bribe
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bribe
"il y a le Trop et ce sérum qui fait d'un etre une résonnance est mon sang.
taré, de sensibilité tordu, attention aux éclats, j'explose!
révolutionnaire aux mots cinglants,un amoureux... et quand mon poing s'abaisse c'est pour vous enlasser.
emportez moi loin, menez moi à l'asile des etres aux yeux tournés vers cette lumiere. eux seuls me tolereront. je ne souffrirais plus le rire des inconscients dont je suis l'éphémère distraction.
je sens mes larmes rouler, se fondant à leurs infames crachats. c'est leurs fruits avariés qu'ils écrasent jouissant."
il avait les joues rouges, à bout de souffle. il se rassit en silence, laissa courir le long de son corps un profond soupir et reprit:
"autrefois il y avait là une rivière innondée de soleil le jour, il y avait là une rivière et la lune chaque nuit s'y baignait. du bord s'elevait la montagne fiere et imposante.
et il y avait moi, l'enfant libre.
vous savez, un enfant libre ne grandit pas, c'est son corps qui prend de l'avance, c'est son corps qui s'enfuit et le perd. et alors, il se terre ou crie. moi je crie, c'est pour me rassurer."
il tourna sa tete et, en voyant mon expression beate, partit d'un grand rire. aussitot il se mit à chanter, à crier d'une voix à réveiller les morts.
On était assis sur le parvis, les passant nous regardaient. quel étrange duo devait-on former! Lui, crasseux, la face burinée et les yeux d'un bleu passé pleurant l'alcool; et moi, la fraiche jeunesse, à mes pieds les sacs gisants de mes achats, des chaussures.
taré, de sensibilité tordu, attention aux éclats, j'explose!
révolutionnaire aux mots cinglants,un amoureux... et quand mon poing s'abaisse c'est pour vous enlasser.
emportez moi loin, menez moi à l'asile des etres aux yeux tournés vers cette lumiere. eux seuls me tolereront. je ne souffrirais plus le rire des inconscients dont je suis l'éphémère distraction.
je sens mes larmes rouler, se fondant à leurs infames crachats. c'est leurs fruits avariés qu'ils écrasent jouissant."
il avait les joues rouges, à bout de souffle. il se rassit en silence, laissa courir le long de son corps un profond soupir et reprit:
"autrefois il y avait là une rivière innondée de soleil le jour, il y avait là une rivière et la lune chaque nuit s'y baignait. du bord s'elevait la montagne fiere et imposante.
et il y avait moi, l'enfant libre.
vous savez, un enfant libre ne grandit pas, c'est son corps qui prend de l'avance, c'est son corps qui s'enfuit et le perd. et alors, il se terre ou crie. moi je crie, c'est pour me rassurer."
il tourna sa tete et, en voyant mon expression beate, partit d'un grand rire. aussitot il se mit à chanter, à crier d'une voix à réveiller les morts.
On était assis sur le parvis, les passant nous regardaient. quel étrange duo devait-on former! Lui, crasseux, la face burinée et les yeux d'un bleu passé pleurant l'alcool; et moi, la fraiche jeunesse, à mes pieds les sacs gisants de mes achats, des chaussures.
Do- Nombre de messages : 34
Age : 39
Localisation : belgique
Date d'inscription : 10/02/2008
Re: bribe
Je ne rentre pas trop dans les délices paranoïaques du type je-suis-un-incompris, même si je sais qu'ils existent et sont fort douloureux, mais je dois dire que tu démarre très fort :
Si-si.
Je trouve.
Excellent.
Et j'aime assez l'adjonction du deuxième personnage en narrateur, qui permet de prendre un peu de distance avec cette déprime extatique.
Je trouve ça excellent.Do a écrit:"il y a le Trop et ce sérum qui fait d'un etre une résonnance est mon sang.
Si-si.
Je trouve.
Excellent.
Et j'aime assez l'adjonction du deuxième personnage en narrateur, qui permet de prendre un peu de distance avec cette déprime extatique.
