m'extirper un comédon devant la glace du couloir, de mettre tourner une lessive, de prévoir le menu de ce soir ( purée mousseline , saucisses de Francfort, yaourt, on mange trop , je grossis.)
Je parie que le petit monstre est encore sous la couette à dormir comme un bûcheron !
Mon fils m'énerve et m'attendrit. Si son salopard de père était là, je serais sans doute moins coulante, mais j'avoue que depuis qu'on n'est plus que nous deux, j'ai du mal à faire le gendarme. Je ne veusx pas dire du mal de ce salaud, mais enfin comme crasse de meule, on ne fait pas mieux ! Il passe son temps à dézinguer les quelques principes que j'essaie d'inculquer à Jérémie en lui faisant tout tourner en blague.
Là, ça devient sérieux, si je veux qu'il mange avant d'aller au collège, il faudrait qu'il soit déjà habillé, ce dont je doute fort... Plutôt que de m'écorcher les amygdales, je monte, en ronchonnant « Enfin, Jérémie, tu as vu l'heure qu'il est ? Huit heures sept et tu es encore couché ! Tu n'es pas raisonnable ! ».
L'odeur de mon bébé me prend à la douce, il avait déjà la même, qui m'avait tant émue à la maternité. Penser à ce bonheur me fait couler comme un vieux calendos !
Je pousse sa porte entrouverte et il jaillit du lit en disant : « j'étais levé ! »
-Menteur !
-Mais si, je t'assure !
-Jérémie, tu sais que j'ai horreur des menteurs !
-Mais maman, tu as bien vu, j'étais debout quand tu as ouvert !
-Ben tiens ! Tu dors encore...
-Je te parie ce que tu veux que j'étais réveillé, je suis toujours réveillé avant toi !
-Ah c'est sûr !!! Pour aujourd'hui, tu ne peux pas le prouver, ni moi le contraire, mais demain, je veux bien prendre le pari.
-On dit que tu m'offres la console ?
Je ne dirai pas qu'il tient de son père, le petit salopiot, ça me ferait mal, mais c'est tout à fait la technique Robert ! Mais je vais le pièger : demain réveil à 6 heures, et je brandirai le réveil au-dessus de son lit !
Il fait un froid de canard ce matin, la rue brille de verglas et c'est une bonne chose de réveiller le gamin plus tôt, ça va être sportif pour monter la côte jusqu'au collège !
J'ai mes pantoufles en duvet de cygne et je fais moins de bruit qu'une ride sur l'eau. La porte de mon bonhomme est fermée, pour une fois. J'appuie tout doucement sur la poignée, les gonds sont bien huilés et... un boucan épouvantable me surprend. Derrière la porte à demi bloquée, j'aperçois un fatras de chaises, classeurs, raquettes empilées,
-Mais c'est quoi ce bordel ?
Je n'arrive pas à pousser la porte.
Jérémie, tout souriant agite le doigt « Femme en colère n'a pas de vocabulaire »
-Tu vas voir si je n'ai pas de vocabulaire ! Ramasse -moi ce foutoir et …
-On y va ce soir chercher ma console ? Oh, moi aussi je t'aime,Maman ! Bisou !
(typo rétablie)
- Jérémie, c'est l'heure !
A force de m'égosiller, j'ai une voix qui évoque une porte de château hanté ! La vapeur a fait des spirales au-dessus du bol pendant un bon quart d'heure et bien sûr, il va boire son café au lait froid en râlant qu'il l'aime brûlant.
-Jérémie !!!
J'ai eu le temps de donner les croquettes au chat Bada, de m'extirper un comédon devant la glace du couloir, de mettre tourner une lessive, de prévoir le menu de ce soir ( purée mousseline , saucisses de Francfort, yaourt, on mange trop , je grossis.)
Je parie que le petit monstre est encore sous la couette à dormir comme un bûcheron !
