Le Pianiste [Nouvelle]

d'un costar blanc et noir assemblé à de belles chaussures en cuir noir
Ses mains, accompagnés de longs et fins doigts, idéals
Et il voulait mourir de la plus belle façon qu’un pianiste aurait désiré
Il débuta alors sa dernière soirée par ajuster son fauteuil
Chaque note, chaque son résumait à un mot. [...] son Adieu envers son public.
ni oiseaux, ni enfants clamaient
la seule épaule indispensable pour le pianiste, puis vint le tour de ses yeux,
jusqu'à en prendre le dessus.
Le pianiste avait cessé de parler ni même de vivre.

la première note s’envola, douce, cristalline, mélodieuse, gracieuse, vertueuse, élégante

Dina a écrit:Il était vêtu d'un costar blanc et noir assemblé à de belles chaussures en cuir noir ainsi que d'un somptueux nœux papillon blanc.

la première note s’envola, douce, cristalline, mélodieuse, gracieuse, vertueuse, élégante

Le pianiste avait cessé de parler ni même de vivre.

C'était LA fin.

d'un costar blanc et noir assemblé à de belles chaussures

Ses mains, accompagnés de longs et fins doigts

pas mal de maladresses, effectivement, comme :
d'un costar blanc et noir assemblé à de belles chaussures
"assorti" irait mieux,
ou encore :
Ses mains, accompagnés de longs et fins doigts
remplacer "accompagnées de longs et fins doigts" par "aux longs doigts fins", simplement ?

Dina, cette fois, il y a trop de fautes par ligne : j'ai abandonné à la quatrième.

Dina, tu maitrises ton histoire.
Tu as le début, le thème et la fin.
Pourtant le mot fin, ne ponctue pas ton texte. Il manque une chute, comme une respiration étouffée par un silence trop appuyé.
Est-il nécessaire de prononcer le mot mort ? Tu peux le suggérer.

Dina a écrit:Il était vêtu d'un costar blanc et noir assemblé à de belles chaussures en cuir noir ainsi que d'un somptueux nœux papillon blanc.
assorti plutôt qu'assemblé, je crois que c'est ça que tu veux dire. Citation :
la première note s’envola, douce, cristalline, mélodieuse, gracieuse, vertueuse, élégante
Mélodieuse, non, la mélodie, c'est dès qu'il a plusieurs notes ;
gracieuse et élégante, c'est un peu la même chose, élégante suffirait, ou élégante, comme tu veux, mais pour vertueuse, bravo. C'est inattendu et assez... je sais pas mais ça me plait.
Citation :
Le pianiste avait cessé de parler ni même de vivre.
cette négation est en trop ; et/ou même simplement de vivre...
Citation :
C'était LA fin.
Si c'est un jeu de mot sur la note la, il est déplacé, sinon, c'est inutile de l'ajouter.

Pourquoi cette présentation centrée? etc..."
(je ne me souvenais pas beaucoup de cette phrase ^^)

Dina, cette fois, il y a trop de fautes par ligne : j'ai abandonné à la quatrième.

Dina a écrit:Pour le assorti je suis partagée.

Enfin au début c'était ce que j'avais écrit et puis comme ce n'est pas le seul forum d'écriture que je "fréquente", d'autres personnes m'ont suggéré de mettre "assemblés" au lieu de mettre "assorti".

Dina a écrit:
Pour le assorti je suis partagée.
Pas nous !Citation:
Enfin au début c'était ce que j'avais écrit et puis comme ce n'est pas le seul forum d'écriture que je "fréquente", d'autres personnes m'ont suggéré de mettre "assemblés" au lieu de mettre "assorti".
Eh bien, tu n'es pas obligée d'aller le leur dire, mais ils se foutent le (long) doigt dans l'oeil :-)
Si tu ne nous fais pas confiance sur ce point, va demander à n'importe quel vendeur dans un rayon ou magasin de vêtements, et tu sauras. Assorti, ça veut très exactement dire "qui se ressemble s'assemble", donc il est normal qu'on puisse penser assemblage, mais on doit (dans l'nez) dire assorti (de son chapeau)

Je m'excuse si cela t'as empéché de poursuivre ta lecture (ce qu'est le cas) mais pour l'instant il faudra s'y contenter.

De pire en pire, Dina.

