Stephano
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Stephano
Une partie de mon projet litteraire:
En chacune de ses respirations, il entendait de plus en plus clairement, dans les lymbes de son coeur résonner le séisme de la Passion, se soulever l'ouragan du désir, monter le brasier délirant du Chaos d'Amour. Le temps était comme mort, recroquevié sur lui même, aplati en cette longue seconde où il admirait la fleur qui va s'ouvrir au monde. Ces deux petites ellipses nues et noires qui le fixaient ne lui inspirait plus la peur. Au contraire, plonger dans ces eaux sombres et inconnues exhaltaient son émotivité et sa curiosité.
Ses lèvres s'entrouvrirent comme un bouton de rose, ou comme une bribe de rêve s'immiscant dans la pensée après deux heures d'éveil, ou comme l'aurore perce l'esprit de ceux qui ont fêter toute la nuit.
Son odeur de femme lui parvenait comme par flashs, électrisant ses neurones. S. s'abreuvait avec délectation de cette source de jouissance inépuisable. Son parfum lui léchait agréablement les narines, son parfum le tirait par le bout du nez, le traînait inexorablement vers elle. Il s'approcha, ils s'embrassèrent. Le premier baiser est souvent ardu, parceque personne n'embrasse pareil. Certains jouent avec leurs langues, d'autres se mordillent, d'autres encore s'aspirent ou se regardent, ou s'écoutent... S. n'était pas là pour râcker un fond de gorge avec sa langue, il voulait du beau, il lui fallait du grandiose. Des baisers de fougue et de sensualité et non de rage et de bestialité.
Ce qui survenu après ce lieux commun d'ouverture a son intimité et à son lit fut infiniment plus grand. Pendant un temps indéfini, il se jettèrent l'un dans les bras de l'autre, et, restèrent là, a se presser poitrine contre poitrine, coeur contre coeur. S. se sentit débordé par ses émotions. Ca y est c'était bien là! Des larmes tombèrent, des larmes d'airain soufreteuses, lourdes, chargées de bris de rêves défaits et de passion mêlée, qui se rejoignent pour s'étreindre et s'embrasser en orbes et arabesques jusqu'à dessiner sur sa figure éthérée, le symbole de la fin de son enfance...
En chacune de ses respirations, il entendait de plus en plus clairement, dans les lymbes de son coeur résonner le séisme de la Passion, se soulever l'ouragan du désir, monter le brasier délirant du Chaos d'Amour. Le temps était comme mort, recroquevié sur lui même, aplati en cette longue seconde où il admirait la fleur qui va s'ouvrir au monde. Ces deux petites ellipses nues et noires qui le fixaient ne lui inspirait plus la peur. Au contraire, plonger dans ces eaux sombres et inconnues exhaltaient son émotivité et sa curiosité.
Ses lèvres s'entrouvrirent comme un bouton de rose, ou comme une bribe de rêve s'immiscant dans la pensée après deux heures d'éveil, ou comme l'aurore perce l'esprit de ceux qui ont fêter toute la nuit.
Son odeur de femme lui parvenait comme par flashs, électrisant ses neurones. S. s'abreuvait avec délectation de cette source de jouissance inépuisable. Son parfum lui léchait agréablement les narines, son parfum le tirait par le bout du nez, le traînait inexorablement vers elle. Il s'approcha, ils s'embrassèrent. Le premier baiser est souvent ardu, parceque personne n'embrasse pareil. Certains jouent avec leurs langues, d'autres se mordillent, d'autres encore s'aspirent ou se regardent, ou s'écoutent... S. n'était pas là pour râcker un fond de gorge avec sa langue, il voulait du beau, il lui fallait du grandiose. Des baisers de fougue et de sensualité et non de rage et de bestialité.
