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MNEDC (1/5) : Chat, peau, claque et callipyge du lendemain

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Nath
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Message  Nath Mar 23 Sep 2008 - 19:21

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De la part de Mentor!



MNEDC (1/5) : Chat, peau, claque et callipyge du lendemain


Gueule de bois, tu parles. M’étonnerait qu’un bois genre peuplier, boulot, cèdre du Liban ou de n’importe où d’ailleurs, ça ait mal au crâne comme ça. M’étonnerait que…
Avec difficulté je me redresse, ma cicatrice tire encore. Moins, heureusement. J'essaie d'évaluer la dose d'énergie qu'il va me falloir pour aller pisser.
Merde qui c’est celle-là ?
Je cherche un bout de drap pour recouvrir une nudité soudain gênante, cherche aussi quelques souvenirs histoire de me mettre sur la voie. N’importe mais quelque chose qui me raconte ce corps endormi, allongé à mes côtés.
Satané mal de crâne.
Voyons.
Sauf que je vois rien. Si ce n’est que je suis pas peu fier, non parce que, faut bien l’avouer, elle est sacrément bien balancée la dormeuse.
Je me couvre encore un peu, de fait, la découvre.
Mais de souvenirs, niet, oualou, que dalle…
Pourtant…
Pourtant c’est pas le genre de corps qu’on oublie, sans parler que sur ledit corps, des épaules aux fesses court un tatouage, un dans le genre estampe japonaise revisitée sauce virtuose de l’aiguille à encrer les chairs : Kâma-Sûtra.
Enfin, lorsque je dis Kâma-Sûtra c’est façon de parler, parce que, s’il y a bien dans le creux d’une chute de reins, un couple qui fait l’amour, il y a aussi tout autour une foule de personnages qui mate l’air ravi et… et aussi, oui, c’est bien ça : un chat.
Un chat qui, posé sur le galbe d’une fesse, d’une patte, se frise les moustaches.
Un qui tourne le dos à la scène
Un qui me regarde, obscène.
Machinalement, à voix basse j’appelle le mien :
« Pouêt » , je dis. « Pouêt », je répète.
Mais rien.
Et pour cause, je le réalise : je ne suis pas chez moi. Jamais vu cet endroit-là.
Me bouger. Il faut que je me bouge.
Faire le tour du lit, histoire de voir si le visage de la poulette endormie se rapporte à son plumage.
Bordel, t’es belle toi !
Je ne peux m’empêcher :
« Et belle, c’est rien de le dire. »
« C’est rien de le dire », répète le chat.
Je l’ignore.
Je lève les yeux pour qu’il comprenne que je me fous de ses remarques. J’ai les paupières ginifusées et pas toniques pour un sou. Le plafond danse mais, comme il est blanc, ça n’a rien de bouleversant.
« Et c’est qui Pouêt ? »
Le fait qu’il prononce le nom de ma chatte me fout les boules.
« Je t’interdis de parler d’elle. »
« Jaloux ? » miaule-t-il dans un sourire en vol d’oiseau renversé.
Je fais la sourde oreille, c’est mieux pour nous deux.

Le silence s’installe, à peine dérangé par un murmure de coton sur peau soyeuse :

— Bonjour.

La voix est différente ; douce et claire, à peine voilée de nuit ; une berceuse qui me caresse l’émotion.

— On les avait déjà sifflées mes fesses, mais c’est la première fois qu’on leur parle.

Gêne…
Je réponds comme un idiot :

— Je parlais au chat.
— De mieux en mieux, elle sourit.
— Non ! Non, c’est pas…

Je ne sais pas comment finir ma phrase, bloque sur les justifications.

— Quel chat ? elle demande.

La situation est ridicule.
Mais je gère : habitude, karma, tout ça.

— Le chat du tatouage.
— Quel tatouage ?

Tout en parlant, elle se lève, amusée, traverse la chambre.
Blonde et nue.
J’ai la tête dans le cul. Le sien. Je note que sa fesse droite est plus jolie que l’autre — de si peu. Je note aussi qu’elle n’a plus de tatouage.
Rien…
Elle tire les rideaux et découvre un immense poster exotique : palmiers, plage et lagon bleu s’affrontent à qui mieux-mieux.
Merde…
C’est pas un poster.
C’est le paradis, en vrai. Qui coule d’une baie vitrée grande comme un mur.

— On va prendre un petit déjeuner ? elle me demande.