Dina a écrit:Tu sais apoutsiak, il y a des choses dans la vie bien plus importantes que cela!!
Et je rapelle aussi que dans le règlement il n'y a pas marqué que même dans les commentaires il ne faut pas faire de fautes d'orthographe!!!
(par contre il y a marqué cela pour les textes postés)

Dina a écrit:

Le Pianiste


Il était là, sur scène, prêt à commencer son morceau de musique. Tout le public l’applaudissait avec beaucoup d'enthousiasme. Il était vêtu d'un costar blanc et noir accordé à de belles chaussures en cuir noir ainsi que d'un somptueux nœux papillon blanc. Ses cheveux semblaient être blonds vénitiens et assez courts. Ses mains, aux longs et fins doigts, idéales pour un pianiste de sa catégorie, étaient douces. Mais il sentait que quelque chose n’allait pas, que quelque chose posait problème. Il savait que c’était la dernière fois qu’il jouait sur scène. Et il voulait mourir de la plus belle façon qu’un pianiste aurait désirée. Celle de mourir sur scène, près de son piano favori et de son public.
Il débuta alors sa dernière soirée en ajustant son fauteuil et s'assit lourdement. Il ne tenait plus sur ses jambes. Et surtout, il voulait jouer un morceau improvisé. Un morceau qui serait sa propre signature, son mot pour la fin. Mais ce n’était pas une mélodie quelconque…Chaque note, chaque son se résumait à un mot. C’était son discours de fin, son Adieu envers son public. Il pouvait parler mais il ne le souhaitait pas. Sa mélodie parlait à sa place. Dès que le pianiste commença à jouer, la première note s’envola, douce, cristalline, mélodieuse, gracieuse, vertueuse, élégante telle le chant d’un rossignol. C’était beau. Tout le public l’écoutait avec émerveillement. Il était ému d‘entendre ce message d’au revoir, le plus sublime qui soit. La seule chose que l'on pouvait entendre était le piano. Pas un bruit ne venait de l’extérieur, ni oiseaux, ni enfants ne clamaient. C’était comme si les animaux savaient que c’était la fin. Une triste fin pour un pianiste qui a vécu son rêve, celui de pouvoir jouer, même au delà de son « handicap ». Et il réussit. Il était le meilleur. C’était le seul qui pouvait parler avec la musique, comprendre chaque note. Il les apprivoisait et les offrait aux autres. Personne ne pouvait faire la même chose que lui. Personne.
A plusieurs reprises, il cessa de jouer. La fatigue était plus forte que lui. Mais à chaque arrêt, il voulait continuer. La vie était importante à ses yeux mais de satisfaire son public l'était encore plus. Pourtant, elle avait été cruelle envers lui. Elle lui avait ôté d'abord sa famille, la seule épaule indispensable pour le pianiste, puis vint le tour de ses yeux, un très grand sacrifice qui lui aurait coûté la vie. La musique fut son seul refuge, son abri. C'est grâce à elle qu'il vivait et c'est avec elle qu'il voulait mourir.
Il prit une bouffée d'air, la dernière des dernières, puis plus rien, le silence. Il tomba de son tabouret, sans aucune réaction venant du public, puis s'étala sur le sol, les yeux fermés, les paumes ouvertes.
Peu à peu, sa peau palit et devint aussi froide que celle d'un défunt. L'heure du pianiste avait sonné.

apoutsiak a écrit:.

Excuse-moi, Dina, c'est juste que je croyais que tu aimais bien qu'on lise tes textes. Alors moi, comme j'ai le droit d'exercer comme toi ma liberté je ne te lirai plus si tu ne fais pas des efforts pour l'eaurthaultgrraf, na !

Dina a écrit:

apoutsiak a écrit:.Excuse-moi, Dina, c'est juste que je croyais que tu aimais bien qu'on lise tes textes. Alors moi, comme j'ai le droit d'exercer comme toi ma liberté je ne te lirai plus si tu ne fais pas des efforts pour l'eaurthaultgrraf, na !

xD promis maintenant j'essayerai de faire moins de fautes d'eaurthaultgrraf

Mentos a écrit:j'ai été faire un tour sur ton blog !!!

lol47 a écrit:A douze ans, j'aurais été bien en peine d'écrire comme ça !

Non mais...!