Ce qui survenu après ce lieux commun d'ouverture a son intimité et à son lit fut infiniment plus grand. Pendant un temps indéfini, il se jettèrent l'un dans les bras de l'autre, et, restèrent là, a se presser poitrine contre poitrine, coeur contre coeur. S. se sentit débordé par ses émotions. Ca y est c'était bien là! Des larmes tombèrent, des larmes d'airain soufreteuses, lourdes, chargées de bris de rêves défaits et de passion mêlée, qui se rejoignent pour s'étreindre et s'embrasser en orbes et arabesques jusqu'à dessiner sur sa figure éthérée, le symbole de la fin de son enfance...
euterpe- Nombre de messages : 117
Age : 37
Localisation : Au fond de la classe
Date d'inscription : 20/03/2007
Re: Stephano
Quelques fautes... rapidement :
- "recroquevillé" et pas "recroquevié"
- ce qui "survint" et pas ce qui "survenu"
- "ça y était, c'était bien là" et pas "ça y est c'était bien là" (il y en a un autre du même genre je crois bien, mais je l'ai paumé à la relecture)
- Des larmes tombèrent,..., qui se "rejoignirent" et pas se "rejoignent"
Il y en a peut-être d'autres, c'est juste ce qui m'a sauté aux yeux. Sinon, je trouve que tu écris bien, même si ce n'est pas le genre de textes que je préfère.
Au plaisir de te relire.
- "recroquevillé" et pas "recroquevié"
- ce qui "survint" et pas ce qui "survenu"
- "ça y était, c'était bien là" et pas "ça y est c'était bien là" (il y en a un autre du même genre je crois bien, mais je l'ai paumé à la relecture)
- Des larmes tombèrent,..., qui se "rejoignirent" et pas se "rejoignent"
Il y en a peut-être d'autres, c'est juste ce qui m'a sauté aux yeux. Sinon, je trouve que tu écris bien, même si ce n'est pas le genre de textes que je préfère.
Au plaisir de te relire.
Re: Stephano
Ce serait bien de relire ou te faire relire Euterpe, il y a pas mal de fautes d'orthographe :-(
Désolée, je ne suis pas entrée dans ce texte, je l'ai trouvé trop chargé, presque lourd, avec une succession de répétitions sous des termes divers pour décrire en fait la même chose. Ce qui devait passer pour de la sensualité devient luxe de mots, voire débauche de vocabulaire, mais pas des sens. Une autre fois sans doute!
Désolée, je ne suis pas entrée dans ce texte, je l'ai trouvé trop chargé, presque lourd, avec une succession de répétitions sous des termes divers pour décrire en fait la même chose. Ce qui devait passer pour de la sensualité devient luxe de mots, voire débauche de vocabulaire, mais pas des sens. Une autre fois sans doute!
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: Stephano
Salut Euterpe.
En effet, garde- toi de poster tes premiers jets. C'est une volonté bien compréhensible, mais le sentiment d'inachevé détruit le travail lui-même.
Je n'ai pas découvert cela tout seul: c'est Mister Mentor qui me l'a enseigné.
Non ,vraiment, c'est une règle à laquelle nous ne devrions jamais déroger.
:-)
En effet, garde- toi de poster tes premiers jets. C'est une volonté bien compréhensible, mais le sentiment d'inachevé détruit le travail lui-même.
Je n'ai pas découvert cela tout seul: c'est Mister Mentor qui me l'a enseigné.
Non ,vraiment, c'est une règle à laquelle nous ne devrions jamais déroger.
:-)
Invité- Invité
Re: Stephano
Honnêtement j'ai eu beaucoup de mal. Les textes où il faut s'accrocher en apnée pour arriver au bout de la phrase... Non plus sérieusement, j'ai l'impression qu'il y a un vrai problème dans la construction. Tu cherches à faire des phrases poétiques à mon avis, un peu tordues, mais ça rend le tout difficile à lire (ça encore c'est pas forcément un défaut). Seulement je trouve que là ça rend pas beau. Je suis peut-être dure mais c'est vrai qu'on a l'impression d'un étalage de vocabulaire, d'un concours de la phrase la plus longue, bref...
Reviens peut-être à quelque chose de plus simple.
Reviens peut-être à quelque chose de plus simple.
Lifewithwords- Nombre de messages : 785
Age : 32
Localisation : Hauts de Seine
Date d'inscription : 27/08/2007
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