T'aimer
2 participants
Page 1 sur 1
T'aimer
T'aimer pour te souffler la vie te rendre une existence
T'aimer pour montrer aux hommes que tu es belle
Que tu es douce que tu es gentille que tu es admirable
Pour une seconde une minute une heure une éternité
Pour les pommes encore fraîches qu'on cueille un printemps
Pour le sable qui décore le corps ondulé d'un bord de mer
Pour la feuille morte d'automne pour la neige d'hiver
Pour le roc le buisson la rivière le nuage la flamme
T'aimer pour ce que tu es pour ce que tu sembles
Pour ce que tu fais pour ce que tu contemples
T'aimer pour ta tendresse pour ta simplicité
Pour ton nom qui se dit comme un flocon de fleur
Tolérance
T'aimer pour montrer aux hommes que tu es belle
Que tu es douce que tu es gentille que tu es admirable
Pour une seconde une minute une heure une éternité
Pour les pommes encore fraîches qu'on cueille un printemps
Pour le sable qui décore le corps ondulé d'un bord de mer
Pour la feuille morte d'automne pour la neige d'hiver
Pour le roc le buisson la rivière le nuage la flamme
T'aimer pour ce que tu es pour ce que tu sembles
Pour ce que tu fais pour ce que tu contemples
T'aimer pour ta tendresse pour ta simplicité
Pour ton nom qui se dit comme un flocon de fleur
Tolérance
Trôme- Nombre de messages : 3
Age : 24
Localisation : France
Date d'inscription : 10/05/2017
Re: T'aimer
Les "T'aimer... " prépare bien la chute sur "Tolérance", c'est un son un peu dur contrairement aux propos romantiques, un peu surjoués pour amener la surprise que ce n'est pas dédié à une femme mais à une vertu - c'est l'impression que j'ai -
La ponctuation n'est pas visible, mais le poème a sensiblement le même sens lu à rebours, chaque vers est autonome, mais bien entendu de telle façon il n'y a plus la surprise femme/vertu. Ça me semble plus oratoire que chantant, un peu comme si se déclamer une suite d'aphorismes, plutôt que des vers qui coulent.
Il me manquerait une troisième dimension pour qu'il me trotte en tête un moment, c'est de la musique ou de l'étrange qui me fait ça en général.
La ponctuation n'est pas visible, mais le poème a sensiblement le même sens lu à rebours, chaque vers est autonome, mais bien entendu de telle façon il n'y a plus la surprise femme/vertu. Ça me semble plus oratoire que chantant, un peu comme si se déclamer une suite d'aphorismes, plutôt que des vers qui coulent.
Il me manquerait une troisième dimension pour qu'il me trotte en tête un moment, c'est de la musique ou de l'étrange qui me fait ça en général.
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum