Le temps d’une station
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Le temps d’une station
Depuis que cela s’est produit, une multitude de pensées venues de nulle part foisonnent dans mon esprit, mais trêve d’hésitation : Je me lance !! L’évènement est trop important.
Aujourd’hui sixième jour après les faits, je ressasse, je revois encore son visage angélique…Mais pourquoi ces gens là existent ??!! N’est ce pas pour matérialiser la tentation ultime, le fait est qu’ils sont bel et bien présents et qu’ils défient effrontément nos lois du hasard et de la génétique…
Ces beautés à susciter l’adultère et à rendre fous de rage les personnes du même sexe !!
L’entrevue s’est déroulé comme suit ;
Ce jour là, un jour de pluie (un, probablement, de ceux, à haute teneur romanesque), je m’ apprêtais à finir une de mes plus banales journées de cours par une séance de cours à domicile que je donnais à un jeune collégien.
Dans ma hâte habituelle (mon caractère très pragmatique, fait que je ne suis pas de ces gens qui font des rencontres opportunes pendant leurs voyages), je dévorais avec empressement un friand au fromage en guise de déjeuner, me souciant comme à l’accoutumée, assez peu du paysage commun qui m’entourait. C’est alors que j’aperçus ce jeune homme sortir du couloir qui mène de l’aéroport. Inutile de cacher qu’il a suscité une réaction vive de ma part.
Au tout début ce sont la symétrie et l’harmonie de ce visage qui m’ont saisie. Il était parfaitement à l’opposé de ce que dégageaient ces jeunes issus du matriarcat d’après la révolution de 1968.
Il était beau, très beau et malgré tout infiniment masculin, qualité que l’on peut, aujourd’hui qualifier de progressiste lorsqu’on la ramène à la génération de métrosexuels qui arpentent les rues des métropoles.
Enfin, tout cela pour dire qu’il était vraiment captivant ce visage. Le retour à la réalité se faisant, je tempérai « un beau garçon, rien de surprenant dans une grande ville comme Paris, on en croise toujours un ou deux dans les wagons… », et je me remettais à manger mon friand avec le même empressement.
J’avais en plus aperçu derrière lui, une jeune femme. Ce genre de garçon, me disais-je a rarement le loisir de savoir à quoi peut ressembler une demi journée seul.., je tournai alors mon visage et regardai de l’autre côté afin de rendre plus facile mon détachement.
De l’autre côté, je le vis à nouveau, il était seul et la jeune fille ne l’accompagnait pas…c’était juste une voyageuse.
Il portait sous son bras une planche (de surf certainement), un énorme sac à dos et deux superbes sacs de voyages en cuir.
Je les avais remarqués, ces sacs, moi qui à l’accoutumée avait peu l’habitude de m’attarder sur ces détails prosaïques, car ils étaient vraiment magnifiques, au point qu’ils me rappelaient les sacs de Jules Vernes dans son tour du monde en 85 jours.
(Le recours à Jules vernes est fait pour illustrer l’époque de laquelle semblaient venir ses sacs et également la portée du personnage.)
Ce qu’il y avait de malheureux dans l’affaire, c’est qu’une fois encore, je me lançais dans des investigations que je savais par avance inutiles, d’autant plus que je ne connaissais que trop bien mon tempérament et qu’il n’est définitivement pas à séduire les passants et les passagers.
Seulement, la réalité est que je n’arrivais pas à m’en empêcher, le jeu était trop agréable, et je continuai, faisant fi de la bienséance, me demandant d’où il pouvait venir, où il pourrait aller, quel pouvait être son univers sa culture…je le regardais même avec insistance, ce n’était ni deçant ni convenable, mais peu m’importait cela.
Je ne pouvais pas savoir si lui en retour m’avait remarquée, mais je saisissais avec plaisir les regards furtifs qu’il posait sur moi.
Je me résonnais en me disant que mes déductions étaient un leurre, mais cela également importait peu compte tenu de la misère affective dans laquelle je me trouvais, la fin me paraissait dérisoire pourvu qu’il y eu diversion.
Enfin, arriva le moment où le train entra en gare puis s’arrêta, nous nous apprêtâmes à entrer, quand je le vis, le gros sac sur le dos, la planche sous le bras et les deux sacs remplis à craquer à terre.
J’ai immédiatement pensé à proposer mon aide, idée que j’ai tout aussitôt étouffée, pensant que cela me ferait passer pour une parfaite idiote, et une racoleuse de surcroit étant donné le contexte.
Je m’apprêtai alors à monter, et là, il fît un geste qui mît immédiatement fin à mes hésitations : Il tendit la main comme pour soulever son sac, mais feignît de ne pas y parvenir, à cause des charges qui pesaient sur le haut de son corps ; Je saisis donc, immédiatement l’occasion et proposais mon aide.
C’était une réjouissance, le geste était peut être un stratagème, peut être pas, mais dans tous les cas, c’était indéniablement une preuve que le mystérieux jeune homme voulait entreprendre quelque chose.
Il accepta mon aide, mais pudiquement, après quelques hésitations frénétiques.
D’ailleurs, je comprenais mieux ces hésitations une fois j’ai cru faillir sous le poids de ce sac, bien plus lourd que ce que je pensais. Mieux encore, il a du s’en rendre compte, en me voyant trébucher.
Nous entrâmes. Il s’assît au fond du wagon, je l’y suivi naturellement, déposais le sac prés de lui, et m’assis effrontément sur les sièges à côté, de l’autre côté de l’allée. L’allée nous séparait.
Certaines n’auraient eu aucune difficulté à enclencher des conversations très probantes, suite auxquelles elles auraient engrangé un maximum d’informations judicieuses et utiles, tels que ; le prénom, les coordonnées…, mais malheureusement, je n’étais pas de celles-ci. Il fallait que je fasse avec ce que j’avais, et ce n’était pas le meilleur, cette satanée pudeur, notamment me faisait passer à côté de bien des choses.
Une fois installés, je lançais une petite phrase inintéressante ; pour casser le silence ou bien entant qu’ultime tentative d’aboutir à quelque chose de plus concret, connaissant en plus la très courte durée de temps dont je disposais et dont il n’avait pas nécessairement connaissance (ou plutôt nécessairement pas connaissance ).
A ma phrase plus ou moins idiote, il esquissa un magnifique sourire et me répondis avec l’immense politesse des personnes intéressées.
Je n’arrivais alors pas à le fixer, et détournais mon regard, certainement, éblouie, comme on pouvait l’être avec la lumière du soleil. J’ai d’ailleurs du me contenter de cela, car l’arrêt suivant fût le mien.
Je pris alors congé poliment, et quittais le train, en m’interrogeant ce que me voulait cette providence, à me provoquer comme elle le faisait.
Sparclar
Aujourd’hui sixième jour après les faits, je ressasse, je revois encore son visage angélique…Mais pourquoi ces gens là existent ??!! N’est ce pas pour matérialiser la tentation ultime, le fait est qu’ils sont bel et bien présents et qu’ils défient effrontément nos lois du hasard et de la génétique…
Ces beautés à susciter l’adultère et à rendre fous de rage les personnes du même sexe !!
L’entrevue s’est déroulé comme suit ;
Ce jour là, un jour de pluie (un, probablement, de ceux, à haute teneur romanesque), je m’ apprêtais à finir une de mes plus banales journées de cours par une séance de cours à domicile que je donnais à un jeune collégien.
Dans ma hâte habituelle (mon caractère très pragmatique, fait que je ne suis pas de ces gens qui font des rencontres opportunes pendant leurs voyages), je dévorais avec empressement un friand au fromage en guise de déjeuner, me souciant comme à l’accoutumée, assez peu du paysage commun qui m’entourait. C’est alors que j’aperçus ce jeune homme sortir du couloir qui mène de l’aéroport. Inutile de cacher qu’il a suscité une réaction vive de ma part.
Au tout début ce sont la symétrie et l’harmonie de ce visage qui m’ont saisie. Il était parfaitement à l’opposé de ce que dégageaient ces jeunes issus du matriarcat d’après la révolution de 1968.
