Ma mère et moi
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Sahkti
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Lifewithwords
marilyn
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Ma mère et moi
j'ai décidé de mettre un deuxième roman en ligne en espérant quil intéressera d'autres personnes en tout cas j'essaye de faire de mon mieux
le premier n'a pas remporté un franc succès, je verrai d'ailleurs si je le peaufine ou pas
synopsis : c'est l'histoire d'une jeune femme ambitieuse qui est sytliste à New-york (je sais encore New-York mais c'est une ville que j'adore) , son rêve c'est d'être reconnu par l'ensemble de la profession, le rêve de sa mère c'est quellle déniche un mari, ce qui n'ai pas du goût de la jeune femme, surtout que sa mère à tendance à se mêler de ses affaires, elle se montre encombrante, harcèle sa fille, mais rien n'y fait et décide de mener un plan d'attaque pour trouver la perle idéale
le premier n'a pas remporté un franc succès, je verrai d'ailleurs si je le peaufine ou pas
synopsis : c'est l'histoire d'une jeune femme ambitieuse qui est sytliste à New-york (je sais encore New-York mais c'est une ville que j'adore) , son rêve c'est d'être reconnu par l'ensemble de la profession, le rêve de sa mère c'est quellle déniche un mari, ce qui n'ai pas du goût de la jeune femme, surtout que sa mère à tendance à se mêler de ses affaires, elle se montre encombrante, harcèle sa fille, mais rien n'y fait et décide de mener un plan d'attaque pour trouver la perle idéale
marilyn- Nombre de messages : 82
Age : 57
Date d'inscription : 27/12/2007
Re: Ma mère et moi
Ca ressemble à de nombreux synopsis de films ma foi... Honnêtement ce n'est pas le genre d'histoire que j'apprécierais, SAUF si le style est vraiment sympa, comique, original, et que la plume apporte vraiment quelque chose. Il ne faudrait pas qu'elle soit neutre et se contente de retranscrire ce qu'on a déjà vu dans des films.
Lifewithwords- Nombre de messages : 785
Age : 32
Localisation : Hauts de Seine
Date d'inscription : 27/08/2007
ma mere et moi
Si j’avais su, je ne serai jamais venue à cette soirée, toujours les mêmes types, toujours le même blabla, c’est-à-dire rien de neuf que du vieux.
Je me suis dit ne reste pas plantée là, mélange-toi aux autres, même si tu n’as rien à dire tu n’a qu’à écouter, mais dès que j’essayais de m’approcher d’un groupe, j’étais automatiquement le sujet de conversation toujours les mêmes questions qui pleuvaient. Alors tu n’as toujours pas rencontrer quelqu’un ? Quand est-ce que tu vas te marier ? Dans trois ans tu auras 30 ans, le temps passe vite alors qu’Est-ce que tu attends ?
J’avais l’impression qu’on m’agressait et le seul moyen d’échapper à ce flot de violence était soit de répliquer ou bien de m’enfuir je choisis la deuxième solution, Shirley ma meilleure amie me regardait amusée de l’autre côté de la salle, je la rejoignis en quelques enjambées.
- Alors tu as pu enfin te sortir des griffes de l’invincible armada, lança-t-elle.
- Dis donc tu aurais pu m’aider, tu n’as pas vu les signes de détresse que je t’envoyais, lui répondis-je.
- Non mais tu es une grande fille, je savais que tu t’en sortirai, tu a dû leur envoyer des piques dont tu as le secret.
6 tu parles, je n’ai rien dit. Je me suis conduit comme une lâche.
Shirley fronça les sourcils.
Tiens ce n’est pas dans ton habitude.
- Je n’avais nullement envie de répondre c’est une perte de temps, demande moi pourquoi je suis venue à cette soirée.
- Pourquoi est-tu venue à cette soirée ?
- Je n’en sais rien du tout, mais je finirai par le savoir. J’aurai du rester chez moi devant la télé à me taper Tom Cruise et un bol de pop corn.
- Tom Cruise il est déjà pris, il se tape Katie Holmes.
- On a le droit de fantasmer juste le temps d’ 1H30;
Je n’avais encore rien mangée de toute la soirée et décida de m’approcher du buffet et piqua 2 feuillets saucisses, 2 mini-croissants aux fromages, 2 mini pizzas, deux canapés au caviar, 2 canapés au beurre de crevettes et un verre de champagne.
- Shelley contempla mon assiette avec écoeurement
- Si tu continue tu va péter les coutures de ta robe
- Je m'ennuie, donc je m'en piffre
- je ne veux pas t'entendre dire après que "je gonfle comme une baudruche."
Je décida de changer de conversation.
- dis moi dan ne devait pas t'accompagner
- Euh bien si mais
- Elle resta silencieuse pendant cinq secondes en se mordant la langue
- mais quoi lui répondis je ?
- Ce salaud m'a laissé tombé pour une pétasse décolorée qui ne sait même pas que le soleil se lève à lest
- Non
- si ! Et là de but en blanc 'elle imita sa voix ( c'est plus fort que moi , je ne peux pas me contenter d'une seule, je ne suis pas quelqu'un de stable.
- Je savais qu'il était bancal mais pas à ce point là.
J'écoutais attentivement mon amie et franchement je ne la comprenais pas.
- Si tu le savais pourquoi tu ne la pas quitté
- Eh bien parce que je pensais le changer.
- Cela c'était shelley tout cracher
- Toi et ta manière de changer tout le monde. Regarde il est tombée amoureuse une autre.
- Oh mais il ne tombe pas il saute ..;Oh car je t'ai pas tout dis il y'a pire, il a une préférence pour les européennes.
- Eh pourquoi il est sortie avec toi.
- J'étais une sorte d'escale, le temps d'attendre mieux.
Etait atterrée par ce que je venais d'entendre
- Ce mec est complètement malade
- Je lui ai dis je ne suis pas européenne mais ma grand-mère était italienne
- Et ?
- Cet imbécile préfère le nec plus ultra le cent pour cent, le made in Europe
je déposai ma main sur le front
- Je suis contente qu'il ai larguée les amarres pour aller dans un autre port répondis-je
Je prie mon amie par les épaules avec affection
- Ca va tu n'es pas trop malheureuse
- Absolument pas..
Elle baissa les yeux
c'est que j'en ai marre de tomber sur des sales types...et ij'ai découvert autre chose pas de très joli sur son compte.
Combien de chose j'allais encore apprendre sur ce minable
- Il note ses performances au lit dans un petit carnet agrémenté de quelques commentaires
- Je le crois pas
- Crois-le
Une question me trottinait dans la tête
- Tu est sur sa liste
Les tics de mon amie je les connaissais par coeur, quand elle se caressait le sourcil c'est que cela voulait dire oui.
- Il t'a mis combien ?
Shelley se massa le poignet
Je ne connaissais pas ce tic, c'était nouveau donc impossible à déchiffrer.
Alors ? inistais-je.
- Ce crétin m'a mis 10 sur 20
- Ce n'est pas mal ironisais-je.
Mon amie me fusilla du regard
- Tu plaisante, cela ne veut rien dire, entre 0 et 5 tu sais que tu est nulle entre 12 et 15 pas trop mal entre 15 et 20 très bien, mais 10, 10 c'est c'est le milieu, tu n'est casée nulle part, tu est entre le mauvais et le bien, tu sais c'est comme la pomme qu’on coupe en deux et il reste le trognon, je suis le trognon.
- Ce type est une espèce de déchet, un détritus, comment peut-on faire des choses pareilles.
- Oui c'est vrai je connais pourtant toutes les positions du kamasutra.
- Crois-tu que cela soit une question de position, tu a été peut-être un peu trop tigresse et pas assez panthère
- Quelle est la différence ?
A vrai dire je n'en savais rien, mais pour la rassurer je sortis .
- Trop de griffes,trop de morsures d'oreilles, cela c'est la panthère, pas assez de douceur, de tendresse comme la panthère
- Shelley secoua la tête
- Tu dis vraiment n'importe quoi
J'approuvais en dodelinant du chef
- On parle plus de cela me répondit-elle. Cela me donne envie de gerber
Et pour en finir là elle prit une montagne de petits fours prit une grosse part de gâteau dans les mains d'un homme grand maigre et moustachu qui venait de se servir et qui lança "au vol""
- Il m'a larguée justifia shelley d'une petite voix triste
- Oh je comprends alors ! Ah les hommes tous des salauds
- Je vous le fais pas dire !
Le moustachu jeta un coup d'oeil à son assiette
- Vous avez l'intention de manger tout cela ?
- oui et je m'attaquerai ensuite à la mousse de saumon, aux avocats farcis, a tout ce qu'il y'a sur la table et à tous ce que les invitées ne voudront plus.
- Ah ! répondit-il
Mon amie commençait à perdre pied et comme à l'habitude j'intervenais pour la sauver du naufrage
Mon amie commençait à perdre pied et comme à l'habitude j'intervenais pour la sauver du naufrage
- Surtout ne faites pas attention à ce qu'elle dit
je pris mon amie par les épaules.
- J'essaye, surtout qu'elle ne vomit pas sur la moquette.
- Oh vous vous êtes vraiment chou, il s'en fait pour moi tu a entendu cela ?
L'homme lança un dernier regard amusé et se fondit dans la foule. J'enleva les deux assiettes de ses mains et la serra sur mon épaule
- Tu va pas te mettre à chialer.
- si je crois que les robinets vont s'ouvrir.
- Mais non reprends toi bon sang.
