Amnésique.
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Amnésique.
Plop chers membres,
Vu que je suis nouvelle je vais refaire une petite présentation.
Je m'apelle Maud et j'ai douze ans. Pas grand chose d'autres à ajouter. Voilà un texte que j'ai écrit il y à plusieurs mois. En décembre dernier il me semble.
L'océan, cet espace bleu infini où les mots se noyaient dans les profondeurs atlantiques. Rien qu'en apercevant ce somptueux paysage mon cœur bâtait la chamade. Les vagues légères s'écrasaient sur les rochers abimés. Au plus profond de moi je sentais cette envie de vivre ici, de passer mes journées à contempler cette merveille de la nature. Les cheveux aux vents je le regardais une fois de plus. Plus étonnent que jamais, plus grand plus profond. Il y avait-il une once de plaisir dans mon regard ? Personne ne le savait. J'étais seule, perdue au fin fond de nulle part. J'avais tout perdu, j'avais pour seul ami que la brise fraîche venant de cet océan. Seulement cela suffisait à mon bonheur. Il était mon seul confident, la seule personne en qui j'avais encore confiance. J'étais là près de lui, à attendre. Quatre heures plus tard et je n'étais plus là. J'étais à plus de deux cent kilomètres, seule dans la rue. Il faisait nuit, j'étais amnésique.
La jeune fille cligna plusieurs fois des yeux, elle se trouvait dans une pièce assez réduite, installée sur un petit lit blanc elle observait attentivement la salle. Elle avait la bouche pâteuse, instinctivement elle porta la main à sa nuque, elle attrapa son collier et l'enleva délicatement. Des initiales étaient écrites ainsi que Sarah A.O. C'était sans doute son prénom, bien qu'il ne lui disais rien. Une infirmière entra et sursauta.
« Tu t'es réveillée ? » dit-elle comme si elle s'adressait à un enfant.
Sarah contempla l'infirmière désemparée, elle hocha la tête, elle aurait bien voulu prononcer quelque chose, mais elle ne savait pas quoi dire.
La jeune femme resta près de sa patiente attendit que deux policiers en uniforme rentre. La jeune fille tétanisée, regarda ses visiteurs.
« Bonjour, sais-tu comment tu t'appelles ? »
-Oui. Je m'appelle Sarah. Répondit-elle.
-Tu en es sûre ?
Elle les regarda affolée, puis elle comprit que ça ne servait à rien de mentir.
-Non.
Dès lors elle comprit, qu'elle n'avait pas de passée. Et surement pas de futur. La pauvre fille se sentait seule, vide et désemparée. Qu'elle âge avait-elle ? Qui était ses parents ? Pourquoi l'avait-il abandonnée ? Chaque fois qu'elle se posait cette question elle se disait dès qu'il auront vu que j'ai disparue ils me chercheront et me ramèneront chez eux.
Sa soyeuse chevelure brune cachait son visage pâle et fadasse. Son visage était triste, sa bouche pincée. Elle était maigre et plutôt. Ses yeux bleue couleur océan tombaient de fatigue. Son ennuie la gagna, personne ne venait lui rendre visite, même les infirmières n'avaient pas le temps. L'adolescente ne leur en voulaient pas, elles avaient sans doute mieux à faire que de discuter avec une fille amnésique. Cette sensation de vide, elle ne l'avait jamais vécu avant, du moins, c'est ce qu'elle pensait...
Ca faisait exactement une semaine qu'elle était à la clinique, normalement aujourd'hui elle devrait partir. Mais pour aller où ? Sans doute dans un orphelinat, ou bien dans une famille d'accueil. De longues larmes coulèrent s'écrasant les unes après les autres sur son oreiller : On lui avait tout pris : son passé, et son futur. Il ne lui restait plus qu'un présent vague et incertain.
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J'attend avec impatiente vos avis. Merci d'avance.
Vu que je suis nouvelle je vais refaire une petite présentation.
Je m'apelle Maud et j'ai douze ans. Pas grand chose d'autres à ajouter. Voilà un texte que j'ai écrit il y à plusieurs mois. En décembre dernier il me semble.
L'océan, cet espace bleu infini où les mots se noyaient dans les profondeurs atlantiques. Rien qu'en apercevant ce somptueux paysage mon cœur bâtait la chamade. Les vagues légères s'écrasaient sur les rochers abimés. Au plus profond de moi je sentais cette envie de vivre ici, de passer mes journées à contempler cette merveille de la nature. Les cheveux aux vents je le regardais une fois de plus. Plus étonnent que jamais, plus grand plus profond. Il y avait-il une once de plaisir dans mon regard ? Personne ne le savait. J'étais seule, perdue au fin fond de nulle part. J'avais tout perdu, j'avais pour seul ami que la brise fraîche venant de cet océan. Seulement cela suffisait à mon bonheur. Il était mon seul confident, la seule personne en qui j'avais encore confiance. J'étais là près de lui, à attendre. Quatre heures plus tard et je n'étais plus là. J'étais à plus de deux cent kilomètres, seule dans la rue. Il faisait nuit, j'étais amnésique.
La jeune fille cligna plusieurs fois des yeux, elle se trouvait dans une pièce assez réduite, installée sur un petit lit blanc elle observait attentivement la salle. Elle avait la bouche pâteuse, instinctivement elle porta la main à sa nuque, elle attrapa son collier et l'enleva délicatement. Des initiales étaient écrites ainsi que Sarah A.O. C'était sans doute son prénom, bien qu'il ne lui disais rien. Une infirmière entra et sursauta.
