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Le masque d'Anubis [4]

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Le masque d'Anubis [4] Empty Le masque d'Anubis [4]

Message  slave1802 Lun 28 Avr 2008 - 10:48

Flicotaton sortit du palais du vizir pensif. La chaleur de ce mois de Djehuty lui sauta à la figure à peine eut-il quitté l’ombre protectrice de la grande salle hypostyle qui servait de hall d’accueil. Il leva la tête vers le ciel sans nuage. La luminosité extrême de la mi-journée lui fit plisser les yeux. Il se demanda si c’était vraiment une bonne idée d’aller se promener dans Thèbes à l’heure où l’ensemble de la population, Pharaon y compris faisait la sieste dans l’ombre bienfaitrice des maisons.

– Le devoir avant tout, dit-il tout haut en prenant la direction du port.

Seul un chien famélique leva la tête à l’audition de ces mots. Il contempla le policier quelques secondes mais vaincu par la chaleur, il reposa sa tête de chacal dans l’abri de ses deux pattes avant et repris le cours de sa sieste.

Flicotaton suivit pendant quelques minutes l’avenue principale de Thèbes. La voie, large et bien aplanit, menait de la porte de l’occident jusqu’au palais royal. Il bifurqua bientôt dans une petite ruelle qui serpentait entre les maisons aux hauts murs en direction du Nil. Une ombre providentielle protégeait la venelle et la chaleur se fit moins intense.

La ruelle se faisait de plus en plus tortueuse. Flicotaton passait sans s’arrêter devant des ateliers de potiers déserts et des fabriques de bière toutes aussi vides. Il déboucha enfin sur la berge du fleuve et ne put s’empêcher de s’arrêter pour le contempler.

Le Nil, le poumon du double pays coulait paresseusement devant lui. L’eau verte, chargée du limon, était presque à son niveau le plus haut. La crue était bonne cette année et le spectre de la famine ne viendrait pas hanter le royaume de Pharaon.

Sur l’autre rive, distance de 500 coudées, Flicotaton apercevait les temples de million d’années des prédécesseurs de Pharaon. En tournant la tête vers l’amont, il distingua la muraille du temple de Karnak recouverte d’échafaudages, signe de travaux de rénovations ou d’agrandissements comme en faisait chaque nouveau souverain en montant sur le trône d’Horus.

Flicotaton remonta la rive à contre-sens du courant. De nombreuses felouques étaient amarrées sur les quais. Leur chargement à moitié déchargé ou à moitié embarqué suivant qu’elles venaient du Sud ou repartaient vers le Delta. L’agitation était souvent intense mais la trêve de midi était ici aussi respecté et on ne voyait âme qui vive. Un chat noir sauta soudain du recoin de fenêtre sur lequel il scrutait les environs et monta en trombe à bord d’une grosse embarcation décorée de l’œil de Râ sur son flanc. Sans doute avait-il repéré quelques rats en train de fouiller la cargaison. Apparemment des grains d’épeautres, constatât Flicotaton qui ne put s’empêcher de jeter un œil aux grands paniers de jonc qui encombraient le pont.

Il continua ainsi quelque temps sa promenade entre les entrepôts et les nombreux bateaux à quai. Il finit par déboucher sur une placette décorée de tamaris et d’une statue des nombreuses statue de Pharaon qui encombraient toute la ville. Entre un entrepôt fermé et une petite échoppe d’accastillage se tenait la maison de bière qu’il recherchait. Une inscription en caractères hiératiques hésitant lui indiqua le nom de l’établissement, pompeusement baptisé « les jardins d’Abydos ". Il poussa la porte d’entrée et pénétra dans une salle obscure. Une dizaine de table gisaient entassé dans un coin de la pièce, sans doute pour libérer le sol de pierre disjointe afin de le laver. Sur l’autre mur se tenait un échafaudage instable formé de chaises et de bancs aux couleurs passés. Au fond de la salle, sagement alignés contre le mur, se tenaient quatre immenses jarres à bière. Juste à côté, un petit meuble bancal en bois noueux d’acacia, abritait une collection hétéroclite de coupes en métal et de bols en poterie.

– Y’a quelqu’un ? Demanda Flicotaton à tout hasard, bien que sa vision, maintenant adaptée à la pénombre, lui permétait de s’apercevoir que la salle était completement déserte.

N’obtenant aucunes réponses, il renouvela sa question en haussant le ton tout en se dirigeant vers une petite porte basse située près des jarres. Il atteint l’ouverture et frappa de son poing sur le battant en posant pour la troisième fois la même question.

Il perçut le son d’une étoffe qui se froisse en provenance de l’autre pièce, suivit d’un bruit de pas hésitant qui se rapprochait de l’ouverture. Un déclic et un judas de bois s’ouvrit à hauteur de regard. Il se pencha vers l’ouverture et contempla le visage ridé et bouffi d’une femme qui venait manifestement de se réveiller.

– C’est fermé ! Revenez ce soir ! Lui dit la harpie avant de lui refermer sèchement le judas au nez.
– Police ! Ouvrez ! Répondit Flicotaton. Je suis ici sur ordre de Pharaon ! Craignez son courroux si vous ne m’ouvrez pas immédiatement.

La réplique du policier eut l’effet désiré et la porte s’ouvrit lentement vers l’intérieur de la pièce.

– Ca va, entrez, ce n’est pas la peine de hurler, lui dit la femme qui tenait le battant. Qu’est ce que vous voulez ?
– Vous parler de Meritamon, fit Flicotaton en entrant dans ce qui ressemblait à une cuisine des plus mal tenue.
– Cette petite oie qui nous a laissé tomber la semaine dernière ?
– Nous pensons qu’on la plutôt enlevée.
– Enlever cette écervelée ? Qui pourrait avoir une idée aussi saugrenue ?
– C’est ce que j’essaye de déterminer madame …?
– Dame Touy, l’épouse du maître des lieux, Amibhotep.
– Qui est présentement … ?
– En train de ronfler dans la cave bien sur ! Lui répondit la tenancière en levant les yeux au ciel.
– Je n’ai pas une vie facile vous savez ! Rajouta-t-elle en soupirant fortement, ce qui eut pour effet de faire trembler son corsage à la façon d’un flan.
– Parlez-moi un peu de Meritamon.
– Elle était chez nous depuis très longtemps. Ses parents, des paysans de la vallée, l’on placé en apprentissage alors qu’elle venait d’avoir dix ans. On a toujours été gentil avec elle, c’était un peu comme notre fille, voyez !
– Vous n’en rajoutez pas un peu ? La questionna Flicotaton incrédule.
– Je le jure sur la tête de Bès !
– Pourquoi vous la traitiez d’écervelée il n’y a pas cinq minutes alors ?

La réplique du fonctionnaire laissa la matrone muette. Elle piqua un fard et s’enferra dans son histoire de mère adoptive bonne comme le pain.

– Arrêtez vos salades ou je vous coffre, s’emporta Flicotaton, lassé des racontars de la rombière. Je veux la vérité, rien que la vérité. Je ne suis pas venu pour vous juger, je suis là pour Meritamon uniquement !
– Mais.
– Suffit ! Quand l’avez-vous vue pour la dernière fois ?
– Le dernier jour de la décade précédente.
– A quelle heure et dans quelles circonstances ?
– En fin de service, vers la septième heure de la nuit. Elle est partie accompagner un client.
– Ca lui arrivait souvent ?
– Bien sur, ça fait parti du métier.
– Elle vendait ses charmes en indépendante ou sous votre coupe ?
– On partageait les gains, c’est l’usage !
– Le client avec lequel elle est partie, vous le connaissiez ?
– Il me semble qu’il venait de temps en temps mais on reçoit tellement de monde ici.
– Vous pouvez me le décrire ?
– J’en serai bien incapable, on ne distingue pas bien les gens d’ici.
– Qui sert en salle ?
– Mon époux, Amibhotep, et nos deux autres serveuses.
– Où sont-elles ?
– Elles doivent faire la sieste chez elles. Elles reviendront ce soir à la nuit tombée.
– Bien, montrez-moi le chemin de la cave, j’ai quelques questions à poser à votre mari.
– C’est vous qui décidez, mais ce n’est pas une très bonne idée de le réveiller pendant sa sieste. Il a le réveil difficile, si vous voyez ce que je veux dire ! Lui répondit la tenancière en le précédant vers le fond de la cuisine.

Elle ouvrit une petite porte basse dévoilant un escalier s’enfonçant dans le ventre obscur de Thèbes.

– Attention à la tête, c’est bas de plafond !

L’avertissement arriva trop tard, Flicotaton qui s’était baissé pour passer le seuil de la porte venait de se cogner le crâne en se relevant trop rapidement. Il poussa un juron et entreprit de descendre les marches courbées en deux. Il descendit ainsi une dizaine de degrés pour déboucher dans un minuscule couloir où deux personnes n’auraient pas pus se croiser. Le conduit, creusé dans la terre, était étayé de loin en loin par des poutres vermoulues semblant dater de la construction des pyramides.

Sa guide le précédait en ondulant suggestivement de la croupe. La vision de cet arrière-train digne d’une jument se cognant aux murs dans un simulacre de danse lascive fit naître un fin sourire sur les lèvres du policier.

– Décidément j’aurais tout vu dans ce boulot ! Pensa-t-il en progressant dans l’obscur boyau.

Ils arrivèrent finalement devant un nouvelle porte, fermée. La charmeuse l’ouvrit sans bruit et tenta de s’effacer pour laisser la place à Flicotaton. Ce dernier fut obligé de se mettre en biais pour pénétrer dans le local. L’exiguïté du couloir additionné à la corpulence de son hôte fit qu’il fut obligé de se frotter contre la rombière pour entrer dans la pièce. Il sentit ses deux seins flasques s’écraser contre sa poitrine. Tentant de la repousser, il l’en empoigna un à pleine main, ce qui fit gémir sa propriétaire.

– Chut grand fou, tu vas réveiller mon mari ! Lui murmura-t-elle à l’oreille. Quand tu en auras fini avec ce sac à bière, viens me rejoindre dans ma chambre, c’est à l’étage.

Sans lui laisser le temps de répondre à sa proposition, elle s’enfuit, plus prestement que sa corpulence le laissait présager, vers l’escalier tout au bout du couloir.
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Message  slave1802 Lun 19 Mai 2008 - 10:42

Flicotaton détourna la tête et tenta d’apercevoir quelque chose dans la pénombre qui régnait dans la cave. L’obscurité n’y était pas complète. Il distinguait le contour d’un soupirail au raz du plafond, apparemment obstrué par une planche. Sa vision s’habitua progressivement au manque de lumière. La cave était entièrement tapissée d’étagères grossières qui ployaient sous les jarres de vin de palme et les flacons d’hydromel. Sur le sol en terre battue, était couché sur le dos un homme corpulent dont la poitrine se soulevait régulièrement, signe d’un profond sommeil. Flicotaton l’enjamba et enleva la planche servant de volet. Le soleil de la mi-journée entra à flot par l’ouverture et l’aveugla à moitié. Il détourna son regard vers le tenancier toujours endormi. Il se baissa et le secoua sans ménagement en lui criant :

– Police de Pharaon ! Réveillez-vous !

Amibhotep se réveilla en sursaut. Se voyant agressé, il empoigna Flicotaton par les poignets et le tira vers le sol. Le policier, surprit et en plein déséquilibre, s’étala de tout son long sur le cabaretier. Ce dernier entreprit de se retourner et projeta Flicotaton sur sa gauche. Il lui sauta alors dessus et entreprit de l’étrangler.

– Maudit voleur, gredin, boit sans soif, tu comptais vider ma cave ! Crève charogne ! Suppote de Seth ! Résidus d'Apopis !

Flicotaton tentait en vain de s’expliquer mais les deux mains d’Amibhotep lui écrasaient le larynx et l’empêchait de s’exprimer. Il commençait à étouffer sous la poigne du commerçant et décida d’agir d’abord et de parler ensuite. Il banda ses muscles et s’arc-bouta soudainement. La pression sur sa trachée se relâcha un peu. D’un mouvement félin du bassin, il dressa ses jambes à la verticale et les enroula autour du cou de son agresseur. Il les abaissa ensuite violemment vers le sol, entraînant dans le mouvement Amibhotep qui lâcha prise et dont la tête alla heurter violemment le sol.

Flicotaton aussitôt libéré bondit sur ses pieds et posa sa sandale sur la gorge du gros homme qui se débattait sous son pied comme un ver blanc obèse.

– Police, arrêtes de bouger où tu finiras la journée au gnouf !

Amibhotep finit par s’exécuter et resta allongé immobile sur le sol. Le policier retira alors sa chaussure de la trachée du tenancier.

– Relèves-toi doucement maintenant. Au moindre froncement de sourcil, je t’assomme lui annonça-t-il en empoignant la petite massue qu’il portait dans son pagne.

Le tavernier se releva lentement sans quitter du regard l’arme de Flicotaton. Ce dernier s’en servait pour battre la mesure sur la paume de sa main gauche de façon fort dissuasive.

– Qui me dit que vous êtes bien de la police finit-il par demander en se frottant l’arrière du crâne ?
– Tu sais lire ?
– Un peu.
– Alors regarde ce qui est écris sur ce papyrus, lui dit le fonctionnaire en lui tendant un morceau de parchemin qu’il venait d’extraire de la bourse en cuir qu’il portait autour du cou.

Amibhotep examina le document d’un air suspicieux. La seule chose qu’il parvint à reconnaître était le cartouche de Pharaon. Il rendit le papyrus à son propriétaire en marmonnant une réponse indistincte.

– Bien, maintenant que les présentations sont faites, tu vas répondre à mes questions.

Amibhotep tiqua un peu. Il essayait de deviner sur laquelle de ses combines frauduleuses le fonctionnaire enquêtait.

– Quand as-tu vu pour la dernière fois meritamon ?

Au nom de sa serveuse, il poussa un soupir de soulagement qui n’échappa pas à Flicotaton.

– Cette garce n’est pas venue travailler depuis au moins une décade. Quand elle se décidera à reparaître devant moi, ça va être sa fête.
– Quand l’as-tu vu pour la dernière fois ?
– Le samedi soir !
– Précise !
– Elle est partit avec un client vers la sixième heure de la nuit. Elle n’est jamais revenue.
– Cela lui était déjà arrivée ?
– De partir avec un client ? Rigola le tenancier. Ca lui arrivait plusieurs fois par soirée.
– De ne pas revenir après, espèce d’abruti sans cervelle.
– Seulement si c’était l’heure de la fermeture.
– Dans ces cas là, elle vous prévenait ?
– Oui, oui, elle me faisait un signe avant de partir.
– Et ce soir là, elle vous a fait un signe ? S’enquit Flicotaton en revenant au vouvoiement.
– Pas que je me rappelle.
– Le client avec lequel elle est partit, vous pouvez me le décrire.
– Il faisait sombre et c’était déjà tard, je ne me rappelle plus très bien.
– Faites un effort par Amon !
– Il était assez grand et plutôt mince.
– C’est vague comme description, concentrez-vous un peu plus. Comment était-il habillé ?
– Il portait un grand manteau noir avec une capuche. Ca m’a parut bizarre comme tenue avec la chaleur qu’il fait en ce moment.
– Vous avez vu son visage ?
– Pas distinctement, mais quand il est sortit de la taverne, sa capuche a glissé et j’ai vu son crâne.
– De quelle couleur étaient ses cheveux ? Ils étaient longs ou courts ? Il portait une perruque ?
– Non, non, il était complètement rasé.
– Autre chose ? Ses chaussures ? Son pagne ?
– Non, je ne me rappelle de rien d’autre.
– Vous lui avez servi à boire pendant la soirée ?
– Non, c’est Meritamon qui s’en est occupée. Il était dans son coin de salle. Chaque serveuse a un espace attitré et s’occupe de tout : Servir, débarrasser, danser et charmer.
– Les autres filles ont vu quelque chose de louche ce soir là ?
– Je ne crois pas, vous n’aurez qu’à leur demander, elles ne vont pas tarder à rappliquer, ces deux traînées.
– Bien, je vais vous laisser cuver votre bière à l’ombre ! Si vous vous souvenez d’un détail, le plus infime soit-il, prévenez-moi immédiatement.
– Je n’y manquerai pas. A qui dois-je m’adresser au cas ou ? Demanda d’une voix mielleuse le commerçant toujours allongé par terre.
– Demander Flicotaton à la caserne des Medjaï.

