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je saute à pieds-joints
pourtant je ne suis qu’un éclopé
aux hésitations tendancieuses
a la verve débordante
caméléon d'un monde, d'humains si réels
je trotte ne veut pas abdiquer
la marche ma seule vérité
mon âge ignore la fin vindicative
mes yeux aux-aguets
me donnent le sentiment d'aimer

So-Back a écrit:je saute à pieds-joints
pourtant je ne suis qu’un éclopé
aux hésitations tendancieuses
a la verve débordante
caméléon d'un monde, d'humains si réels
je trotte ne veut pas abdiquer
la marche ma seule vérité
mon âge ignore la fin vindicative
mes yeux aux-aguets
me donnent le sentiment d'aimer

Comme une impression de retour à la vie, comme le printemps balaie l'hiver devant sa (ta) porte
bonjour So-Back, back to, lecture du matin qui m'enjoie

bises pussicat

le contexte
la leçon de texte
la meilleure façon
le bon dicton
qui l'eût cru
les guerres de religions
les faux chignons
la sœur d'Adèle
la mortadelle
les petits ruisseaux
et n'omettons pas les beaux coteaux
qui l'eût cru
le gendre idéal
l'oncle gâteux
la nièce perverse
le père peu scrupuleux
et le centenaire nananinananère
qui l'eût cru
une œuvre aux enchères
la fin d l'itinéraire
quid des retardataires
il pleut des bombes
mange ta soupe
qui l'eût cru
la mort dans l'âme
la queue de l'âne
un soubresaut involontaire
un sexe affligé
des blagues par milliers
du coussin péteur
qui l'eût cru évidemment
un naïf aux bons soins
de la république
d'un état mort-né
voire même une démocratie
en dent de scie
qui vivra verra
qui l'eût cru