Je l'obligea à se redresser et à me regarder dans les yeux.
- Tu sais je t'ai pas dit je lui ai cassé la figure
- j'espères que tu a bien visé
- en plein dans l'oeil
- bien fait ca va lui gâcher ça séance photo si on se concentrait maintenant sur la soirée.
Je jeta un coup d'oeil il était déjà minuit, et qu'est ce qu'on avait fait papoter et s'empiffrer, pas une danse effrénée, pas un slow dans des bras bien blotti, sur la danse floor, mon dieu que je détestais ce genre de soirée, il faut dire que le choix des partenaires était limite, soit ils étaient accompagnés, ou soit la plupart était inintéressant, rien a se mettre sur la dent comme dirait shelley. on se dit que dans ce genre de soirée ou la salle est rempli de monde on trouvera chaussure à son pied mais, la quantité n'est pas un gage de qualité, lla plupart des gens dans la salle était des politiciens, des hommes d'affaires, des gens du cinéma et...Et la parmi tout ce peuple se tenait dans toute sa laideur l'épouvantable, l'infâme, léa Cromwell, celle qui de sa plume acide, écorchait les noms défaisait les réputations, provoquait le scandale, cette femme était l'opprobre de sa profession, elle ne respectait absolument rien, se moquait éperdument du mal qu'elle pouvait faire, elles s'étaient fait tellement d'ennemis qu'elle était souvent l'objet de quolibets"Eh bien qu'ils me haîssent du moment qu'ils me craignent se formulait-elle à dire. Je fus interrompu dans mes pensées par shirley qui me tapota sur l'épaule.
- Qui observes-tu avec tant d'attention.
- L'ignoble Léa Cromwell, dis-je avec dégoût
.
- Oh la diablesse accompagnée de sa horde de démons. Je suis surprise que personne ne lui est sauté dessus pour l'étrangler.
-Tu aurais du voir la tête des gens quand elle est arrivée. je me demande comment a t-elle réussi à se faire inviter ?
Shirley me piqua une mina-pizza et la porta à sa bouche.
- Elle a du soudoyer quelqu'un. Que crois-tu qu'elle soit venue faire à cette soirée ?
- Sûrement pas goûter aux petits fours. La seule raison qui est poussée Léna à venir c'est la pêche aux informations.
- Qui aura le malheur pour son plus grand bonheur à elle d'être pris dans ses filets ?
- Qui te dit qu'elle se contentera d'un seul poisson rétorquai je ?
- Tu as raison avec tout le gratin qu'il y'a ce soir, elle serait tentée par la pêche au gros.
J'observais Léna Cromwell discrètement, cette femme ne manquait vraiment pas d'audace, se jeter dans la mare aux crocodiles. Je me demandais comment arriverait-elle à subtiliser les derniers cancans, puisque chaque personne dans la salle se méfiait d'elle, allait-elle envoyer un de ses sous-fifres ? Non impossible oserait-elle faire le sale boulot elle-même, non improbable. Alors comment allait-elle procéder ? Sa présence ici n'était pas fortuite, se montrer à découvert ce n'était pas son style, mais il est vrai qu'elle avait le don d'innover. Mes yeux étaient maintenant rivé sur sa robe fourreau qu'il lui collait comme une seconde peau, mettant en valeur ses formes harmonieuses. Même si on détestait Miss Cromwell, on devait avoué qu'elle savait se mettre en valeur, son maquillage, sa coiffure était toujours impeccable, sa garde-robe et ses bijoux étaient choisis avec goût, preuve, le magnifique bijou africain quelle portait fait de perles de verre, et que j'avais admirée quelques jours auparavant dans une vitrine.
- Superbe, non déclara Shirley.
- Et dire que je voulais m'acheter le même
- Je parle de la robe
- Je parle du collier
Shirley se passa une main dans les cheveux.
- Il faut avouer qu'elle a du style.
- Ce qui n'est pas le cas de son écriture, répliquais-je.
- Tu crois qu'elle le sait, dit shirley amusée.
Je me contenta d'hausser les épaules.
- Si je devais formulée un voeu pour ce soir, c'est surtout qu'elle m'ignore. Ne restons pas là allons au fond de la salle.
Malheureusement mon voeu n'allait pas être exaucé. Je m'apprêtais à faire un pas, lorsque j'entendis mon nom
"Mélanie Hayward " claironna Léa Cromwell.
Je serra les poings et baissa la tête.
- Que dieu me préserve
Shirley se pencha et me murmura à l'oreille
- Je crains que tu sois sa première victime.
- Je crains de commettre mon premier meurtre.
Je me retourna lentement prête à affronter la diablesse, elle se tenait là, une main sur la taille affichant un sourire vipérin prête à cracher son venin.
- Comment allez-vous me dit-elle en m'observant de la tête aux pieds.
- Oh très bien ! répondis-je en me forçant à sourire et rajouta : juste avant votre venue.
Léa ne releva pas la remarque et continua sur sa lancée
- Je suis surprise de vous voir ici, les soirées mondaines ce n'est pas votre truc
- Je suis surprise de vous y voir vous, lançais-je croisant les bras? vous jeter dans la gueule du loup ce n'est pas la meilleure idée que vous ayez eu. La plupart des gens dans cette salle vous déteste.
- J'ai toujours aimé le risque, dit elle en haussant les épaules, et je n'ai jamais cherché à me faire aimer, la vie serait trop ennuyeuse... Oh et puis étant donner que vous êtes là je voulais vous dire une chose essentielle pour votre carrière, car je sais que que vous ne lisez pas mes rubriques, votre dernier défilé était absolument....absolument
Je me suis dit ne reste pas plantée là, mélange-toi aux autres, même si tu n’as rien à dire tu n’a qu’à écouter, mais dès que j’essayais de m’approcher d’un groupe, j’étais automatiquement le sujet de conversation toujours les mêmes questions qui pleuvaient. Alors tu n’as toujours pas rencontrer quelqu’un ? Quand est-ce que tu vas te marier ? Dans trois ans tu auras 30 ans, le temps passe vite alors qu’Est-ce que tu attends ?
J’avais l’impression qu’on m’agressait et le seul moyen d’échapper à ce flot de violence était soit de répliquer ou bien de m’enfuir je choisis la deuxième solution, Shirley ma meilleure amie me regardait amusée de l’autre côté de la salle, je la rejoignis en quelques enjambées.
- Alors tu as pu enfin te sortir des griffes de l’invincible armada, lança-t-elle.
- Dis donc tu aurais pu m’aider, tu n’as pas vu les signes de détresse que je t’envoyais, lui répondis-je.
- Non mais tu es une grande fille, je savais que tu t’en sortirai, tu a dû leur envoyer des piques dont tu as le secret.
6 tu parles, je n’ai rien dit. Je me suis conduit comme une lâche.
Shirley fronça les sourcils.
Tiens ce n’est pas dans ton habitude.
- Je n’avais nullement envie de répondre c’est une perte de temps, demande moi pourquoi je suis venue à cette soirée.
- Pourquoi est-tu venue à cette soirée ?
- Je n’en sais rien du tout, mais je finirai par le savoir. J’aurai du rester chez moi devant la télé à me taper Tom Cruise et un bol de pop corn.
- Tom Cruise il est déjà pris, il se tape Katie Holmes.
- On a le droit de fantasmer juste le temps d’ 1H30;
Je n’avais encore rien mangée de toute la soirée et décida de m’approcher du buffet et piqua 2 feuillets saucisses, 2 mini-croissants aux fromages, 2 mini pizzas, deux canapés au caviar, 2 canapés au beurre de crevettes et un verre de champagne.
- Shelley contempla mon assiette avec écoeurement
- Si tu continue tu va péter les coutures de ta robe
- Je m'ennuie, donc je m'en piffre
- je ne veux pas t'entendre dire après que "je gonfle comme une baudruche."
Je décida de changer de conversation.
- dis moi dan ne devait pas t'accompagner
- Euh bien si mais
- Elle resta silencieuse pendant cinq secondes en se mordant la langue
- mais quoi lui répondis je ?
- Ce salaud m'a laissé tombé pour une pétasse décolorée qui ne sait même pas que le soleil se lève à lest
- Non
- si ! Et là de but en blanc 'elle imita sa voix ( c'est plus fort que moi , je ne peux pas me contenter d'une seule, je ne suis pas quelqu'un de stable.
- Je savais qu'il était bancal mais pas à ce point là.
J'écoutais attentivement mon amie et franchement je ne la comprenais pas.
- Si tu le savais pourquoi tu ne la pas quitté
- Eh bien parce que je pensais le changer.
- Cela c'était shelley tout cracher
- Toi et ta manière de changer tout le monde. Regarde il est tombée amoureuse une autre.
- Oh mais il ne tombe pas il saute ..;Oh car je t'ai pas tout dis il y'a pire, il a une préférence pour les européennes.
- Eh pourquoi il est sortie avec toi.
- J'étais une sorte d'escale, le temps d'attendre mieux.
Etait atterrée par ce que je venais d'entendre
- Ce mec est complètement malade
- Je lui ai dis je ne suis pas européenne mais ma grand-mère était italienne
- Et ?
- Cet imbécile préfère le nec plus ultra le cent pour cent, le made in Europe
je déposai ma main sur le front
- Je suis contente qu'il ai larguée les amarres pour aller dans un autre port répondis-je
Je prie mon amie par les épaules avec affection
- Ca va tu n'es pas trop malheureuse
- Absolument pas..
Elle baissa les yeux
c'est que j'en ai marre de tomber sur des sales types...et ij'ai découvert autre chose pas de très joli sur son compte.
Combien de chose j'allais encore apprendre sur ce minable
- Il note ses performances au lit dans un petit carnet agrémenté de quelques commentaires
- Je le crois pas
- Crois-le
Une question me trottinait dans la tête
- Tu est sur sa liste
Les tics de mon amie je les connaissais par coeur, quand elle se caressait le sourcil c'est que cela voulait dire oui.
- Il t'a mis combien ?
Shelley se massa le poignet
Je ne connaissais pas ce tic, c'était nouveau donc impossible à déchiffrer.
Alors ? inistais-je.
- Ce crétin m'a mis 10 sur 20
- Ce n'est pas mal ironisais-je.
Mon amie me fusilla du regard
- Tu plaisante, cela ne veut rien dire, entre 0 et 5 tu sais que tu est nulle entre 12 et 15 pas trop mal entre 15 et 20 très bien, mais 10, 10 c'est c'est le milieu, tu n'est casée nulle part, tu est entre le mauvais et le bien, tu sais c'est comme la pomme qu’on coupe en deux et il reste le trognon, je suis le trognon.
- Ce type est une espèce de déchet, un détritus, comment peut-on faire des choses pareilles.
- Oui c'est vrai je connais pourtant toutes les positions du kamasutra.
- Crois-tu que cela soit une question de position, tu a été peut-être un peu trop tigresse et pas assez panthère
- Quelle est la différence ?
A vrai dire je n'en savais rien, mais pour la rassurer je sortis .
- Trop de griffes,trop de morsures d'oreilles, cela c'est la panthère, pas assez de douceur, de tendresse comme la panthère
- Shelley secoua la tête
- Tu dis vraiment n'importe quoi
J'approuvais en dodelinant du chef
- On parle plus de cela me répondit-elle. Cela me donne envie de gerber
Et pour en finir là elle prit une montagne de petits fours prit une grosse part de gâteau dans les mains d'un homme grand maigre et moustachu qui venait de se servir et qui lança "au vol""
- Il m'a larguée justifia shelley d'une petite voix triste
- Oh je comprends alors ! Ah les hommes tous des salauds
- Je vous le fais pas dire !
Le moustachu jeta un coup d'oeil à son assiette
- Vous avez l'intention de manger tout cela ?
- oui et je m'attaquerai ensuite à la mousse de saumon, aux avocats farcis, a tout ce qu'il y'a sur la table et à tous ce que les invitées ne voudront plus.
- Ah ! répondit-il
Mon amie commençait à perdre pied et comme à l'habitude j'intervenais pour la sauver du naufrage
Mon amie commençait à perdre pied et comme à l'habitude j'intervenais pour la sauver du naufrage
- Surtout ne faites pas attention à ce qu'elle dit
je pris mon amie par les épaules.
- J'essaye, surtout qu'elle ne vomit pas sur la moquette.
- Oh vous vous êtes vraiment chou, il s'en fait pour moi tu a entendu cela ?
L'homme lança un dernier regard amusé et se fondit dans la foule. J'enleva les deux assiettes de ses mains et la serra sur mon épaule
- Tu va pas te mettre à chialer.
- si je crois que les robinets vont s'ouvrir.
- Mais non reprends toi bon sang.
Je l'obligea à se redresser et à me regarder dans les yeux.
- Tu sais je t'ai pas dit je lui ai cassé la figure
- j'espères que tu a bien visé
- en plein dans l'oeil
- bien fait ca va lui gâcher ça séance photo si on se concentrait maintenant sur la soirée.
Je jeta un coup d'oeil il était déjà minuit, et qu'est ce qu'on avait fait papoter et s'empiffrer, pas une danse effrénée, pas un slow dans des bras bien blotti, sur la danse floor, mon dieu que je détestais ce genre de soirée, il faut dire que le choix des partenaires était limite, soit ils étaient accompagnés, ou soit la plupart était inintéressant, rien a se mettre sur la dent comme dirait shelley. on se dit que dans ce genre de soirée ou la salle est rempli de monde on trouvera chaussure à son pied mais, la quantité n'est pas un gage de qualité, lla plupart des gens dans la salle était des politiciens, des hommes d'affaires, des gens du cinéma et...Et la parmi tout ce peuple se tenait dans toute sa laideur l'épouvantable, l'infâme, léa Cromwell, celle qui de sa plume acide, écorchait les noms défaisait les réputations, provoquait le scandale, cette femme était l'opprobre de sa profession, elle ne respectait absolument rien, se moquait éperdument du mal qu'elle pouvait faire, elles s'étaient fait tellement d'ennemis qu'elle était souvent l'objet de quolibets"Eh bien qu'ils me haîssent du moment qu'ils me craignent se formulait-elle à dire. Je fus interrompu dans mes pensées par shirley qui me tapota sur l'épaule.
- Qui observes-tu avec tant d'attention.
- L'ignoble Léa Cromwell, dis-je avec dégoût
.
- Oh la diablesse accompagnée de sa horde de démons. Je suis surprise que personne ne lui est sauté dessus pour l'étrangler.
-Tu aurais du voir la tête des gens quand elle est arrivée. je me demande comment a t-elle réussi à se faire inviter ?
Shirley me piqua une mina-pizza et la porta à sa bouche.
- Elle a du soudoyer quelqu'un. Que crois-tu qu'elle soit venue faire à cette soirée ?
- Sûrement pas goûter aux petits fours. La seule raison qui est poussée Léna à venir c'est la pêche aux informations.
- Qui aura le malheur pour son plus grand bonheur à elle d'être pris dans ses filets ?
- Qui te dit qu'elle se contentera d'un seul poisson rétorquai je ?
- Tu as raison avec tout le gratin qu'il y'a ce soir, elle serait tentée par la pêche au gros.
J'observais Léna Cromwell discrètement, cette femme ne manquait vraiment pas d'audace, se jeter dans la mare aux crocodiles. Je me demandais comment arriverait-elle à subtiliser les derniers cancans, puisque chaque personne dans la salle se méfiait d'elle, allait-elle envoyer un de ses sous-fifres ? Non impossible oserait-elle faire le sale boulot elle-même, non improbable. Alors comment allait-elle procéder ? Sa présence ici n'était pas fortuite, se montrer à découvert ce n'était pas son style, mais il est vrai qu'elle avait le don d'innover. Mes yeux étaient maintenant rivé sur sa robe fourreau qu'il lui collait comme une seconde peau, mettant en valeur ses formes harmonieuses. Même si on détestait Miss Cromwell, on devait avoué qu'elle savait se mettre en valeur, son maquillage, sa coiffure était toujours impeccable, sa garde-robe et ses bijoux étaient choisis avec goût, preuve, le magnifique bijou africain quelle portait fait de perles de verre, et que j'avais admirée quelques jours auparavant dans une vitrine.
- Superbe, non déclara Shirley.
- Et dire que je voulais m'acheter le même
- Je parle de la robe
- Je parle du collier
Shirley se passa une main dans les cheveux.
- Il faut avouer qu'elle a du style.
- Ce qui n'est pas le cas de son écriture, répliquais-je.
- Tu crois qu'elle le sait, dit shirley amusée.
Je me contenta d'hausser les épaules.
- Si je devais formulée un voeu pour ce soir, c'est surtout qu'elle m'ignore. Ne restons pas là allons au fond de la salle.
Malheureusement mon voeu n'allait pas être exaucé. Je m'apprêtais à faire un pas, lorsque j'entendis mon nom
"Mélanie Hayward " claironna Léa Cromwell.
Je serra les poings et baissa la tête.
- Que dieu me préserve
Shirley se pencha et me murmura à l'oreille
- Je crains que tu sois sa première victime.
- Je crains de commettre mon premier meurtre.
Je me retourna lentement prête à affronter la diablesse, elle se tenait là, une main sur la taille affichant un sourire vipérin prête à cracher son venin.
- Comment allez-vous me dit-elle en m'observant de la tête aux pieds.
- Oh très bien ! répondis-je en me forçant à sourire et rajouta : juste avant votre venue.
Léa ne releva pas la remarque et continua sur sa lancée
- Je suis surprise de vous voir ici, les soirées mondaines ce n'est pas votre truc
- Je suis surprise de vous y voir vous, lançais-je croisant les bras? vous jeter dans la gueule du loup ce n'est pas la meilleure idée que vous ayez eu. La plupart des gens dans cette salle vous déteste.
- J'ai toujours aimé le risque, dit elle en haussant les épaules, et je n'ai jamais cherché à me faire aimer, la vie serait trop ennuyeuse... Oh et puis étant donner que vous êtes là je voulais vous dire une chose essentielle pour votre carrière, car je sais que que vous ne lisez pas mes rubriques, votre dernier défilé était absolument....absolument
marilyn- Nombre de messages : 82
Age : 57
Date d'inscription : 27/12/2007
Re: Ma mère et moi
votre dernier défilé était absolument....absolument
elle se mit à claquer des doigts
- c'est quoi le nom déjà, dit-elle en s'adressant aux hommes qui l'accompagnait
l'un des quatre la chevelure noire lustré retenu par un catogan se pencha et lui murmura quelque chose à l'oreille.
- Absolument ! répondit-elle lapidaire. c'est le mot que je cherchais
je la regardais les bras croisés, prête à l'étrangler pour que je n'entende pas ce qu'elle allait prononcé, mais elle dégaina plus vite que moi et son tir pouvait toucher droit au coeur.
