L'épopée du petit chaperon rouge
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Reginelle
Sahkti
Skualys
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L'épopée du petit chaperon rouge
En guise de premier post (hors présentation), voici un texte écrit lorsque j'étais en sixième/cinquième (ah la belle époque !), s'axant autour du personnage d'un petit chaperon rouge quelque peu nihiliste, qui se promène à travers différents contes de Perrault.
Autant dire que c'est sans prétention, et non retravaillé depuis.
Voici un lien vers sa version pdf, vous me direz s'il est nécessaire que je retranscrive l'ensemble du texte ici-même : http://chocobo.island.free.fr/Writes/chaperon%20rouge.pdf
Autant dire que c'est sans prétention, et non retravaillé depuis.
Voici un lien vers sa version pdf, vous me direz s'il est nécessaire que je retranscrive l'ensemble du texte ici-même : http://chocobo.island.free.fr/Writes/chaperon%20rouge.pdf
Re: L'épopée du petit chaperon rouge
oui, c'est même indispensable :-)Skualys a écrit:Voici un lien vers sa version pdf, vous me direz s'il est nécessaire que je retranscrive l'ensemble du texte ici-même : http://chocobo.island.free.fr/Writes/chaperon%20rouge.pdf
Sahkti- Nombre de messages : 31659
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Re: L'épopée du petit chaperon rouge
Fort bien, je m'exécute donc :Sahkti a écrit:oui, c'est même indispensable :-)Skualys a écrit:Voici un lien vers sa version pdf, vous me direz s'il est nécessaire que je retranscrive l'ensemble du texte ici-même : http://chocobo.island.free.fr/Writes/chaperon%20rouge.pdf
I) La vraie histoire du petit chaperon rouge
Nous sommes en 3 405 829 après T.M. (Trucmuche, 1er roi de l’Empire Rabajoie) sur la planète Yadézinpo.
Alors qu’une jeune fille, le petit chaperon rouge, jouait au pogs de la série 2 094 364 F, sa mère l’interpella. Le petit chaperon rouge répondit :
- Qu’est-ce tu veux ?
- Il faut que tu ailles chez ta grand-mère...
- Oh non, Pas chez cette vieille ...
- Pas d’insolence s’il te plaît !
- Mais je suis trop jeune !
- Certainement pas, tu as fêté tes 150 000 ans il n’y a pas longtemps...
- Bon et alors, qu’est-ce que j’dois faire pour cette...
- Tu dois lui apporter quelque chose...
- Quoi ?
- Un pot de crème antirides et de la compote amincissante en cristaux liquides. Et tiens, je rajoute un paquet de ciment à prise rapide au cas où la crème ne suffirait pas...
- Bon c’est d’accord...
Puis le petit chaperon rouge se dirigea vers la porte, quand sa mère lui dit :
- Ah, j’allais oublier ! N’oublie pas de rentrer avant 10 000 ans...
- Pourquoi ? C’est le jour où on fait pousser les crevettes dans les champs et où je me marie avec un cafard pour la 215ème fois de ma vie...
- Arrête de dire des bêtises ! Ce sera l’année où il y aura le plus gros embouteillage du millé-naire !
- Tu l’as lu dans ta superbe boule en cristal imitée made in Japan ciselée en pur style calami-teux flamboyant à pré-cuisson tardive...
- Mais tu vas arrêter tes âneries, oui ! C’est Vison Buté qui l’a annoncé ce matin au parlo-phone biodégradable à 300% (qui a d’ailleurs disparu on ne sait comment). Et pour aller chez ta grand-mère, utilise le détour de la boucle sidérale et non pas le chemin des astéroïdes, où il y a plein de voyous.
- Bon, c’est OK... Salut !
- Salut !
Puis le petit chaperon rouge sortit et referma la porte.
Elle marmonna à voix basse et d’un ton rageur : « M’en fiche pas mal... J’prendrai quand même le chemin des astéroïdes... ». Puis, elle prit son super scooter à injection thermo-nucléaire fonctionnant au strontium 243 et pouvant aller à L7 (7 fois la vitesse de la lumière, mais là, il faut porter une combinaison anti-désintégration). Puis, elle partit vers le chemin des astéroïdes. Au bout de 500 années-lumière, elle rencontra Ultragobi, un robot plus méchant que bête. Le robot dit au petit chaperon rouge avec une voix menaçante : « T’as pas l’heure ? » avec l’intention de la voler. La fillette lui répondit : « Il est 16 H 67 ». Mais avant qu’elle n'eut fini sa phrase, le robot se fit transpercer par une météorite liquide. Son grand frère, Suprasancervo vit la scène et cru que c’est le petit chaperon rouge qui avait tué son frère à l’aide d’un bazooka sultranucléaire. Ultragobi finit à la casse intergalactique. En lisant dans son scanner à lire les pensées, Suprasancervo apprit que le petit chaperon rouge se rendait chez sa grand-mère.
Il utilisa son transmutateur de chez les Déblok et se retrouva devant la porte de la mai-son de la grand-mère âgée de 3 654 986 ans (Pas la grand-mère, la maison...). Là, une boîte parlante de chez l’appel de la queue de cheval se mit en marche et dit :
- Si tu veux entrer, il te faudra répondre à cette énigme : Quelle est la couleur de l’hippocampe violet ?
Le robot réunit dans un effort herculéen les parcelles magnétiques de son cerveau de primate aliéné éparpillées dans son corps et répondit :
- Bleu.
Puis la porte s’ouvrit et le robot entra à l’intérieur de la maison. Il referma la porte et se diri-gea vers la grand-mère. La pauvre se fit déchiqueter en 17 centièmes de seconde. Puis, le ro-bot se déguisa en grand-mère.
Quelques heures plus tard, le petit chaperon rouge arriva devant la porte de la maison. Puis, la boîte parlante se mit en marche et dit :
- Si tu veux entrer, il te faudra répondre à cette énigme : Quelle est la couleur de l’hippocampe bleu ?.
Mais au lieu de répondre à cette question, le petit chaperon rouge défonça la porte avec ses supers baskets Redook, renforcé au titane actif, comme à son habitude. Il entra dans la pièce, s’approcha de la fausse grand-mère et dit :
- Salut, vielle cruche, je viens t’apporter des victuailles, si on peut appeler cela comme ça. Et aussi du ciment pour ton ravalement de façade. C’est une idée à ta fille...
- Comme c’est gentil, viens t’asseoir à côté de moi.
- D’accord.
- Oh ! Tu t'es acheté une mâchoire en plutonium solide à déformation progressive...
- Eh oui !
- Et tu t'es aussi acheté des lunettes de chez Bigleu avec des barres antirouilles et un
plancher anti-bourdonnement. Et un nez plastique avec l’anti-démarrage codé. Comment t’a fais pour payer ?
- J’ai gagné au Tolo...
- Oh, le bol... Ah mais au fait, j’ai quelque chose à vérifier...
Puis elle toqua sur la tête du robot et dit :
- Je m’en doutais, tu ne t’ai toujours pas fait greffer un cerveau, comme te l’avait conseillé ton médecin, le docteur Charles Atan...
Puis, le robot lui sauta dessus. Le chaperon rouge envoya alors le paquet de ciment à prise rapide sur le monstre, mais ce dernier avait des essuie-glace. Au bout de quelques secondes, elle était dévorée.
Puis, pour digérer, le robot fit une sieste à l’ombre de la forêt. Soudain, les trois ven-geurs masqués apparurent. Le premier lança un disque plutonique sur le robot mais le disque rebondit sur la coque moléculaire de celui-ci. Une tête coupée et une gerbe de sang. Le second fit de même mais le disque rebondit dans la forêt. Le robot transforma ce vengeur masqué en bonbon au chocolat qu’il avala immédiatement. Le troisième vengeur sortit alors l’arme la plus terrible de l’univers : le CD des chansons intégrales de Dorothée ! Il mit le CD dans son lecteur, mais il semblait que le robot aime ça. Le vengeur eut juste le temps de dire cette phrase avant de se faire goulûment avaler :
- Purée ! Ces trucs-là, ça marche qu’à la télé ! Ahhhh... Puis, sans prévenir, en hurlant de rage, la femme du pape arriva en brandissant sa canne en l’air. Elle fendit le robot en deux.
Les corps du petit chaperon rouge et de sa grand-mère furent transférés dans la chambre à rayons ultra-gamma de l’hôpital Padblem. Quand au robot, il finit à la casse intergalactique.
II) Le rallye de la mort
Mais un jour, une guerre nucléaire éclata. Un obus tomba sur l’hôpital où étaient conservés les corps du petit chaperon rouge et de sa grand-mère. Ils furent ressuscités. Ils se réfugièrent chez la mère du petit chaperon rouge, dans son abri anti-atomique du réacteur N°4 de la centrale de Tchernobyl. Au bout d’un mois, les dirigeants politiques décidèrent d’organiser un rallye, où tous les coups seraient naturellement permis, pour décider du ga-gnant de cette guerre.
Le petit chaperon rouge et sa grand-mère voulurent s’engager à défendre leur planète dans la course, poussés par une fièvre du virus kamikaze. Mais la mère s’y opposa fermement. Une capsule de cyanure dans son café transgénique régla le problème. Ils se rendirent au bu-reau d’inscriptions, mais il y avait là deux milliards de candidats au suicide qui répondaient à l’appel, eux aussi venu ici à cause de la fièvre kamikaze. Le petit chaperon rouge sortit son baladeur et y mit la cassette du discours de Chirac de 2002, avant qu’il ne se fasse assassiner par Boris Elsine et que la France ne se fasse envahir par les russes. Tout le monde éclata de rire, et les cages thoraciques giclèrent de partout. Les deux compères furent donc désignés pilotes. Ils reçurent une enveloppe de 50 trillions de pengos, ce qui représente les 2/3 du bud-get de la planète, pour acheter le nécessaire pour la course. Plus tard, on apprit que l’état avait utilisé le tiers restant pour répandre une épidémie de fièvre kamikaze. Ils achetèrent un vieux side-car, dont ils changèrent le moteur, car l’huile technologique l’avait fait fondre, ainsi qu’un très lourd armement.
Le grand jour arriva. Il ne restait déjà plus que 17 concurrents, les autres ayant été éli-minés plus ou moins sommairement dans la nuit. Les voitures magnétiques démarrèrent. Le side-car était en ligne de mire du lance-missiles d’un des ennemis. Le petit chaperon rouge l’ayant vu, il largua la grand-mère, qui alla s’éparpiller sur la visière du conducteur, le rendent aveugle. Il se cracha droit dans une usine de produits chimiques. La région fut ravagée. Le petit chaperon rouge occupait alors la dernière place. Il fit une remonté de cinq places, lors-qu’il se rendit compte qu’il n’avait plus d’essence radioactive. Il était dans le désert, et avait des cactus à disposition. Il en retira du jus de cactus, qu’il prit pour remplacer le combustible. Et, oh merveille ! le side-car doubla sa vitesse, sauf que sa carcasse se disloqua, et que le petit chaperon rouge se retrouva assit sur un moteur armé à ras bord de missiles. Il eu la bonne idée de répandre des mines anti-personnelles flottantes, pour stopper tous ses antagonistes. Quatre d’entre eux explosèrent dessus, mais le cinquième redressa son appareil et longea le mur de mines. Cela l’emmena droit dans la stratosphère, où l’engin de résista pas à la pression exces-sive (même si c’est contraire aux lois de la physique - n’oublions pas que nous sommes dans un monde encore plus fou que le nôtre, même si c’est dur à croire).
Le petit chaperon rouge continua sa route à travers les déserts glacés de l’Atonie orien-tale. Un véhicule était bloqué là, à cause du froid. Le petit chaperon rouge envoya un missile à charge réchauffante dessus. Le réchauffement fut si soudain, que la voiture se désagrégea en fines particules de carbone, ayant cassé comme du cristal. Il ne restait donc plus que 10 concurrents. L’un deux fut arrêté pour excès de vitesse par un faux policier du gang des fêlés de la cafetière. Deux autres s’arrêtèrent dans le café de la calotte glaciaire pour voir un film de Charlie Chaplin, le « Dictateur », ce qui leur permit de perdre la course. Le petit chaperon rouge failli s’arrêter, mais un vaisseau du « tribunal interplanétaire » largua 100.000 tonnes de bombes sur le café, jugeant que le film était trop en accord avec le nazisme.
Il entra à ce moment dans la jungle polaire. Un concurrent était juste devant lui, et il l’arrêta nette avec un filet composé de fils de soie de mygale, puis un étrange animal, un dia-ble de Tasmanie, échappé du studio des Cartoon vint déchiqueter le vaisseau englué. Un autre fit une grève de la faim, en réclamant une augmentation de son cachet pour courir dans cette course débile. Sa planète accepta, bien contrainte à le faire. Mais elle n’avait plus un sou pour payer le papier et l’encre nécessaire au contrat. Le conducteur continua sa grève de la faim et en mourut. Il restait donc 5 rivaux. Le petit chaperon rouge s’approcha de deux de ces concur-rents et largua une bombe à déchirures spatio-temporelles. Une brèche s’ouvrit, les deux véhi-cules s’y engouffrèrent et furent catapultés en pleine préhistoire, dans la gueule d’un tyranno-saure affamé. Une météorite emporta un autre ennemi. Le conducteur de la voiture en seconde position s’arrêta quelques heures pour jouer au rami avec une grand-mère babouin. Après maints efforts, le petit chaperon rouge réussi à rattraper le dernier rival. Il mit en marche le CD intégral des chansons de Dorothée. L’engin ne résista pas. Il se décomposa en poussière. Le vengeur masqué avait en fait mis le CD d’Hélène. Erreur fatale !
Le petit chaperon rouge triompha au milieu de la foule en délire (du moins ceux qui n'avaient pas été touchés par la fièvre kamikaze, qui provoque des effets secondaires plutôt désagréables). Soudain, oh surprise, la grand-mère revient. Elle avait été remise en état dans la chambre de recomposition de l’hôpital Padblem, reconstruit entre tant (avec quel argent ?). Mais le petit chaperon rouge et la grand-mère fient une crise cardiaque en apprenant qu’il n’y avait pas de récompense, vu que les caisses de la planète étaient vides. Ils furent tous deux enfermés dans la chambre froide de l’hôpital Padblem.
Re: L'épopée du petit chaperon rouge
III) La conquête de l’univers
Quelques années plus tard, les corps furent enfin reconstitués. Lorsque l’infirmière brevetée en « mortalité assurée » s’approcha du lit des corps, ceux-ci se relevèrent, et l’infirmière fit une crise cardiaque. La grand-mère et le petit chaperon rouge s’enfuirent en volant la Perrari escargot du directeur. Ils tombèrent dans l’embouteillage annoncé par Vison Buté. Pour dégager la situation, le petit chaperon rouge sortit une bombe thermique, qu’il avait récupéré à la clinique (vous vous demandez ce que ça fichait là-bas, je paris ? c’est le directeur qui faisait de la contrebande d’armes, pour provoquer un coup d’état) et détruisit quelques centaines de véhicules sidéraux.
Puis ils se rendirent sur la planète du petit Prince, l’en délogea à coups de pompes pour y établir leur base. Ensuite, ils retournèrent à la clinique pour y récupérer le reste des armes et y mettre le feu (l’hôpital, pas les armes, ça peut être utile). Un vaisseau de la police, un Hi-perStar de chez Feraut à monocoque à résistance nul, et à moteur « Toutfoulkang », se mit en route vers la planète où s’étaient réfugiés les deux fugitifs. Il fut intercepté, les policiers tués, et transformés en Cyborgs, des robots quasi indestructibles. Le vaisseau fut transformé en ma-chine de guerre terrifiante. Puis ils rejoignirent les planètes voisines pour les mettre à feu et à sang. Les humains tués furent transformés en Cyborgs et les survivants, en esclaves.
Au moment de partir, les robots se mirent en grève (personne n’est jamais content), pour avoir une augmentation. Le petit chaperon rouge accepta. Mais la grand-mère refusa. Le petit chaperon rouge ordonna alors au robot :
- Cette vieille imbécile ne mérite pas de vivre. On va s’offrir un beau feu d’artifice. Attachez-la à un missile transespace et dirigez le sur le ministère des retraités. Les Cyborgs obéirent. Malheureusement, le missile ne suivit pas la bonne trajectoire et atterrit dans le ministère de l’armement nucléaire. Heureusement pour le petit chaperon rouge, la guerre éclata juste entre Jupiter et Mercure. Finalement, seul le système solaire fut détruit. Ne vous inquiétez pas pour la Terre, car on n'était tellement orgueilleux qu’on avait préféré la faire sauter nous-mêmes plutôt que d’attendre que ce soit l’ennemi qui le fasse.
La mère du chaperon rouge, ressuscité elle aussi, apprit tout et se rendit en plein champ de bataille pour tout faire stopper. Un Cyborg lui demanda son identification. La mère lui ré-pondit par un coup de pied aux fesses. ½ seconde après, elle fut brûlée par un tir de rayon la-ser. Puis le Cyborg reconnu la mère du petit chaperon rouge et alla s’excuser auprès de lui :
- S’il vous plaît, j’en appelle à votre clémence. Sur le champ de bataille, j’ai tué votre mère. Veuillez me pardonner et ne pas me désintégrer. Pitié !