Mon fils m'énerve et m'attendrit. Si son salopard de père était là, je serais sans doute moins coulante, mais j'avoue que depuis qu'on n'est plus que nous deux, j'ai du mal à faire le gendarme. Je ne veusx pas dire du mal de ce salaud, mais enfin comme crasse de meule, on ne fait pas mieux ! Il passe son temps à dézinguer les quelques principes que j'essaie d'inculquer à Jérémie en lui faisant tout tourner en blague.
Là, ça devient sérieux, si je veux qu'il mange avant d'aller au collège, il faudrait qu'il soit déjà habillé, ce dont je doute fort... Plutôt que de m'écorcher les amygdales, je monte, en ronchonnant « Enfin, Jérémie, tu as vu l'heure qu'il est ? Huit heures sept et tu es encore couché ! Tu n'es pas raisonnable ! ».
L'odeur de mon bébé me prend à la douce, il avait déjà la même, qui m'avait tant émue à la maternité. Penser à ce bonheur me fait couler comme un vieux calendos !
Je pousse sa porte entrouverte et il jaillit du lit en disant : « j'étais levé ! »
-Menteur !
-Mais si, je t'assure !
-Jérémie, tu sais que j'ai horreur des menteurs !
-Mais maman, tu as bien vu, j'étais debout quand tu as ouvert !
-Ben tiens ! Tu dors encore...
-Je te parie ce que tu veux que j'étais réveillé, je suis toujours réveillé avant toi !
-Ah c'est sûr !!! Pour aujourd'hui, tu ne peux pas le prouver, ni moi le contraire, mais demain, je veux bien prendre le pari.
-On dit que tu m'offres la console ?
Je ne dirai pas qu'il tient de son père, le petit salopiot, ça me ferait mal, mais c'est tout à fait la technique Robert ! Mais je vais le pièger : demain réveil à 6 heures, et je brandirai le réveil au-dessus de son lit !
Il fait un froid de canard ce matin, la rue brille de verglas et c'est une bonne chose de réveiller le gamin plus tôt, ça va être sportif pour monter la côte jusqu'au collège !
J'ai mes pantoufles en duvet de cygne et je fais moins de bruit qu'une ride sur l'eau. La porte de mon bonhomme est fermée, pour une fois. J'appuie tout doucement sur la poignée, les gonds sont bien huilés et... un boucan épouvantable me surprend. Derrière la porte à demi bloquée, j'aperçois un fatras de chaises, classeurs, raquettes empilées,
-Mais c'est quoi ce bordel ?
Je n'arrive pas à pousser la porte.
Jérémie, tout souriant agite le doigt « Femme en colère n'a pas de vocabulaire »
-Tu vas voir si je n'ai pas de vocabulaire ! Ramasse -moi ce foutoir et …
-On y va ce soir chercher ma console ? Oh, moi aussi je t'aime,Maman ! Bisou !
(typo rétablie)
Invité- Invité
Re: Exo live, vendredi 11 octobre, 22 heures
Et je vous dis bonsoir les filles, je vous lis demain !
Invité- Invité
Re: Exo live, vendredi 11 octobre, 22 heures
Trou-vé !
Martin, son truc, c’était les trous. Partout, il en faisait. Sa parka cachait de cure-dents à perceuses en passant par pieux. Martin c’était pas un bosseur, c’était le contraire.
Petit déjà il trouait tout ; les assiettes, les portes, les murs, son fromage, sa purée.
La blague de sa vie, c’est quand, pour ses seize ans, il avait marteau-piqué le sol, puis qu’il avait recouvert le trou d’un tapis imitation bitume.
« Je te dis pas la tête du mec qui s’est croûté dedans ! Fantomatique ! La peau couleur farine le gars, quand il est ressorti ! », avait-il narré avec enthousiasme à son frangin le soir-même.
Sa farce préférée, c’était quand même celle du « eh, t’as le menton troué ou quoi ? », quand il perçait un gobelet et que tout coulait. Celle-là il en est pas peu fier, même s’il l’a piquée à Franklin.
Il aimait bien aussi le coup du gars qui rentre dans le bar, qui boit cul sec quelques verres avant de demander aux commensaux – dans le script, éblouis : « les gars, vous savez comment je fais ? »
Avant se sortir une perceuse, de faire un trou dans la table et de dire : « comme lui ! »
Bon, il ne l’avait pas encore réussie, elle, à cause du scénar un brin utopiste.