à tchaoum- Nombre de messages : 612
Age : 74
Date d'inscription : 06/05/2007
Re: bribe
Superbe cette phrase et si juste à tout âge!Do a écrit:"vous savez, un enfant libre ne grandit pas, c'est son corps qui prend de l'avance, c'est son corps qui s'enfuit et le perd.
Re: bribe
Très juste, phrase superbe, à mettre dans une anthologie. Pour le reste, Do, je ne parviens pas à rentrer dans ce délire, la langue est inégale, l'ensemble passablement confus, et trop, trop de fautes, relis-toi avant de poster tes textes. Indéniablement, il y a une matière précieuse, dans cette gangue que tu nous proposes. Continue de travailler, elle devrait apparaître à nos yeux un de ces jours.
Re: bribe
hem trop de fautes... des fautes d'accents clairement que je ne les mets pas sur l'ordi.... bon bon la prochaine fois je ferais la correction automatique... mais bon, est ce l'essentiel?
quand à l'écriture inégale, je ne crois pas, il y a plusieurs registres car il y a plusieurs temps, nuances... confus? je ne crois pas non plus au contraire c'est plutot limpide comme situation...
il n'y a pas d'entrée en matiere, peut etre aurais tu aimé qu'on te prenne par la main pour t'amener à rentrer dans le texte.
ce n'est pas ma politique, justement parce que tout cela perdrait du sens, de la percussivité et c'est apres que l'on revient à la banalité...
quand à l'écriture inégale, je ne crois pas, il y a plusieurs registres car il y a plusieurs temps, nuances... confus? je ne crois pas non plus au contraire c'est plutot limpide comme situation...
il n'y a pas d'entrée en matiere, peut etre aurais tu aimé qu'on te prenne par la main pour t'amener à rentrer dans le texte.
ce n'est pas ma politique, justement parce que tout cela perdrait du sens, de la percussivité et c'est apres que l'on revient à la banalité...
Do- Nombre de messages : 34
Age : 39
Localisation : belgique
Date d'inscription : 10/02/2008
Re: bribe
percussivité me laisse rêveur :-)))
il y a de la force là dedans, sans aucun doute, mais j'ai ressenti une sensation de "brouillon", comme si jeté comme ça, en vrac, allez, prenez-moi tout ça, secouez et il en sortira bien quelque chose
et c'est vrai qu'il en sort quelque chose ;-)
quant aux fautes, ce n'est certes pas l'essentiel, mais tu peux aussi admettre que ça en gêne, des lecteurs, oui ? moi par exemple
mais ce n'est pas l'essentiel, non
il y a de la force là dedans, sans aucun doute, mais j'ai ressenti une sensation de "brouillon", comme si jeté comme ça, en vrac, allez, prenez-moi tout ça, secouez et il en sortira bien quelque chose
et c'est vrai qu'il en sort quelque chose ;-)
quant aux fautes, ce n'est certes pas l'essentiel, mais tu peux aussi admettre que ça en gêne, des lecteurs, oui ? moi par exemple
mais ce n'est pas l'essentiel, non
Re: bribe
oui oui oui au boulot!
Do- Nombre de messages : 34
Age : 39
Localisation : belgique
Date d'inscription : 10/02/2008
Re: bribe
Eh bé, quelle gueulante!
Ton texte me plaît beaucoup, à gueuler rocaille. Bravo.
(ya un mec en bas de chez moi qui gueule souvent sur la place du conservatoire, grande grande place, il gueule pas aussi beau que le tien, il lui reste plus que l'alcool et les gargouillis qui se mélangent aux pavés; ça résonne quand même, mais il a craché le venin sans doute depuis un paquet de temps.)
Ton texte me plaît beaucoup, à gueuler rocaille. Bravo.