Pas plus loin qu’un peu plus tard, on se retrouve assis à la terrasse de l’hôtel. Nos assiettes sont pleines de fruits, de saucisses grasses et d’œufs cueillis au buffet. Dans les tasses, le café fume. Moi aussi, et comme un pompier.
Nos voisins, touristes chapeautés et appareillés, grimacent ; ils ont raison mais je m’en fous. Le jus d’orange vient d’une brique infâme, les enceintes distillent une musique locale qui irait à un ascenseur comme ma cicatrice me va, rythmant la cadence des serveuses autochtones, dodues, souriantes et lumineuses. Tout est vert-bleu-jaune, tout est grosses taches écarlates. Au loin, des nuages ventrus habillent de noir le ciel azur, et l’océan s’écorche sur la barrière de corail.
On me sert des clichés avec mes œufs brouillés et j’adore ça.

J’ai encore la gueule de bois mais avec un cœur de miel et j’entends de joyeuses abeilles chanter.
Ma jolie blonde est face à moi, silencieuse, le menton posé dans la paume de la main entre ses doigts repliés; l’ourlet de ses lèvres abrite une ombre d’une grâce profonde. Ses yeux sont juste parfaits, ombrés, sans fard.
Je plonge les yeux dans son décolleté — qui n’en est pas vraiment un — me sens ému du relâchement d’un vêtement trop porté, trop souvent tendu par une poitrine faite pour moi, avec des boutons aussi inutiles que sexy. A chacun des gestes de mon inconnue, j’entends presque le tissu cacher sa joie.

J’aperçois le chat du tatouage, plus loin, planqué dans des palmiers nains ; il m’observe.
Qu’est-ce qu’il fout là ?
Il fait un geste.
Si Pouêt ne m’avait pas habitué à l’anatomie féline, je jurerais qu’il pointe son pouce en l’air, comme pour dire, complice : « Génial ! ».

J’entends un gentil :

— T'as faim ?

Et j'ai du mal à comprendre. Deux syllabes, c’est déjà deux de trop pour moi.
Je la regarde. La dernière fois que j'ai fait ces yeux là, ça devait être en ouvrant la boîte de mon premier ordi un soir de Noël.
Je ne me rappelle pas m'être jamais senti aussi bien qu’aujourd’hui. Oublié, mon crâne.
Elle mange.
Je regarde.
Elle boit.
Je la regarde dire :

— T'en veux ?
— Heu…

Vrai, les dialogues sont pas terribles ; c'est pas avec ça que j'aurai le Goncourt ; mais je m'en fous, les prix, c’est surfait.
Elle s’essuie la bouche. J'envie la serviette. Une miette m'agace sur sa peau. J’ai envie de lui enlever, lui caresser le bras, la…
Soudain, le nuage qui mijotait au ras de la mer bouffe le soleil. Le chat traverse la terrasse, siffle le pont de la rivière Kwaï en frôlant ma chaise et s'esbigne en ricanant.
Sorti de nulle part, un mec se dirige vers nous.
Ma belle éveillée agite la main et me glisse :

— Voilà Dormieux.

La douleur s’est réveillée dans mon crâne et j'ai subitement envie de faire la gueule :

— C'est qui Dormieux ?

Elle me foudroie :

— Arrête tes conneries ! Il risque de ne pas apprécier ! Voilà la clef.

Et elle pose sur ma serviette un truc plastique-noir-et-ferraille, ça ressemble à s’y méprendre à une clef de bagnole. Comme je regarde le bidule sans ciller, la belle me presse :

— Vite !

Sans savoir pourquoi, je fais vite. Je mets la clef dans ma poche.
Ledit Dormieux est déjà devant notre table. Il sourit. Ses lunettes de soleil cachent, j’en suis certain, des yeux froids comme des cailloux.

— Laure, Monsieur Charles.

Il a dit nos noms en hochant la tête, comme un oiseau qui picore. Il enchaîne :

— Bien dormi ?
— Pas assez, Monsieur, répond Laure.

Elle sourit, me lance un regard complice, et je m’en veux d’avoir été assez con pour en arriver à oublier tout ce que son air coquin me suggère.
Dormieux :

— Monsieur Charles, nous comptons tous sur vous.

Moi, plein d’assurance :

— Je sais.

Il sourit sans être amusé. Il a l’air un peu raide, un peu balai-brosse dans le derche. Il voudrait paraître dur et méchant mais ce n’est qu’un sous-fifre angoissé. Je lui fais peur, sans aucun doute.

— Je peux vous demander la clef, Monsieur Charles.

Je dis oui et la lui donne.
Il répète qu’il compte sur moi, me glisse une enveloppe à bulles et tourne les talons. Sans la brillante tonsure qui me sourit sur le haut de son crâne, je l’aurais trouvé classe, le Dormieux. Un costard pareil, ça doit pas être à ma portée. Je pourrais tout juste me payer ses boutons de manchette ; et encore, ils scintillaient rupins.

— Mais qu’est-ce qui t’a pris ? souffle Laure.
— Ben quoi ? Je sais pas qui c’est, ce type ! Je me souviens de rien ! Même pas de ton nom !
— Normal, je ne te l’ai jamais donné.
— C’est quoi, ça ? je dis en soupesant l’enveloppe.
— Ton taf. Le mien s’arrête là.
— Mais… toi et moi…
— Et ta cicatrice ? coupe-t-elle.

Ouais, ma cicatrice. J’y pense et elle me fait mal.

— C’est vrai, ça, je l’avais pas hier… Attends. Avant-hier. Euh, on est quel jour ?
— Jeudi.

Et là, j’essaye de remonter le temps. Jeudi. Je me souviens de lundi soir. Sûr. Mardi matin, peut-être. Guadeloupe. Depuis une semaine. Pour...
Laure, éberluée :

— T’as oublié aussi pour ta cicatrice ?
— Ouais, mais je la sens.
— Viens.

Elle se lève, me prend la main ; que la sienne est douce ! Elle m’entraîne jusqu’au local à poubelles, au fond du parking de l’hôtel. Il y fait froid et la lumière n’ose pas y entrer.
La lourde porte claque derrière nous, laissant la puanteur nous envelopper de silence.

— Retire ta chemise, elle me fait.
— Hein ? j’interloque. Euh, je garde le pantalon, docteur ?
— T’es bête. Enlève !

J’enlève. Elle me demande de soulever le bras droit. Sa minuscule maglite examine quelques centimètres carrés de peau rougeâtre, encore un peu gonflée.

— Ca a l’air impeccable. Du beau boulot. Dans deux trois jours ce sera oublié.

Là je sens que ça monte. La moutarde. Je fais quoi ? Je pousse une gueulante ? Je la colle au mur pour la faire parler ? Non, ça pue trop ici, on va aller dans un coin aussi désert mais plus sain. Et c’est moi qui décide, bordel. Je saisis Laure par le bras, pas trop fort, et on se retrouve dans le parking.

— Ta voiture ? Allez, emmène-moi dare-dare dans un coin moins craignos, faut qu’on parle.

Laure doit sentir que je suis à deux doigts du court-circuit. Elle se dégage de ma prise et deux minutes après on est dans sa BMW Mini décapotable, en plein cagnard. Les pancartes disent « Bas du Fort ». Le cabriolet grimpe quelques virages et on s’arrête sous les arbres d’une petite esplanade en terre battue. Laure nous fait traverser une passerelle de bois donnant accès à un vieux fort style Vauban qui domine la baie de Pointe à Pitre.
Les alizés jouent dans les cheveux de Laure.
C’est beau.
Mais ce n’est pas ce que j’attends.
Même pas le temps d’ouvrir la bouche, c’est elle qui démarre :

— Faut pas t’énerver comme ça Charles. C’est quand même pas ma faute si tu as tout oublié. Dis-moi de quoi tu te souviens, je te dirai le reste, promis.
— Mais de rien, bordel ! de rien ! Juste lundi soir, mardi même pas sûr, la Guadeloupe, ça oui, mais pour quoi faire, et puis toi, et puis ce type, son fric, cette clé…, rien. Allez, accouche !

Elle fait une drôle de tête ma Lorelei. Mais une tête à me croire, enfin !

— Hou la la ! Je ne pensais pas qu’il y aurait des effets secondaires à ce point là !
— Effets secondaires ? Parle !
— Ecoute, Charles, si je te dis tout, comme ça, en vrac, tu vas pas forcément tout comprendre, en tout cas tu vas pas aimer, et ça risque de tourner aigre. Alors pour ton bien, je te suggère de farnienter deux jours d’affilée. À l’hôtel Salako si tu veux, là où on était. Tous frais payés bien sûr. D’ici là tu auras récupéré à cent pour cent et tu pourras assurer la mission. Franchement c’est ce qu’il y a de mieux, crois-moi. Et ne t’inquiète pas, je ne serai jamais loin. D’ailleurs tiens, voilà mon numéro : quand tu veux, vingt-quatre heures sur vingt-quatre. N’hésite pas. Pour ce-que-tu-veux !

Elle a prononcé les quatre dernières syllabes bien détachées. L’œillade qui les accompagne est sans équivoque… Mais je n’en ai pas pour mon argent, le mien, pas celui de l’enveloppe.

— Tu as sans doute raison, Laure, mais dis-moi au moins pour la cicatrice.
— Une puce, indétectable, qui sera enlevée après la mission, pas de souci.
— Putain, je veux pas faire de mauvais jeux de mots, mais c’est un remake de la mémoire dans la peau ce truc ! Tout est là dedans et y a plus rien là haut !
— Tu vois, je t’avais prévenu ! Sois patient Charles, tout va te revenir en douceur, crois-moi.