Sur ces dernières paroles, le policier fit demi-tour et entrepris de remonter à l’air libre. La femme du cabaretier surveillait sans en avoir l’air l’escalier de la cave depuis sa cuisine. Lorsque Flicotaton poussa la porte, elle se précipita sur lui.

– Vous ne l’avez pas tué j’espère, espèce de grande brute ? Lui demanda-t-elle avec un grand sourire tout en se collant sous son nez.
– Ne vous inquiétez pas, il continue sa sieste comme si de rien n’était. A quelle heure arrivent vos deux autres serveuses ?
– Elles ne vont plus tarder ces deux oies sans cervelles. Asseyez-vous dans la salle, je vais vous servir une bière pour vous faire patienter.
– Apportez-moi plutôt une coupe d’eau fraîche si vous en avez, lui répondit Flicotaton en l’esquivant adroitement. Il passa le seuil de la cuisine et alla s’attabler.

La mégère lui apporta son eau avec célérité et tenta de réengager la conversation en lui faisant un grand sourire aguicheur. Mais le policier n’était pas d’humeur à badiner. Son regard noir la dissuada d’ouvrir la bouche. Elle déposa la coupe devant lui et se réfugia dans sa cuisine.
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Le masque d'Anubis [4] Empty Re: Le masque d'Anubis [4]

Message  mentor Lun 19 Mai 2008 - 20:38

et d’une statue des nombreuses statue de Pharaon

franchement ! ça tu pourrais éviter
et pas mal de fautes assez grossières,
c'est dommage
parce que ton aventure est bien menée, on visualise bien les lieux, les gens, et les dialogues sont bons
y a du potentiel, sans aucun doute, mais fais-toi relire

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Le masque d'Anubis [4] Empty Re: Le masque d'Anubis [4]

Message  Sahkti Lun 26 Mai 2008 - 12:22

Des fautes, oui...
Et vu que tu ne commentes personne, tu ne reçois pas de commentaires non plus, CQFD :-)

Ceci dit, j'ai lu ton texte et je trouve dommage de le noyer sous autant de références et de renseignements. Ecrire un récit historique ne signifie pas emm... le lecteur en lui faisant manger une encyclopédie. Il faudrait essayer que tout cela soit plus fluide, que le récit coule de source sans devoir tout le temps tout expliquer ou justifier.
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Le masque d'Anubis [4] Empty Plus de fautes...

Message  slave1802 Ven 11 Mai 2012 - 16:31

Le masque d'Anubis est devenu mon second roman, si vous voulez en découvrir d'autres extraits et l'aider à passer du stade virtuel à un celui de vrai livre, visitez le lien suivant

http://www.bookly.fr/content/projet/le-masque-danubis

Le masque d'Anubis [4] BANNIERE_LE-MASQUE-D%27ANUBIS_100x150

Je l'ai relu et corrigé, fait relire et re-corriger, etc, etc...



< Rappelons ici que VOS ECRITS n'est pas une simple "vitrine".
Et comme le dit Sahkti, plus haut : si vous voulez être commenté, il faut aussi commenter, participer un peu à la vie du site, en fonction de votre temps disponible.
La Modération >

.
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