(ya un mec en bas de chez moi qui gueule souvent sur la place du conservatoire, grande grande place, il gueule pas aussi beau que le tien, il lui reste plus que l'alcool et les gargouillis qui se mélangent aux pavés; ça résonne quand même, mais il a craché le venin sans doute depuis un paquet de temps.)
claire- Nombre de messages : 590
Age : 56
Date d'inscription : 07/05/2007
Re: bribe
do lache
je crois que j'ai beaucoup à apprendre de toi. Parle encore, je t'écoute avec interêt.On était assis sur le parvis, les passant nous regardaient. quel étrange duo devait-on former! Lui, crasseux, la face burinée et les yeux d'un bleu passé pleurant l'alcool; et moi, la fraiche jeunesse, à mes pieds les sacs gisants de mes achats, des chaussures.
bertrand-môgendre- Nombre de messages : 7526
Age : 104
Date d'inscription : 15/08/2007
Re: bribe
Ça cogne un peu à la Antonin en Kickers ton truc. Bravo j'adore, mais comme Mentor je pense que tu aurais pu aller plus loin que l'instantané.
Allez! percussionise nous les yeux!
Allez! percussionise nous les yeux!
Invité- Invité
Re: bribe
"
Les fautes de temps, notamment, grèvent le sens.
Bref, à mon avis, c'est dommage, il y a de jolis passages. Le "travail" (du texte) n'est pas en soi une valeur répugnante.
Amicalement, pierre-henri
Certes, non. Mais cela nuit, comme broussaille cache l'entrée des grottes.Do a écrit:hem trop de fautes... des fautes d'accents clairement que je ne les mets pas sur l'ordi.... bon bon la prochaine fois je ferais la correction automatique... mais bon, est ce l'essentiel?"
Les fautes de temps, notamment, grèvent le sens.
Le défaut de ponctuation est du même ordre.quand à l'écriture inégale, je ne crois pas, il y a plusieurs registres car il y a plusieurs temps, nuances... confus? je ne crois pas non plus au contraire c'est plutot limpide comme situation..."
Bref, à mon avis, c'est dommage, il y a de jolis passages. Le "travail" (du texte) n'est pas en soi une valeur répugnante.
Amicalement, pierre-henri
pierre-henri- Nombre de messages : 699
Age : 65
Localisation : Raiatea
Date d'inscription : 17/02/2008
Re: bribe
Attention aux fautes d'accents de toutes sortes. Tu ne trouves peut-être pas cela essentiel mais ça fait mal aux yeux, je t'assure.
Quelques jolies tournures, un ton qui me plaît, même si je le trouve un brin décousu par moments. Peut-être le rythme employé n'est-il pas en parfaite adéquation avec la forme, il y a là quelque chose qui ne colle pas vraiment mais difficile de pointer avec exactitude ce que c'est. Peut-être violence des mots et des idées ne font pas bon ménage, il faudrait trouver une manière différente de dire les choses, mais laquelle?
Quelques jolies tournures, un ton qui me plaît, même si je le trouve un brin décousu par moments. Peut-être le rythme employé n'est-il pas en parfaite adéquation avec la forme, il y a là quelque chose qui ne colle pas vraiment mais difficile de pointer avec exactitude ce que c'est. Peut-être violence des mots et des idées ne font pas bon ménage, il faudrait trouver une manière différente de dire les choses, mais laquelle?
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: bribe
suis partagé sur ton texte ... la tirade du début m'a moyennement emballé.
Par contre, la suite m'a semblé bien mieux écrite, véhiculant plus d'idées précises, un début d'ambiance ... et puis, c'est un peu court. La sensation que ça s'arrête quand ça commence vraiment à m'intéresser.
Par contre, la suite m'a semblé bien mieux écrite, véhiculant plus d'idées précises, un début d'ambiance ... et puis, c'est un peu court. La sensation que ça s'arrête quand ça commence vraiment à m'intéresser.
Charles- Nombre de messages : 6288
Age : 48
Localisation : Hte Savoie - tophiv@hotmail.com
Date d'inscription : 13/12/2005
suite
J’étais bien, à coté de lui, en sécurité dans la chaleur et les exhalaisons acides. Il continuait son cinéma emprunt de douce violence, et j'étais éblouie de tant d'authenticité dans ses excès.
Le lendemain il ne me reconnut pas, et tout recommença mais cette fois je riais avec lui.
« Tu t’appelles comment ?
-Claire.