Il était beau, très beau et malgré tout infiniment masculin, qualité que l’on peut, aujourd’hui qualifier de progressiste lorsqu’on la ramène à la génération de métrosexuels qui arpentent les rues des métropoles.
Enfin, tout cela pour dire qu’il était vraiment captivant ce visage. Le retour à la réalité se faisant, je tempérai « un beau garçon, rien de surprenant dans une grande ville comme Paris, on en croise toujours un ou deux dans les wagons… », et je me remettais à manger mon friand avec le même empressement.
J’avais en plus aperçu derrière lui, une jeune femme. Ce genre de garçon, me disais-je a rarement le loisir de savoir à quoi peut ressembler une demi journée seul.., je tournai alors mon visage et regardai de l’autre côté afin de rendre plus facile mon détachement.
De l’autre côté, je le vis à nouveau, il était seul et la jeune fille ne l’accompagnait pas…c’était juste une voyageuse.
Il portait sous son bras une planche (de surf certainement), un énorme sac à dos et deux superbes sacs de voyages en cuir.
Je les avais remarqués, ces sacs, moi qui à l’accoutumée avait peu l’habitude de m’attarder sur ces détails prosaïques, car ils étaient vraiment magnifiques, au point qu’ils me rappelaient les sacs de Jules Vernes dans son tour du monde en 85 jours.
(Le recours à Jules vernes est fait pour illustrer l’époque de laquelle semblaient venir ses sacs et également la portée du personnage.)
Ce qu’il y avait de malheureux dans l’affaire, c’est qu’une fois encore, je me lançais dans des investigations que je savais par avance inutiles, d’autant plus que je ne connaissais que trop bien mon tempérament et qu’il n’est définitivement pas à séduire les passants et les passagers.
Seulement, la réalité est que je n’arrivais pas à m’en empêcher, le jeu était trop agréable, et je continuai, faisant fi de la bienséance, me demandant d’où il pouvait venir, où il pourrait aller, quel pouvait être son univers sa culture…je le regardais même avec insistance, ce n’était ni deçant ni convenable, mais peu m’importait cela.
Je ne pouvais pas savoir si lui en retour m’avait remarquée, mais je saisissais avec plaisir les regards furtifs qu’il posait sur moi.
Je me résonnais en me disant que mes déductions étaient un leurre, mais cela également importait peu compte tenu de la misère affective dans laquelle je me trouvais, la fin me paraissait dérisoire pourvu qu’il y eu diversion.
Enfin, arriva le moment où le train entra en gare puis s’arrêta, nous nous apprêtâmes à entrer, quand je le vis, le gros sac sur le dos, la planche sous le bras et les deux sacs remplis à craquer à terre.
J’ai immédiatement pensé à proposer mon aide, idée que j’ai tout aussitôt étouffée, pensant que cela me ferait passer pour une parfaite idiote, et une racoleuse de surcroit étant donné le contexte.
Je m’apprêtai alors à monter, et là, il fît un geste qui mît immédiatement fin à mes hésitations : Il tendit la main comme pour soulever son sac, mais feignît de ne pas y parvenir, à cause des charges qui pesaient sur le haut de son corps ; Je saisis donc, immédiatement l’occasion et proposais mon aide.
C’était une réjouissance, le geste était peut être un stratagème, peut être pas, mais dans tous les cas, c’était indéniablement une preuve que le mystérieux jeune homme voulait entreprendre quelque chose.
Il accepta mon aide, mais pudiquement, après quelques hésitations frénétiques.
D’ailleurs, je comprenais mieux ces hésitations une fois j’ai cru faillir sous le poids de ce sac, bien plus lourd que ce que je pensais. Mieux encore, il a du s’en rendre compte, en me voyant trébucher.
Nous entrâmes. Il s’assît au fond du wagon, je l’y suivi naturellement, déposais le sac prés de lui, et m’assis effrontément sur les sièges à côté, de l’autre côté de l’allée. L’allée nous séparait.