- Médiocre, absolument médiocre, dit-elle en se délectant , c'était d'une tristesse. Ma chère vous devriez penser à vous recyclé, vous n'avez aucun avenir dans ce métier.
Elle n'avait pas manqué sa cible, Le tir qu'elle venait de me lancer me fit bouillir ultérieurement. Pour calmer se feu qui me prenait aux tripes, je me tourna vers mon amie pensant voir un geste, me lancer une phrase du genre" tu vas l'avoir " mais celle-ci me lança un simple " oups " qui voulait dire navré pour toi. Que devais-je faire ? Laissé échapper la soupape ? ce qui me devrait des applaudissements de la part de toute l'assistance, mais je préféra la deuxième solution qui était la retenue, tant pis pour le bain de sang ce serait pour une autre fois, j'allais me contenter de la mettre au tapis verbalement.
- Je ne suis absolument pas touchée par ce que vous dites menti-je
Léa fit une moue de désapprobation
- Tout ce que vous écrivez, dans votre feuille de chou n'a rien avoir avec le métier de journaliste, ce n'est pas de la critique c'est de la méchanceté, alors puisque vous vous complaisez là dedans, il serait normale que vous en receviez une bonne dose, non. Attachez votre ceinture parce que cela va vous secouer.
Je regardais autour de moi, la musique avait cessé, les gens dans la salle n'avait plus le désir de manger, ou de danser,mais de voir si je réussirai à mettre ko Léa Cromwell. Je respira un bon coup me frotta les mains et lança mon fiel :
Vous vous croyez nanti d'une haute mission sur terre, c'est-à-dire foutre la vie des gens en l'air, les humilier(je pris une pause) je le crois aussi, après tout votre vie est tellement insignifiante. Vous n'avez pas d'amis, personne a qui vous confier,. vous n'avez aucun talent,même votre façon d'écrire est exécrable, on se fait remarquer comme on peu. Pour finir je vais vous faire un aveu, j'adorerai écrire un papier sur vous, je fouillerai votre vie comme vous fouillez celle des autres, je trouverais sûrement des squelettes dans vos placards, des secrets enfouis dans vos tiroirs, je vous ferai surveillez jour et nuit. Je suis sur qu'avec la personnalité que vous avez cela ne doit pas être joli, joli. Vous vous intéressez à moi je vais m'intéresser à vous.
Je la regardais se tordre les doigts et, le rouge lui monter aux joues et je sentis un plaisir immense m'envahir, elle voulut répliquer mais je fut plus rapide pour une fois.
- Oh vous vouliez peut-être me dire que je devrai m'en tenir à tailler des robes, mais j'adorai vous tailler en pièces.
La Salle se mit à rire et je me joignis à leur hilarité.
- Après tout si vous arrivez à écrire , j'y arriverai aussi je ne serai pas plus mauvaise que vous.
Son visage devint livide
- Oh Je crois que...vous allez perdre votre sang-froid
Léna Cromwell va sortir de ses gongs criai-je à la foule
Et toute la salle lança un Ooooh ! à l'unisson. Il n'était pas question pour Léna se laisser bouffer tout cru, il en coûtait de son honneur, ne s'est-elle pas sorti des situations dangereuses,( menaces de mort, lynchage
situations scabreuses ( se déguiser pour prendre des photos volés, rentrer par infraction pour dénicher des informations. Eh bien non elle se laisserait pas démonter par tous ces imbéciles). Mais lorsqu'elle ouvrit la bouche pour parler aucun son ne sortit, elle posa une main sur sa poitrine pour se donner un peu de contenance et essaya de nouveau mais rien n'y fit, et m'amusa de la scène
elle se mit à claquer des doigts
- c'est quoi le nom déjà, dit-elle en s'adressant aux hommes qui l'accompagnait
l'un des quatre la chevelure noire lustré retenu par un catogan se pencha et lui murmura quelque chose à l'oreille.
- Absolument ! répondit-elle lapidaire. c'est le mot que je cherchais
je la regardais les bras croisés, prête à l'étrangler pour que je n'entende pas ce qu'elle allait prononcé, mais elle dégaina plus vite que moi et son tir pouvait toucher droit au coeur.
- Médiocre, absolument médiocre, dit-elle en se délectant , c'était d'une tristesse. Ma chère vous devriez penser à vous recyclé, vous n'avez aucun avenir dans ce métier.
Elle n'avait pas manqué sa cible, Le tir qu'elle venait de me lancer me fit bouillir ultérieurement. Pour calmer se feu qui me prenait aux tripes, je me tourna vers mon amie pensant voir un geste, me lancer une phrase du genre" tu vas l'avoir " mais celle-ci me lança un simple " oups " qui voulait dire navré pour toi. Que devais-je faire ? Laissé échapper la soupape ? ce qui me devrait des applaudissements de la part de toute l'assistance, mais je préféra la deuxième solution qui était la retenue, tant pis pour le bain de sang ce serait pour une autre fois, j'allais me contenter de la mettre au tapis verbalement.
- Je ne suis absolument pas touchée par ce que vous dites menti-je
Léa fit une moue de désapprobation
- Tout ce que vous écrivez, dans votre feuille de chou n'a rien avoir avec le métier de journaliste, ce n'est pas de la critique c'est de la méchanceté, alors puisque vous vous complaisez là dedans, il serait normale que vous en receviez une bonne dose, non. Attachez votre ceinture parce que cela va vous secouer.
Je regardais autour de moi, la musique avait cessé, les gens dans la salle n'avait plus le désir de manger, ou de danser,mais de voir si je réussirai à mettre ko Léa Cromwell. Je respira un bon coup me frotta les mains et lança mon fiel :
Vous vous croyez nanti d'une haute mission sur terre, c'est-à-dire foutre la vie des gens en l'air, les humilier(je pris une pause) je le crois aussi, après tout votre vie est tellement insignifiante. Vous n'avez pas d'amis, personne a qui vous confier,. vous n'avez aucun talent,même votre façon d'écrire est exécrable, on se fait remarquer comme on peu. Pour finir je vais vous faire un aveu, j'adorerai écrire un papier sur vous, je fouillerai votre vie comme vous fouillez celle des autres, je trouverais sûrement des squelettes dans vos placards, des secrets enfouis dans vos tiroirs, je vous ferai surveillez jour et nuit. Je suis sur qu'avec la personnalité que vous avez cela ne doit pas être joli, joli. Vous vous intéressez à moi je vais m'intéresser à vous.
Je la regardais se tordre les doigts et, le rouge lui monter aux joues et je sentis un plaisir immense m'envahir, elle voulut répliquer mais je fut plus rapide pour une fois.
- Oh vous vouliez peut-être me dire que je devrai m'en tenir à tailler des robes, mais j'adorai vous tailler en pièces.
La Salle se mit à rire et je me joignis à leur hilarité.
- Après tout si vous arrivez à écrire , j'y arriverai aussi je ne serai pas plus mauvaise que vous.
Son visage devint livide
- Oh Je crois que...vous allez perdre votre sang-froid
Léna Cromwell va sortir de ses gongs criai-je à la foule
Et toute la salle lança un Ooooh ! à l'unisson. Il n'était pas question pour Léna se laisser bouffer tout cru, il en coûtait de son honneur, ne s'est-elle pas sorti des situations dangereuses,( menaces de mort, lynchage
situations scabreuses ( se déguiser pour prendre des photos volés, rentrer par infraction pour dénicher des informations. Eh bien non elle se laisserait pas démonter par tous ces imbéciles). Mais lorsqu'elle ouvrit la bouche pour parler aucun son ne sortit, elle posa une main sur sa poitrine pour se donner un peu de contenance et essaya de nouveau mais rien n'y fit, et m'amusa de la scène
marilyn- Nombre de messages : 82
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Date d'inscription : 27/12/2007
Re: Ma mère et moi
Léa Cromwell me fait penser au personage "le diable s'habille en Prada".
Numériplume- Nombre de messages : 543
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Localisation : Au-delà des dunes
Date d'inscription : 31/10/2007
Re: Ma mère et moi
suite ma mère et moi
- Alors on ne dit plus rien dit une voix d'homme
- Vous avez trouvez quelqu'un qui ne mâche pas ces mots dit une voix féminine
- Qui l'aurait cru, dit un homme à côté de moi
un brouhaha de voix se fit entendre dont je pus entendre quelques bribes, "bien fait pour elle" elle l'a cherchée", "elle réfléchira à deux fois"
Léna voyant que pour une fois elle ne sortirait pas vainqueur du combat jeta l'éponge et se contenta de lancer un pfft qui pour moi voulait dire "vous ne valez pas la peine que je réponde". Elle se détourna suivit de ses petits soldats et quitta rapidement la salle. Shirley et moi levèrent les bras en l'air, crièrent de joie pour atterrir ensuite dans les bras l'une de l'autre, tandis que la salle m'applaudit à tout rompre. Je fis un petit tour sur moi-même, ensuite une révérence.
- Merci, Merci, le diable étant parti on peut s'amuser maintenant, criai-je.
J'écarta la foule de mes mains prit mon amie par le bras pour que l'on puisse arriver au centre de la salle.
- Tu.. tu ...veux danser, balbutia Shirley
- Bien sûr.
- Je croyais que tu t'ennuyais.
- Tu plaisantes, rien de mieux qu'une petite humiliation à ton pire ennemi en public pour te revigorer, oh quel dommage qu'on est pas immortalisé ce moment.
- Oui quel dommage ! nous n'aurons que nos souvenirs
la musique se remit à jouer, entamant une chanson des bee gees
- Oh "Night fever" j'adore cette musique, m'exclamai-je en croisant les mains sur mon coeur.
- On se là joue Travolta ? dit shirley
- Et c'est partie pour la fièvre du samedi soir
On se mit à virevolter à se déchaîner sur la piste de danse, me connaissant j'étais prête à rentrer au petit matin.
____________________________________
2
J'étais là allonger, sur le sable fin me faisant dorer par un soleil à son zénith, quand un inconnu surgit beau comme un dieu au dessus de moi, il me sourit et me dit "bonjour belle inconnue "et je répondit "salut dieu des mers "et là sans rien ajouter il me prit par le bras, me plaqua contre son torse musclé, m'hypnotisa de son regard bleu et prit goulûment mes lèvres ce qui me mit de l'électricité dans tout le corps. C'est alors que je fus pris d'une fougue et répondis ardemment à ses baisers fourra mes doigts dans ses cheveux et m'agrippa à lui comme une liane. ses mains se firent caressantes et coquines et là ne pouvant plus il m'allongea sur le sable faisant danser mon corps sur ses mains habiles. Tandis que les vagues venaient nous caresser. Il alla dégrafer mon haut lorsqu'une sonnerie retentit driiiiiiiiiing ! Comment cela une sonnerie, qu'est-ce qu'une sonnerie venait faire dans cette histoire. J'ouvris les yeux brusquement obliqua de gauche à droite et zut ! je n'étais pas sur la plage mais dans ma chambre. Quel est l'imbécile qui avait osé me réveiller ? Moi qui était si bien dans les bras du dieu des mers, me prenant pour deborah Kerr dans une scène dans tant qu'il y'aura des hommes. Driiiiiiiiiiiiiiiing ! Mais ce qu'il insiste l'imbécile, je redressa le buste, pour jeter un coup d'oeil à mon réveil : 7 h 00 du matin, 7 h 00 du matin ! criai-je. Qui osait interrompre mon sommeil dominical. Quel imbécile, quel tordu du cerveau osait un tel sacrilège. Je tira le drap m'apprêtait à poser un pied par terre quand je réalisa que l'imbécile, la tordu du cerveau c'était ma mère. Je pris ma tête entre mes mains et poussa un cri à faire trembler les murs, combien de fois lui ai-je dit de ne pas venir les week-end a une heure aussi matinale, combien de fois je lui ai dit de limiter ses visites à 2 jours par semaine, de ne pas téléphoner tous les jours. Une centaine de fois, mais ma mère se évertuait à faire tout le contraire de ce que je lui disait, ce qui mettait mes nerfs à dure épreuve et bien pour une fois sera sont tour, après tout ce n'est pas toujours les mêmes qui doivent souffrir. Je prit tout mon temps me dirigea vers la salle de bains me frictionna le visage d'eau froide pour effacer les affres de la nuit. Je me coiffa d'une lenteur exagérée, tandis que ma mère exaspérée continua avec insistance à garder le doigt sur la sonnerie. J'imaginais la tête de ma mère elle devait être verte de rage. Pensez-vous que j'aurai pitié et daignerait lui ouvrir. Et bien non, je voulais la laisser mijoter encore un petit peu, j'alluma la radio et me mis à danser et chantonner sur l'air de don't be cruel d'elvis presley. j'avais besoin de me défouler avant d'affronter ma mère, je descendrai dans trois minutes. Malheureusement elle ne m'en laissa pas le temps, car elle s'attaquait cette fois-ci à la porte à coups de poings redoublés. Mais c'est qu'elle va la défoncer! j'éteignis la radio descendis rapidement les marches, ouvrit la porte brusquement. Ma mère. Aussi bruyante qu'un troupeau d'éléphants et aussi encombrante que les cartons qui se trouvaient dans mon salon. Elle ne bougea pas d'un pouce, mais me lança un regard noir qui en disait long. Elle rentra sans dire un mot déposa ses paquets sur une chaise , jeta un coup d'oeil dans la pièce, tandis que j'attendis qu'elle daigne me parler, elle se décida au bout de quelques secondes.
- Te rends tu comptes que cela fait 10 minutes que je suis en train d'attendre.
- Oh vraiment la prochaine fois tu risques d'attendre encore plus longtemps osais-je lui dire.
- Comment oses tu tenir de tel propos à ta propre mère.
Je sentais que j'allais avoir droit à son petit discours habituel.
Elle enleva son chapeau noir et blanc qu'elle déposa soigneusement sur la table et réajusta son chignon,et pris une pose solennelle .
- Tu devrais être heureuse d'avoir une mère qui pense souvent à toi qui sacrifie ses heures de sommeil pour venir te voir.
- Oh mais je ne demande pas un tel sacrifice
- Alors on ne dit plus rien dit une voix d'homme
- Vous avez trouvez quelqu'un qui ne mâche pas ces mots dit une voix féminine
- Qui l'aurait cru, dit un homme à côté de moi
un brouhaha de voix se fit entendre dont je pus entendre quelques bribes, "bien fait pour elle" elle l'a cherchée", "elle réfléchira à deux fois"
Léna voyant que pour une fois elle ne sortirait pas vainqueur du combat jeta l'éponge et se contenta de lancer un pfft qui pour moi voulait dire "vous ne valez pas la peine que je réponde". Elle se détourna suivit de ses petits soldats et quitta rapidement la salle. Shirley et moi levèrent les bras en l'air, crièrent de joie pour atterrir ensuite dans les bras l'une de l'autre, tandis que la salle m'applaudit à tout rompre. Je fis un petit tour sur moi-même, ensuite une révérence.
- Merci, Merci, le diable étant parti on peut s'amuser maintenant, criai-je.
J'écarta la foule de mes mains prit mon amie par le bras pour que l'on puisse arriver au centre de la salle.
- Tu.. tu ...veux danser, balbutia Shirley
- Bien sûr.
- Je croyais que tu t'ennuyais.
- Tu plaisantes, rien de mieux qu'une petite humiliation à ton pire ennemi en public pour te revigorer, oh quel dommage qu'on est pas immortalisé ce moment.
- Oui quel dommage ! nous n'aurons que nos souvenirs
la musique se remit à jouer, entamant une chanson des bee gees
- Oh "Night fever" j'adore cette musique, m'exclamai-je en croisant les mains sur mon coeur.
- On se là joue Travolta ? dit shirley
- Et c'est partie pour la fièvre du samedi soir
On se mit à virevolter à se déchaîner sur la piste de danse, me connaissant j'étais prête à rentrer au petit matin.
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2
J'étais là allonger, sur le sable fin me faisant dorer par un soleil à son zénith, quand un inconnu surgit beau comme un dieu au dessus de moi, il me sourit et me dit "bonjour belle inconnue "et je répondit "salut dieu des mers "et là sans rien ajouter il me prit par le bras, me plaqua contre son torse musclé, m'hypnotisa de son regard bleu et prit goulûment mes lèvres ce qui me mit de l'électricité dans tout le corps. C'est alors que je fus pris d'une fougue et répondis ardemment à ses baisers fourra mes doigts dans ses cheveux et m'agrippa à lui comme une liane. ses mains se firent caressantes et coquines et là ne pouvant plus il m'allongea sur le sable faisant danser mon corps sur ses mains habiles. Tandis que les vagues venaient nous caresser. Il alla dégrafer mon haut lorsqu'une sonnerie retentit driiiiiiiiiing ! Comment cela une sonnerie, qu'est-ce qu'une sonnerie venait faire dans cette histoire. J'ouvris les yeux brusquement obliqua de gauche à droite et zut ! je n'étais pas sur la plage mais dans ma chambre. Quel est l'imbécile qui avait osé me réveiller ? Moi qui était si bien dans les bras du dieu des mers, me prenant pour deborah Kerr dans une scène dans tant qu'il y'aura des hommes. Driiiiiiiiiiiiiiiing ! Mais ce qu'il insiste l'imbécile, je redressa le buste, pour jeter un coup d'oeil à mon réveil : 7 h 00 du matin, 7 h 00 du matin ! criai-je. Qui osait interrompre mon sommeil dominical. Quel imbécile, quel tordu du cerveau osait un tel sacrilège. Je tira le drap m'apprêtait à poser un pied par terre quand je réalisa que l'imbécile, la tordu du cerveau c'était ma mère. Je pris ma tête entre mes mains et poussa un cri à faire trembler les murs, combien de fois lui ai-je dit de ne pas venir les week-end a une heure aussi matinale, combien de fois je lui ai dit de limiter ses visites à 2 jours par semaine, de ne pas téléphoner tous les jours. Une centaine de fois, mais ma mère se évertuait à faire tout le contraire de ce que je lui disait, ce qui mettait mes nerfs à dure épreuve et bien pour une fois sera sont tour, après tout ce n'est pas toujours les mêmes qui doivent souffrir. Je prit tout mon temps me dirigea vers la salle de bains me frictionna le visage d'eau froide pour effacer les affres de la nuit. Je me coiffa d'une lenteur exagérée, tandis que ma mère exaspérée continua avec insistance à garder le doigt sur la sonnerie. J'imaginais la tête de ma mère elle devait être verte de rage. Pensez-vous que j'aurai pitié et daignerait lui ouvrir. Et bien non, je voulais la laisser mijoter encore un petit peu, j'alluma la radio et me mis à danser et chantonner sur l'air de don't be cruel d'elvis presley. j'avais besoin de me défouler avant d'affronter ma mère, je descendrai dans trois minutes. Malheureusement elle ne m'en laissa pas le temps, car elle s'attaquait cette fois-ci à la porte à coups de poings redoublés. Mais c'est qu'elle va la défoncer! j'éteignis la radio descendis rapidement les marches, ouvrit la porte brusquement. Ma mère. Aussi bruyante qu'un troupeau d'éléphants et aussi encombrante que les cartons qui se trouvaient dans mon salon. Elle ne bougea pas d'un pouce, mais me lança un regard noir qui en disait long. Elle rentra sans dire un mot déposa ses paquets sur une chaise , jeta un coup d'oeil dans la pièce, tandis que j'attendis qu'elle daigne me parler, elle se décida au bout de quelques secondes.