-Moi, c’est François… saint François d’Assise et sainte Claire, des inséparables… »
Il me raconta sa vie ou celle d’un autre. Ça n’avait aucune importance, Il fallait faire durer. La tendresse est sans prix, et je laissais sa voix me bercer. La rocaille qui grondait ne semblait plus qu’argile.
J’avais besoin d’amour, j’avais besoin de temps, il me donnait tout avec un sourire immense. Chaque jour je me serrais au cuir de son blouson, il m’offrait parfois des petites babioles trouvées. Ce temps, c’était notre ile, notre repos.
Quand j’étais trop longtemps loin de lui, je recevais un coup de fil, il pestait contre la cabine téléphonique. Je revenais, on se retrouvait toujours. Trois ans s’étaient écoulés depuis notre première rencontre, ils me connaissaient tous, et me respectaient. J’étais la fille de l’Ancien. Je portais ce titre avec fierté.
Un soir d’hiver alors que je disais au revoir à François, passa un homme richement vêtu. Lorsque je m’apprêtais à rentrer dans le métro ce même homme m’arrêta.
« Vous avez grand cœur mademoiselle.
-pardon ?
-oui vous parlez à ces pauvres gens et ils ont l’air de vous aimer.
-Je ne pense pas avoir plus grand cœur qu’un autre en aimant autant qu’on m’aime. »
Il bredouilla quelque chose et me souhaita une bonne soirée. J’avais rougi de honte en entendant de telles paroles. Jamais je n’avais pensé faire acte de bravoure, ou de charité. Etait ce donc cela qui intriguait les passants depuis le premier jour ? pensait on vraiment que les gens sans bien étaient des gens sans rien ? François m’avait tellement apporté, et c’était moi qu’on félicitait… Je me dépêchais de disparaitre dans les entrailles de la ville.
Je pris l’habitude d’entendre toute sorte de choses sur eux, les clodos, les clochards, les mendiants. Ils étaient tous les mêmes dans la bouche des autres. Ils faisaient peur, honte, pitié, ou ils gênaient. Ils étaient tantôt des victimes, tantôt des parasites sans volonté, mais jamais il n’était question d’Homme. François, il avait ses raisons pour être là. Et depuis il aimait les traboules, il aimait regarder la sainte vierge veiller du haut de la colline, jamais il ne les aurait abandonnées pour un toit même s’il maudissait le froid et la pluie.
Je n’avais jamais cherché à comprendre, c’était sa vie, voilà tout.
Un dimanche matin, mon téléphone sonna.
« Bonjour, commissariat du cinquième, connaissez-vous un certain François Trianon ?
-non.
-ah, bon. »
Il y eut un silence gênant, je cherchais à toute vitesse dans ma tète, Trianon ça ne me disait rien et François…
« François, vous dites ?
-oui.
-un SDF ?
-oui c’est cela. On nous a dit que vous étiez sa fille, et on a trouvé votre numéro sur lui.
-heu je suis sa fille de la rue, vous comprenez, pas biologiquement.
- ah. Je suis désolé, je dois vous annoncer qu’on l’a trouvé mort hier matin, et donc nous cherchons à contacter sa famille. Pourriez-vous nous aider ?
-je ne sais rien. Excusez-moi. »
C’était moi sa famille, et ses frères de la rue, qui d’autre ? Je pleurais assise sur le carrelage de la cuisine.
Le lendemain il ne me reconnut pas, et tout recommença mais cette fois je riais avec lui.
« Tu t’appelles comment ?
-Claire.
-Moi, c’est François… saint François d’Assise et sainte Claire, des inséparables… »
Il me raconta sa vie ou celle d’un autre. Ça n’avait aucune importance, Il fallait faire durer. La tendresse est sans prix, et je laissais sa voix me bercer. La rocaille qui grondait ne semblait plus qu’argile.
J’avais besoin d’amour, j’avais besoin de temps, il me donnait tout avec un sourire immense. Chaque jour je me serrais au cuir de son blouson, il m’offrait parfois des petites babioles trouvées. Ce temps, c’était notre ile, notre repos.