- Tu as très bien fait. Tu seras dès à présent le général de l’armée 3. Maintenant, va récupérer les restes de ma mère et fais en de l’engrais en la passant à la déchiqueteuse à papier.
Le robot, maintenant général, s’en alla exécuter les ordres.
L’armée du petit chaperon rouge, appelée « la mort qui assassine », possédait mainte-nant 5.000.000.000 soldats. Elle déferlait sur l’Univers en semant le malheur et la destruction sur son passage. Là où « la mort qui assassine » passe, la vie ne revient pas. Le quart de l’univers était déjà conquit. Mais maintenant, l’armée du chaperon rouge se retrouva confronté au peuple des Kamikazes, des fous prêts à se tuer pour sauver leur patrie (voilà donc pourquoi les dirigeant de la planète du petit chaperon rouge ont claqué tant d’argent là-dedans), et pos-sédant aussi le quart de l’univers. Les forces Cyborgs (du chaperon rouge) avancèrent et attei-gnirent enfin la capitale de ce peuple : Titania, une gigantesque planète.
Les deux armées se livrèrent alors à un combat de titans, d’où l’armée Cyborg sortit victo-rieuse de peu (200.000 personnes). Ils entrèrent dans le temple du roi et se retrouvent dans un monde étrange : une immense jungle. Jusque-là, rien de très anormal (quoique-que...) Mais en arrière-plan, il voit des icebergs dériver sur une mer de bois liquide, ce qui provoque la nausée et la mort de 1200 soldats. Puis, ils trouvèrent le chef. Celui-ci envoya ses soldats d’élites qui se firent massacrer, mais qui tuèrent tous les Cyborgs. Il ne restait plus maintenant que le petit chaperon rouge et le roi. Le roi sort son épée laser, et demande au chaperon rouge de sortir la sienne, pour un combat à la loyale. Pour toute réponse, ce dernier sortit une bombe thermique, l’envoya sur le roi et lui explosa dans la gu... euh, dans la figure.
Il se dirigea vers la prison centrale, inviolée jusqu'à présent, vu que personne n'a essayé (en effet, on leur a dit « la prison est inviolable ». Il l’ont cru et n’ont jamais tenté de s’évader), puis libéra les 500.000 prisonniers, les tua tous, et les transforma en Cyborgs. Puis il déclara la guerre à la puissance qui possédait la 2ème moitié de l’univers. Mais les deux per-sonnes eurent une idée : faire une guerre non meurtrière. Les deux armées se rendirent sur la place du dictateur Bidule II. Les soldats du chaperon rouge sont les Cyborgs, et les guerriers de l’autre camp s’appellent les Goonis. Tous ces soldats étaient payés au SMIB (salaire mini-mum indexé sur le prix du bonbon). Au début de la bataille, la cloche de l’église St Sonné sonna midi. Tous les combattants se restaurèrent. Après le repas, et avec quelques soldats en moins (empoisonnement à l'ammoniac), la bataille commença.
Les Cyborgs lancèrent 10 millions de bombes... disons malodorantes. Leurs adversaires avaient heureusement prévus des bombonnes de dyoxigène. Ces derniers sortirent des amplifi-cateurs géants, de 50.000 W (aux alentours de 900 dB), et y ajoutèrent un lecteur CD conte-nant l’enregistrement de l'atomisation totale d’Hiroshima de 2003, quand Elsine prit pleine puissance. Les Cyborgs avaient prévus une riposte : des bactéries bouffeuses de bruits. Sou-dain l’appareil géant se dérégla, à cause d’un quelconque parasite. La musique qui sortait maintenant de ce tas de ferrailles, c’était celle du rut des taureaux exotiques de l’île, enfin l’ancienne île, de d'El Totalos Devastatos (surnom du marin l’ayant découvert, après s’être fait plus ou moins déchiqueter par les taureaux). Ce fut terrible. La place fut dévasté sans que per-sonne n’ai rien put faire. Mais profitant de ce contretemps fâcheux, les Cyborgs construisirent une muraille de livre de la bibliothèque orange (tous des copieurs !). Leurs antagonistes lâchè-rent une armée de rat mis au jeûne depuis plus de 3 semaines. 17 secondes, record battu. Les Cyborgs élancèrent un camion volé en France en décembre de l’an 1995, de 100 m sur 50 m, chargé de nitroglycérine. En réponse à cette attaque, les Goonis ouvrirent les vannes de l’usine productrice de la colle liquide HUM. Le camion fut stoppé net.
Pour répondre à cette contre-offensive, les Cyborgs larguèrent 200 trillions de m3 d’eau par la voie de quelques dizaines de milliers de Canadairs. Fort heureusement pour eux, les Goonis avaient les parois de leurs dépôts d’armes en métalloïde inoxydable. Comme pour montrer leur mécontentement profond, les Cyborgs sortirent les spots de 75.000 W. les Goo-nis avaient prévus de la crème solaire ‘Ecran Partiel’. Ces derniers envoyèrent une armée de casse-noisettes, en retour de quoi on leur offrit 12.000 mégatonnes de ces mets, pour permet-tre à l’armée d’avoir une crise de foie générale. Les Goonis lancèrent donc une armada de Frisbees, qui fut dispersée en un rien de temps par les ventilateurs géants des Cyborgs. Les deux camps décidèrent d’organiser un combat à mort entre deux hippopotames. Mais ceux-ci décidèrent de faire la grève (ça n’arrive pas qu’en France)
Puis les Cyborgs sortirent une merveille de la marine, dû moins lorsqu’elle n’est pas en marche : le créateur de tornade électrique. Ils le mirent en marche. La tornade ravagea la pla-nète. Les autorités décidèrent de lancer une bombe sutronique. La tornade devint nucléaire. Puis, les deux forces ennemis abandonnèrent cette planète, vu qu’elle était détruite. Puis la tornade se transforma en trou noir. Les Goonis lancèrent une vultratronic bomb, qui détruisit leur galaxie.
Puis, excédé, le petit chaperon rouge donna l’ordre de lancer l’arme suprême : le missile BLAST. Il le dirigea vers la plus grande étoile de l’univers, T-73. Le missile explosa sur l’étoile, qui se retrouva projetée dans le trou noir. Soudain, un éclair bleuté, et puis le néant. Avec cette explosion, il avait créé un nouveau Big-Bang, mais cette fois, c'était l’antimatière qui régnait.
IV) Poursuite à l’impôt
Mais le fantôme de la grand-mère du chaperon rouge (ressortit du cimetière de Morvi-ven) réveilla tous les morts et en fit une armée invincible de robots. Mais contrairement au petit chaperon rouge, elle ne voulait pas conquérir le monde, elle voulait simplement ne pas payer d’impôts (n’est-ce pas le rêve de millions de citoyen, de ne pas payer les TAXES - Ter-ribles Arnaqueuses Xénophobes des Etat-Sangsues). Les robots servaient à défendre sa base spatiale, aux mille pièges.
Mais après avoir accumulée environ 5 billions de bukars (qu’elle a réussi à piquer aux ASSEDICS - Argent Subtilement Subtilisé à l’Etat Directement par l’Indexions sur le Cours de la Sangsue), la grand-mère lança un défi à tous les percepteurs. Si ces derniers réussissaient à pénétrer à l’intérieur de la chambre forte, elle payerait sa dette. L’ETAT (Enervant Taxeur d’Argent du Territoire) et le FISC (Fils d’Iguane, de Sangsue et de C...) décidèrent d’envoyer leurs meilleurs percepteurs. Tous se suicidèrent sauf un. Le percepteur arriva en navette spa-tiale. Il fut accueillit chaleureusement par des robots, qui manquèrent de peu de le transformer en passoire. 754 points de sutures plus tard, il appela une armée de ceinture noire de karaté. Un combat d’arts martiaux eut lieu sur une plate-forme de la base spatiale. Les robots n’y sur-vécurent pas.
Il restait encore 2000 karatékas. Le chef des robots du secteur extérieur apparut. Ses bras se transformèrent en canons lasers et des roquettes explosives formèrent sa chevelure. Deux mitraillettes automatiques apparurent à la place de ses joues, des lasers à la place des yeux, un bazooka thermonucléaire à la place de la bouche. Ses mains se transformèrent en petits lance-missiles, son dos en tronçonneuse électrique, ses jambes furent couvertes de la-mes de couteau, le ventre fut transformé en distributeur de coups de poing, et les pieds en roues. Un des karatékas fonça sur lui. Le robot se baissa et le combattant arriva sur la tron-çonneuse. Il fut coupé net en deux. Puis, le robot se déchaîna. Il tira une vingtaine de roquettes qui firent plus de 150 morts. Les coups de tronçonneuse firent 50 morts. Les missiles firent plus de 1000 morts. Les canons lasers, les mitraillettes et le bazooka firent plus de 500 morts. Le distributeur de coups de poings fit 300 morts. Mais le percepteur eut une idée géniale : il lança un verre d’eau sur le robot. Ce dernier explosa dans un grand fracas et la porte du 1er sous-sol de la base s’ouvrit.
Le percepteur y entra avec toute une armée. Ils s’engouffrèrent dans les couloirs où des robots les attendaient. Une bataille sans précédents eue lieu. Le 1er sous-sol fut dévasté et les robots détruits. L’armée entra dans le 2ème sous-sols. Là-bas, ils eurent une épreuve très péni-ble à supporter : J.C. les attendait pour un discours politique. Heureusement, le percepteur avait prévu des boules antibruit, sans quoi l’armée aurait eu une crise de nerfs et serait morte d’épuisement.
Puis ils passèrent au troisième sous-sol. Là, il y avait un labyrinthe de la mort d’où, pour pouvoir passer au 4ème sous-sol, il fallait trouver le Minotaure et le tuer. En plus de cela, il y a de multiples pièges (Trappes souterraines menant à des cages remplies de scorpions, à des lacs infestés de requins...). L’armée prit le 1er couloir à gauche, et rencontra un cheval de feu. Ces bêtes très étranges ont la faculté de s’enflammer à tout moment. Il fut éteint à l’aide d’un extincteur. Puis ils prirent la 2ème à droite. Là, ils rencontrèrent un mendiant. Mais ce dernier ce transforma en démon des eaux. Un des soldats était plombier et il enferma le
démon dans un bocal. Ils firent encore quelques détours et en eurent assez de tourner en rond. Puis ils eurent une idée : attendre la main du destin, qui survole le labyrinthe, se mettre dessus et descendre au-dessus du Minotaure. La main du destin arriva et le plan fut mit à exécution. L’armée arriva devant le Minotaure et quelqu’un fut désigné volontaire pour aller combattre le Minotaure. Il se fit embrocher. Un autre soldat sortit un rayon paralysant et tira sur le Mino-taure. Celui-ci fut immobilisé et transformé en hamburger géant. On garda les cornes en sou-venir. Puis les soldats arrivèrent devant la porte du 4ème sous-sols. Il y avait un trou de chaque côté de la porte. On y enfonça les cornes du Minotaure et on entendit un cri d’horreur, puis plus rien. La porte s’ouvrit. En refermant la porte, on découvrit un cadavre transpercé par les cornes.
Ils descendirent au 4ème sous-sol. Là, il y avait la garde spéciale de la grand-mère : 10 hommes prêt à tout pour protéger leur maître. Un combat effroyable commença. Les deux armées furent détruites. Mais le percepteur avait prévu une petite armée de cent robots guer-riers, très puissant. Ils descendirent au 5ème sous-sols. Là était caché la grand-mère. Les robots entrèrent. Elle sortit sa dernière arme : XM2. Ce robot était une véritable merveille technolo-gique, spécialisé dans l’art du combat. La vieille sénile lui commanda de détruire l’armée ad-verse. XM2 ne disposait pas d’armes, mais il détruisit l’armée ennemie comme du gâteau. Le chef des robots apparut. Elle commanda à XM2 de le détruire. XM2 prit les carcasses métalli-ques des robots morts au combat et les réduisit en une masse d’acier pas plus grande qu’une bille. Il le lança à toute vitesse vers le front de son ennemi. Ce dernier essaya de se protéger avec ses mains, mais son front fut transpercé par le milieu et le robot s’écroula à terre. Alors le percepteur arriva. Il jeta un verre d’eau sur XM2, mais l’eau ruissela sur son corps et ne l’affecta pas.
Puis le percepteur dit :
- Je vais chercher la feuille des impôts sur le revenu que vous ne payez plus depuis 200 ans... Ah la voici... Ah ! Ah ! Ah... Tenez regardez...
La grand-mère reconnue les faits, mais revint sur sa parole. XM2 lui brisa les vertèbres cervi-cales. Puis la grand-mère sauta de joie. Mais le robot lui brisa le cou à son tour. Puis il mit ses doigts dans une prise pour reprendre des forces. Mais un éclair vain frapper le système électri-que. Il y eu un courant de 5.000 gigavolts qui grilla les circuits du robot sur place, et qui fit tout flamber.
Quelques années plus tard, les corps furent enfin reconstitués. Lorsque l’infirmière brevetée en « mortalité assurée » s’approcha du lit des corps, ceux-ci se relevèrent, et l’infirmière fit une crise cardiaque. La grand-mère et le petit chaperon rouge s’enfuirent en volant la Perrari escargot du directeur. Ils tombèrent dans l’embouteillage annoncé par Vison Buté. Pour dégager la situation, le petit chaperon rouge sortit une bombe thermique, qu’il avait récupéré à la clinique (vous vous demandez ce que ça fichait là-bas, je paris ? c’est le directeur qui faisait de la contrebande d’armes, pour provoquer un coup d’état) et détruisit quelques centaines de véhicules sidéraux.
Puis ils se rendirent sur la planète du petit Prince, l’en délogea à coups de pompes pour y établir leur base. Ensuite, ils retournèrent à la clinique pour y récupérer le reste des armes et y mettre le feu (l’hôpital, pas les armes, ça peut être utile). Un vaisseau de la police, un Hi-perStar de chez Feraut à monocoque à résistance nul, et à moteur « Toutfoulkang », se mit en route vers la planète où s’étaient réfugiés les deux fugitifs. Il fut intercepté, les policiers tués, et transformés en Cyborgs, des robots quasi indestructibles. Le vaisseau fut transformé en ma-chine de guerre terrifiante. Puis ils rejoignirent les planètes voisines pour les mettre à feu et à sang. Les humains tués furent transformés en Cyborgs et les survivants, en esclaves.
Au moment de partir, les robots se mirent en grève (personne n’est jamais content), pour avoir une augmentation. Le petit chaperon rouge accepta. Mais la grand-mère refusa. Le petit chaperon rouge ordonna alors au robot :
- Cette vieille imbécile ne mérite pas de vivre. On va s’offrir un beau feu d’artifice. Attachez-la à un missile transespace et dirigez le sur le ministère des retraités. Les Cyborgs obéirent. Malheureusement, le missile ne suivit pas la bonne trajectoire et atterrit dans le ministère de l’armement nucléaire. Heureusement pour le petit chaperon rouge, la guerre éclata juste entre Jupiter et Mercure. Finalement, seul le système solaire fut détruit. Ne vous inquiétez pas pour la Terre, car on n'était tellement orgueilleux qu’on avait préféré la faire sauter nous-mêmes plutôt que d’attendre que ce soit l’ennemi qui le fasse.
La mère du chaperon rouge, ressuscité elle aussi, apprit tout et se rendit en plein champ de bataille pour tout faire stopper. Un Cyborg lui demanda son identification. La mère lui ré-pondit par un coup de pied aux fesses. ½ seconde après, elle fut brûlée par un tir de rayon la-ser. Puis le Cyborg reconnu la mère du petit chaperon rouge et alla s’excuser auprès de lui :
- S’il vous plaît, j’en appelle à votre clémence. Sur le champ de bataille, j’ai tué votre mère. Veuillez me pardonner et ne pas me désintégrer. Pitié !
- Tu as très bien fait. Tu seras dès à présent le général de l’armée 3. Maintenant, va récupérer les restes de ma mère et fais en de l’engrais en la passant à la déchiqueteuse à papier.
Le robot, maintenant général, s’en alla exécuter les ordres.
L’armée du petit chaperon rouge, appelée « la mort qui assassine », possédait mainte-nant 5.000.000.000 soldats. Elle déferlait sur l’Univers en semant le malheur et la destruction sur son passage. Là où « la mort qui assassine » passe, la vie ne revient pas. Le quart de l’univers était déjà conquit. Mais maintenant, l’armée du chaperon rouge se retrouva confronté au peuple des Kamikazes, des fous prêts à se tuer pour sauver leur patrie (voilà donc pourquoi les dirigeant de la planète du petit chaperon rouge ont claqué tant d’argent là-dedans), et pos-sédant aussi le quart de l’univers. Les forces Cyborgs (du chaperon rouge) avancèrent et attei-gnirent enfin la capitale de ce peuple : Titania, une gigantesque planète.
