Un coin pour sourire
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Re: Un coin pour sourire
faut qu'elle prenne un médicament.
hi wen- Nombre de messages : 899
Age : 27
Date d'inscription : 07/01/2011
Re: Un coin pour sourire
za-ni-mots
Qui a tué la poule aux oeufs d'or
s'interrogeait le coq en pâte,
par un froid de canard.
Etait-ce l'individu avec la bouche en cul de poule,
soupçon qui ne valait pas un pet de lapin,
aux yeux de la carpe.
Mais personne ne voulait être le dindon de la farce,
bien qu'ils fussent copains comme cochon,
encore moins manger de la vache enragée.
Ils décidèrent de passer du coq à l'âne,
pour avoir du son.
Mais il fallait éviter de monter sur ses grands chevaux,
et calmer les esprits.
Oui, mais qui alors, aurait eu l'idée saugrenue de la tuer,
quelqu'un qui lui aurait gardé un chien de sa chienne.
Mais ils n'avaient pas d'autres chats à fouetter,
et ce n'est pas aux vieux singes qu'on apprend à faire des grimaces.
Pas question pour autant de mettre la charrue avant les boeufs,
car faute de grives on mange des merles.
Fallait donc reprendre le taureau par les cornes,
tout en ménageant la chèvre et le chou,
pour éviter de faire chou blanc,
donc courir plusieurs lièvres à la fois.
Mais pas comme ses moutons de Panurge
qui crient au loup avant d'avoir mal.
car crier au loup, c'est quand les poules auront des dents
moralité
si tu fais circuler des rumeurs,
tu ne connais pas forcément le menteur
disait l'homme qu'a vu l'ours
Qui a tué la poule aux oeufs d'or
s'interrogeait le coq en pâte,
par un froid de canard.
Etait-ce l'individu avec la bouche en cul de poule,
soupçon qui ne valait pas un pet de lapin,
aux yeux de la carpe.
Mais personne ne voulait être le dindon de la farce,
bien qu'ils fussent copains comme cochon,
encore moins manger de la vache enragée.
Ils décidèrent de passer du coq à l'âne,
pour avoir du son.
Mais il fallait éviter de monter sur ses grands chevaux,
et calmer les esprits.
Oui, mais qui alors, aurait eu l'idée saugrenue de la tuer,
quelqu'un qui lui aurait gardé un chien de sa chienne.
Mais ils n'avaient pas d'autres chats à fouetter,
et ce n'est pas aux vieux singes qu'on apprend à faire des grimaces.
Pas question pour autant de mettre la charrue avant les boeufs,
car faute de grives on mange des merles.
Fallait donc reprendre le taureau par les cornes,
tout en ménageant la chèvre et le chou,
pour éviter de faire chou blanc,
donc courir plusieurs lièvres à la fois.
Mais pas comme ses moutons de Panurge
qui crient au loup avant d'avoir mal.
car crier au loup, c'est quand les poules auront des dents
moralité
si tu fais circuler des rumeurs,
tu ne connais pas forcément le menteur
disait l'homme qu'a vu l'ours
So-Back- Nombre de messages : 3658
Age : 101
Date d'inscription : 04/04/2014
Curiosités de la langue française.
Origine de l’expression : « Ça coûte la peau des fesses » :
" Depuis que Saint Paul avait recommandé aux femmes d'être soumises à leur mari (lettre de Saint Paul aux Ephésiens) (ep.5, 21-23) et , accessoirement, aux hommes d'aimer leur femme comme leur propre corps ( ce qui , on en conviendra, peut sembler plus aisé), on le recherchait partout dans le monde gréco-romain du premier siècle afin qu'il précisât et argumentât et affirmât encore davantage ladite recommandation. Les sages de la ville d’Ephèse, tous des hommes , évidemment, souhaitèrent qu’il vînt en personne s’adresser de vive voix à la population, et confirmer ainsi in vivo, le contenu de sa lettre, pour en faire, en quelque sorte, une lettre recommandée.