- Te rends tu comptes que cela fait 10 minutes que je suis en train d'attendre.
- Oh vraiment la prochaine fois tu risques d'attendre encore plus longtemps osais-je lui dire.
- Comment oses tu tenir de tel propos à ta propre mère.
Je sentais que j'allais avoir droit à son petit discours habituel.
Elle enleva son chapeau noir et blanc qu'elle déposa soigneusement sur la table et réajusta son chignon,et pris une pose solennelle .
- Tu devrais être heureuse d'avoir une mère qui pense souvent à toi qui sacrifie ses heures de sommeil pour venir te voir.
- Oh mais je ne demande pas un tel sacrifice
marilyn- Nombre de messages : 82
Age : 57
Date d'inscription : 27/12/2007
Re: Ma mère et moi
Quelques petites remarques:
- 2 feuillets saucisses, 2 mini-croissants aux fromages, 2 mini pizzas, deux canapés au caviar, 2 canapés au beurre de crevettes et un verre de champagne.
A mes yeux, cela n'apporte rien d'avoir cette avalanche de détails.
- une relecture orthographique pourrait aider, pour les fautes (beaucoup), pour les mots qui sautent...
- les dialogues me paraissent assez creux. Tu m'as dit dans le fil "un serment" que les dialogues ne pouvaient pas être tout le temps percutants. Certes, mais tout de même... lorsqu'un récit est essentiellement basé sur eux, il importe que les dialogues soient puissants et apportent de la vie, de l'action, de l'émotion, bref quelque chose qui donne du corps au récit. Je n'ai pas ressenti cela ici.
- de manière générale, je trouve que tu te focalises parfois sur de petits détails quand elle parlent, des microtrucs qui apportent peu et alourdissent le récit. L'impression que ça jacasse un peu trop de futilités, ça dessert le texte.
Bref, je sais que je ne suis pas le meilleur public pour ce genre de textes proches de la comédie sentimentale mais tout de même, il me semble qu'il y a beaucoup de superficialité dans tout cela et que ça donne une sensation de longueur qui masque les qualités d'écriture.
Avis perso bien entendu!
- 2 feuillets saucisses, 2 mini-croissants aux fromages, 2 mini pizzas, deux canapés au caviar, 2 canapés au beurre de crevettes et un verre de champagne.
A mes yeux, cela n'apporte rien d'avoir cette avalanche de détails.
- une relecture orthographique pourrait aider, pour les fautes (beaucoup), pour les mots qui sautent...
- les dialogues me paraissent assez creux. Tu m'as dit dans le fil "un serment" que les dialogues ne pouvaient pas être tout le temps percutants. Certes, mais tout de même... lorsqu'un récit est essentiellement basé sur eux, il importe que les dialogues soient puissants et apportent de la vie, de l'action, de l'émotion, bref quelque chose qui donne du corps au récit. Je n'ai pas ressenti cela ici.
- de manière générale, je trouve que tu te focalises parfois sur de petits détails quand elle parlent, des microtrucs qui apportent peu et alourdissent le récit. L'impression que ça jacasse un peu trop de futilités, ça dessert le texte.
Bref, je sais que je ne suis pas le meilleur public pour ce genre de textes proches de la comédie sentimentale mais tout de même, il me semble qu'il y a beaucoup de superficialité dans tout cela et que ça donne une sensation de longueur qui masque les qualités d'écriture.
Avis perso bien entendu!
Sahkti- Nombre de messages : 31659
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Date d'inscription : 12/12/2005
Re: Ma mère et moi
bon apparemment celui-ci ne remporte pas non plus du succès, je vais finir par croire que je n'ai aucun talent pour l'écriture, il est important de critiquer un écrit pour que l'on puisse avancé, mais je pense qu'il est aussi de connaître les points posititfs pour y arriver. Je me sens un peu découragée, je ne sais pas si je vais continuer à fécrire, pourtant c'est quelques personne qui m'ont encouragé à le faire diant que j'avais du talent pour les réparties, les dialogues percutants, je le croyais aussi; Je ne peux m'empêcher d'en inventer j'en ai plein mon tiroir de ces réparties, que faire les proposés à un scénariste en manque de dialogues pour une comédie oc'est une amie qui m'a soufflé l'idée, (mais bon il faut quand même pas rêvé)
marilyn- Nombre de messages : 82
Age : 57
Date d'inscription : 27/12/2007
Re: Ma mère et moi
marilyn si ton texte n'a pas de commentaire ce n'est pas parce qu'il n'est pas bon !!
Le problème c'est que tu avais d'abord posté le synopsis que quelques personnes sont venues voir ça ne les a peut-être pas intéressées de commenter puis plus tard tu as rajouté tous ces chapitres :
- certains ne sont peut-être pas revenus voir après le synopsis, et n'ont pas vus les nouveaux chapitres
- d'autres ont pu trouver cette présentation des textes alignés comme ça rébarbative !
Un conseil : poste un texte, puis attends les commentaires : ils viendront ! ensuite mets la suite, petit àdès le début et qui n'a pas beaucoup de temps ne s'arrêtera pas pour tout lire !
tu devrais consulter les textes de maniak', notamment "igor pickman", c'est comme ça qu'il s'y prend et ça marche très bien !
Le problème c'est que tu avais d'abord posté le synopsis que quelques personnes sont venues voir ça ne les a peut-être pas intéressées de commenter puis plus tard tu as rajouté tous ces chapitres :
- certains ne sont peut-être pas revenus voir après le synopsis, et n'ont pas vus les nouveaux chapitres
- d'autres ont pu trouver cette présentation des textes alignés comme ça rébarbative !
Un conseil : poste un texte, puis attends les commentaires : ils viendront ! ensuite mets la suite, petit àdès le début et qui n'a pas beaucoup de temps ne s'arrêtera pas pour tout lire !
tu devrais consulter les textes de maniak', notamment "igor pickman", c'est comme ça qu'il s'y prend et ça marche très bien !
Lifewithwords- Nombre de messages : 785
Age : 32
Localisation : Hauts de Seine
Date d'inscription : 27/08/2007
Re: Ma mère et moi
Et n'arrête surtout pas d'écrire !!!!!
Lifewithwords- Nombre de messages : 785
Age : 32
Localisation : Hauts de Seine
Date d'inscription : 27/08/2007
Re: Ma mère et moi
marilyn, tu tombes dans les extrêmes, pas très bien ça... :-)
Ce n'est pas parce que moi je n'aime pas ce texte, ni un autre de toi, qu'ils sont mauvais. J'ai appris à dire "je n'aime pas" au lieu de "C'est mauvais", de un.
Ensuite, je dis ce que je ressens, avec franchise tout en tentant la diplomatie. Si je n'aime pas, je le dis, point. Ça n'engage que moi (il y a des écrivains que je trouve à ch..., mais faut croire que les autres, non, vu le nombre de bouquins qu'ils vendent. Tout cela est très subjectif).
Maintenant, que cela te fasse pousser des cris en disant que tu vas arrêter d'écrire, je trouve que c'est un peu exagéré.
Pour ce qui est des critiques, je constate que ta première réaction est de systématiquement te défendre et dire que tu trouves bien ce que tu as écrit (assez logique, certes) et puis ensuite, seulement, dialoguer quand on veut pousser un peu plus loin comme on l'a fait Numéri et moi dans un autre de tes textes. Le dialogue me semble être prioritaire pour avancer. Un dialogue serein dénué de toute passion, excitation ou trop forte émotion.
Ceci est une chose.
Ensuite, tu as posté plusieurs textes en un très court laps de temps. Tu auras remarqué que tu as eu peu de commentaires ou alors de 2-3 personnes seulement, les mêmes d'ailleurs. Donc attends un peu, laisse le temps aux gens de respirer. Il y a plein de bons "commentateurs" sur ce site (je ne citerai pas de noms pour ne pas faire de jaloux mais bon, Krys et Loup, par exemple, sont de très bons conseils). Seulement, avec tous ces nouveaux textes, de toi et d'autres, et leurs emplois du temps chargés, ils n'ont pas encore trouvé le temps de lire, de commenter. Mais ils le feront, je les connais. Ça te fera des avis supplémentaires, peut-être divergents, peut-être plus techniques, peut-être plus argumentés... que tu pourras prendre en compte avant de t'exclamer que tu vas arrêter d'écrire.
Du calme... :-)
Ce n'est pas parce que moi je n'aime pas ce texte, ni un autre de toi, qu'ils sont mauvais. J'ai appris à dire "je n'aime pas" au lieu de "C'est mauvais", de un.
Ensuite, je dis ce que je ressens, avec franchise tout en tentant la diplomatie. Si je n'aime pas, je le dis, point. Ça n'engage que moi (il y a des écrivains que je trouve à ch..., mais faut croire que les autres, non, vu le nombre de bouquins qu'ils vendent. Tout cela est très subjectif).