Les deux armées se livrèrent alors à un combat de titans, d’où l’armée Cyborg sortit victo-rieuse de peu (200.000 personnes). Ils entrèrent dans le temple du roi et se retrouvent dans un monde étrange : une immense jungle. Jusque-là, rien de très anormal (quoique-que...) Mais en arrière-plan, il voit des icebergs dériver sur une mer de bois liquide, ce qui provoque la nausée et la mort de 1200 soldats. Puis, ils trouvèrent le chef. Celui-ci envoya ses soldats d’élites qui se firent massacrer, mais qui tuèrent tous les Cyborgs. Il ne restait plus maintenant que le petit chaperon rouge et le roi. Le roi sort son épée laser, et demande au chaperon rouge de sortir la sienne, pour un combat à la loyale. Pour toute réponse, ce dernier sortit une bombe thermique, l’envoya sur le roi et lui explosa dans la gu... euh, dans la figure.
Il se dirigea vers la prison centrale, inviolée jusqu'à présent, vu que personne n'a essayé (en effet, on leur a dit « la prison est inviolable ». Il l’ont cru et n’ont jamais tenté de s’évader), puis libéra les 500.000 prisonniers, les tua tous, et les transforma en Cyborgs. Puis il déclara la guerre à la puissance qui possédait la 2ème moitié de l’univers. Mais les deux per-sonnes eurent une idée : faire une guerre non meurtrière. Les deux armées se rendirent sur la place du dictateur Bidule II. Les soldats du chaperon rouge sont les Cyborgs, et les guerriers de l’autre camp s’appellent les Goonis. Tous ces soldats étaient payés au SMIB (salaire mini-mum indexé sur le prix du bonbon). Au début de la bataille, la cloche de l’église St Sonné sonna midi. Tous les combattants se restaurèrent. Après le repas, et avec quelques soldats en moins (empoisonnement à l'ammoniac), la bataille commença.
Les Cyborgs lancèrent 10 millions de bombes... disons malodorantes. Leurs adversaires avaient heureusement prévus des bombonnes de dyoxigène. Ces derniers sortirent des amplifi-cateurs géants, de 50.000 W (aux alentours de 900 dB), et y ajoutèrent un lecteur CD conte-nant l’enregistrement de l'atomisation totale d’Hiroshima de 2003, quand Elsine prit pleine puissance. Les Cyborgs avaient prévus une riposte : des bactéries bouffeuses de bruits. Sou-dain l’appareil géant se dérégla, à cause d’un quelconque parasite. La musique qui sortait maintenant de ce tas de ferrailles, c’était celle du rut des taureaux exotiques de l’île, enfin l’ancienne île, de d'El Totalos Devastatos (surnom du marin l’ayant découvert, après s’être fait plus ou moins déchiqueter par les taureaux). Ce fut terrible. La place fut dévasté sans que per-sonne n’ai rien put faire. Mais profitant de ce contretemps fâcheux, les Cyborgs construisirent une muraille de livre de la bibliothèque orange (tous des copieurs !). Leurs antagonistes lâchè-rent une armée de rat mis au jeûne depuis plus de 3 semaines. 17 secondes, record battu. Les Cyborgs élancèrent un camion volé en France en décembre de l’an 1995, de 100 m sur 50 m, chargé de nitroglycérine. En réponse à cette attaque, les Goonis ouvrirent les vannes de l’usine productrice de la colle liquide HUM. Le camion fut stoppé net.
Pour répondre à cette contre-offensive, les Cyborgs larguèrent 200 trillions de m3 d’eau par la voie de quelques dizaines de milliers de Canadairs. Fort heureusement pour eux, les Goonis avaient les parois de leurs dépôts d’armes en métalloïde inoxydable. Comme pour montrer leur mécontentement profond, les Cyborgs sortirent les spots de 75.000 W. les Goo-nis avaient prévus de la crème solaire ‘Ecran Partiel’. Ces derniers envoyèrent une armée de casse-noisettes, en retour de quoi on leur offrit 12.000 mégatonnes de ces mets, pour permet-tre à l’armée d’avoir une crise de foie générale. Les Goonis lancèrent donc une armada de Frisbees, qui fut dispersée en un rien de temps par les ventilateurs géants des Cyborgs. Les deux camps décidèrent d’organiser un combat à mort entre deux hippopotames. Mais ceux-ci décidèrent de faire la grève (ça n’arrive pas qu’en France)
Puis les Cyborgs sortirent une merveille de la marine, dû moins lorsqu’elle n’est pas en marche : le créateur de tornade électrique. Ils le mirent en marche. La tornade ravagea la pla-nète. Les autorités décidèrent de lancer une bombe sutronique. La tornade devint nucléaire. Puis, les deux forces ennemis abandonnèrent cette planète, vu qu’elle était détruite. Puis la tornade se transforma en trou noir. Les Goonis lancèrent une vultratronic bomb, qui détruisit leur galaxie.
Puis, excédé, le petit chaperon rouge donna l’ordre de lancer l’arme suprême : le missile BLAST. Il le dirigea vers la plus grande étoile de l’univers, T-73. Le missile explosa sur l’étoile, qui se retrouva projetée dans le trou noir. Soudain, un éclair bleuté, et puis le néant. Avec cette explosion, il avait créé un nouveau Big-Bang, mais cette fois, c'était l’antimatière qui régnait.
IV) Poursuite à l’impôt
Mais le fantôme de la grand-mère du chaperon rouge (ressortit du cimetière de Morvi-ven) réveilla tous les morts et en fit une armée invincible de robots. Mais contrairement au petit chaperon rouge, elle ne voulait pas conquérir le monde, elle voulait simplement ne pas payer d’impôts (n’est-ce pas le rêve de millions de citoyen, de ne pas payer les TAXES - Ter-ribles Arnaqueuses Xénophobes des Etat-Sangsues). Les robots servaient à défendre sa base spatiale, aux mille pièges.
Mais après avoir accumulée environ 5 billions de bukars (qu’elle a réussi à piquer aux ASSEDICS - Argent Subtilement Subtilisé à l’Etat Directement par l’Indexions sur le Cours de la Sangsue), la grand-mère lança un défi à tous les percepteurs. Si ces derniers réussissaient à pénétrer à l’intérieur de la chambre forte, elle payerait sa dette. L’ETAT (Enervant Taxeur d’Argent du Territoire) et le FISC (Fils d’Iguane, de Sangsue et de C...) décidèrent d’envoyer leurs meilleurs percepteurs. Tous se suicidèrent sauf un. Le percepteur arriva en navette spa-tiale. Il fut accueillit chaleureusement par des robots, qui manquèrent de peu de le transformer en passoire. 754 points de sutures plus tard, il appela une armée de ceinture noire de karaté. Un combat d’arts martiaux eut lieu sur une plate-forme de la base spatiale. Les robots n’y sur-vécurent pas.
Il restait encore 2000 karatékas. Le chef des robots du secteur extérieur apparut. Ses bras se transformèrent en canons lasers et des roquettes explosives formèrent sa chevelure. Deux mitraillettes automatiques apparurent à la place de ses joues, des lasers à la place des yeux, un bazooka thermonucléaire à la place de la bouche. Ses mains se transformèrent en petits lance-missiles, son dos en tronçonneuse électrique, ses jambes furent couvertes de la-mes de couteau, le ventre fut transformé en distributeur de coups de poing, et les pieds en roues. Un des karatékas fonça sur lui. Le robot se baissa et le combattant arriva sur la tron-çonneuse. Il fut coupé net en deux. Puis, le robot se déchaîna. Il tira une vingtaine de roquettes qui firent plus de 150 morts. Les coups de tronçonneuse firent 50 morts. Les missiles firent plus de 1000 morts. Les canons lasers, les mitraillettes et le bazooka firent plus de 500 morts. Le distributeur de coups de poings fit 300 morts. Mais le percepteur eut une idée géniale : il lança un verre d’eau sur le robot. Ce dernier explosa dans un grand fracas et la porte du 1er sous-sol de la base s’ouvrit.
Le percepteur y entra avec toute une armée. Ils s’engouffrèrent dans les couloirs où des robots les attendaient. Une bataille sans précédents eue lieu. Le 1er sous-sol fut dévasté et les robots détruits. L’armée entra dans le 2ème sous-sols. Là-bas, ils eurent une épreuve très péni-ble à supporter : J.C. les attendait pour un discours politique. Heureusement, le percepteur avait prévu des boules antibruit, sans quoi l’armée aurait eu une crise de nerfs et serait morte d’épuisement.
Puis ils passèrent au troisième sous-sol. Là, il y avait un labyrinthe de la mort d’où, pour pouvoir passer au 4ème sous-sol, il fallait trouver le Minotaure et le tuer. En plus de cela, il y a de multiples pièges (Trappes souterraines menant à des cages remplies de scorpions, à des lacs infestés de requins...). L’armée prit le 1er couloir à gauche, et rencontra un cheval de feu. Ces bêtes très étranges ont la faculté de s’enflammer à tout moment. Il fut éteint à l’aide d’un extincteur. Puis ils prirent la 2ème à droite. Là, ils rencontrèrent un mendiant. Mais ce dernier ce transforma en démon des eaux. Un des soldats était plombier et il enferma le
démon dans un bocal. Ils firent encore quelques détours et en eurent assez de tourner en rond. Puis ils eurent une idée : attendre la main du destin, qui survole le labyrinthe, se mettre dessus et descendre au-dessus du Minotaure. La main du destin arriva et le plan fut mit à exécution. L’armée arriva devant le Minotaure et quelqu’un fut désigné volontaire pour aller combattre le Minotaure. Il se fit embrocher. Un autre soldat sortit un rayon paralysant et tira sur le Mino-taure. Celui-ci fut immobilisé et transformé en hamburger géant. On garda les cornes en sou-venir. Puis les soldats arrivèrent devant la porte du 4ème sous-sols. Il y avait un trou de chaque côté de la porte. On y enfonça les cornes du Minotaure et on entendit un cri d’horreur, puis plus rien. La porte s’ouvrit. En refermant la porte, on découvrit un cadavre transpercé par les cornes.
Ils descendirent au 4ème sous-sol. Là, il y avait la garde spéciale de la grand-mère : 10 hommes prêt à tout pour protéger leur maître. Un combat effroyable commença. Les deux armées furent détruites. Mais le percepteur avait prévu une petite armée de cent robots guer-riers, très puissant. Ils descendirent au 5ème sous-sols. Là était caché la grand-mère. Les robots entrèrent. Elle sortit sa dernière arme : XM2. Ce robot était une véritable merveille technolo-gique, spécialisé dans l’art du combat. La vieille sénile lui commanda de détruire l’armée ad-verse. XM2 ne disposait pas d’armes, mais il détruisit l’armée ennemie comme du gâteau. Le chef des robots apparut. Elle commanda à XM2 de le détruire. XM2 prit les carcasses métalli-ques des robots morts au combat et les réduisit en une masse d’acier pas plus grande qu’une bille. Il le lança à toute vitesse vers le front de son ennemi. Ce dernier essaya de se protéger avec ses mains, mais son front fut transpercé par le milieu et le robot s’écroula à terre. Alors le percepteur arriva. Il jeta un verre d’eau sur XM2, mais l’eau ruissela sur son corps et ne l’affecta pas.
Puis le percepteur dit :
- Je vais chercher la feuille des impôts sur le revenu que vous ne payez plus depuis 200 ans... Ah la voici... Ah ! Ah ! Ah... Tenez regardez...
La grand-mère reconnue les faits, mais revint sur sa parole. XM2 lui brisa les vertèbres cervi-cales. Puis la grand-mère sauta de joie. Mais le robot lui brisa le cou à son tour. Puis il mit ses doigts dans une prise pour reprendre des forces. Mais un éclair vain frapper le système électri-que. Il y eu un courant de 5.000 gigavolts qui grilla les circuits du robot sur place, et qui fit tout flamber.
Re: L'épopée du petit chaperon rouge
V) Jurraciste Pen
Tous les corps furent transférés dans un récupérateur moléculaire, dans un centre secret du CNRS (Centre Nerveux de la Radioactivité Sidérale). Un professeur s’occuper du restuc-teur alors que son fils jouait à la Latterny 1024 bits (du nom de son inventeur, F. latterner, un savant fou mort d’une crise cardiaque, après avoir perdu à Final Cante XXVII, jeu inventé par son meilleur ami, F. Cante, lui aussi mort de même cause). Il y eut un court-circuit, et les trois corps, grand-mère, mère et fille, se téléchargèrent en signaux photoélectriques, puis en image de synthèse, à l’intérieur du jeu ‘Jurraciste Pen’
Avant d’aller plus loin dans cette histoire débile, voyons la règle du jeu. Alors voici. Vous incarnez un jeune émigrant qui tente de s’échapper du système Carcos, où vous êtes poursuivis par des agents du RACISME (Réincarnation de l’Ancien Clan de l’Invasion Sadi-que Miteuse de l’Emigration, nouvelle version du F.N - la Fatalité Notoire). Le fils du profes-seur ayant laissé la cartouche de jeu dans le bac à reproduction rapide des sangsues (comman-dé par l’ETAT et destiné à faire chuter le cours de la sangsue, pour ruiner les ASSEDICS), les armes sont illimités. Vous pouvez même avoir des bouées pour lutter contre la bande des SS (Sales Skinheads). A la fin, vous devrez affronter le chef de la MAFFIA (Milice Anarchiste Famélique des Fils Immigrés Abusés - Bouffeurs d’étrangers, en clair), Le Pen.
Les trois personnes retrouvèrent leurs esprits et comprirent qu’ils venaient de se faire magistralement avoir. Soudain une voiture en feu se retourna et roula à vive allure vers eux. Le petit chaperon rouge n’eut pas le choix, il tira un missile sur le véhicule, qui explosa. Un FLIC (Fils Légitime d’Infâme Cucurbitacée) les arrêta pour destruction de véhicule valant 3 pengos à l’ARGUS (Arnaqueur Réduisant le Goût de l’Utilisation des Sitroën - Sitroën étant une société de l’ETAT, on peut se douter que l’ARGUS appartient aux ASSEDICS), après 1 mois d’utilisation, état neuf, le prix initial étant de 500.000 pengos.
Ils furent transférés dans un cargo rouillé remplit à ras-bord d’étrangers, en partance pour le fond de l’OCEAN (Organisme Chargé de l’Exécution des Amas de Nègres). Sur le cargo, ils fusillèrent tout le monde, récupérèrent toute la peau disponible, en firent une mont-golfière. Mais le petit chaperon rouge s’échappa seul, laissant sa famille à bord du rafiot. Sa mère et sa grand-mère le traitèrent de traître, mais pour toute réponse, il les liquida avec une bombe thermique.
Puis il se retrouva sur l’île mystérieuse, récupéra le Nautilus et se rendit en Enfer sur le Styx. Une fois arrivé, il se rendit à terre. Il se retrouva devant une porte. Soudain, une boîte parlante se mit en marche et dit :
- Si tu veux entrer, il te faudra répondre à cette question : Combien de voix à reçu le parti na-tionaliste lors des élections de 1995 ?
Mais au lieu de répondre à cette question, le petit chaperon rouge défonça la porte avec ses super baskets Redook, renforcé au titane actif, comme à son habitude (passage non copié). Il se retrouva dans une immense salle, recouvert des idéaux nationalistes. Puis Mégret, le fidèle Cerbère de Le Pen, apparu. Il se dirigea vers lui avec un poignard. Mais Batman couru à son secours. Il tua Mégret, avant que le petit chaperon rouge ne lui plante le poignard entre les deux épaules. Puis, il entra dans l’antre de SATAN (Sultan de l’Association des Tarés d’Antagonistes au Noir - c’est pour ça qu’on ne trouve plus que du chocolat blanc dans les supermarchés).
Le Pen l’attendait avec sérénité. Le petit chaperon rouge pensait gagner à coup sûr avec le CD des chansons intégrales de Dorothée, mais il l’avait perdu en cours de route. Tout d’un coup, un diable de Tasmanie, le même que pendant le rallye, surgit dont ne sait où, et ravagea le pantalon de Le Pen, en peau de chinois, très rare en ces temps. Le pauvre s’aperçut qu’on voyait son caleçon, et se suicida à la vitamine C, de honte.
Puis le petit chaperon rouge ressortit de la console, avec les membres de sa famille. Ils passèrent quelques années tranquilles dans leur résidence, digne du château de Versailles, au-jourd’hui ravagé par les taupes, mais avec les WC et l’eau courante en plus.
VI) La belle au bois ardents
Jusqu’au jour où le grand maître du Vorien, le plus petit royaume de cette planète, or-ganisa une fête pour la naissance de son petit garçon. Tout le royaume fut invité, soit le père, la mère, le frère et les trois sorcières Truc, Muche et Machin. La soeur regarda le petit garçon à travers la glace Cocu valant 20 pengos de la couveuse thermonucléaire. Elle poussa un cri de 52 sur l’échelle de Richter et fit une crise cardiaque en croyant que son frère était trisomique. Elle mourra en 15 centièmes de seconde. En fait, c’était la courbure de ses lunettes Lefou fa-briquées en série limitée à un exemplaire par le professeur Gogol, aujourd’hui dans l’asile des cas circonflexes de dernière gravité. Après quoi on les attache au vidangeur de cerveaux s’ils deviennent trop dangereux pour la planète. Les parent emmenèrent la défunte à la déchique-teuse à papier. Quelques gerbes de sang violet, le corps est séché, puis sert de paille dans les élevages de vaches folles (en effet, on a découvert que lorsqu’elles avaient des évacuations d’air, c’était pire qu’à Hiroshima). Le sang est ensuite transformé en eau de Cologne pour vampires.