Certaines n’auraient eu aucune difficulté à enclencher des conversations très probantes, suite auxquelles elles auraient engrangé un maximum d’informations judicieuses et utiles, tels que ; le prénom, les coordonnées…, mais malheureusement, je n’étais pas de celles-ci. Il fallait que je fasse avec ce que j’avais, et ce n’était pas le meilleur, cette satanée pudeur, notamment me faisait passer à côté de bien des choses.
Une fois installés, je lançais une petite phrase inintéressante ; pour casser le silence ou bien entant qu’ultime tentative d’aboutir à quelque chose de plus concret, connaissant en plus la très courte durée de temps dont je disposais et dont il n’avait pas nécessairement connaissance (ou plutôt nécessairement pas connaissance ).
A ma phrase plus ou moins idiote, il esquissa un magnifique sourire et me répondis avec l’immense politesse des personnes intéressées.
Je n’arrivais alors pas à le fixer, et détournais mon regard, certainement, éblouie, comme on pouvait l’être avec la lumière du soleil. J’ai d’ailleurs du me contenter de cela, car l’arrêt suivant fût le mien.
Je pris alors congé poliment, et quittais le train, en m’interrogeant ce que me voulait cette providence, à me provoquer comme elle le faisait.
Sparclar
sparclar- Nombre de messages : 2
Age : 44
Date d'inscription : 14/03/2008
Re: Le temps d’une station
Une ambiance s'installe, c'est vrai, on partage le désir et les doutes de l'héroïne, c'est vrai aussi, mais l'écriture est un peu sage, je trouve, la trame, assez mince.
Re: Le temps d’une station
Un texte qui devrait logiquement se poursuivre, non ? Ca peut pas s'arrêter là, ou alors c'était même pas la peine de le poster vu le peu d'intérêt (à MES yeux) qu'il présente, ou alors j'ai loupé un truc.
Donc j'attends la suite, et avec intérêt ;-)
Donc j'attends la suite, et avec intérêt ;-)
Re: Le temps d’une station
Pour la référence à Jules Verne : "le tour du monde en 80 jours"...
Reginelle- Nombre de messages : 1753
Age : 74
Localisation : au fil de l'eau
Date d'inscription : 07/03/2008
Re: Le temps d’une station
A mon avis un texte à reprendre sérieusement avant d'aller plus loin.
Beaucoup de fautes, d'orthographe et de temps... et revoir certains mots.
Par exemple : "L'entrevue s'est déroulée comme suit".
Une entrevue c'est une rencontre concertée entre deux ou plusieurs personnes. Ici il ne s'agit que d'une "rencontre" (tout court) de deux personnes, et due au hasard.
"qui mène de l'aéroport" : en principe c'est "qui mène à" ou alors il faut préciser : qui mène de l'aéroport à...
"Révolution de 1968" : révolution, c'est peut-être un peu fort...
"hésitations frénétiques" : frénétique évoque le "délire", l'agitation... qui s'accordent mal avec "hésitation"...
etc.
et puis "déçant" =>> décent
"je me résonnais" =>> raisonnais
"il y eu" =>> il y eut
etc.
Beaucoup de corrections à faire...
Beaucoup de fautes, d'orthographe et de temps... et revoir certains mots.
Par exemple : "L'entrevue s'est déroulée comme suit".
Une entrevue c'est une rencontre concertée entre deux ou plusieurs personnes. Ici il ne s'agit que d'une "rencontre" (tout court) de deux personnes, et due au hasard.
"qui mène de l'aéroport" : en principe c'est "qui mène à" ou alors il faut préciser : qui mène de l'aéroport à...
"Révolution de 1968" : révolution, c'est peut-être un peu fort...
"hésitations frénétiques" : frénétique évoque le "délire", l'agitation... qui s'accordent mal avec "hésitation"...
etc.
et puis "déçant" =>> décent
"je me résonnais" =>> raisonnais
"il y eu" =>> il y eut
etc.
Beaucoup de corrections à faire...
Reginelle- Nombre de messages : 1753
Age : 74
Localisation : au fil de l'eau
Date d'inscription : 07/03/2008
Re: Le temps d’une station
Membre Reginelle, par les pouvoirs qui ne me seront jamais conférés, je vous nomme Présidente de la Haute Autorité de la Langue et de la Littérature Usuelle du Site (P.H.A.L.L.U.S), et je vous souhaite toute la réussite dans vos nouvelles fonctions. ;-)
Re: Le temps d’une station
Le décor est en place, les personnages définis, il me semble distinguer l’objectif de l’héroïne, bref en tant que lecteur je suis dans les starting-blocks mais je reste cloué sur la ligne de départ. L’histoire ne démarre pas ou elle n’aboutit pas, difficile à dire. Il manque l’essentiel à mon avis, c’est l'accroche du récit. Dommage cela s’annonçait bien.
Numériplume- Nombre de messages : 543
Age : 53
Localisation : Au-delà des dunes
Date d'inscription : 31/10/2007
Re: Le temps d’une station
Cela pourrait être un morceau de quelque chose, mais ça pourrait aussi être un tout n'appellant pas forcément de suite.
Le départ précipité de la fin laisse augurer des regrets des remords, des peut-être et des qui sait à jamais, je ne suis pas sûre d'avoir envie que ça soit prolongé, ça casserait la magie.
Par contre, ce qui casse bel et bien la magie à mes yeux, c'est ce constant besoin d'expliquer les choses, par des détails, des parenthèses et de courtes digressions. Ça bouscule le rythme de manière pas tout le temps harmonieuse et ça n'est pas non plus à chaque fois utile.
Quelques maladresses de ci de là, déjà épinglées, mais de manière générale, ce sont plutôt ces coupures qui m'empêchent d'aprpécier ce texte.
Le départ précipité de la fin laisse augurer des regrets des remords, des peut-être et des qui sait à jamais, je ne suis pas sûre d'avoir envie que ça soit prolongé, ça casserait la magie.
Par contre, ce qui casse bel et bien la magie à mes yeux, c'est ce constant besoin d'expliquer les choses, par des détails, des parenthèses et de courtes digressions. Ça bouscule le rythme de manière pas tout le temps harmonieuse et ça n'est pas non plus à chaque fois utile.
Quelques maladresses de ci de là, déjà épinglées, mais de manière générale, ce sont plutôt ces coupures qui m'empêchent d'aprpécier ce texte.
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: Le temps d’une station
suggestion : de visage......Enfin, tout cela pour dire qu’il était vraiment captivant ce visage...
Tu introduis cette personne dans le décor pour l'oublier aussitôt....J’avais en plus aperçu derrière lui, une jeune femme...
proposition:...pas sujet à séduire......je ne connaissais que trop bien mon tempérament et qu’il n’est définitivement pas à séduire les passants et les passagers....
brouillon....Seulement, la réalité est que je n’arrivais pas à m’en empêcher, le jeu était trop agréable, et je continuai, faisant fi de la bienséance, me demandant d’où il pouvait venir, où il pourrait aller, quel pouvait être son univers sa culture…je le regardais même avec insistance, ce n’était ni deçant ni convenable, mais peu m’importait cela.
sabre, coupe, élague, inutile de répéter deux ou trois fois la même action, comme celle-ci : nous nous apprêtâmes à entrer...Je m’apprêtai alors à monter,...Nous entrâmes......Il s’assît au fond du wagon, je l’y suivi naturellement, déposais le sac prés de lui, et m’assis effrontément sur les sièges à côté, de l’autre côté de l’allée. L’allée nous séparait....
Tu veux rendre l'hésitation de ton personnage tellement vraie, que ton écriture s'en ressent.
bertrand-môgendre- Nombre de messages : 7526
Age : 104
Date d'inscription : 15/08/2007
Re: Le temps d’une station
C’est alors que j’aperçus ce jeune homme sortir du couloir qui mène de l’aéroport. Inutile de cacher qu’il a suscité une réaction vive de ma part.
Quelque chose ne tourne pas rond dans ton écriture et je crois en connaitre la cause. Te relis-tu à voix haute?
tu pourra identifier avec ce moyen des bizarreries:
mener de pas mener à , ou mener de..à.
on des petites corrections de musicalité:
suscité une vive réaction.
Voilà pour ma petite participation.
Bienvenue! :-)
Invité- Invité
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