Mais, la demande de conférences étant de loin supérieure aux possibilités de l'offre, il advint ce qu'il advient toujours en pareil cas, le prix de la sainte prestation ne fit que croître et embellir. Si bien qu'in fine, à la réception du devis incluant, il est vrai, la chambre à l’hôtel Des Mages « une étoile », le repas au Lucullus, les frais de transport en GTV (Galère Très Véloce) etc... in fine, disais-je, le comité chargé de l'accueillir à l'arrêt d’Éphèse, soupirait en relisant le montant de l'intervention:
"...ça coûte, l'apôtre d’Éphèse !"
Les générations suivantes oublièrent peu à peu, et la ville d’Ephèse, et l'apôtre et encore plus, hélas, ses judicieuses recommandations, pour ne retenir que la formule, qui se déformant par glissement sémantique, au fil des siècles devint la célèbre exclamation : "Ça coûte la peau des fesses".
On notera cependant que si l'étymologie en est complètement trahie, le sens, quant à lui en est parfaitement conservé.
" Depuis que Saint Paul avait recommandé aux femmes d'être soumises à leur mari (lettre de Saint Paul aux Ephésiens) (ep.5, 21-23) et , accessoirement, aux hommes d'aimer leur femme comme leur propre corps ( ce qui , on en conviendra, peut sembler plus aisé), on le recherchait partout dans le monde gréco-romain du premier siècle afin qu'il précisât et argumentât et affirmât encore davantage ladite recommandation. Les sages de la ville d’Ephèse, tous des hommes , évidemment, souhaitèrent qu’il vînt en personne s’adresser de vive voix à la population, et confirmer ainsi in vivo, le contenu de sa lettre, pour en faire, en quelque sorte, une lettre recommandée.
Mais, la demande de conférences étant de loin supérieure aux possibilités de l'offre, il advint ce qu'il advient toujours en pareil cas, le prix de la sainte prestation ne fit que croître et embellir. Si bien qu'in fine, à la réception du devis incluant, il est vrai, la chambre à l’hôtel Des Mages « une étoile », le repas au Lucullus, les frais de transport en GTV (Galère Très Véloce) etc... in fine, disais-je, le comité chargé de l'accueillir à l'arrêt d’Éphèse, soupirait en relisant le montant de l'intervention:
"...ça coûte, l'apôtre d’Éphèse !"
Les générations suivantes oublièrent peu à peu, et la ville d’Ephèse, et l'apôtre et encore plus, hélas, ses judicieuses recommandations, pour ne retenir que la formule, qui se déformant par glissement sémantique, au fil des siècles devint la célèbre exclamation : "Ça coûte la peau des fesses".
On notera cependant que si l'étymologie en est complètement trahie, le sens, quant à lui en est parfaitement conservé.
muzzo- Nombre de messages : 618
Age : 90
Localisation : Va savoir...!
Date d'inscription : 13/07/2008
Petite chronique rurale
Petite chronique rurale.
Il fait beau depuis plusieurs jours ; le gazon a déjà commencé sa énième pousse. Il va falloir se décider à intervenir, une fois de plus … Antoinette me pousse une fois de plus à l’action .Moi, ce n’est pas l’enthousiasme qui me propulse, mais j’extrais la tondeuse de son abri, vérifie avec la conscience d’un Gabin à bord de la Lison les niveaux, m’assieds à côté d’elle sur l’herbe renouvelée. Un soupir de contrainte, suivi d’un autre de rébellion…et je m’allonge à même le sol, je m’étire, me tourne sur le côté pour ne pas être importuné par la lumière: « Rien ne presse, j’ai tout mon temps, personne ne fera le boulot à ma place », et je me justifie par dix autres bonnes raisons d’attendre un peu…attendre…
Un doux murmure qui va crescendo jusqu’à éclater en fanfare fait soudain vibrer mon oreille droite. Mais ce sont des voix ! Et j’écoute stupéfait :
« Allons enfant de la Prairie
Le jour de tonte est arrivé
Contre nous de la machine honnie
Les lames tranchantes vont tourner
Les lames tranchantes vont tourner
Entendez-vous dans la campagne
Rugir son féroce moteur
Qui vient avec sa puanteur
Tout couper jusqu'au flanc des montagnes
Aux armes batraciens
Sauterelles et grillons
Stridulons, grésillons
Qu’un chant censure et chasse le trublion !