Les autres invités arrivèrent. Truc dit alors :
- Regardez-moi cette saleté de gosse ! On dirait Muche quand elle était petite : elle a une ca-rie !
- Vas-tu te taire idiote ! Répondit Muche, en colère verte.
- Mais taisez-vous bande de dégénérées ! dit Machin.
Toutes trois sortirent un poignard de chez la brosse à dents et le plantèrent dans le cœur de sa concurrente. Mais les lames ne rentrèrent pas dans les corps : les poignard était en métal élas-tique. Ca ce sont les japonais qui l’ont inventés. Alors elles jouèrent à la roulette sidérale. En voilà le principe : chacun prend un bazooka à six boulets où il y a un boulet atomique à l’intérieur. On tire tous en même temps. On compte le nombre de morts et de blessés au cas où un idiot traînerait alors dans le coin. Les trois fées tirèrent. Trois flaques de sang verdâtre. Elles sont toutes mortes. C’était le frère qui s’était amusé à tripoter les cartouches et en avait mis six par bazooka.
Deux minutes plus tard, une patrouille de la police intersidérale arriva devant le châ-teau. Ils dégainèrent leurs armes et emmenèrent la mère, le père et le bébé au commissariat n°143976. Les parent furent emmenés au peloton d’exécution. Les policiers armèrent leurs mitraillettes disco-laser. Les parents demandèrent une dernière faveur : savoir ce qui allait arriver à leur enfant. Le commissaire leur répondit :
- Il sera emmenée au centre secret de la zone 51. Là-bas, on le fera pédaler pour faire avancer une turbine nucléaire à moitié rouillée. Cette énergie servira de réserve pour les chaises élec-trique. Lorsqu’il sera totalement épuisé, on fera des tests nucléaires sur lui. Ensuite il sera in-cinéré vivant, si toutefois il l’est encore, puis ses cendres seront enfermées dans un cercueil antinucléaire et seront exposées au musée des arts ratés.
Le commissaire ayant fini de parler, les policiers s’apprêtèrent à tirer.
Soudain, la sorcière Pic fit son apparition. Elle transforma les policiers en grenouilles. Elle leur trancha les pattes à la tronçonneuse bionique pour se faire des cuisses de grenouilles, son met préféré lorsque ce dernier est accompagné d’excréments de chauves-souris. Elle jeta un sort au petit garçon. Un grand éclair bleuté vint frapper la couveuse. Mais le sort rebondit alors sur la vitre de la couveuse et fut dévié de sa trajectoire initiale. Le sort fut jeté sur la Roll’s de chez Sprout de la sorcière. La voiture fut immédiatement calcinée. Les pompiers de l’espace arrivèrent et arrosèrent ce qui restait de la voiture flambant neuve. Ils demandèrent 30 pengos à la sorcière. Cette dernière les remboursa en les transformant en tête de veau car elle est très radine. Elle lança un clochard de chez la Rue Déserte valant 5 pengos chez Bazar mar-ché sur la vitre de la couveuse. Le pot se brisa mais pas la vitre. Excédée, elle poussa un cri à déterrer les bananes. Même une pierre de 250.000 sur l’échelle de Mohs n’aurait pas put résis-ter.
La vitre se brisa. La sorcière jeta un sort à l’enfant. Un garde du père essaya de l’arrêter mais une météorite de 4 m de diamètre en plastique gonflable l’écrasa. La sorcière dit alors : « Le petit garçon mourra à ses 1.000.000 ans. J’ai dit. » Puis elle disparut dans sa nouvelle moustiquomobile, comme par magie. 1.000.000 d’années plus tard, le garçon, devenu homme, vivait dans un petit château. Un jour, il fut attiré par un son étrange, ressemblant à celui d’un Smurk à roulettes agonisant. Il monta en haut du donjon central, haut de 150 km. Ne pouvant pratiquement plus respirer à cause de l’altitude, Il vit un petit bouton rouge et appuya dessus. Il reçut une fléchette empoisonnée dans le cou et fut télétransporté dans un lit au château de la sorcière. Mais le poison n’avait pas tué le prince : il était endormi à vie à moins qu’on ne le sauve.
Une courageuse personne fut alors désigné volontaire pour le délivrer : le petit chaperon rouge. Il se mit en route. Une horde de Gobelins, êtres idiots et dépourvus de cerveaux, lui sauta dessus. Il les tua tous. Il reprit tranquillement son chemin lorsque le sang des Gobelins créa un super Gobelin. La lutte fut terrible et finalement c’est la femme du super Gobelin qui dut ramener ce dernier chez lui. Bidule arriva au château avec quelques blessures mais ce n’est rien par rapport à ce qui l’attend. Il défonça la porte du château. Malheureusement pour lui, la porte était déjà ouverte. Il fonça dans un mur et se retrouva dans un cachot infesté de scorpions venimeux. Il se fraya un passage à travers ces immondes bêtes à coups d’épées. Il arriva à la porte et la défonça. A la sortie, il se prit un coup de poignard dans l’épaule. Il dres-sa son épée et trancha la tête de son adversaire.
Il traversa l’allée du cachot et tout d’un coup, il vit ses arrière-grands-parents à moitié déchiquetés par des Bloups, de redoutables carnivores qui ont toujours faim. Il vit des lam-beaux de cerveaux parterre. Par l’étude de ces lambeaux, il découvrit qu’il étaient atteints du syndrome de la vache folle. Il découvrit aussi une magnifique dague en diamant et à la pointe d’or, qu’il décida de garder. Il quitta la cellule, complètement dégoûté. Soudain, une bombe atomique à tête chercheuse sortit d’on ne sait où. Le chevalier dégaina son épée et découpa la bombe en rondelles. Il fut défiguré. Après avoir tué 38.205 guerriers, il arriva devant une porte blindée. Soudain un Minotaure géant apparut. Il se rua sur le pauvre chevalier. Ce dernier eu juste le temps de déguerpir avant que la Minotaure ne l’écrase. Celui-ci, dans son élan, cassa la porte blindée avant de se prendre un hallebarde en acier massif dans le crâne. Une gerbe de sang violet. Ce piège était destiné au chevalier. Un Syrg arriva à toute vitesse pour manger le Minotaure. C’était aussi un piège pour le chevalier. Ce dernier profita que le Syrg était tête baissée pour lui briser les vertèbres cervicales.
Il traversa une pièce puis se retrouva devant la sorcière. Celle-ci lui lança un sortilège mais ce dernier rebondit sur la coque argentée du bouclier de chez BMW du petit chaperon rouge. Elle se transforma en Hydre impériale. Elle cracha les flammes de l’enfer mais le petit chaperon rouge continuait à résister tant bien que mal. L’Hydre invoqua Belzébuth. Le cheva-lier arriva à la tuer. Il entra dans la dernière pièce, et vit le prince, reposant dans son lit, avec un drôle de sourire. Il s’approcha de lui, mais au dernier moment, le merveilleux visage du prince se transforma en une tête hideuse. Dracula surgit alors du lit.. Le petit chaperon rouge failli se faire mordre à l’épaule. Il transperça Dracula de part en part. Le dernier piège du châ-teau venait d’être déjoué.
Il entra dans la dernière pièce et vit, cette fois, le vrai prince, avec un visage d’ange. Il s’approcha du garçon pour lui donnait le baiser qui devait le réveiller. Mais au dernier mo-ment, le corps se releva et poussa un cri qui ne cessait pas de s’intensifier. Puis il se tut. Il se releva. Il s’était transformé en Hydre du diable. C’était à cause de la dague et de l’invocation de Lucifer. Il prit le petit chaperon rouge et le déchiqueta. C’était le diable en personne. Il dé-truisit le château en un instant. Il sortit dehors. Il marcha sur une des charnières de la porte défoncée. Il roula à terre et tomba dans le précipice sans fond. Il fini sa chute dans la rivière. Les crocodiles qui habitaient cette rivière seront les seuls à avoir le dernier mot de l’histoire.
Mais le petit chaperon rouge, à cause de son plongeon dans le récupérateur moléculaire, se reconstitua tout seul. Il quitta cette satanée planète pour retourner dans sa résidence.
Tous les corps furent transférés dans un récupérateur moléculaire, dans un centre secret du CNRS (Centre Nerveux de la Radioactivité Sidérale). Un professeur s’occuper du restuc-teur alors que son fils jouait à la Latterny 1024 bits (du nom de son inventeur, F. latterner, un savant fou mort d’une crise cardiaque, après avoir perdu à Final Cante XXVII, jeu inventé par son meilleur ami, F. Cante, lui aussi mort de même cause). Il y eut un court-circuit, et les trois corps, grand-mère, mère et fille, se téléchargèrent en signaux photoélectriques, puis en image de synthèse, à l’intérieur du jeu ‘Jurraciste Pen’
Avant d’aller plus loin dans cette histoire débile, voyons la règle du jeu. Alors voici. Vous incarnez un jeune émigrant qui tente de s’échapper du système Carcos, où vous êtes poursuivis par des agents du RACISME (Réincarnation de l’Ancien Clan de l’Invasion Sadi-que Miteuse de l’Emigration, nouvelle version du F.N - la Fatalité Notoire). Le fils du profes-seur ayant laissé la cartouche de jeu dans le bac à reproduction rapide des sangsues (comman-dé par l’ETAT et destiné à faire chuter le cours de la sangsue, pour ruiner les ASSEDICS), les armes sont illimités. Vous pouvez même avoir des bouées pour lutter contre la bande des SS (Sales Skinheads). A la fin, vous devrez affronter le chef de la MAFFIA (Milice Anarchiste Famélique des Fils Immigrés Abusés - Bouffeurs d’étrangers, en clair), Le Pen.
Les trois personnes retrouvèrent leurs esprits et comprirent qu’ils venaient de se faire magistralement avoir. Soudain une voiture en feu se retourna et roula à vive allure vers eux. Le petit chaperon rouge n’eut pas le choix, il tira un missile sur le véhicule, qui explosa. Un FLIC (Fils Légitime d’Infâme Cucurbitacée) les arrêta pour destruction de véhicule valant 3 pengos à l’ARGUS (Arnaqueur Réduisant le Goût de l’Utilisation des Sitroën - Sitroën étant une société de l’ETAT, on peut se douter que l’ARGUS appartient aux ASSEDICS), après 1 mois d’utilisation, état neuf, le prix initial étant de 500.000 pengos.
Ils furent transférés dans un cargo rouillé remplit à ras-bord d’étrangers, en partance pour le fond de l’OCEAN (Organisme Chargé de l’Exécution des Amas de Nègres). Sur le cargo, ils fusillèrent tout le monde, récupérèrent toute la peau disponible, en firent une mont-golfière. Mais le petit chaperon rouge s’échappa seul, laissant sa famille à bord du rafiot. Sa mère et sa grand-mère le traitèrent de traître, mais pour toute réponse, il les liquida avec une bombe thermique.
Puis il se retrouva sur l’île mystérieuse, récupéra le Nautilus et se rendit en Enfer sur le Styx. Une fois arrivé, il se rendit à terre. Il se retrouva devant une porte. Soudain, une boîte parlante se mit en marche et dit :
- Si tu veux entrer, il te faudra répondre à cette question : Combien de voix à reçu le parti na-tionaliste lors des élections de 1995 ?
Mais au lieu de répondre à cette question, le petit chaperon rouge défonça la porte avec ses super baskets Redook, renforcé au titane actif, comme à son habitude (passage non copié). Il se retrouva dans une immense salle, recouvert des idéaux nationalistes. Puis Mégret, le fidèle Cerbère de Le Pen, apparu. Il se dirigea vers lui avec un poignard. Mais Batman couru à son secours. Il tua Mégret, avant que le petit chaperon rouge ne lui plante le poignard entre les deux épaules. Puis, il entra dans l’antre de SATAN (Sultan de l’Association des Tarés d’Antagonistes au Noir - c’est pour ça qu’on ne trouve plus que du chocolat blanc dans les supermarchés).
Le Pen l’attendait avec sérénité. Le petit chaperon rouge pensait gagner à coup sûr avec le CD des chansons intégrales de Dorothée, mais il l’avait perdu en cours de route. Tout d’un coup, un diable de Tasmanie, le même que pendant le rallye, surgit dont ne sait où, et ravagea le pantalon de Le Pen, en peau de chinois, très rare en ces temps. Le pauvre s’aperçut qu’on voyait son caleçon, et se suicida à la vitamine C, de honte.
Puis le petit chaperon rouge ressortit de la console, avec les membres de sa famille. Ils passèrent quelques années tranquilles dans leur résidence, digne du château de Versailles, au-jourd’hui ravagé par les taupes, mais avec les WC et l’eau courante en plus.
VI) La belle au bois ardents
Jusqu’au jour où le grand maître du Vorien, le plus petit royaume de cette planète, or-ganisa une fête pour la naissance de son petit garçon. Tout le royaume fut invité, soit le père, la mère, le frère et les trois sorcières Truc, Muche et Machin. La soeur regarda le petit garçon à travers la glace Cocu valant 20 pengos de la couveuse thermonucléaire. Elle poussa un cri de 52 sur l’échelle de Richter et fit une crise cardiaque en croyant que son frère était trisomique. Elle mourra en 15 centièmes de seconde. En fait, c’était la courbure de ses lunettes Lefou fa-briquées en série limitée à un exemplaire par le professeur Gogol, aujourd’hui dans l’asile des cas circonflexes de dernière gravité. Après quoi on les attache au vidangeur de cerveaux s’ils deviennent trop dangereux pour la planète. Les parent emmenèrent la défunte à la déchique-teuse à papier. Quelques gerbes de sang violet, le corps est séché, puis sert de paille dans les élevages de vaches folles (en effet, on a découvert que lorsqu’elles avaient des évacuations d’air, c’était pire qu’à Hiroshima). Le sang est ensuite transformé en eau de Cologne pour vampires.
Les autres invités arrivèrent. Truc dit alors :
- Regardez-moi cette saleté de gosse ! On dirait Muche quand elle était petite : elle a une ca-rie !
- Vas-tu te taire idiote ! Répondit Muche, en colère verte.
- Mais taisez-vous bande de dégénérées ! dit Machin.
Toutes trois sortirent un poignard de chez la brosse à dents et le plantèrent dans le cœur de sa concurrente. Mais les lames ne rentrèrent pas dans les corps : les poignard était en métal élas-tique. Ca ce sont les japonais qui l’ont inventés. Alors elles jouèrent à la roulette sidérale. En voilà le principe : chacun prend un bazooka à six boulets où il y a un boulet atomique à l’intérieur. On tire tous en même temps. On compte le nombre de morts et de blessés au cas où un idiot traînerait alors dans le coin. Les trois fées tirèrent. Trois flaques de sang verdâtre. Elles sont toutes mortes. C’était le frère qui s’était amusé à tripoter les cartouches et en avait mis six par bazooka.
Deux minutes plus tard, une patrouille de la police intersidérale arriva devant le châ-teau. Ils dégainèrent leurs armes et emmenèrent la mère, le père et le bébé au commissariat n°143976. Les parent furent emmenés au peloton d’exécution. Les policiers armèrent leurs mitraillettes disco-laser. Les parents demandèrent une dernière faveur : savoir ce qui allait arriver à leur enfant. Le commissaire leur répondit :
- Il sera emmenée au centre secret de la zone 51. Là-bas, on le fera pédaler pour faire avancer une turbine nucléaire à moitié rouillée. Cette énergie servira de réserve pour les chaises élec-trique. Lorsqu’il sera totalement épuisé, on fera des tests nucléaires sur lui. Ensuite il sera in-cinéré vivant, si toutefois il l’est encore, puis ses cendres seront enfermées dans un cercueil antinucléaire et seront exposées au musée des arts ratés.
Le commissaire ayant fini de parler, les policiers s’apprêtèrent à tirer.
Soudain, la sorcière Pic fit son apparition. Elle transforma les policiers en grenouilles. Elle leur trancha les pattes à la tronçonneuse bionique pour se faire des cuisses de grenouilles, son met préféré lorsque ce dernier est accompagné d’excréments de chauves-souris. Elle jeta un sort au petit garçon. Un grand éclair bleuté vint frapper la couveuse. Mais le sort rebondit alors sur la vitre de la couveuse et fut dévié de sa trajectoire initiale. Le sort fut jeté sur la Roll’s de chez Sprout de la sorcière. La voiture fut immédiatement calcinée. Les pompiers de l’espace arrivèrent et arrosèrent ce qui restait de la voiture flambant neuve. Ils demandèrent 30 pengos à la sorcière. Cette dernière les remboursa en les transformant en tête de veau car elle est très radine. Elle lança un clochard de chez la Rue Déserte valant 5 pengos chez Bazar mar-ché sur la vitre de la couveuse. Le pot se brisa mais pas la vitre. Excédée, elle poussa un cri à déterrer les bananes. Même une pierre de 250.000 sur l’échelle de Mohs n’aurait pas put résis-ter.