« Tu t'es réveillée ? » dit-elle comme si elle s'adressait à un enfant.
Sarah contempla l'infirmière désemparée, elle hocha la tête, elle aurait bien voulu prononcer quelque chose, mais elle ne savait pas quoi dire.
La jeune femme resta près de sa patiente attendit que deux policiers en uniforme rentre. La jeune fille tétanisée, regarda ses visiteurs.
« Bonjour, sais-tu comment tu t'appelles ? »
-Oui. Je m'appelle Sarah. Répondit-elle.
-Tu en es sûre ?
Elle les regarda affolée, puis elle comprit que ça ne servait à rien de mentir.
-Non.
Dès lors elle comprit, qu'elle n'avait pas de passée. Et surement pas de futur. La pauvre fille se sentait seule, vide et désemparée. Qu'elle âge avait-elle ? Qui était ses parents ? Pourquoi l'avait-il abandonnée ? Chaque fois qu'elle se posait cette question elle se disait dès qu'il auront vu que j'ai disparue ils me chercheront et me ramèneront chez eux.
Sa soyeuse chevelure brune cachait son visage pâle et fadasse. Son visage était triste, sa bouche pincée. Elle était maigre et plutôt. Ses yeux bleue couleur océan tombaient de fatigue. Son ennuie la gagna, personne ne venait lui rendre visite, même les infirmières n'avaient pas le temps. L'adolescente ne leur en voulaient pas, elles avaient sans doute mieux à faire que de discuter avec une fille amnésique. Cette sensation de vide, elle ne l'avait jamais vécu avant, du moins, c'est ce qu'elle pensait...
Ca faisait exactement une semaine qu'elle était à la clinique, normalement aujourd'hui elle devrait partir. Mais pour aller où ? Sans doute dans un orphelinat, ou bien dans une famille d'accueil. De longues larmes coulèrent s'écrasant les unes après les autres sur son oreiller : On lui avait tout pris : son passé, et son futur. Il ne lui restait plus qu'un présent vague et incertain.
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J'attend avec impatiente vos avis. Merci d'avance.
BloodY- Nombre de messages : 53
Age : 28
Date d'inscription : 11/10/2008
Re: Amnésique.
Bienvenue ici BloddY !
Première chose : trop de fautes d'orthographe, j'ai l'air pénible (je suis pénible !) mais ça gâche la lecture.
Ensuite, le texte donne l'impression d'être inachevé, suspendu. Tout va trop rapidement vers la fin, tu poses des questions, mais n'offres aucune piste. Tu devrais mieux exploiter ce que tu poses dans le premier paragraphe. Il me semble qu'il y a des idées à développer, le texte, mieux construit, serait intéressant.
Première chose : trop de fautes d'orthographe, j'ai l'air pénible (je suis pénible !) mais ça gâche la lecture.
Ensuite, le texte donne l'impression d'être inachevé, suspendu. Tout va trop rapidement vers la fin, tu poses des questions, mais n'offres aucune piste. Tu devrais mieux exploiter ce que tu poses dans le premier paragraphe. Il me semble qu'il y a des idées à développer, le texte, mieux construit, serait intéressant.
Invité- Invité
Re: Amnésique.
Mon doigt a dérapé, je voulais écrire BloodY et non pas BloddY, n'y vois aucune insulte de ma part ;-)
Invité- Invité
Re: Amnésique.
Merci Island pour tes critiques j'ai commencée à retravailler mon texte. Je m'excuse pour les fautes d'orthographes je ne suis pas douée c'est vrai. Le texte n'est pas fini je compte l'agrandir c'est vrai que je ne l'ai pas présciser. Je poste ça dès que j'aurais finie.
BloodY- Nombre de messages : 53
Age : 28
Date d'inscription : 11/10/2008
Re: Amnésique.
Désolée pour le double-post. Voilà une petite correction. J'ai ajoutée quelques mots etc ...
L'océan, cet espace bleu infini où les mots se noyaient dans les profondeurs atlantiques. L’océan, cette immensité bleue que rien ne peut détruire ni le vent, ni les tempêtes ni même les hommes. Rien qu'en apercevant ce somptueux paysage mon cœur bâtait la chamade, depuis mon plus jeune âge j’appréciais plonger mon regard dans cet océan. Les vagues légères s'écrasaient sur les rochers abîmés où des crabes se cramponnaient à leurs risques et périls. Au plus profond de moi je sentais cette envie de vivre ici depuis toujours, de passer mes journées à contempler cette merveille de la nature. Sans doute tenais-je ça de mes parents. Les cheveux aux vents je le regardais une fois de plus sans m’en lasser. Plus étonnent que jamais, plus grand, plus profond. Il y avait-il une once de plaisir dans mon regard ? Personne ne le savait. J'étais seule, perdue au fin fond de nulle part. J'avais tout perdu, j'avais pour seul ami que la brise fraîche venant de cet océan. Seulement cela suffisait à mon bonheur. Il était mon seul confident, la seule personne en qui j'avais encore confiance. J'étais là près de lui, à attendre. Quatre heures plus tard et je n'étais plus là. J'étais à plus de deux cent kilomètres, seule dans une rue. Il faisait nuit, j'étais amnésique.
La jeune fille cligna plusieurs fois des yeux, avant de pouvoir filtrer la lumière aveuglante elle se trouvait dans une pièce assez réduite vide. Installée sur un petit lit blanc elle observait attentivement la salle. Elle avait la bouche pâteuse, tellement elle avait soif. