Porte bonheur périmé

Petit, on pense que le soleil nous suit
On ne sait pas être celui de ses parents
L'amour comme constante, un manteau réparant
Les douleurs d'un petit coeur et chassant la pluie
Des bras aux effluves de maman nous essuient
Et les grosses mains d'un père nous séparant
De son amour et le reprenant, pour lui
On, petit, un quelque chose de  déparant
Mais qu'on aime
Quand même

Quand elles nous prennent
Et nous soulève
Elles sont nos reines
Engeance de Eve
Porteuse de sève

Sa pique ! C'est l'abeille
Se décrochant le dard
Sur une chaire toute neuve
Son oeuvre est du fiel
Sur ma vie toute de miel
Puis le 7 devient 9

puis le 7 devient 9?

Désolé, mais ce sont les guêpes qui perdent leur dard quand elles piquent je crois ! A vérifier.

Non c'est l'abeille, mais c'est pas si grave

je ne cherche pas la petite bête : je me demande cependant si la question posée par Hi Wen ne mériterait pas une réponse : le 7 devient 9 ?
l'histoire du dard, c'était pour piquer la curiosité seulement. Pour voir si les questions graves trouvaient des réponses.

Le 7 est divin, tandis que Dans la Divine Comédie, Dante décrit les neuf cercles de l'Enfer.

PieAir a écrit:Le 7 est divin, tandis que Dans la Divine Comédie, Dante décrit les neuf cercles de l'Enfer.

En tant que franc maçon athée tendance soufi je suis un adepte du 3 et un adorateur du zéro zoroastique. Escuses, je n'avais pas saisi la profondeur mystique. mais je respecte toutes les cultures.

Ça pique
Je dis ça, je dis rien...

Pour ce qui est du texte, je trouve ça caricatural.
La mère, rempart protecteur, qui donne tout, qui fait chaud au coeur, les bonnes tartines au choco et le bisou sur le bobo quand on est tombé à vélo.
Le père, qui est l'autorité, la grosse main, le gant de base-ball, le match de foot et la punition au chien quand il a fait pipi par terre dans la cuisine pendant le repas.
Cea ressemble à un film américain du dimanche soir, désolée, j'ai du mal, je trouve ça gentillet et pauvre sur la forme. Un peu plus de férocité, diantre !