La vitre se brisa. La sorcière jeta un sort à l’enfant. Un garde du père essaya de l’arrêter mais une météorite de 4 m de diamètre en plastique gonflable l’écrasa. La sorcière dit alors : « Le petit garçon mourra à ses 1.000.000 ans. J’ai dit. » Puis elle disparut dans sa nouvelle moustiquomobile, comme par magie. 1.000.000 d’années plus tard, le garçon, devenu homme, vivait dans un petit château. Un jour, il fut attiré par un son étrange, ressemblant à celui d’un Smurk à roulettes agonisant. Il monta en haut du donjon central, haut de 150 km. Ne pouvant pratiquement plus respirer à cause de l’altitude, Il vit un petit bouton rouge et appuya dessus. Il reçut une fléchette empoisonnée dans le cou et fut télétransporté dans un lit au château de la sorcière. Mais le poison n’avait pas tué le prince : il était endormi à vie à moins qu’on ne le sauve.
Une courageuse personne fut alors désigné volontaire pour le délivrer : le petit chaperon rouge. Il se mit en route. Une horde de Gobelins, êtres idiots et dépourvus de cerveaux, lui sauta dessus. Il les tua tous. Il reprit tranquillement son chemin lorsque le sang des Gobelins créa un super Gobelin. La lutte fut terrible et finalement c’est la femme du super Gobelin qui dut ramener ce dernier chez lui. Bidule arriva au château avec quelques blessures mais ce n’est rien par rapport à ce qui l’attend. Il défonça la porte du château. Malheureusement pour lui, la porte était déjà ouverte. Il fonça dans un mur et se retrouva dans un cachot infesté de scorpions venimeux. Il se fraya un passage à travers ces immondes bêtes à coups d’épées. Il arriva à la porte et la défonça. A la sortie, il se prit un coup de poignard dans l’épaule. Il dres-sa son épée et trancha la tête de son adversaire.
Il traversa l’allée du cachot et tout d’un coup, il vit ses arrière-grands-parents à moitié déchiquetés par des Bloups, de redoutables carnivores qui ont toujours faim. Il vit des lam-beaux de cerveaux parterre. Par l’étude de ces lambeaux, il découvrit qu’il étaient atteints du syndrome de la vache folle. Il découvrit aussi une magnifique dague en diamant et à la pointe d’or, qu’il décida de garder. Il quitta la cellule, complètement dégoûté. Soudain, une bombe atomique à tête chercheuse sortit d’on ne sait où. Le chevalier dégaina son épée et découpa la bombe en rondelles. Il fut défiguré. Après avoir tué 38.205 guerriers, il arriva devant une porte blindée. Soudain un Minotaure géant apparut. Il se rua sur le pauvre chevalier. Ce dernier eu juste le temps de déguerpir avant que la Minotaure ne l’écrase. Celui-ci, dans son élan, cassa la porte blindée avant de se prendre un hallebarde en acier massif dans le crâne. Une gerbe de sang violet. Ce piège était destiné au chevalier. Un Syrg arriva à toute vitesse pour manger le Minotaure. C’était aussi un piège pour le chevalier. Ce dernier profita que le Syrg était tête baissée pour lui briser les vertèbres cervicales.
Il traversa une pièce puis se retrouva devant la sorcière. Celle-ci lui lança un sortilège mais ce dernier rebondit sur la coque argentée du bouclier de chez BMW du petit chaperon rouge. Elle se transforma en Hydre impériale. Elle cracha les flammes de l’enfer mais le petit chaperon rouge continuait à résister tant bien que mal. L’Hydre invoqua Belzébuth. Le cheva-lier arriva à la tuer. Il entra dans la dernière pièce, et vit le prince, reposant dans son lit, avec un drôle de sourire. Il s’approcha de lui, mais au dernier moment, le merveilleux visage du prince se transforma en une tête hideuse. Dracula surgit alors du lit.. Le petit chaperon rouge failli se faire mordre à l’épaule. Il transperça Dracula de part en part. Le dernier piège du châ-teau venait d’être déjoué.
Il entra dans la dernière pièce et vit, cette fois, le vrai prince, avec un visage d’ange. Il s’approcha du garçon pour lui donnait le baiser qui devait le réveiller. Mais au dernier mo-ment, le corps se releva et poussa un cri qui ne cessait pas de s’intensifier. Puis il se tut. Il se releva. Il s’était transformé en Hydre du diable. C’était à cause de la dague et de l’invocation de Lucifer. Il prit le petit chaperon rouge et le déchiqueta. C’était le diable en personne. Il dé-truisit le château en un instant. Il sortit dehors. Il marcha sur une des charnières de la porte défoncée. Il roula à terre et tomba dans le précipice sans fond. Il fini sa chute dans la rivière. Les crocodiles qui habitaient cette rivière seront les seuls à avoir le dernier mot de l’histoire.
Mais le petit chaperon rouge, à cause de son plongeon dans le récupérateur moléculaire, se reconstitua tout seul. Il quitta cette satanée planète pour retourner dans sa résidence.
Re: L'épopée du petit chaperon rouge
VII) Cendrillon en bonnet rouge
Le petit chaperon rouge acheta le kit du parfait petit physicien. Il jeta de l’eau sur l’engin qu’il avait construit, et il fut envoyé sur dans une autre dimension, similaire à la sienne sauf qu’il a deux demi-soeurs, et que sa situation familiale est complètement bouleversée. Nous nous retrouvons sur la planète Yadéinpo. Plus précisément dans la maison des spectres. Cette maison à été construit par un fou, le docteur Clacfric. Beaucoup d’explorateurs n’en sont jamais revenus. Il est obligée de travailler comme un forçat à cause de sa cruelle grand-mère. De plus, il souffre le martyre à cause des mauvaises blagues de Flic et de Flac, ses deux demi-soeur.
Un jour, le 175 ritembre, un message électronique apparut sur son Kobby à circuits tribioniques. Ce message dit qu’un bal est organisé au palais de justice de Bledbourg. Mais le petit chaperon rouge avait encore beaucoup à faire. Après avoir fait le ménage pendant 5 heu-res, il eut enfin fini. Mais elle s’aperçut au dernier moment qu’il n’avait pas de smoking. Il profita que sa belle-mère, Flic et Flac soient allées cueillir des champignons, puis s’approcha de la garde-robe de Flic. Il prit un couteau de cuisine pour ouvrir la porte de l’armoire. Il ou-vrit la porte et prit une magnifique robe noire couverte de diamants, de rubis et d’émeraudes. C’était autre chose que son vieux tablier bruni aux excréments de cheval. Elle l’enfila.
Puis comme il avait encore un peu de temps, il joua à un nouveau jeu sur ordinateur, intitulé ‘la mort vous aura’. Il installa le CD ROM et commença à jouer. Tout à coup, il se fit aspirer par l’écran de la télévision et se retrouva dans une cage remplie de serpents à sonnet-tes. Il venait de pénétrer dans le jeu. Il essaya de sortir de la cage, mais un des serpents la mordit. Elle ouvrit son sac à dos et réussit a y trouver un antidote. Elle tua les serpents à coups de couteaux ou en les écrasant sous ses pieds. Elle réussit à sortir vivante de la cage aux ser-pents. Le dresseur arriva furieux avec son fouet en Plexiglas déformable. Le petit chaperon rouge le poignarda jusqu'à la mort.
Il marchait tranquillement et soudain le sol se déroba sous ses pieds. Il tomba sur quel-que chose de mou, ce qui amortit sa chute. Mais elle venait aussi de faire une faute irrépara-ble : réveiller le Shyr à molettes. Ce dernier se dressa sur ces pattes et failli avaler le petit cha-peron rouge. Mais son pire ennemi, le Dotyr à muches apparut. Celui-ci se jeta sur la gorge du Shyr à molettes. Ce dernier n’eut pas le temps de se défendre. Le Dotyr à muches, fière de sa victoire se dressa sur deux pattes et se prit une hache dans la tête, qui lui fendu le crâne. Une gerbe de sang noir. Après s’être reposé pendant un petit quart d’heure, le petit chaperon rouge traversa un long labyrinthe. Deux chevaliers s’approchèrent de lui pour le tuer mais une sta-lactite pas très solide les écrasa. Un autre guerrier s’approcha du petit chaperon rouge avec les mêmes intentions que les deux autres défunts. Mais il fut mis à terre par un monolithe venu d’on ne sait où.
Il se retrouva devant le boss de la fin du jeu. C’était une Licorne infernal venu tout droit de Satan. Au bout d’une heure de combat, la Licorne en a eu marre et a préféré aller manger un petit peu au self-service du coin. Le petit chaperon rouge en profita pour rejoindre le pas-sage la séparant du monde réel. Il ressortit du jeu et se rendit compte que sa robe était en lam-beaux.
Il prit vite un billet de 1000 Srucs pour se racheter une autre robe. Puis il monta dans sa thermovoiture. Il monta dedans, mais il se rendit compte qu’il avait oublier de faire la plein d’essence thermonucléaire. Soudain, un vendeur magique du Téléporte apparut devant lui et lui vendit une trottinette. Il prit sa trottinette et partit au magasin acheter une robe. Il arriva au bal vers 28 h. Elle y vit ses demi-soeurs et sa grand-mère. Il étrangla sa grand-mère. Elle dé-coupa la tête de ses demi-soeurs et découpa leurs corps en rondelles. Il les envoya en recom-mandé à la décharge publique. Il trempa leurs têtes dans l’acide sulfurique.
Il se maria avec l’éboueur du quartier. Ils eurent deux enfants. Le premier mourut à l’âge de 15 ans. Un jour, le petit chaperon rouge fit une crise cardiaque en se regardant dans une glace. il venait de découvrir qu’elle avait un gros bouton sur le nez. En fait, c’est la faute du petit dernier qui avait joué avec des feutres. Deux mois plus tard, le père et le petit dernier se tuèrent en voiture.
Soudain, le petit chaperon rouge se réveilla en sursaut. Il avait fait un cauchemar. Conséquence : il changea de literie. Pour faire fortune, il décida de se mettre à écrire des his-toires débiles.
VIII) Histoire inventée par le héros
Voici sa première histoire :
Blanche-Neige et les sept nains
Nous sommes en 4.854.652, sur la planète Bik. Blanche-Neige était une jeune serve (à peine 700 000 ans) qui travaillait dans une fabrique de tickets de manège, qui lui était payé 3 pengos de l’année. Depuis 20 ans, elle détenait le prix de « miss mouchetée mondiale ». Elle habitait avec ses 2 enfants dans un tonneauville. Mais sa belle-mère, la cruelle Foldingue, est verte de haine contre Blanche-neige, car elle n’a pas pu se présenter aux dernières élections de « miss mochetée ». En effet, sur le chemin du bureau d’inscriptions au concours, elle fut piquée par un moustique à tête chercheuse autoprogrammable, et son billet d’inscription tomba dans le mercure des égouts de la ville.
En s’en allant au marché aux cafards radioactifs, elle fit une affaire : elle acheta un magnifique miroir antireflet pour même pas 10 pengos (presque de quoi se payer un chewing-gum). Puis, elle rentra chez elle et accrocha son miroir style nulos flamboyant. Soudain, le miroir se mit à parler :
- Bonjour, oh, votre majestueuse horreur, je suis un miroir magique qui vient de chez ‘Laure à l’appel’ et je peux répondre à toutes vos questions...
- Ah oui, alors, répond à cette question : Qui est la plus laide de l’univers ?
- Ah j’avais oublier, il faut me poser les questions en vers...
- Qui, de l’univers, est la plus laide ?
- C’est votre nièce, Blanche-neige.
Puis elle appuya sur l’interrupteur du miroir. Puis, elle dit :
- Ah la... Je vais la tuer.
Blanche-neige, quant à elle, finit sa journée de travail et rentra chez elle.
Mais sur le chemin, elle se perdit dans la forêt de cristal. Mais, dans une clairière, elle trouve une maisonnette abandonnée. Elle défonça la porte et découvrit une salle remplie de poignards, de couteaux... Puis, elle vit une chambre à coucher et s’endormit sur un lit. Le lendemain matin, elle fut réveillée en sursaut, car elle est réveillée par des nains, armés jus-qu’aux dents. Puis devant elle, elle vit ses deux fils, chacun avec un couteau sous la gorge. Elle comprit alors que ses enfants allaient être exécutés. Soudain, elle sortit une grenade et la dégoupilla, puis elle dégomma la tête d’un des nains. Mais sa tête repoussa avec une extrême rapidité. Soudain, elle sortit une bombe à hydrogène portative de chez ‘la brosse à cheveux’ et l’envoya en l’air. La maison explosa. Puis, le nain magicien transporta tout le monde dans une autre dimension.
Blanche-neige et ses fils se défendirent de toutes leurs forces contre les nains. Mais les deux enfants se firent capturer par les nains. Ils furent exécutés devant les yeux de Blanche-neige. On leur coupa une partie de la moelle épinière, de façon à ce que la respiration soit coupée mais que le cerveau soit encore en marche, ce qui provoque une longue et abominable agonie. Soudain, Blanche-neige surgit, en kimono, et se prépara à se battre contre les assas-sins. Elle envoya un coup de pied à un nain, qui lui transperça le ventre. Elle cassa ensuite la tête de deux nains en les frappant l’une contre l’autre. Puis, elle prit un poignard et trancha les corps de deux autres nains en fines lamelles qu’elle envoya en recommandé à la décharge sidérale. Les deux derniers nains voulurent s’enfuir, mais Blanche-neige leur fit un combo. Puis, elle leur tordit le dos, les fit cuire à petits feux, alors qu’ils étaient encore vivants. Mais elle ne pouvait plus sortir de cette dimension.
Soudain, sa belle-mère apparut et fonça sur Blanche-neige, armée d’une épée laser. Un combat de titans eut lieu. La belle-mère y laissa la vie. Mais Blanche-neige ne savait com-ment sortir. Enfin, elle eut une idée : créer un passage interdimensionnel avec l’ordinateur portable de ses enfants. Elle créa un programme et se retrouva à l’endroit où la maison avait explosé. Mais, il y avait des grands arbres partout, tout était immense. Puis, elle tomba par-terre, frappée par une fléchette empoisonnée, morte. Elle était tombée au bon endroit mais pas à la bonne époque. Le transfert l’avait envoyé 10.000 ans en arrière et elle fut une victime de la tribu des jivaros.
Le petit chaperon rouge abandonna ici sa carrière littéraire, trouvant son texte trop dé-bile. Puis, pour se dépayser, il fit un voyage sur Terre (artificiellement recréée). Il avait choisi un superbe monastère tibétain comme gîte, et fut immédiatement séduit par la beauté du paysage. Alors qu’il était en train de boire du coca (ils se sont vachement modernisés), un étrange personnage l’invita à signer un papier. Le petit chaperon rouge accepta sans y réflé-chir. Il venait d’entrer dans la secte des Fumeurs de Moquettes et Rideaux Divins (FMRD).
Le petit chaperon rouge acheta le kit du parfait petit physicien. Il jeta de l’eau sur l’engin qu’il avait construit, et il fut envoyé sur dans une autre dimension, similaire à la sienne sauf qu’il a deux demi-soeurs, et que sa situation familiale est complètement bouleversée. Nous nous retrouvons sur la planète Yadéinpo. Plus précisément dans la maison des spectres. Cette maison à été construit par un fou, le docteur Clacfric. Beaucoup d’explorateurs n’en sont jamais revenus. Il est obligée de travailler comme un forçat à cause de sa cruelle grand-mère. De plus, il souffre le martyre à cause des mauvaises blagues de Flic et de Flac, ses deux demi-soeur.
Un jour, le 175 ritembre, un message électronique apparut sur son Kobby à circuits tribioniques. Ce message dit qu’un bal est organisé au palais de justice de Bledbourg. Mais le petit chaperon rouge avait encore beaucoup à faire. Après avoir fait le ménage pendant 5 heu-res, il eut enfin fini. Mais elle s’aperçut au dernier moment qu’il n’avait pas de smoking. Il profita que sa belle-mère, Flic et Flac soient allées cueillir des champignons, puis s’approcha de la garde-robe de Flic. Il prit un couteau de cuisine pour ouvrir la porte de l’armoire. Il ou-vrit la porte et prit une magnifique robe noire couverte de diamants, de rubis et d’émeraudes. C’était autre chose que son vieux tablier bruni aux excréments de cheval. Elle l’enfila.
Puis comme il avait encore un peu de temps, il joua à un nouveau jeu sur ordinateur, intitulé ‘la mort vous aura’. Il installa le CD ROM et commença à jouer. Tout à coup, il se fit aspirer par l’écran de la télévision et se retrouva dans une cage remplie de serpents à sonnet-tes. Il venait de pénétrer dans le jeu. Il essaya de sortir de la cage, mais un des serpents la mordit. Elle ouvrit son sac à dos et réussit a y trouver un antidote. Elle tua les serpents à coups de couteaux ou en les écrasant sous ses pieds. Elle réussit à sortir vivante de la cage aux ser-pents. Le dresseur arriva furieux avec son fouet en Plexiglas déformable. Le petit chaperon rouge le poignarda jusqu'à la mort.
