Rêveur falsifié
4 participants
Page 1 sur 1
Re: Rêveur falsifié
Le titre, fulgurant, annonce l'essentiel. Le participe passé, par un processus radical, ravale l'individu à l'état d'objet, l'efface de l'équation d'un simple coup de gomme. Le moyen, lui, est suggéré par le texte.
"Je trouvais le sommeil et je voyais l’espace comme m’étant dû pour l’éternité"
J'aime ce long filin de funambule dont on voudrait tant ne jamais voir le bout.
Les verbes pronominaux ("s'innerve", "s'énerve") traduisent bien le renfermement mortifère qui contamine la seconde partie.
"Je trouvais le sommeil et je voyais l’espace comme m’étant dû pour l’éternité"
J'aime ce long filin de funambule dont on voudrait tant ne jamais voir le bout.
Les verbes pronominaux ("s'innerve", "s'énerve") traduisent bien le renfermement mortifère qui contamine la seconde partie.
jfmoods- Nombre de messages : 692
Age : 59
Localisation : jfmoods@yahoo.fr
Date d'inscription : 16/07/2013
Re: Rêveur falsifié
j'aime beaucoup les deux derniers vers, ils sont simples et justes. Le reste se lit bien aussi, il y a quelques accrocs dans le rythme mais rien de très embêtant. C'est un chouette poème
pousse de bambou- Nombre de messages : 41
Age : 31
Date d'inscription : 24/04/2013
Re: Rêveur falsifié
les morts arboricoles surprennent un peu
et leur rôle m'interpelle, un peu aussi
fantasmagorique et tribal
le surréalisme de ce texte vaut le détour
surprenant
et leur rôle m'interpelle, un peu aussi
fantasmagorique et tribal
le surréalisme de ce texte vaut le détour
surprenant
Re: Rêveur falsifié
Tes morts arboricoles m'ont fait penser aux arborigènes, puis de là aux Peaux-rouges criards, et voilà que pour parfaire cette idée, tes fantômes ivres m'ont aussitôt évoqué le bateau.
Invité- Invité
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum