De ma vie Papa

magnifique vraiment. style, émotion...tout y est

j'aime beaucoup

Et ma mère aussi.

pandaworks a écrit:Et ma mère aussi.

Désolé pour hier soir. Il n'y avait rien de méchant dans mon propos.
Ce sont les bulles de la Badoit.

pandaworks a écrit:

pandaworks a écrit:Et ma mère aussi.

Désolé pour hier soir. Il n'y avait rien de méchant dans mon propos.
Ce sont les bulles de la Badoit.

in bat d'oie veritas ;-)

pandaworks a écrit:

pandaworks a écrit:Et ma mère aussi.

Désolé pour hier soir. Il n'y avait rien de méchant dans mon propos.
Ce sont les bulles de la Badoit.

Pas de problême Panda.
Je prends donc ça pour un compliment !!

Alexandra a écrit:magnifique vraiment. style, émotion...tout y est

j'aime beaucoup

Merci Alex pour ce beau commentaire rempli de sincerité.

Vraiment très beau ton poème, de l'émotion en toute simplicité.
J'aime beaucoup :
"De ma vie, je te parle souvent
De ta vie, parfois tu m’entends"

C'est curieux, j'ai lu ton joli poème en imaginant que c'était un père décédé qui veillait sur son enfant... Ca doit être la métempsycose qui m'a fait penser que le papa s'était réincarné en branche d'arbre qui retient son enfant pour qu'il ne tombe pas... En tous cas j'ai bien aimé ! (Et je suis contente que le père en question ne soit pas décédé, bien sûr ! ;-))

Ben... j'ai pensé au mien... qui me manque tellement !

De l'émotion en toute simplicité, oui... et c'est comme ça que je la reçois.

Halicante a écrit:C'est curieux, j'ai lu ton joli poème en imaginant que c'était un père décédé qui veillait sur son enfant...

Moi aussi j'y ai cru.
Sinon j'ai bien aimé dans l'ensemble.

Vaguerrance a écrit:

Halicante a écrit:C'est curieux, j'ai lu ton joli poème en imaginant que c'était un père décédé qui veillait sur son enfant...

Moi aussi j'y ai cru.
Sinon j'ai bien aimé dans l'ensemble.

Bon ben c'est que je me suis mal exprimé car c'est effectivement un père décédé qui parle de son enfant resté sur terre.(qui le rejoint à la fin)
Expliquez-moi pourquoi le message n'est pas passé ?

Merci à toutes et à tous pour vos commentaires qui me vont droit au coeur .

Si c'est un père décédé qui parle, ben... je crois que c'est par les temps de conjugaison qu'il faut le faire passer. Parce que "de ma vie"... ok, maintenant que tu dis que c'est un père qui n'est plus là, on peut comprendre que c'est de son "autre" vie... de cette vie après la mort, qu'il continue à parler à son enfant et etc.

mais bon... faut croire que ça passe quand même puisque Hallicante et Vaguerrance l'ont ressenti ainsi. Alors ?

manisa06 a écrit:

Vaguerrance a écrit:

Halicante a écrit:C'est curieux, j'ai lu ton joli poème en imaginant que c'était un père décédé qui veillait sur son enfant...

Moi aussi j'y ai cru.
Sinon j'ai bien aimé dans l'ensemble.

Bon ben c'est que je me suis mal exprimé car c'est effectivement un père décédé qui parle de son enfant resté sur terre.(qui le rejoint à la fin)
Expliquez-moi pourquoi le message n'est pas passé ?

Je crois que c'est à la dernière strophe que je me suis dit que j'avais dû me tromper, quand il dit :"Dans ma vie, tu t’invites enfin / De ta vie meurent les chagrins / Je te prends dans les bras / Enfin tu me dis PAPA." Là, j'ai eu l'impression que l'enfant avait simplement dit "papa" pour la première fois de sa vie, et que donc le père était bel et bien présent et en vie (mais tout le reste du poème dit le contraire - je ne l'avais lu qu'une fois, mea culpa !), j'ai pensé aussi que, quand il dit "Dans ma vie, tu t’invites enfin", il voulait dire qu'en tant que père, le contact avec l'enfant était moins évident que celui que la mère a avec cet enfant, mais qu'à partir du moment où l'enfant a dit "papa", il l'a reconnu en tant que père, et que donc l'enfant pénètre enfin dans la vie du père (et vice-versa). C'est le mot "vie" qui peut induire en erreur, je crois, puisqu'il s'applique à la fois à la vie de l'enfant sur terre et à celle du père outre-tombe. Je ne suis pas sûre de m'être expliquée de façon très claire, dis-moi si ça ne l'est pas !

C'est le mot "vie" qui peut induire en erreur, je crois, puisqu'il s'applique à la fois à la vie de l'enfant sur terre et à celle du père outre-tombe.

D'accord avec toi Halicante. Je remplacerais bien le premier de chaque stophe par quelque chose comme De ma nuit ce serait sans doute plus...clair. Trop, peut-être?

Arielle a écrit:

C'est le mot "vie" qui peut induire en erreur, je crois, puisqu'il s'applique à la fois à la vie de l'enfant sur terre et à celle du père outre-tombe.

D'accord avec toi Halicante. Je remplacerais bien le premier de chaque stophe par quelque chose comme De ma nuit ce serait sans doute plus...clair. Trop, peut-être?

C'est la "deuxième" vie qui est évoquée ,celle après la mort.
C'est pour ça que le temps employé est volontairement au présent car je ne parle pas du passé.

ET puis des indices étaient présents comme ; "... métempsycose. ... Sans être là, je suis présent. .....Effacent tes doutes sur ma présence....Dans ma vie, je t’apprendrai sur une vie, comment veiller....Dans ma vie, tu t’invites enfin ...."

Bref pour moi il n'y avait pas de zone d'ombre mais ma femme a eu la même réaction que vous...

Tu as raison, Manisa... y a plein d'indices qui montrent cela. A chaque strophe. Et, dans cette idée, les temps sont bons, présent et futur...

Maintenant, ça parait évident !

Même réaction qu'Halicante, la dernière strophe m'as mise dans le doute aussi. Mais avec quelques explications tout devient logique.

OUF merci !!

J'ai bien aimé, je n'ai pus m'empêcher de penser aux paroles de la chanson de Jean-Loup Dabadie Le petit Garçon écrit pour serge Reggianni.

''Ce soir mon petit garçon
Mon enfant, mon amour
[...]''

plutôt aimé, juste une réserve sur le "métempsycose" dont la complexité dénote un peu par rapport à l'ensemble du vocabulaire utilisé dans le texte.

Il donne l'impression d'avoir été chercher pour la rime et de ne pas avoir été écrit "naturellement"

Charles a écrit:plutôt aimé, juste une réserve sur le "métempsycose" dont la complexité dénote un peu par rapport à l'ensemble du vocabulaire utilisé dans le texte.

Il donne l'impression d'avoir été chercher pour la rime et de ne pas avoir été écrit "naturellement"

Ce n'est pas le cas mais tu as raison que ce mot fait un peu "cheveu dans la soupe" ici.

Merci

J’ai aimé mais j’avoue que je n’avais pas compris qu’il s’agissait d’un père mort. Une fois que je le savais, à la deuxième lecture, ça m’a paru clair, mais voilà… je le savais… Je crois que je suis une très mauvaise lectrice et j’ai besoin que les choses soient plus explicites. Et puis aussi, je me suis chantonnée ce texte sur un air, certes pas très mélodieux, mais trop gai pour aller avec la mort. Et puis le mot « vie » apparaît trop souvent pour que j’ai pensé à la mort.
Enfin… je ne sais pas vraiment pourquoi, mais je ne l’avais pas compris.

Il n'est pas mort justement, non ?

Faustine a écrit:Il n'est pas mort justement, non ?

Dans le poème et dans ma vie aussi il ya longtemps.

Je vais être le bémol du lot, désolée. J'ai moyennement accroché.
Oui, le sujet est beau, touchant, émotionnellement porteur, mais voilà, il me manque quelque chose, cette touche de différence qui permettrait de lui donner une âme propre, d'avoir un chemin autre que les poèmes d'hommages, maternels ou paternels, qu'on peut lire.
Si je pars du principe que le père est vivant et qu'il s'agit d'un échange entre entre un jeune enfant et son père, même à sens unique, je trouve ça un peu convenu et trop souvent vu.
Si il s'agit d'un père décédé, je n'y retrouve pas le recul, la gravité et le manque nécessaires à un hommage de ce type.
Bref, il y a quelque chose qui ne passe pas vraiment chez moi. Ça arrive :-)

Sahkti a écrit:Bref, il y a quelque chose qui ne passe pas vraiment chez moi. Ça arrive :-)

Et heureusement que ça arrive !!
Pas de problême Sahkti , c'est bon signe je pense si les avis sur ce texte sont partagés.
Merci d'avoir laissé un commentaire , tu aurais pû quitter sans rien dire...

Manu

Ta vie m'a donné le tournis.
Qui est le père de qui ?

bertrand-môgendre a écrit:Ta vie m'a donné le tournis.
Qui est le père de qui ?

Bon en clair je parle d'un père disparu qui parle à son fils.
Je pensais qu'après toutes les chansons qui évoquaient un père disparu au passé , au présent etc... je voulais faire quelque chose d'original sur le regard et sur le temps employé mais apparement , c'est pas clair ...

Je pense que c'est bon signe .....

Merci BMO pour "Ta vie m'a donné le tournis. "

Manu

je suis conquise par ce texte....belle émotion..bravo!sublime texte.

merci beaucoup Lulu !!