Il marchait tranquillement et soudain le sol se déroba sous ses pieds. Il tomba sur quel-que chose de mou, ce qui amortit sa chute. Mais elle venait aussi de faire une faute irrépara-ble : réveiller le Shyr à molettes. Ce dernier se dressa sur ces pattes et failli avaler le petit cha-peron rouge. Mais son pire ennemi, le Dotyr à muches apparut. Celui-ci se jeta sur la gorge du Shyr à molettes. Ce dernier n’eut pas le temps de se défendre. Le Dotyr à muches, fière de sa victoire se dressa sur deux pattes et se prit une hache dans la tête, qui lui fendu le crâne. Une gerbe de sang noir. Après s’être reposé pendant un petit quart d’heure, le petit chaperon rouge traversa un long labyrinthe. Deux chevaliers s’approchèrent de lui pour le tuer mais une sta-lactite pas très solide les écrasa. Un autre guerrier s’approcha du petit chaperon rouge avec les mêmes intentions que les deux autres défunts. Mais il fut mis à terre par un monolithe venu d’on ne sait où.
Il se retrouva devant le boss de la fin du jeu. C’était une Licorne infernal venu tout droit de Satan. Au bout d’une heure de combat, la Licorne en a eu marre et a préféré aller manger un petit peu au self-service du coin. Le petit chaperon rouge en profita pour rejoindre le pas-sage la séparant du monde réel. Il ressortit du jeu et se rendit compte que sa robe était en lam-beaux.
Il prit vite un billet de 1000 Srucs pour se racheter une autre robe. Puis il monta dans sa thermovoiture. Il monta dedans, mais il se rendit compte qu’il avait oublier de faire la plein d’essence thermonucléaire. Soudain, un vendeur magique du Téléporte apparut devant lui et lui vendit une trottinette. Il prit sa trottinette et partit au magasin acheter une robe. Il arriva au bal vers 28 h. Elle y vit ses demi-soeurs et sa grand-mère. Il étrangla sa grand-mère. Elle dé-coupa la tête de ses demi-soeurs et découpa leurs corps en rondelles. Il les envoya en recom-mandé à la décharge publique. Il trempa leurs têtes dans l’acide sulfurique.
Il se maria avec l’éboueur du quartier. Ils eurent deux enfants. Le premier mourut à l’âge de 15 ans. Un jour, le petit chaperon rouge fit une crise cardiaque en se regardant dans une glace. il venait de découvrir qu’elle avait un gros bouton sur le nez. En fait, c’est la faute du petit dernier qui avait joué avec des feutres. Deux mois plus tard, le père et le petit dernier se tuèrent en voiture.
Soudain, le petit chaperon rouge se réveilla en sursaut. Il avait fait un cauchemar. Conséquence : il changea de literie. Pour faire fortune, il décida de se mettre à écrire des his-toires débiles.
VIII) Histoire inventée par le héros
Voici sa première histoire :
Blanche-Neige et les sept nains
Nous sommes en 4.854.652, sur la planète Bik. Blanche-Neige était une jeune serve (à peine 700 000 ans) qui travaillait dans une fabrique de tickets de manège, qui lui était payé 3 pengos de l’année. Depuis 20 ans, elle détenait le prix de « miss mouchetée mondiale ». Elle habitait avec ses 2 enfants dans un tonneauville. Mais sa belle-mère, la cruelle Foldingue, est verte de haine contre Blanche-neige, car elle n’a pas pu se présenter aux dernières élections de « miss mochetée ». En effet, sur le chemin du bureau d’inscriptions au concours, elle fut piquée par un moustique à tête chercheuse autoprogrammable, et son billet d’inscription tomba dans le mercure des égouts de la ville.
En s’en allant au marché aux cafards radioactifs, elle fit une affaire : elle acheta un magnifique miroir antireflet pour même pas 10 pengos (presque de quoi se payer un chewing-gum). Puis, elle rentra chez elle et accrocha son miroir style nulos flamboyant. Soudain, le miroir se mit à parler :
- Bonjour, oh, votre majestueuse horreur, je suis un miroir magique qui vient de chez ‘Laure à l’appel’ et je peux répondre à toutes vos questions...
- Ah oui, alors, répond à cette question : Qui est la plus laide de l’univers ?
- Ah j’avais oublier, il faut me poser les questions en vers...
- Qui, de l’univers, est la plus laide ?
- C’est votre nièce, Blanche-neige.
Puis elle appuya sur l’interrupteur du miroir. Puis, elle dit :
- Ah la... Je vais la tuer.
Blanche-neige, quant à elle, finit sa journée de travail et rentra chez elle.
Mais sur le chemin, elle se perdit dans la forêt de cristal. Mais, dans une clairière, elle trouve une maisonnette abandonnée. Elle défonça la porte et découvrit une salle remplie de poignards, de couteaux... Puis, elle vit une chambre à coucher et s’endormit sur un lit. Le lendemain matin, elle fut réveillée en sursaut, car elle est réveillée par des nains, armés jus-qu’aux dents. Puis devant elle, elle vit ses deux fils, chacun avec un couteau sous la gorge. Elle comprit alors que ses enfants allaient être exécutés. Soudain, elle sortit une grenade et la dégoupilla, puis elle dégomma la tête d’un des nains. Mais sa tête repoussa avec une extrême rapidité. Soudain, elle sortit une bombe à hydrogène portative de chez ‘la brosse à cheveux’ et l’envoya en l’air. La maison explosa. Puis, le nain magicien transporta tout le monde dans une autre dimension.
Blanche-neige et ses fils se défendirent de toutes leurs forces contre les nains. Mais les deux enfants se firent capturer par les nains. Ils furent exécutés devant les yeux de Blanche-neige. On leur coupa une partie de la moelle épinière, de façon à ce que la respiration soit coupée mais que le cerveau soit encore en marche, ce qui provoque une longue et abominable agonie. Soudain, Blanche-neige surgit, en kimono, et se prépara à se battre contre les assas-sins. Elle envoya un coup de pied à un nain, qui lui transperça le ventre. Elle cassa ensuite la tête de deux nains en les frappant l’une contre l’autre. Puis, elle prit un poignard et trancha les corps de deux autres nains en fines lamelles qu’elle envoya en recommandé à la décharge sidérale. Les deux derniers nains voulurent s’enfuir, mais Blanche-neige leur fit un combo. Puis, elle leur tordit le dos, les fit cuire à petits feux, alors qu’ils étaient encore vivants. Mais elle ne pouvait plus sortir de cette dimension.
Soudain, sa belle-mère apparut et fonça sur Blanche-neige, armée d’une épée laser. Un combat de titans eut lieu. La belle-mère y laissa la vie. Mais Blanche-neige ne savait com-ment sortir. Enfin, elle eut une idée : créer un passage interdimensionnel avec l’ordinateur portable de ses enfants. Elle créa un programme et se retrouva à l’endroit où la maison avait explosé. Mais, il y avait des grands arbres partout, tout était immense. Puis, elle tomba par-terre, frappée par une fléchette empoisonnée, morte. Elle était tombée au bon endroit mais pas à la bonne époque. Le transfert l’avait envoyé 10.000 ans en arrière et elle fut une victime de la tribu des jivaros.
Le petit chaperon rouge abandonna ici sa carrière littéraire, trouvant son texte trop dé-bile. Puis, pour se dépayser, il fit un voyage sur Terre (artificiellement recréée). Il avait choisi un superbe monastère tibétain comme gîte, et fut immédiatement séduit par la beauté du paysage. Alors qu’il était en train de boire du coca (ils se sont vachement modernisés), un étrange personnage l’invita à signer un papier. Le petit chaperon rouge accepta sans y réflé-chir. Il venait d’entrer dans la secte des Fumeurs de Moquettes et Rideaux Divins (FMRD).
Re: L'épopée du petit chaperon rouge
IX) La secte des Fumeurs de Moquettes et Rideaux Divins
Cette secte était toute puissante. Elle avait été détruite une fois (scandale du Crédit Lyonnais), mais ses fanatiques les plus assidus l’avaient recréée. Le petit chaperon rouge entra dans le temple où l’on rendait l’office de la réincarnation. Le petit chaperon rouge se mit à rire, quand il fut saisi par les bras, attaché sur une chaise à l’aide d’une camisole de force, sans qu’il n’eut rien comprit. On lui introduisit un joint dans la bouche. On lui dit de respirer à fond, et un sorcier se mit à entrer en transe. Le petit chaperon rouge fuma le joint constitué de 25% de goudron, 25% de sel, 25% de sciure de bois, 20% de fiente de Lepennuss-Rex et 5% d’anabolisant. Il se sentit soudain en proie à une excitation profonde.
Soudain, un halo lumineux l’entoura, puis il se métamorphosa en roi de la Pactolia, la planète la plus riche de toute, la mieux armée... et la future Crasholia. Les moines du temple se demandèrent ce qui avait foiré, pour qu’une telle catastrophe arrive. Mais soudain, un obus tomba sur le temple. C’était les soldats de Pactolia qui venait chercher leur nouveau roi. Dès qu’il fut rentré dans son palais, le petit chaperon rouge fit exécuter tout son gouvernement, et commença à régner (pour combien de temps ?). Au cours de son règne, il va commettre gaffes sur gaffes, jusqu'à la destruction totale.
Voici sa première gourde. Il y avait une petite planète, la Tomania, qui fournissait de la sauce tomate à bas prix à tout l’univers, et bien sûr, à Pactolia. Il lui déclara la guerre, car il trouvait la sauce tomate qu’on lui servait trop cher. Il a alors englouti la moitié des dépenses de l’armée pour faire la guerre. Bien sûr, il atomisa la Tomania. Mais il s'aperçut avec effroi qu’il venait de détruire un des satellite naturel de Pactolia, ainsi que sa production de sauce tomate, qui représenter 1/5 des ressources de la planète. S’ensuivit un soulèvement des écolo-gistes, qui fut réduit à néant.
Puis il décida de doubler les impôts. Le plus grand financier de Pactolia, le roi de l’or sidéral, Picsol, fit sauter toutes ses terres, et se suicida, pour ne pas payer la surtaxe. Ce qui a eut pour conséquence la mort de milliers de personnes, sautant avec les terres de Picsol, et à une augmentation du chômage de 50 000%. Le petit chaperon rouge avait réussi à dépenser la moitié de l’argent des caisse de l’état. Mais tout rentra dans l’ordre. Puis, il déclara que tous les diamants du royaume devait être remis à l’état, pour la fabrication de lunettes de soleil.
Ce fut sa dernière erreur , enfin avant dernière. La protestation était grandissante, et une révolution éclata. Le petit chaperon rouge, en ultime recours, pour sauver sa peau, décida d’utiliser une bombe à divisions sismiques. La bombe explosa. La planète se divisa d’abord en 2, puis en 4, en 8, en 16... jusqu'à la destruction totale. Tout le monde y passa. Sauf le petit chaperon rouge, qui échappera au jugement dernier, en s’échappant dans une navette. Il volait à L10, lorsqu’il entra dans un trou noir.
X) Voyage inter-temporel et interdimensionnel
Il ressortit, au bout de 3 jours, de l’autre bout du trou noir, et s’écrasa sur une espèce de surface dure. Une fois ses appareils de mesures remis en marche (il avait été coupés dans le trou noir), le petit chaperon rouge découvrit qu’il était arrivé sur la planète des Loof’Ding, une tribu de cinglés au coutumes particulièrement débiles. Il entrevit que la réparation de son vais-seaux lui prendrait au moins trente minutes, et préféra profiter de la halte pour se restaurer et se reposer. Il croisa un autochtone qui était en train de tondre la forêt qui avait poussé dans sa main, et lui demanda :
- Y a-t-il un Mac Do ou un truc du genre dans le coin ?
- Oui, dans 2 mirtomètre (mesure imaginaire, que le petit chaperon rouge ne connaît pas).
- Merci, au revoir.
- De rien.
Puis le petit chaperon rouge reprit son chemin.
Au bout de trois heures de marche, le petit chaperon rouge arriva, exténué, à des ther-mes. Il entra dans la pièce des bains de pieds et vit un Loof’Ding (nous les appellerons main-tenant les Dingos), les pied dans le goudron. Après être passé au W.C, il demanda au guichet :
- S’il vous plaît, pourriez-vous me dire à quoi correspond 1 mirtomètre, en kilomètre ?
- Le moindre renseignement est payant.
- Combien la question ?
- 50 kubars (monnaie locale - environ 14 F). Cela correspond à 500 km. Vous me devez déjà 100 kubars.
- Seulement 50 kubars !
- Mais non, vous m’avez aussi demandé à combien était la question. Ca fait 150 kubars.
- Pauvre escroc ! Bon, je part, où est la sortie ?
- La bas, au fond, à gauche.
- Merci.
- De rien, c’est 50 kubars supplémentaires.
- Et merde !
Puis le chaperon rouge lui sauta dessus, vola la caisse, qui contenait seulement ses 150 kubars. Le dernier client avait dû faire preuve d'autant de patience que lui.
Il vola un transporteur supersonique et se rendit au Mac Do. Mais il ressortit aussitôt. Les hamburgers étaient remplis de sangsues (surplus des ASSEDICS), est les frites renforcées au titane actif. Dehors, il voulu jouer à la pétanque avec d’autres Dingos, lorsqu’il s'aperçut que les boules n’étaient autres que des grenade. Puis il acheta un hot-dog. Lui trouvant un goût bizarre, il se rendit dans l’usine qui les fabriquait, pour s’apercevoir qu’il se trouvait de-vant une rôtisserie à chiens. Pris d’un profond mépris, il lança la grenade sur l’usine, qui ex-plosa. Vous pensez que le petit chaperon rouge venait d’avoir un caractère humain par rapport au sort de ces chiens ? Non ! C’est parce qu’il c’était aperçut que l’on ne récupérait pas les dents en or des chiens, et qu’on n’en faisait pas du savon (les chiens, pas les dents, c’est trop dur).
Puis il reprit le chemin du retour, apercevant toujours des individus bizarres, tel ce Din-gos se rasant la tête à la pince à épiler, ce barbier passant de la crème à raser à une femme... Il se retrouva devant son vaisseau, le retapa en ½ heure, et retourna dans le trou noir. Il se re-trouva de nouveau dans l’espace. Il prit la direction de sa résidence, et y resta quelques an-nées, heureux comme un prince.
Cette secte était toute puissante. Elle avait été détruite une fois (scandale du Crédit Lyonnais), mais ses fanatiques les plus assidus l’avaient recréée. Le petit chaperon rouge entra dans le temple où l’on rendait l’office de la réincarnation. Le petit chaperon rouge se mit à rire, quand il fut saisi par les bras, attaché sur une chaise à l’aide d’une camisole de force, sans qu’il n’eut rien comprit. On lui introduisit un joint dans la bouche. On lui dit de respirer à fond, et un sorcier se mit à entrer en transe. Le petit chaperon rouge fuma le joint constitué de 25% de goudron, 25% de sel, 25% de sciure de bois, 20% de fiente de Lepennuss-Rex et 5% d’anabolisant. Il se sentit soudain en proie à une excitation profonde.
Soudain, un halo lumineux l’entoura, puis il se métamorphosa en roi de la Pactolia, la planète la plus riche de toute, la mieux armée... et la future Crasholia. Les moines du temple se demandèrent ce qui avait foiré, pour qu’une telle catastrophe arrive. Mais soudain, un obus tomba sur le temple. C’était les soldats de Pactolia qui venait chercher leur nouveau roi. Dès qu’il fut rentré dans son palais, le petit chaperon rouge fit exécuter tout son gouvernement, et commença à régner (pour combien de temps ?). Au cours de son règne, il va commettre gaffes sur gaffes, jusqu'à la destruction totale.
Voici sa première gourde. Il y avait une petite planète, la Tomania, qui fournissait de la sauce tomate à bas prix à tout l’univers, et bien sûr, à Pactolia. Il lui déclara la guerre, car il trouvait la sauce tomate qu’on lui servait trop cher. Il a alors englouti la moitié des dépenses de l’armée pour faire la guerre. Bien sûr, il atomisa la Tomania. Mais il s'aperçut avec effroi qu’il venait de détruire un des satellite naturel de Pactolia, ainsi que sa production de sauce tomate, qui représenter 1/5 des ressources de la planète. S’ensuivit un soulèvement des écolo-gistes, qui fut réduit à néant.
Puis il décida de doubler les impôts. Le plus grand financier de Pactolia, le roi de l’or sidéral, Picsol, fit sauter toutes ses terres, et se suicida, pour ne pas payer la surtaxe. Ce qui a eut pour conséquence la mort de milliers de personnes, sautant avec les terres de Picsol, et à une augmentation du chômage de 50 000%. Le petit chaperon rouge avait réussi à dépenser la moitié de l’argent des caisse de l’état. Mais tout rentra dans l’ordre. Puis, il déclara que tous les diamants du royaume devait être remis à l’état, pour la fabrication de lunettes de soleil.