Un frais matin d’hiver, un matin à patiner sur le verglas, finir les pieds derrière la tête et la langue collée au poteau, Martin se leva, nonobstant – ah, ça, il sait faire, Martin, nonobster ! –, le chat noir devant sa fenêtre, l’échelle au dessus de son lit, et sortit, patina sur le verglas, finit les pieds derrière la tête, la langue collée à un lampadaire, et pas n’importe lequel ; le lampadaire sur lequel il avait écrasé le nez de son vélo le mois dernier, le lampadaire, qui, induisant à son bicycle une trajectoire erronée le fit malencontreusement entrer en contact un peu violemment avec la Porsche du voisin et l’endetta d’un peu beaucoup.
Ce lampadaire, donc, dont on imagine bien que Martin ne l’aimait pas particulièrement, força l’homme à lui rouler une pelle un peu longue et un peu froide. En attendant qu’on le relâche, il sortit, tout naturellement, son calepin pour chercher le prochain piège qu’il tendrait.
Mais, alors qu’il consignait consciencieusement quelques idées qui lui passaient par la tête, une ombre recouvrit sa blanche feuille progressivement.
« Alors, mon bon Martin, on s’est mis dans de beaux draps, hein ?
- Dans de beaux bras, tu veux dire, hahah... »
Il n’eut pas le temps de reconnaître l’homme que celui-ci avait déjà sorti de nulle part une perceuse et une vis. Les yeux écarquillés, Martin demeura coi devant l’adresse de celui qui venait de lui visser la langue au poteau.
« Allez, je te laisse à ton éternel bisou ! »
Martin, son truc, c’était les trous. Partout, il en faisait. Sa parka cachait de cure-dents à perceuses en passant par pieux. Martin c’était pas un bosseur, c’était le contraire.
Petit déjà il trouait tout ; les assiettes, les portes, les murs, son fromage, sa purée.
La blague de sa vie, c’est quand, pour ses seize ans, il avait marteau-piqué le sol, puis qu’il avait recouvert le trou d’un tapis imitation bitume.
« Je te dis pas la tête du mec qui s’est croûté dedans ! Fantomatique ! La peau couleur farine le gars, quand il est ressorti ! », avait-il narré avec enthousiasme à son frangin le soir-même.
Sa farce préférée, c’était quand même celle du « eh, t’as le menton troué ou quoi ? », quand il perçait un gobelet et que tout coulait. Celle-là il en est pas peu fier, même s’il l’a piquée à Franklin.
Il aimait bien aussi le coup du gars qui rentre dans le bar, qui boit cul sec quelques verres avant de demander aux commensaux – dans le script, éblouis : « les gars, vous savez comment je fais ? »
Avant se sortir une perceuse, de faire un trou dans la table et de dire : « comme lui ! »
Bon, il ne l’avait pas encore réussie, elle, à cause du scénar un brin utopiste.
Un frais matin d’hiver, un matin à patiner sur le verglas, finir les pieds derrière la tête et la langue collée au poteau, Martin se leva, nonobstant – ah, ça, il sait faire, Martin, nonobster ! –, le chat noir devant sa fenêtre, l’échelle au dessus de son lit, et sortit, patina sur le verglas, finit les pieds derrière la tête, la langue collée à un lampadaire, et pas n’importe lequel ; le lampadaire sur lequel il avait écrasé le nez de son vélo le mois dernier, le lampadaire, qui, induisant à son bicycle une trajectoire erronée le fit malencontreusement entrer en contact un peu violemment avec la Porsche du voisin et l’endetta d’un peu beaucoup.
Ce lampadaire, donc, dont on imagine bien que Martin ne l’aimait pas particulièrement, força l’homme à lui rouler une pelle un peu longue et un peu froide. En attendant qu’on le relâche, il sortit, tout naturellement, son calepin pour chercher le prochain piège qu’il tendrait.
Mais, alors qu’il consignait consciencieusement quelques idées qui lui passaient par la tête, une ombre recouvrit sa blanche feuille progressivement.