– Dis-donc, Albert, la tondeuse, tu veux que je te la démarre ou je te laisse ronfler jusqu'à l’heure de l’apéro ?
Il fait beau depuis plusieurs jours ; le gazon a déjà commencé sa énième pousse. Il va falloir se décider à intervenir, une fois de plus … Antoinette me pousse une fois de plus à l’action .Moi, ce n’est pas l’enthousiasme qui me propulse, mais j’extrais la tondeuse de son abri, vérifie avec la conscience d’un Gabin à bord de la Lison les niveaux, m’assieds à côté d’elle sur l’herbe renouvelée. Un soupir de contrainte, suivi d’un autre de rébellion…et je m’allonge à même le sol, je m’étire, me tourne sur le côté pour ne pas être importuné par la lumière: « Rien ne presse, j’ai tout mon temps, personne ne fera le boulot à ma place », et je me justifie par dix autres bonnes raisons d’attendre un peu…attendre…
Un doux murmure qui va crescendo jusqu’à éclater en fanfare fait soudain vibrer mon oreille droite. Mais ce sont des voix ! Et j’écoute stupéfait :
« Allons enfant de la Prairie
Le jour de tonte est arrivé
Contre nous de la machine honnie
Les lames tranchantes vont tourner
Les lames tranchantes vont tourner
Entendez-vous dans la campagne
Rugir son féroce moteur
Qui vient avec sa puanteur
Tout couper jusqu'au flanc des montagnes
Aux armes batraciens
Sauterelles et grillons
Stridulons, grésillons
Qu’un chant censure et chasse le trublion !
– Dis-donc, Albert, la tondeuse, tu veux que je te la démarre ou je te laisse ronfler jusqu'à l’heure de l’apéro ?
muzzo- Nombre de messages : 618
Age : 90
Localisation : Va savoir...!
Date d'inscription : 13/07/2008
Harcèlement sexuel
HARCELEMENT SEXUEL
La liste s’allonge ! En effet, d’après Wiqui Pédia, notre correspondant en Galilée, une nouvelle plainte vient d’être déposée auprès de l’Autorité romaine chargée de la justice et des mœurs dans cette province.
La plaignante, une certaine Marie, jeune fille inconnue des services de police, affirme avec force avoir été violentée à deux reprises. La première fois, d’une façon brutale, soldatesque et coutumière par un certain Jules Pantera, en garnison en Palestine au moment des faits, soldat de la première cohorte d’archers, natif de Sidon et actuellement en Allemagne où son comportement n’a encore donné suite à aucune remarque désobligeante de la part des demoiselles du Val Qui Rit, son lieu de garnison.
La seconde agression, si on peut la nommer ainsi, à en croire la plaignante, fut d’une extrême douceur, accompagnée de sons mélodieux étranges, de bruissements feutrés d’ailes d’une candide blancheur. Comme Marie ne tarissait pas d’éloges au sujet de la délicatesse et du savoir-faire de cet étrange prédateur, le préposé aux écritures, levant un instant son calame lui a demandé le nom de son agresseur. Elle a alors formellement accusé un certain « Saintesprit » totalement inconnu au bataillon. Des test ADN en recherche de paternité seront pratiqués dès que la plaignante aura accouché, mais d’ores et déjà, il apparaît que les prélèvements sur les suspects seront très difficiles à obtenir.
Nous vous tiendrons informés des suites données à cette étrange affaire dont la solution risque de se faire attendre quelques années.
La liste s’allonge ! En effet, d’après Wiqui Pédia, notre correspondant en Galilée, une nouvelle plainte vient d’être déposée auprès de l’Autorité romaine chargée de la justice et des mœurs dans cette province.
La plaignante, une certaine Marie, jeune fille inconnue des services de police, affirme avec force avoir été violentée à deux reprises. La première fois, d’une façon brutale, soldatesque et coutumière par un certain Jules Pantera, en garnison en Palestine au moment des faits, soldat de la première cohorte d’archers, natif de Sidon et actuellement en Allemagne où son comportement n’a encore donné suite à aucune remarque désobligeante de la part des demoiselles du Val Qui Rit, son lieu de garnison.