Ce fut sa dernière erreur , enfin avant dernière. La protestation était grandissante, et une révolution éclata. Le petit chaperon rouge, en ultime recours, pour sauver sa peau, décida d’utiliser une bombe à divisions sismiques. La bombe explosa. La planète se divisa d’abord en 2, puis en 4, en 8, en 16... jusqu'à la destruction totale. Tout le monde y passa. Sauf le petit chaperon rouge, qui échappera au jugement dernier, en s’échappant dans une navette. Il volait à L10, lorsqu’il entra dans un trou noir.
X) Voyage inter-temporel et interdimensionnel
Il ressortit, au bout de 3 jours, de l’autre bout du trou noir, et s’écrasa sur une espèce de surface dure. Une fois ses appareils de mesures remis en marche (il avait été coupés dans le trou noir), le petit chaperon rouge découvrit qu’il était arrivé sur la planète des Loof’Ding, une tribu de cinglés au coutumes particulièrement débiles. Il entrevit que la réparation de son vais-seaux lui prendrait au moins trente minutes, et préféra profiter de la halte pour se restaurer et se reposer. Il croisa un autochtone qui était en train de tondre la forêt qui avait poussé dans sa main, et lui demanda :
- Y a-t-il un Mac Do ou un truc du genre dans le coin ?
- Oui, dans 2 mirtomètre (mesure imaginaire, que le petit chaperon rouge ne connaît pas).
- Merci, au revoir.
- De rien.
Puis le petit chaperon rouge reprit son chemin.
Au bout de trois heures de marche, le petit chaperon rouge arriva, exténué, à des ther-mes. Il entra dans la pièce des bains de pieds et vit un Loof’Ding (nous les appellerons main-tenant les Dingos), les pied dans le goudron. Après être passé au W.C, il demanda au guichet :
- S’il vous plaît, pourriez-vous me dire à quoi correspond 1 mirtomètre, en kilomètre ?
- Le moindre renseignement est payant.
- Combien la question ?
- 50 kubars (monnaie locale - environ 14 F). Cela correspond à 500 km. Vous me devez déjà 100 kubars.
- Seulement 50 kubars !
- Mais non, vous m’avez aussi demandé à combien était la question. Ca fait 150 kubars.
- Pauvre escroc ! Bon, je part, où est la sortie ?
- La bas, au fond, à gauche.
- Merci.
- De rien, c’est 50 kubars supplémentaires.
- Et merde !
Puis le chaperon rouge lui sauta dessus, vola la caisse, qui contenait seulement ses 150 kubars. Le dernier client avait dû faire preuve d'autant de patience que lui.
Il vola un transporteur supersonique et se rendit au Mac Do. Mais il ressortit aussitôt. Les hamburgers étaient remplis de sangsues (surplus des ASSEDICS), est les frites renforcées au titane actif. Dehors, il voulu jouer à la pétanque avec d’autres Dingos, lorsqu’il s'aperçut que les boules n’étaient autres que des grenade. Puis il acheta un hot-dog. Lui trouvant un goût bizarre, il se rendit dans l’usine qui les fabriquait, pour s’apercevoir qu’il se trouvait de-vant une rôtisserie à chiens. Pris d’un profond mépris, il lança la grenade sur l’usine, qui ex-plosa. Vous pensez que le petit chaperon rouge venait d’avoir un caractère humain par rapport au sort de ces chiens ? Non ! C’est parce qu’il c’était aperçut que l’on ne récupérait pas les dents en or des chiens, et qu’on n’en faisait pas du savon (les chiens, pas les dents, c’est trop dur).
Puis il reprit le chemin du retour, apercevant toujours des individus bizarres, tel ce Din-gos se rasant la tête à la pince à épiler, ce barbier passant de la crème à raser à une femme... Il se retrouva devant son vaisseau, le retapa en ½ heure, et retourna dans le trou noir. Il se re-trouva de nouveau dans l’espace. Il prit la direction de sa résidence, et y resta quelques an-nées, heureux comme un prince.
Re: L'épopée du petit chaperon rouge
XI) L'hôpital
Le petit chaperon rouge fut emmené dans un des centres secrets de la P.I.A. Picsol était intéressé de savoir comment le petit chaperon rouge avait réussi à survivre dans ses aventures. Il découvrit qu'il dégageait une forte radioactivité, ce qui eu pour suite la mort de trois généti-ciens qui l'observaient de trop près. Il décidèrent de le mettre en prison pour crime contre l'humanité. Le petit chaperon rouge fut condamné à travailler dans un hôpital ultramoderne à perpétuité. Picsol se demanda si le juge n'était pas un moines des Fumeurs de Moquettes et Rideaux Divins qui avait bu quelques chose de pas très catholique, du style de l'eau bénite mélangée à du whisky. Il lui en fit la demande. Pour toute réponse, le juge nomma le petit chaperon rouge directeur dudit hôpital. Ce qui prouve que le juge n'était pas dans son état normal (quoi que je me demande si il y avait une seule personne ayant un comportement nor-mal).
Il arriva à l'hôpital et sa première directive fut de virer tous les médecins pour les rem-placer par des étudiants en première année de fac. Le taux, de mortalité fut le suivant :
- 10% pour les maladies bénignes.
- 25% pour les maladies graves.
- 50% pour la chirurgie.
- 101% pour la psychiatrie (en effet, un des étudiants se flingua de désespoir).
Ce qui eu pour conséquence de diminuer de moitié les recettes. En désespoir de cause, le petit chaperon rouge ouvrit un service de sexologie de dernier degré. Le ministère ferma les yeux sur cette porcherie, car on vit même venir un jour le ministre de la santé interplanétaire. Les patients affluèrent par centaines de milliers, ce qui eut pour conséquence une mortalité de l'or-dre des 80%. Le petit chaperon rouge fit rapidement fortune avec le croque-mort. Au bout d'une centaine d'années, le petit chaperon rouge avait envoyé au cimetière environ 500 mil-lions de personnes, ce qui lui permit de rattraper le fortune de Picsol. Celui-ci, très inquiété, fit sauter l'hôpital à coup de bombes nucléaires.
L'affaire du petit chaperon rouge coula à pic. Celui-ci, ayant vu que le charme naturel de certaine personnes attiraient tant de monde, ouvrit une ligne de sex-shop et de cabaret. Il fit fortune, battit tous les autres financiers à plats coutures. Il était aussi bienfaiteur de temps à autre. Par exemple, une femme lui demanda de l'argent pour bâtir des maisons pour les cana-ris. Le petit chaperon rouge lui donna de l'argent. Le FISC découvrit plus tard que ladite femme s'était offert une maison aux Canaries. Puis un jour, il vit une annonce dans son journal (unique journal de l'univers, vive la censure). Les ouvriers de la fabrique de tickets de manè-ges pour poissons rouge faisaient la grève pour réclamer un hausse de salaire (il réclamait une augmentation d'un chaperon d'or par an, le chaperon étant la monnaie universelle de l'univers). Il offrit tout son argent aux grévistes, qui s'offrirent tous une fabrique de tickets de manèges pour poissons rouges (ce qui eu pour conséquence la surproduction de tickets, sa dévaluation et la faillite de tous ces producteurs). L'affaire fit grand bruit, et l'opinion publique accusa le petit chaperon rouge d'avoir coulé le secteur de la fabrication des tickets de manèges pour poissons rouges, et l'obligea à retourner dans sa résidence.
XII) Quelques notes de l’auteur
Tout d’abord, vous voudrez bien m’excuser de toutes les grossièretés employées dans ce texte (du genre impôts, taxes, état, et surtout fisc). Je leur est d’ailleurs données des sur-noms, d’abord pour faire rire, et ensuite pour faire bien passer la pilule. Surtout quand ça vient frapper à la porte.
Ensuite, je n’ai absolument aucune conviction politique, à part que je pense que les po-litiques sont tous des pourris nantis, ajoutés à des menteurs talentueux. Je pense que si les français se rendaient compte de ça, je pense que ça irait mieux. Même remarque pour les au-tres pays.
Puis, toutes les marques (Sitroën, bouclier BMW...), n’existent pas. Toute allusion à des marques existantes est totalement fortuite. De même pour les hommes politiques.
Ce que je dit des divers personnages n’a pas de lien avec mon entourage (à part pour les hommes politiques).
J’espère aussi que les rares personnes qui ont le même esprit (démentiel) que le petit chaperon rouge ne deviennent pas légions, pour le bien de l’humanité. On en a déjà un en Russie et ça suffit. Il a déjà failli déclencher une guerre nucléaire. Même chose pour les hom-mes politiques. Moins il y en a, mieux c’est. Et j’espère que ma vision catastrophique du fu-tur ne poussera personne à se flinguer tout de suite, bien que je pense que la Terre ne fera pas de vieux os. Peut-être même que ma vision de l’avenir est optimiste. Ne croyez pas que Boris Elsine gouvernera la France en 2002 (dû moins espérons-le).
Les jeux présentés dans le texte ne sont disponibles que dans mon seul et unique cer-veau. Donc, pas la peine de les chercher en hypermarchés. De même pour la Latterny 1024 bits, qui n’est pas prête de voir le jour.
Voici quelques chiffres pour ceux qui aiment les statistiques, moi le premier : 22 pages, 196 paragraphes, 941 lignes, 10 867 mots et 52541 caractères.
L’histoire inventée par le héros à été bien sûr écrite par moi-même, estimé auteur de cette histoire de cinglés.
J’ai fait de multiples fois revivre mes personnages, seule façon de continuer l’histoire. Pas la peine d’essayer chez vous. Vous aurez sans doute remarqué, en lisant ce conte, que tous mes personnages sont des sadiques, en particulier le petit chaperon rouge, abandonnant et tuant à plusieurs reprises ses parents. J’espère que Perrot, au fond de sa tombe, ne m’en veut pas trop d’avoir donner ce caractère à son personnage, que je lui ait spolié. Les divers person-nages et décors n’existent que dans mon imagination.
Au fait, au sujet de cette sordide affaire de sangsues et d’Argus entre les ASSEDICS et l’ETAT , elle n’existe que dans mon esprit ravagé (enfin, pour le moment...)
Je remercie ceux qui voudraient s’associer à moi pour créer une bande dessinée de ce texte. Faut avoir du cœur à l’ouvrage. Et aussi à celui qui pourrait me prêter un magnéto-phone.
Ne vous étonnait pas si dans un mois, je sort une nouvelle version de ‘L’Epopée du Pe-tit Chaperon Rouge’, rallongée. Je songe aussi à l’écrire sous forme de poésie ou chanson-nette, travail difficile, ‘l’hymne à l’aliénation’. Merci d’avance à tous ceux qui me donneraient des idées pour mon histoire.
Ne vous inquiétez pas pour le diable de Tasmanie. On l’a récupéré et il va bien. Dû moins dans sa nouvelle vie. On a recouru à l’euthanasie. Dans sa réincarnation, il est devenu un gentil lapin nain (je me demande d’ailleurs comment ça se fait que je ne l’ait pas encore transformé en civet).
Je termine ici mes quelques remarques sur ce bouquin, en espérant que vous avez réussi à lire ce livre d’une traite.
Au fait, je me rappelle pourquoi je n’ai pas encore changé le lapin en civet, c’est parce que je n’aime pas le civet.
FIN(enfin...)
Le petit chaperon rouge fut emmené dans un des centres secrets de la P.I.A. Picsol était intéressé de savoir comment le petit chaperon rouge avait réussi à survivre dans ses aventures. Il découvrit qu'il dégageait une forte radioactivité, ce qui eu pour suite la mort de trois généti-ciens qui l'observaient de trop près. Il décidèrent de le mettre en prison pour crime contre l'humanité. Le petit chaperon rouge fut condamné à travailler dans un hôpital ultramoderne à perpétuité. Picsol se demanda si le juge n'était pas un moines des Fumeurs de Moquettes et Rideaux Divins qui avait bu quelques chose de pas très catholique, du style de l'eau bénite mélangée à du whisky. Il lui en fit la demande. Pour toute réponse, le juge nomma le petit chaperon rouge directeur dudit hôpital. Ce qui prouve que le juge n'était pas dans son état normal (quoi que je me demande si il y avait une seule personne ayant un comportement nor-mal).
Il arriva à l'hôpital et sa première directive fut de virer tous les médecins pour les rem-placer par des étudiants en première année de fac. Le taux, de mortalité fut le suivant :
- 10% pour les maladies bénignes.
- 25% pour les maladies graves.
- 50% pour la chirurgie.
- 101% pour la psychiatrie (en effet, un des étudiants se flingua de désespoir).
Ce qui eu pour conséquence de diminuer de moitié les recettes. En désespoir de cause, le petit chaperon rouge ouvrit un service de sexologie de dernier degré. Le ministère ferma les yeux sur cette porcherie, car on vit même venir un jour le ministre de la santé interplanétaire. Les patients affluèrent par centaines de milliers, ce qui eut pour conséquence une mortalité de l'or-dre des 80%. Le petit chaperon rouge fit rapidement fortune avec le croque-mort. Au bout d'une centaine d'années, le petit chaperon rouge avait envoyé au cimetière environ 500 mil-lions de personnes, ce qui lui permit de rattraper le fortune de Picsol. Celui-ci, très inquiété, fit sauter l'hôpital à coup de bombes nucléaires.
L'affaire du petit chaperon rouge coula à pic. Celui-ci, ayant vu que le charme naturel de certaine personnes attiraient tant de monde, ouvrit une ligne de sex-shop et de cabaret. Il fit fortune, battit tous les autres financiers à plats coutures. Il était aussi bienfaiteur de temps à autre. Par exemple, une femme lui demanda de l'argent pour bâtir des maisons pour les cana-ris. Le petit chaperon rouge lui donna de l'argent. Le FISC découvrit plus tard que ladite femme s'était offert une maison aux Canaries. Puis un jour, il vit une annonce dans son journal (unique journal de l'univers, vive la censure). Les ouvriers de la fabrique de tickets de manè-ges pour poissons rouge faisaient la grève pour réclamer un hausse de salaire (il réclamait une augmentation d'un chaperon d'or par an, le chaperon étant la monnaie universelle de l'univers). Il offrit tout son argent aux grévistes, qui s'offrirent tous une fabrique de tickets de manèges pour poissons rouges (ce qui eu pour conséquence la surproduction de tickets, sa dévaluation et la faillite de tous ces producteurs). L'affaire fit grand bruit, et l'opinion publique accusa le petit chaperon rouge d'avoir coulé le secteur de la fabrication des tickets de manèges pour poissons rouges, et l'obligea à retourner dans sa résidence.
XII) Quelques notes de l’auteur
Tout d’abord, vous voudrez bien m’excuser de toutes les grossièretés employées dans ce texte (du genre impôts, taxes, état, et surtout fisc). Je leur est d’ailleurs données des sur-noms, d’abord pour faire rire, et ensuite pour faire bien passer la pilule. Surtout quand ça vient frapper à la porte.
Ensuite, je n’ai absolument aucune conviction politique, à part que je pense que les po-litiques sont tous des pourris nantis, ajoutés à des menteurs talentueux. Je pense que si les français se rendaient compte de ça, je pense que ça irait mieux. Même remarque pour les au-tres pays.
Puis, toutes les marques (Sitroën, bouclier BMW...), n’existent pas. Toute allusion à des marques existantes est totalement fortuite. De même pour les hommes politiques.
Ce que je dit des divers personnages n’a pas de lien avec mon entourage (à part pour les hommes politiques).
J’espère aussi que les rares personnes qui ont le même esprit (démentiel) que le petit chaperon rouge ne deviennent pas légions, pour le bien de l’humanité. On en a déjà un en Russie et ça suffit. Il a déjà failli déclencher une guerre nucléaire. Même chose pour les hom-mes politiques. Moins il y en a, mieux c’est. Et j’espère que ma vision catastrophique du fu-tur ne poussera personne à se flinguer tout de suite, bien que je pense que la Terre ne fera pas de vieux os. Peut-être même que ma vision de l’avenir est optimiste. Ne croyez pas que Boris Elsine gouvernera la France en 2002 (dû moins espérons-le).
Les jeux présentés dans le texte ne sont disponibles que dans mon seul et unique cer-veau. Donc, pas la peine de les chercher en hypermarchés. De même pour la Latterny 1024 bits, qui n’est pas prête de voir le jour.
Voici quelques chiffres pour ceux qui aiment les statistiques, moi le premier : 22 pages, 196 paragraphes, 941 lignes, 10 867 mots et 52541 caractères.
L’histoire inventée par le héros à été bien sûr écrite par moi-même, estimé auteur de cette histoire de cinglés.
J’ai fait de multiples fois revivre mes personnages, seule façon de continuer l’histoire. Pas la peine d’essayer chez vous. Vous aurez sans doute remarqué, en lisant ce conte, que tous mes personnages sont des sadiques, en particulier le petit chaperon rouge, abandonnant et tuant à plusieurs reprises ses parents. J’espère que Perrot, au fond de sa tombe, ne m’en veut pas trop d’avoir donner ce caractère à son personnage, que je lui ait spolié. Les divers person-nages et décors n’existent que dans mon imagination.