À suivre…
.

Nath

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Message  Invité Mar 23 Sep 2008 - 19:41

Affranchis-moi, Mentor, c'est pas un Loiseau ? J'ai presque l'impression que Wanda va débouler, là !C'est fascinant de voir comment, en changeant assez peu de choses finalement, on passe à des ambiances totalement différentes : la fille selon Yali et Kilgrieg était assez mystérieuse, féline, je l'ai fait virer plus gentille,Kasar en avait fait une jolie petite pétasse, toit tu lui fais reprendre une certaine "normalité", une gentille copine de lit...
Charles a évolué aussi, mais on sait toujours assez peu de choses à son propos...
Quant à la situation... j'ai bien du mal a augurer quoi que ce soit ! Ni de bon, ni de mauvais !
Qui prend la suite ? Pili ? je ne sais plus...

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Message  grieg Mar 23 Sep 2008 - 19:51

pierre henri, normalement.

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Message  Invité Mar 23 Sep 2008 - 19:55

Heu, Mentor, t'aurais pas du réintroduire le "boulot" du début ! C'est pas bon quand le bois travaille...

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Message  lol47 Mar 23 Sep 2008 - 20:04

Wouah !!!!

Pas très constructif, alors disons comme j'aimerais l'avoir écrit.
Tu accelères tellement que j'aimerais que ça ne finisse jamais. Ca me noue...

+++
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Message  Nath Mar 23 Sep 2008 - 20:09

coline Dé a écrit:Heu, Mentor, t'aurais pas du réintroduire le "boulot" du début ! C'est pas bon quand le bois travaille...
boulot? C'est bouleau? Il l'a pas vu? Je vais lui dire! Il va être véxé, vexé!! :)))

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Message  grieg Mer 24 Sep 2008 - 5:24

Allez ! au bouleau !

Et oui ! c’est devenu une histoire policière et loiseau a même filé sa maglite à charles.
Mais, depuis l’apparition de dormieux et des clefs, on le sentait venir.
Sinon, dans le genre, ça coule.

Ps : Loreleï, c’est ma fille ou, accessoirement la sirène de heine… faudrait voir à pas les mêler à ça.

Maintenant, j’aimerais assez que quelqu’un, nous détruise tout ça depuis le début, pour donner un ton différent, chahute le texte… je sais que ça démange pili…
Et, je me demande bien ce que pierre-henri va faire, s’il le fait… (fais nous un signe)

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Message  Yali Mer 24 Sep 2008 - 9:42

Madone, ce qu'elle est changeante cette fille, quelle diversité de caractères comme le fait remarquer Coline — une fille quoi :-)
On s'avance doucement mais sûrement dans un polar, va falloir faire travailler (en plus du boulot) les méninges pour rendre l'intrigue cohérente. Pour l'instant ça se tient bien.

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Message  Lucy Jeu 25 Sep 2008 - 8:17

J'ai eu du mal à ne pas rentrer dans l'histoire. En clair, j'ai accroché.
Les alizés jouent dans les cheveux de Laure.
C’est beau.
Pas mieux. C'est tout simple, ces deux p'tites phrases, mais j'aime.
La suite, c'est PH. J'y vais de ce pas.
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Message  Invité Jeu 25 Sep 2008 - 8:22

Yali, je sens comme un soupçon de poil de légère ironie, je me trompe ?

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Message  pierre-henri Sam 27 Sep 2008 - 17:12

coline Dé a écrit:Yali, je sens comme un soupçon de poil de légère ironie, je me trompe ?

L'ironie, quand je la sens, pour ma part, je change de crottoir.
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Message  mentor Sam 27 Sep 2008 - 19:43

pierre-henri a écrit:
coline Dé a écrit:Yali, je sens comme un soupçon de poil de légère ironie, je me trompe ?
L'ironie, quand je la sens, pour ma part, je change de crottoir.
ça c'était plutôt à balancer dans le fil des aphorismes, pas ici, mais j'avoue, il est pas mal ;-)

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Message  kazar Mer 1 Oct 2008 - 14:27

Ah, on revient à la fameuse première phrase que je n'aime pas. Bon.

Dès que tu entres en scène, Mentor, je te reconnaîs. Ton humour (j'enlève le pantalon ?...) c'est très toi.

Bien joué, le coup du "si je te raconte tout d'un coup, tu vas rater des trucs"

;-)

Heureusement que tu donnes, à la toute fin, l'histoire de la cicatrice. Sinon, ç'aurait été un texte pour (presque) rien, sans avancée de l'intrigue.

C'est marrant, y'a vraiment un ton différent à chaque fois. C'est le but, j'imagine.
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