La seconde agression, si on peut la nommer ainsi, à en croire la plaignante, fut d’une extrême douceur, accompagnée de sons mélodieux étranges, de bruissements feutrés d’ailes d’une candide blancheur. Comme Marie ne tarissait pas d’éloges au sujet de la délicatesse et du savoir-faire de cet étrange prédateur, le préposé aux écritures, levant un instant son calame lui a demandé le nom de son agresseur. Elle a alors formellement accusé un certain « Saintesprit » totalement inconnu au bataillon. Des test ADN en recherche de paternité seront pratiqués dès que la plaignante aura accouché, mais d’ores et déjà, il apparaît que les prélèvements sur les suspects seront très difficiles à obtenir.
Nous vous tiendrons informés des suites données à cette étrange affaire dont la solution risque de se faire attendre quelques années.
muzzo- Nombre de messages : 618
Age : 90
Localisation : Va savoir...!
Date d'inscription : 13/07/2008
Re: Un coin pour sourire
Non seulement le dernier texte m'a fait sourire mais en plus il m'a permis de découvrir l'existence de ce Jules Panthera et la théorie autour dont je n'avais jamais entendu parler... Comme quoi s'amuser et s'instruire ne sont pas (toujours) incompatibles!
isa- Nombre de messages : 559
Age : 33
Localisation : Elbonerg
Date d'inscription : 08/04/2009
Re: Un coin pour sourire
gare
c'est à travers les persiennes de Sienne
qu'il aperçut
le cul de la voisine
comme dans un prisme
gare au voyeur
sous l'ocre d'un jour nouveau
il ne fut point déçu
le séant avait fière allure
en démesure
gare au mateur
bien vite le quartier en ébullition
lustucru
le postérieur déjà
se compare à l'Etna
gare au voyeur
pas un jour sans un nouvel élan
qu'il eut cru
le derrière à, ses partisans
dorénavant
gare au mateur
l'affaire aurait pu en rester là
assurément
le fondement est un puits sans fond
et ron petit patapon
gare au contrôleur
c'est à travers les persiennes de Sienne
qu'il aperçut
le cul de la voisine
comme dans un prisme
gare au voyeur
sous l'ocre d'un jour nouveau
il ne fut point déçu
le séant avait fière allure
en démesure
gare au mateur
bien vite le quartier en ébullition
lustucru
le postérieur déjà
se compare à l'Etna
gare au voyeur
pas un jour sans un nouvel élan
qu'il eut cru
le derrière à, ses partisans
dorénavant
gare au mateur
l'affaire aurait pu en rester là
assurément
le fondement est un puits sans fond
et ron petit patapon
gare au contrôleur
So-Back- Nombre de messages : 3658
Age : 101
Date d'inscription : 04/04/2014
Re: Un coin pour sourire
virus
Qui virus mourra
raton laveur le sait
c’est lui qui fait la vaisselle
elle n’en fait qu’a sa tête
êtes vous du genre a
entreprendre ou prendre
réciproquement
m’entends tu loup y est tu
tu vois l’année par ricochets
chez qui il va frappé
pépé s’en moque quoique
quelle destinée
né en période de
virus variant différent cependant
dent contre lui l’empêcheur
heures en sommeil
il était une fois
dans le monde entier et même
aime tu cette sensation
on verrat bien quand
en attendant prie ou rit
rite de journées marquées
espoir cette lumière
erre, soit, mais vaccine
Qui virus mourra
raton laveur le sait
c’est lui qui fait la vaisselle
elle n’en fait qu’a sa tête
êtes vous du genre a
entreprendre ou prendre
réciproquement
m’entends tu loup y est tu
tu vois l’année par ricochets
chez qui il va frappé
pépé s’en moque quoique
quelle destinée
né en période de
virus variant différent cependant
dent contre lui l’empêcheur
heures en sommeil
il était une fois
dans le monde entier et même
aime tu cette sensation
on verrat bien quand
en attendant prie ou rit
rite de journées marquées
espoir cette lumière
erre, soit, mais vaccine
So-Back- Nombre de messages : 3658
Age : 101
Date d'inscription : 04/04/2014
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