Maintenant, que cela te fasse pousser des cris en disant que tu vas arrêter d'écrire, je trouve que c'est un peu exagéré.
Pour ce qui est des critiques, je constate que ta première réaction est de systématiquement te défendre et dire que tu trouves bien ce que tu as écrit (assez logique, certes) et puis ensuite, seulement, dialoguer quand on veut pousser un peu plus loin comme on l'a fait Numéri et moi dans un autre de tes textes. Le dialogue me semble être prioritaire pour avancer. Un dialogue serein dénué de toute passion, excitation ou trop forte émotion.
Ceci est une chose.
Ensuite, tu as posté plusieurs textes en un très court laps de temps. Tu auras remarqué que tu as eu peu de commentaires ou alors de 2-3 personnes seulement, les mêmes d'ailleurs. Donc attends un peu, laisse le temps aux gens de respirer. Il y a plein de bons "commentateurs" sur ce site (je ne citerai pas de noms pour ne pas faire de jaloux mais bon, Krys et Loup, par exemple, sont de très bons conseils). Seulement, avec tous ces nouveaux textes, de toi et d'autres, et leurs emplois du temps chargés, ils n'ont pas encore trouvé le temps de lire, de commenter. Mais ils le feront, je les connais. Ça te fera des avis supplémentaires, peut-être divergents, peut-être plus techniques, peut-être plus argumentés... que tu pourras prendre en compte avant de t'exclamer que tu vas arrêter d'écrire.
Du calme... :-)
Sahkti- Nombre de messages : 31659
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Re: Ma mère et moi
Marilyn ! Ne cherche pas à savoir si tu as du talent ou pas, continue d’écrire car c’est ce qui te fait plaisir.
Observe, écoute, et apprends. Mais ne baisse jamais les bras dès qu’il y’a un obstacle. Je n’aime pas tes sources d’inspiration mais on a un point commun c’est le goût de l’écriture. De toute façon tu n’écris pas des textes pour moi :-) et tu trouveras forcément un public qui accrochera. Si tout le monde avait les mêmes goûts, la vie serait d’un triste…:-(
L’avis des autres ne compte que s'ils servent à t’améliorer. C’est sympa d’avoir des amis qui disent que tu as du talent mais à part flatter ton ego cela ne te fait pas avancer sauf si c’est argumenté en connaissance de cause.
Je te le dis haut et fort ne te décourage pas, l’essentiel et ça c’est valable dans tous les domaines, c’est de croire en ce que tu fais. On peut être vexé suite à une mauvaise critique et la susceptibilité prend le dessus mais il ne faut jamais être défaitiste surtout quand il s’agit d’une passion. Si j’avais réagi comme toi en lisant certains commentaires sur mes textes, je ne serais plus sur VE depuis longtemps. Mais je suis toujours là, car je crois en moi et j’aime ce que je fais.
Alors dis-moi que tu continueras à écrire ? :-))
Observe, écoute, et apprends. Mais ne baisse jamais les bras dès qu’il y’a un obstacle. Je n’aime pas tes sources d’inspiration mais on a un point commun c’est le goût de l’écriture. De toute façon tu n’écris pas des textes pour moi :-) et tu trouveras forcément un public qui accrochera. Si tout le monde avait les mêmes goûts, la vie serait d’un triste…:-(
L’avis des autres ne compte que s'ils servent à t’améliorer. C’est sympa d’avoir des amis qui disent que tu as du talent mais à part flatter ton ego cela ne te fait pas avancer sauf si c’est argumenté en connaissance de cause.
Je te le dis haut et fort ne te décourage pas, l’essentiel et ça c’est valable dans tous les domaines, c’est de croire en ce que tu fais. On peut être vexé suite à une mauvaise critique et la susceptibilité prend le dessus mais il ne faut jamais être défaitiste surtout quand il s’agit d’une passion. Si j’avais réagi comme toi en lisant certains commentaires sur mes textes, je ne serais plus sur VE depuis longtemps. Mais je suis toujours là, car je crois en moi et j’aime ce que je fais.
Alors dis-moi que tu continueras à écrire ? :-))
Numériplume- Nombre de messages : 543
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Re: Ma mère et moi
merci d'avoir lu
je ne sais pas, si je continuerai pourtant j'aime cela, et mon rêve c'est de me faire éditer, mais j'ai vraiment du mal à améliorer mes textes, ce n'est pas que mon entourage me dit que j'écris très bien, mmais c'est dans les réparties, les dialogues, je m'explique. j'aime beaucoup les films ou les dialogues, sont succulents, ou les répliques font mouche, ou les situations sont drôles. Alors je me suis amusé a ifaire de même quand je l'ai lu à mon entourage ils ont trouvé cela drôle, et m'on dit c'est tellement bien que tu devrais t'en servir pour écrire une histoire, un roman ou un scénario, étant peu sûr de moi, je ne m'attendais pâs qu'on me dise que cela,soit bien; Mais je suis quand même lancée, et croyez-moi c'était difficile. Voilà comment je me suis lancée dans l''écriture. Peut-être que je mettrai ces phrases, ces petits dialogues sur le forum, je ne sais pas si genre est acceptée sur le forum.
je ne sais pas, si je continuerai pourtant j'aime cela, et mon rêve c'est de me faire éditer, mais j'ai vraiment du mal à améliorer mes textes, ce n'est pas que mon entourage me dit que j'écris très bien, mmais c'est dans les réparties, les dialogues, je m'explique. j'aime beaucoup les films ou les dialogues, sont succulents, ou les répliques font mouche, ou les situations sont drôles. Alors je me suis amusé a ifaire de même quand je l'ai lu à mon entourage ils ont trouvé cela drôle, et m'on dit c'est tellement bien que tu devrais t'en servir pour écrire une histoire, un roman ou un scénario, étant peu sûr de moi, je ne m'attendais pâs qu'on me dise que cela,soit bien; Mais je suis quand même lancée, et croyez-moi c'était difficile. Voilà comment je me suis lancée dans l''écriture. Peut-être que je mettrai ces phrases, ces petits dialogues sur le forum, je ne sais pas si genre est acceptée sur le forum.
marilyn- Nombre de messages : 82
Age : 57
Date d'inscription : 27/12/2007
Re: Ma mère et moi
Je n'ai aucune comptétence spécifique mais si je puis me permettre, il me semble que le texte manque tout simplement de travail.
Evidemment, en disant ça, je cours le risque que tu aies travaillé d'arrache pied pendant des jours, et c'est un peu hasardeux. Cependant...
L'idée de départ me fait penser à ce que j'appelle des "films de filles", comme le diable en prada, oui. ces comédies à la Lubitch où on sourit ou on rit parfois, ou la finesse travaille pour la légèreté. Ce n'est pas tant l'originalité du sujet qui importe que son traitement.
A ceci près que là, le creux de beaucoup de dialogues enlève la légèreté et la finesse. Il faudrait peut-être te donner du temps, mais vraiment du temps. Prendre le temps de vivre autre chose et relire dans un ou deux mois, voire plus et surtout, ne pas avoir peur d'utiliser alors la tronçonneuse.
Après, ce seront des ciseaux à bonzai
D'expérience, je sais qu'on est toujours content de son dernier "bébé". on est heureux (se) de le montrer, on veut qu'il soit reconnu. ça c'est le désir légitime de l'auteur. Mais la réalité de l'écrivain, c'est le travail. le regard dur, le regard qui se met à la place du lecteur et qui, comme lui, admet des longueurs, des erreurs, etc.
Il ne faut pas du tout arrêter d'écrire. Enfin, il faut aussi savoir que le drôle et le léger sont parmi les choses les plus difficiles à réussir.
Evidemment, en disant ça, je cours le risque que tu aies travaillé d'arrache pied pendant des jours, et c'est un peu hasardeux. Cependant...
L'idée de départ me fait penser à ce que j'appelle des "films de filles", comme le diable en prada, oui. ces comédies à la Lubitch où on sourit ou on rit parfois, ou la finesse travaille pour la légèreté. Ce n'est pas tant l'originalité du sujet qui importe que son traitement.
A ceci près que là, le creux de beaucoup de dialogues enlève la légèreté et la finesse. Il faudrait peut-être te donner du temps, mais vraiment du temps. Prendre le temps de vivre autre chose et relire dans un ou deux mois, voire plus et surtout, ne pas avoir peur d'utiliser alors la tronçonneuse.
Après, ce seront des ciseaux à bonzai
D'expérience, je sais qu'on est toujours content de son dernier "bébé". on est heureux (se) de le montrer, on veut qu'il soit reconnu. ça c'est le désir légitime de l'auteur. Mais la réalité de l'écrivain, c'est le travail. le regard dur, le regard qui se met à la place du lecteur et qui, comme lui, admet des longueurs, des erreurs, etc.
Il ne faut pas du tout arrêter d'écrire. Enfin, il faut aussi savoir que le drôle et le léger sont parmi les choses les plus difficiles à réussir.
Re: Ma mère et moi
Si, bien sûr!marilyn a écrit:Peut-être que je mettrai ces phrases, ces petits dialogues sur le forum, je ne sais pas si genre est acceptée sur le forum.
Re: Ma mère et moi
Pas de panique Marylin !
Comme dit Sahkti, chacun ne donne que son avis perso, il y a toujours des gens qui aiment et d'autres pas. Si tu aimes écrire, et que certains apprécient de lire (et ça ne sera jamais tout le monde), continue !
Une remarque sur la forme :
Je te conseille aussi de travailler davantage tes textes et de prendre plus de soin avant de poster (orthographe, typographie, erreurs de frappe).
Je te donne un autre conseil, que j'ai moi-même appliqué : travaille le français. J'ai ressorti mon Bescherelle - surtout les conjugaisons, j'essaie d'apprendre chaque jour du vocabulaire, je lis régulièrement "difficultés de la langue française"... Sans compter la lecture de bouquins :-) Bref, tout ça donne des "armes" pour faire de mieux en mieux !
Je te conseille notamment de faire attention à la conjugaison et à la concordance des temps !
Sur le texte en lui-même aussi, il peut y avoir une part "d'inspiration" ou tu éris en continue, mais ensuite, il faut interroger chaque phrase, chaque mot, vérifier la cohérence, le rythme. C'est un travail de fourmi, mais qui permet de progresser. Je pense que quand on est passé par ce travail très minutieux, avec l'habitude on va bien sûr plus vite !
Pour te donner un ordre de grandeur, je sais que certains auteurs passent facilement une heure ou deux sur 1000 signes (oui, certains vont plus vite !). Ton texte fait environ 21 000 signes...
Bref, voici quelques conseils pour progresser, qui ont l'air un peu rébarbatifs, mais comme tu aimes écrire, tu verras qu'on y prend vraiment goût !
* * *
C'est à mon avis un texte réalisé un peu trop rapidement pour que j'entre dans un commentaire détaillé.
Ne t'inquiète pas, il y a des qualités : tu crées des personnages, une situation. Certains dialogues sont en effet réussis, vifs. Ici, tu introduis les personnages directement en les montrant "en action", c'est une très bonne chose à mon avis. La façon dont ils parlent, dont ils se conduisent en dit plus sur eux que des discours généraux.
Tu utilises des scènes "vivantes", en intercalant des réflexions pour le lecteur, ou des petites précisions sur les personnages, et ça c'est aussi une très bonne méthode.
Donc pas de souci, il y a des qualités !
Une chose qui ne fonctionne pas très bien à mon avis :
Tu utilises pas mal de "clichés". Il en faut toujours un peu, mais juste un peu, et il faut jouer avec ces clichés.
Par exemple : "rien de neuf que du vieux", ou "je gonfle comme une baudruche", "Ce type est une espèce de déchet", etc, ce sont des expressions courantes ou attendues, et ça fait un peu terne.
Attention à ces expressions "toutes faites" ou aux images trop souvent utilisées.
De plus, souvent dans ce genre, l'auteur fait toujours attention à trouver une expression originale, inattendue, rigolote.
"Jouer avec les clichés" : "tigresse" pour une femme, c'est cliché. Mais ton histoire d'embrouiller entre tigresse et panthère, là tu joues avec le cliché, et ça passe.
Quand tu trouves des choses originales, pas stéréotypées, ou droles du genre :
Tom Cruise il est déjà pris, il se tape Katie Holmes. (drole)
Shelley se massa le poignet (original)
Je trouve que ça marche bien.
Donc à mon avis : essayer de supprimer la première catégorie et faire plus dans la seconde ou troisième catégorie.
Bon courage pour la suite !
Comme dit Sahkti, chacun ne donne que son avis perso, il y a toujours des gens qui aiment et d'autres pas. Si tu aimes écrire, et que certains apprécient de lire (et ça ne sera jamais tout le monde), continue !
Une remarque sur la forme :
Je te conseille aussi de travailler davantage tes textes et de prendre plus de soin avant de poster (orthographe, typographie, erreurs de frappe).
Je te donne un autre conseil, que j'ai moi-même appliqué : travaille le français. J'ai ressorti mon Bescherelle - surtout les conjugaisons, j'essaie d'apprendre chaque jour du vocabulaire, je lis régulièrement "difficultés de la langue française"... Sans compter la lecture de bouquins :-) Bref, tout ça donne des "armes" pour faire de mieux en mieux !
Je te conseille notamment de faire attention à la conjugaison et à la concordance des temps !
Sur le texte en lui-même aussi, il peut y avoir une part "d'inspiration" ou tu éris en continue, mais ensuite, il faut interroger chaque phrase, chaque mot, vérifier la cohérence, le rythme. C'est un travail de fourmi, mais qui permet de progresser. Je pense que quand on est passé par ce travail très minutieux, avec l'habitude on va bien sûr plus vite !
Pour te donner un ordre de grandeur, je sais que certains auteurs passent facilement une heure ou deux sur 1000 signes (oui, certains vont plus vite !). Ton texte fait environ 21 000 signes...
Bref, voici quelques conseils pour progresser, qui ont l'air un peu rébarbatifs, mais comme tu aimes écrire, tu verras qu'on y prend vraiment goût !
* * *
C'est à mon avis un texte réalisé un peu trop rapidement pour que j'entre dans un commentaire détaillé.
Ne t'inquiète pas, il y a des qualités : tu crées des personnages, une situation. Certains dialogues sont en effet réussis, vifs. Ici, tu introduis les personnages directement en les montrant "en action", c'est une très bonne chose à mon avis. La façon dont ils parlent, dont ils se conduisent en dit plus sur eux que des discours généraux.
Tu utilises des scènes "vivantes", en intercalant des réflexions pour le lecteur, ou des petites précisions sur les personnages, et ça c'est aussi une très bonne méthode.
Donc pas de souci, il y a des qualités !
Une chose qui ne fonctionne pas très bien à mon avis :
Tu utilises pas mal de "clichés". Il en faut toujours un peu, mais juste un peu, et il faut jouer avec ces clichés.
Par exemple : "rien de neuf que du vieux", ou "je gonfle comme une baudruche", "Ce type est une espèce de déchet", etc, ce sont des expressions courantes ou attendues, et ça fait un peu terne.
Attention à ces expressions "toutes faites" ou aux images trop souvent utilisées.
De plus, souvent dans ce genre, l'auteur fait toujours attention à trouver une expression originale, inattendue, rigolote.
"Jouer avec les clichés" : "tigresse" pour une femme, c'est cliché. Mais ton histoire d'embrouiller entre tigresse et panthère, là tu joues avec le cliché, et ça passe.
Quand tu trouves des choses originales, pas stéréotypées, ou droles du genre :
Tom Cruise il est déjà pris, il se tape Katie Holmes. (drole)
Shelley se massa le poignet (original)
Je trouve que ça marche bien.
Donc à mon avis : essayer de supprimer la première catégorie et faire plus dans la seconde ou troisième catégorie.
Bon courage pour la suite !
Loupbleu- Nombre de messages : 5838
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Localisation : loupbleu@vosecrits.com
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: Ma mère et moi
merlci à vous deux pour vos critiques. Il y'a des choses donc je suis d'accord avec vous, et d'autres pas d'accord par exemple : en ce qui conerne le travail, j''y ai mis beaucoup de temps, carj'ai des idées mais les mettre en place sont très difficiles. eEn ce qui concerne les fautes d'orthographe, j'en fais rarement c'est plutôt d'inattention. Par contre la conjugaison, la concordance des temps c'est ma bête noire. j'ai visiter énormément de sites, énormément étudier, fais des exercices, j'ai du mal surtout à mémoriser les règles, et j'ai aussi un problème de syntaxe..
il y'a quelques semaines je suis aller sur un site intéressant sure ce qu'il fallait enlever dans un texte : supprimer le plus possible les motes comme apparemment, abondamment c'est-à dire tous ce qui finit en amment, supprimer le plus posible les "il y'a" retirer les verbes pouvoir, devoir mettre, per exemple "il a mis la table" ce serait mieux de dire il dressa la table, enlever les phrases à la voix passive cela alourdit les textes. Il est vrai qu'il y'a beaucoup de dialogues, mais j'ai du mal au niveau de la narration, maiz bon j'essaye. En ce qui coneerne les clichés , je vais voir, mais je n'ai pas vraiment trouvé ce qui pouvait remplacer, rien que du neuf et les trois autres. Donc voilà je vais retravailler tout cela.
il y'a quelques semaines je suis aller sur un site intéressant sure ce qu'il fallait enlever dans un texte : supprimer le plus possible les motes comme apparemment, abondamment c'est-à dire tous ce qui finit en amment, supprimer le plus posible les "il y'a" retirer les verbes pouvoir, devoir mettre, per exemple "il a mis la table" ce serait mieux de dire il dressa la table, enlever les phrases à la voix passive cela alourdit les textes. Il est vrai qu'il y'a beaucoup de dialogues, mais j'ai du mal au niveau de la narration, maiz bon j'essaye. En ce qui coneerne les clichés , je vais voir, mais je n'ai pas vraiment trouvé ce qui pouvait remplacer, rien que du neuf et les trois autres. Donc voilà je vais retravailler tout cela.
marilyn- Nombre de messages : 82
Age : 57
Date d'inscription : 27/12/2007
Re: Ma mère et moi
en ce qui concerne les fautes d'orthographe, j'en fais rarement c'est plutôt d'inattention
Effectivement, aucune faute dans cette phrase !
ouaouaouh !!! que c'est dur de pas réagir plus sur ce post !
Marilyn, de grâce, puisque tu le sais : exerce-la ton ATTENTION !
Là c'est trop, vraiment
Effectivement, aucune faute dans cette phrase !
ouaouaouh !!! que c'est dur de pas réagir plus sur ce post !
Marilyn, de grâce, puisque tu le sais : exerce-la ton ATTENTION !
Là c'est trop, vraiment
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