Quand j’étais trop longtemps loin de lui, je recevais un coup de fil, il pestait contre la cabine téléphonique. Je revenais, on se retrouvait toujours. Trois ans s’étaient écoulés depuis notre première rencontre, ils me connaissaient tous, et me respectaient. J’étais la fille de l’Ancien. Je portais ce titre avec fierté.
Un soir d’hiver alors que je disais au revoir à François, passa un homme richement vêtu. Lorsque je m’apprêtais à rentrer dans le métro ce même homme m’arrêta.
« Vous avez grand cœur mademoiselle.
-pardon ?
-oui vous parlez à ces pauvres gens et ils ont l’air de vous aimer.
-Je ne pense pas avoir plus grand cœur qu’un autre en aimant autant qu’on m’aime. »
Il bredouilla quelque chose et me souhaita une bonne soirée. J’avais rougi de honte en entendant de telles paroles. Jamais je n’avais pensé faire acte de bravoure, ou de charité. Etait ce donc cela qui intriguait les passants depuis le premier jour ? pensait on vraiment que les gens sans bien étaient des gens sans rien ? François m’avait tellement apporté, et c’était moi qu’on félicitait… Je me dépêchais de disparaitre dans les entrailles de la ville.
Je pris l’habitude d’entendre toute sorte de choses sur eux, les clodos, les clochards, les mendiants. Ils étaient tous les mêmes dans la bouche des autres. Ils faisaient peur, honte, pitié, ou ils gênaient. Ils étaient tantôt des victimes, tantôt des parasites sans volonté, mais jamais il n’était question d’Homme. François, il avait ses raisons pour être là. Et depuis il aimait les traboules, il aimait regarder la sainte vierge veiller du haut de la colline, jamais il ne les aurait abandonnées pour un toit même s’il maudissait le froid et la pluie.
Je n’avais jamais cherché à comprendre, c’était sa vie, voilà tout.
Un dimanche matin, mon téléphone sonna.
« Bonjour, commissariat du cinquième, connaissez-vous un certain François Trianon ?
-non.
-ah, bon. »
Il y eut un silence gênant, je cherchais à toute vitesse dans ma tète, Trianon ça ne me disait rien et François…
« François, vous dites ?
-oui.
-un SDF ?
-oui c’est cela. On nous a dit que vous étiez sa fille, et on a trouvé votre numéro sur lui.
-heu je suis sa fille de la rue, vous comprenez, pas biologiquement.
- ah. Je suis désolé, je dois vous annoncer qu’on l’a trouvé mort hier matin, et donc nous cherchons à contacter sa famille. Pourriez-vous nous aider ?
-je ne sais rien. Excusez-moi. »
C’était moi sa famille, et ses frères de la rue, qui d’autre ? Je pleurais assise sur le carrelage de la cuisine.
Do- Nombre de messages : 34
Age : 39
Localisation : belgique
Date d'inscription : 10/02/2008
Re: bribe
Do, cette suite qui n'en est pas vraiment une, disons un prolongement, me paraît assez faible. Tout cela ma paraît cousu de fil blanc, bien trop linéaire et attendu, une histoire vieille comme le monde que celle de cette amitié de rue puis de la police, de la mort et des regrets.
Cette seconde partie ne rend pas hommage à la première, avis perso.
Ecriture fluide et agréable, certes, mais le contenu me laisse dubitative.
Cette seconde partie ne rend pas hommage à la première, avis perso.
Ecriture fluide et agréable, certes, mais le contenu me laisse dubitative.
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: bribe
je comprends parfaitement ton point de vue... cousu de fil blanc peut etre mais vrai... j'aurais du dire quoi? je ne sais pas... peut etre me taire oui.
Do- Nombre de messages : 34
Age : 39
Localisation : belgique
Date d'inscription : 10/02/2008
Re: bribe
Ce qui me gêne c'est le décalage entre a première partie et la suite, le changement de ton qui dans la 1ère partie laissait présager autre chose que l'aspect convenu du reste. Tu surprends, tu interpelles, tu déranges et puis hop, on se retrouve avec un truc assez mièvre, attendu, qui manque du nerf du début... dommage.
Invité- Invité
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