« Alors, mon bon Martin, on s’est mis dans de beaux draps, hein ?
- Dans de beaux bras, tu veux dire, hahah... »
Il n’eut pas le temps de reconnaître l’homme que celui-ci avait déjà sorti de nulle part une perceuse et une vis. Les yeux écarquillés, Martin demeura coi devant l’adresse de celui qui venait de lui visser la langue au poteau.
« Allez, je te laisse à ton éternel bisou ! »
Re: Exo live, vendredi 11 octobre, 22 heures
Merci à la modé, j'ai pas dû tout suivre pour les changements de section, moi... :-)))
Re: Exo live, vendredi 11 octobre, 22 heures
Bon, je file dormir, moi. Je commenterai et posterai demain.
Bonne nuit à tous ceux qui passent !
Bonne nuit à tous ceux qui passent !
Re: Exo live, vendredi 11 octobre, 22 heures
Coline, l'est pas né de la dernière pluie le gamin ! C'est un peu simple mais distrayant, les personnages un peu stéréotypés me plaisent bien. Mauvaise foi adolescente quand tu nous tiens ! :-)
Re: Exo live, vendredi 11 octobre, 22 heures
Je connaissais " coiffé au poteau" mais pas "vissé au poteau" ! Mais je n'arrive pas à plaindre Martin : tu as brossé un personnage horripilant dont on se surprend à rêver de claquer le museau ( c'est chouette un personnage agaçant, on en a beaucoup qu'on plaint, qu'on aime, voire qu'on déteste, mais peu qui soient exaspérants...)
Toutefois, il faut une sacrée vitesse de frappe pour arriver à planter la vis et visser avant réaction !!!
Mais j'ai apprécié l'écriture alerte et ironique.
Toutefois, il faut une sacrée vitesse de frappe pour arriver à planter la vis et visser avant réaction !!!
Mais j'ai apprécié l'écriture alerte et ironique.
Invité- Invité
Re: Exo live, vendredi 11 octobre, 22 heures
Coline :
Maman douceur :
L'odeur de mon bébé me prend à la douce, il avait déjà la même, qui m'avait tant émue à la maternité.
Maman gendarme, qui essaie d'éduquer...
Pas facile de jouer les deux rôles en même temps, surtout face à un galopin roublard.
Bravo pour ce texte alerte, composé au pied levé.
Maman douceur :
L'odeur de mon bébé me prend à la douce, il avait déjà la même, qui m'avait tant émue à la maternité.
Maman gendarme, qui essaie d'éduquer...
Pas facile de jouer les deux rôles en même temps, surtout face à un galopin roublard.
Bravo pour ce texte alerte, composé au pied levé.
Invité- Invité
Re: Exo live, vendredi 11 octobre, 22 heures
Alice :
Des p'tits trous, des p'tits trous, toujours des p'tits trous.
Tu es peut-être trop jeune pour connaître la chanson, qui n'a d'ailleurs aucun rapport avec ton texte, à part les p'tits trous.
Belle imagination pour cette histoire !
Des p'tits trous, des p'tits trous, toujours des p'tits trous.
Tu es peut-être trop jeune pour connaître la chanson, qui n'a d'ailleurs aucun rapport avec ton texte, à part les p'tits trous.
Belle imagination pour cette histoire !
Invité- Invité
Re: Exo live, vendredi 11 octobre, 22 heures
COLINE: haaa l'éducation des mômes et leur sens aiguisé des bonnes affaires.... je connais ça ;-)
Une fin un peu rapidement expédiée à mon goût, sinon j'aime beaucoup tout ce qui précède, ce temps passé à poser ambiance et personnages, c'est bien ficelé.
Une fin un peu rapidement expédiée à mon goût, sinon j'aime beaucoup tout ce qui précède, ce temps passé à poser ambiance et personnages, c'est bien ficelé.
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: Exo live, vendredi 11 octobre, 22 heures
ALICE: drôle et cruel, vif aussi, j'adore ça. Une histoire originale qui captive, c'est bien mené, super bonne idée !
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
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