Le Tour

a qui le tour, il n'attend pas
immuable, il sait son moment
alors peu importe le tyran
ou la douceur du matelas

quand viendra l'éternel tracas
un jour prochain sans arguments
esseulé sur un toboggan
résonneras le patatras

ni la saison, ni les lilas
ne soudoieront le tout-puissant
pas plus que notre seul talent
repoussera l'instant Judas

a l'ombre de l'alcarazas
l'odeur berceras l'innocent
celui qu'on nommait l'épatant
le passionné du chasselas

Bonjour So-Back

Je pense saisir de quoi parle votre poème, quoique la dernière strophe me perturbe, mais quelque chose me gêne.
Il y a une totale inadéquation entre le fond, la forme et les mots:

"quand viendra l'éternel tracas
un jour prochain sans arguments
esseulé sur un toboggan
résonneras le patatras"

Petits soucis de la vie, appréhendant l'arrivée d'une catastrophe annoncée...

Je n'arrive pas à ressentir l'émotion que vous souhaitez nous donner et ça manque vraiment d'intensité.