Au fait, au sujet de cette sordide affaire de sangsues et d’Argus entre les ASSEDICS et l’ETAT , elle n’existe que dans mon esprit ravagé (enfin, pour le moment...)
Je remercie ceux qui voudraient s’associer à moi pour créer une bande dessinée de ce texte. Faut avoir du cœur à l’ouvrage. Et aussi à celui qui pourrait me prêter un magnéto-phone.
Ne vous étonnait pas si dans un mois, je sort une nouvelle version de ‘L’Epopée du Pe-tit Chaperon Rouge’, rallongée. Je songe aussi à l’écrire sous forme de poésie ou chanson-nette, travail difficile, ‘l’hymne à l’aliénation’. Merci d’avance à tous ceux qui me donneraient des idées pour mon histoire.
Ne vous inquiétez pas pour le diable de Tasmanie. On l’a récupéré et il va bien. Dû moins dans sa nouvelle vie. On a recouru à l’euthanasie. Dans sa réincarnation, il est devenu un gentil lapin nain (je me demande d’ailleurs comment ça se fait que je ne l’ait pas encore transformé en civet).
Je termine ici mes quelques remarques sur ce bouquin, en espérant que vous avez réussi à lire ce livre d’une traite.
Au fait, je me rappelle pourquoi je n’ai pas encore changé le lapin en civet, c’est parce que je n’aime pas le civet.
FIN(enfin...)
Re: L'épopée du petit chaperon rouge
Ce qui voudrait dire, si je compte bien, entre onze et douze ans ? Treize, peut-être ?Skualys a écrit:... voici un texte écrit lorsque j'étais en sixième/cinquième (ah la belle époque !)...
Edifiant !
Reginelle- Nombre de messages : 1753
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Re: L'épopée du petit chaperon rouge
Peut-être qu'il eût mieux valu (!) découper le texte en plusieurs extraits parce que là, désolée, en ce qui me concerne, la longueur est rédhibitoire...
Invité- Invité
Re: L'épopée du petit chaperon rouge
A peu près on va dire (douze/treize ans) Bon j'ai pris mon temps aussi, tout était parti d'une consigne laissée par une enseignant de Français : réécrire un conte en le transportant à une autre époque, et c'est à partir de ce moment que j'ai "dérapé".Reginelle a écrit:Ce qui voudrait dire, si je compte bien, entre onze et douze ans ? Treize, peut-être ?Skualys a écrit:... voici un texte écrit lorsque j'étais en sixième/cinquième (ah la belle époque !)...
Edifiant !
Je me souviens encore de la machine à écrire électronique (mais à rosette !) de mon père, sur laquelle j'ai écris ce texte... Souvenirs, souvenirs.
Re: L'épopée du petit chaperon rouge
Pourtant les "chapitres" ne sont pas d'une longueur excessives ?Island a écrit:Peut-être qu'il eût mieux valu (!) découper le texte en plusieurs extraits parce que là, désolée, en ce qui me concerne, la longueur est rédhibitoire...
Re: L'épopée du petit chaperon rouge
Et Sahkti qui vient de regrouper le texte ICEBERG qui était en 3 chapitres séparés !Island a écrit:Peut-être qu'il eût mieux valu (!) découper le texte en plusieurs extraits parce que là, désolée, en ce qui me concerne, la longueur est rédhibitoire...
:-)))
On va te lire, l'ami, mais sois patient svp, et surtout ne poste pas trop de trucs d'un coup, on conseille à chacun un max de 2 textes par semaine, faut penser aux copains ;-)
Re: L'épopée du petit chaperon rouge
J'ai vu, hélas pour moi et mon idiote attitude !!!!!mentor a écrit:Et Sahkti qui vient de regrouper le texte ICEBERG qui était en 3 chapitres séparés !Island a écrit:Peut-être qu'il eût mieux valu (!) découper le texte en plusieurs extraits parce que là, désolée, en ce qui me concerne, la longueur est rédhibitoire...
:-)))
On va te lire, l'ami, mais sois patient svp, et surtout ne poste pas trop de trucs d'un coup, on conseille à chacun un max de 2 textes par semaine, faut penser aux copains ;-)
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Re: L'épopée du petit chaperon rouge
Ben faudrait savoir... vous l'aviez demandé! :-)mentor a écrit:Et Sahkti qui vient de regrouper le texte ICEBERG qui était en 3 chapitres séparés !
Sahkti- Nombre de messages : 31659
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Re: L'épopée du petit chaperon rouge
quant à la longueur, il suffit d'imprimer et de lire par morceaux :-)
Sahkti- Nombre de messages : 31659
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Re: L'épopée du petit chaperon rouge
Oui mais...
Bon avec tout ce papotage sur la longueur des textes on ne parle pas du contenu des textes en question ;-))
Bon avec tout ce papotage sur la longueur des textes on ne parle pas du contenu des textes en question ;-))
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Re: L'épopée du petit chaperon rouge
J'ai commencé à lire ce texte, j'en ai lu une bonne moitié et puis je me suis arrêtée. Ça m'arrive rarement de ne pas finir ce que j'ai commencé mais là je m'interroge vraiment sur la démarche...
Je veux dire, si ce texte avait été posté aujourd'hui par un môme de 11-12 ans, j'aurais lu jusqu'au bout, j'aurais fait quelques remarques concernant les problèmes de concordance des temps, j'aurais relevé également quelques lourdeurs (sur les gadgets nucléo ou moléculomachins !) et souligné une ou deux maladresses mais j'aurais encouragé l'auteur à continuer parce que les touches d'humour sont plaisantes qu'une imagination comme celle-ci, à cet âge là, c'est quand même pas rien !
Sauf que l'auteur a aujourd'hui 10 ans de plus et que je ne vois pas l'intérêt de lui faire ce genre de remarques puisque la plume a dû évoluer et murir depuis le temps. Et donc ce que je pourrais dire n'aurait pas vraiment d'intérêt finalement, si ce n'est de permettre à l'auteur d'évaluer rétrospectivement un style qu'il n'a probablement déjà plus !
Voilà, c'est pour ça que je n'ai pas fini la lecture de ce texte et j'avoue que j'aurais vraiment préféré lire quelque chose de récent, de travaillé et corrigé plutôt qu'un vieux truc sorti du grenier et encore plein de poussière !
Je veux dire, si ce texte avait été posté aujourd'hui par un môme de 11-12 ans, j'aurais lu jusqu'au bout, j'aurais fait quelques remarques concernant les problèmes de concordance des temps, j'aurais relevé également quelques lourdeurs (sur les gadgets nucléo ou moléculomachins !) et souligné une ou deux maladresses mais j'aurais encouragé l'auteur à continuer parce que les touches d'humour sont plaisantes qu'une imagination comme celle-ci, à cet âge là, c'est quand même pas rien !
Sauf que l'auteur a aujourd'hui 10 ans de plus et que je ne vois pas l'intérêt de lui faire ce genre de remarques puisque la plume a dû évoluer et murir depuis le temps. Et donc ce que je pourrais dire n'aurait pas vraiment d'intérêt finalement, si ce n'est de permettre à l'auteur d'évaluer rétrospectivement un style qu'il n'a probablement déjà plus !
Voilà, c'est pour ça que je n'ai pas fini la lecture de ce texte et j'avoue que j'aurais vraiment préféré lire quelque chose de récent, de travaillé et corrigé plutôt qu'un vieux truc sorti du grenier et encore plein de poussière !
Dernière édition par Krystelle le Sam 24 Mai 2008 - 18:28, édité 1 fois
Re: L'épopée du petit chaperon rouge
pas de souci ! simplement Island n'avait pas vu la manip, ni capté que c'est ce qu'on fait habituellement lorsqu'un posteur fou diffuse 10 épisodes en 10 sujets différents :-))))Sahkti a écrit:Ben faudrait savoir... vous l'aviez demandé! :-)mentor a écrit:Et Sahkti qui vient de regrouper le texte ICEBERG qui était en 3 chapitres séparés !
Bon, m'en vais essayer de lire
Re: L'épopée du petit chaperon rouge
Comme je l'ai dis, le texte est sans prétention - il s'agissait juste d'une "pause récréative" en attendant que je m'y remette, le style ayant bien changé depuis (je préfère vous épargner les textes de philosophie que j'ai pu écrire et attendre d'avoir écris quelques textes plus "légers").Krystelle a écrit:J'ai commencé à lire ce texte, j'en ai lu une bonne moitié et puis je me suis arrêtée. Ça m'arrive rarement de ne pas finir ce que j'ai commencé mais là je m'interroge vraiment sur la démarche...
Je veux dire, si ce texte avait été posté aujourd'hui par un môme de 11-12 ans, j'aurais lu jusqu'au bout, j'aurais fait quelques remarques concernant les problèmes de concordance des temps, j'aurais relevé également quelques lourdeurs (sur les gadgets nucléo ou moléculomachins !) et souligné une ou deux maladresses mais j'aurais encouragé l'auteur à continuer parce que les touches d'humour sont plaisantes qu'une imagination comme celle-ci, à cet âge là, c'est quand même pas rien !
Sauf que l'auteur a aujourd'hui 10 ans de plus et que je ne vois pas l'intérêt de lui faire ce genre de remarques puisque la plume a dû évoluer et murir depuis le temps. Et donc ce que je pourrais dire n'aurait pas vraiment d'intérêt finalement, si ce n'est de permettre à l'auteur d'évaluer rétrospectivement un style qu'il n'a probablement déjà plus !
Voilà, c'est pour ça que je n'ai pas fini la lecture de ce texte et j'avoue que j'aurais vraiment préféré lire quelque chose de récent, de travaillé et corrigé plutôt qu'un vieux truc sorti du grenier et encore plein de poussière !
Je m'interrogeais par contre sur l'éventualité (quelqu'un me l'a proposé) de transformer ce texte en script pour bande dessinée.
Re: L'épopée du petit chaperon rouge
Tiens, je connais quelqu'un qui fait une école d'illustration/BD ou je sais pas trop quoi sur Strasbourg
Re: L'épopée du petit chaperon rouge
J'ai lu le premier chapitre. Ce n'est pas ce que j'appelle un texte purement littéraire (ce n'est pas péjoratif), mais c'est quand même le genre de récit qui me fait me bidonner. En tout cas, c'est sûr, ne t'interroge pas plus longtemps sur la question BD : ton texte s'y adaptera parfaitement et sera encore plus marrant grâce aux illustrations. C'est une idée originale, et ça peut faire un bon scénar
Re: L'épopée du petit chaperon rouge
ben dis donc !
faut du souffle
entre nous, je trouve ça pas mal du tout pour un gamin de 12-13 ans, il y a de la matière, et surtout du mouvement que c'en est crevant, même juste à lire ;-)
ça : l’arme la plus terrible de l’univers : le CD des chansons intégrales de Dorothée ça m'a fait pouffer
le reste n'est pas si bidonnant mais je crois que c'est parce qu'il y en a trop, vraiment trop, c'est un délire sans fin, et j'avoue que ça finit par lasser
en tout cas tu y as pris du plaisir, ça se sent
Maintenant, et d'accord avec Krystelle, j'aimerais vraiment lire du contemporain, pour voir l'évolution
faut du souffle
entre nous, je trouve ça pas mal du tout pour un gamin de 12-13 ans, il y a de la matière, et surtout du mouvement que c'en est crevant, même juste à lire ;-)
ça : l’arme la plus terrible de l’univers : le CD des chansons intégrales de Dorothée ça m'a fait pouffer
le reste n'est pas si bidonnant mais je crois que c'est parce qu'il y en a trop, vraiment trop, c'est un délire sans fin, et j'avoue que ça finit par lasser
en tout cas tu y as pris du plaisir, ça se sent
Maintenant, et d'accord avec Krystelle, j'aimerais vraiment lire du contemporain, pour voir l'évolution
Re: L'épopée du petit chaperon rouge
Sur ce point précis l'inspiration ne fait aucun doute : https://www.youtube.com/watch?v=twItR13Nbns . Il faut regarder jusqu'à la fin...mentor a écrit:ça : l’arme la plus terrible de l’univers : le CD des chansons intégrales de Dorothée ça m'a fait pouffer
< Pourquoi faire remonter un texte si ancien et dont l'auteur a quitté le site depuis belle lurette ? Il a posté un 24 mai, jour de son inscription et a disparu le même jour, il y a plus d'un an !
Merci de bien vouloir COMMENTER, car votre message n'est même pas un commentaire du texte, et si possible des textes d'actualité.
Et merci de faire également un tour ici, histoire d'en savoir un peu plus.
https://vosecrits.1fr1.net/conversations-atelier-f4/presentez-vous-ici-t3200-1040.htm
La Modération >
.
Bibop- Nombre de messages : 3
Age : 36
Date d'inscription : 26/08/2009
Re: L'épopée du petit chaperon rouge
Veuillez m'excuser, je passais sur ce forum un peu par hasard et j'ai fait preuve de légèreté en oubliant un instant les règles de 'bienséance' élémentaires pour tout nouvel inscrit...
On ne m'y reprendra pas, et je n'ai de toute façon pas l'intention de poster ici à nouveau... Mon compte peut donc être supprimé s'il gêne.
On ne m'y reprendra pas, et je n'ai de toute façon pas l'intention de poster ici à nouveau... Mon compte peut donc être supprimé s'il gêne.
Bibop- Nombre de messages : 3
Age : 36
Date d'inscription : 26/08/2009
Re: L'épopée du petit chaperon rouge
c'est super ces visiteurs éphémères, on se demande un peu ce qu'ils viennent f... ici !
:-)
:-)
Sahkti- Nombre de messages : 31659
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Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: L'épopée du petit chaperon rouge
c'est vraiment nul ces façons de débarquer sur un forum et de sortir des trucs sans même prendre la peine d'essayer un peu de voir comment ça fonctionneBibop a écrit:Veuillez m'excuser, je passais sur ce forum un peu par hasard et j'ai fait preuve de légèreté en oubliant un instant les règles de 'bienséance' élémentaires pour tout nouvel inscrit...
On ne m'y reprendra pas, et je n'ai de toute façon pas l'intention de poster ici à nouveau... Mon compte peut donc être supprimé s'il gêne.
mais je sais, y en a qu'aiment pas les contraintes
et qui restent, pourtant
;-)
Re: L'épopée du petit chaperon rouge
c'est même pas qu'une question de contraintes ici je trouve. Avant même de dire bonjour, on va rechercher un super vieux texte fantôme de quelqu'un qui a très peu posté sur le site, que tout le monde a oublié, et on remonte ça avec un commentaire qui n'en est pas un... ça me laisse perplexe sur la motivation réelle.
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: L'épopée du petit chaperon rouge
(mais on va encore me dire que je suis l'emm... de service, je sais, je sais... :-))
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: L'épopée du petit chaperon rouge
Pffffffffffffffff hahahahah !!
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: L'épopée du petit chaperon rouge
Non, non, il n'y avait aucune mauvaise intention, je vous assure !
Je suis tombé sur ce sujet directement en pianotant sur le net, pas même en parcourant d'abord le forum, et j'ai été amusé de constater toutes les réminiscences qui s'introduisaient dans le texte de la personne concernée... Je n'avais pas remarqué qu'elle ne postait plus depuis longtemps.
D'où la petite note. Ca me faisait sourire. De mémoire, ce genre de problème ne m'est jamais arrivé sur les autres forums où je postais. Maintenant, c'est vrai que je suis dans mon tort, et là je m'enfonce... (Mais j'ai reçu un message sur mon mail qui disait que je surveillais ce sujet; je n'ai pas compris et j'ai été voir les réponses en même temps, du coup. Ca doit être une fonction automatique, sans doute ?).
< Sûr ! puisque vous faites à nouveau remonter ce texte qui aurait dû rester où il était !
Votre mise au point ci-dessus aurait dû être faite ici :
https://vosecrits.1fr1.net/forum-vos-ecrits-prose-f1/reponses-aux-commentaires-t2779-1000.htm
Vous pouvez vous-même désactiver la fonction "surveillance de sujet".
Merci.
Sujet verrouillé.
La Modération >
.
Je suis tombé sur ce sujet directement en pianotant sur le net, pas même en parcourant d'abord le forum, et j'ai été amusé de constater toutes les réminiscences qui s'introduisaient dans le texte de la personne concernée... Je n'avais pas remarqué qu'elle ne postait plus depuis longtemps.
D'où la petite note. Ca me faisait sourire. De mémoire, ce genre de problème ne m'est jamais arrivé sur les autres forums où je postais. Maintenant, c'est vrai que je suis dans mon tort, et là je m'enfonce... (Mais j'ai reçu un message sur mon mail qui disait que je surveillais ce sujet; je n'ai pas compris et j'ai été voir les réponses en même temps, du coup. Ca doit être une fonction automatique, sans doute ?).
< Sûr ! puisque vous faites à nouveau remonter ce texte qui aurait dû rester où il était !
Votre mise au point ci-dessus aurait dû être faite ici :
https://vosecrits.1fr1.net/forum-vos-ecrits-prose-f1/reponses-aux-commentaires-t2779-1000.htm
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Bibop- Nombre de messages : 3
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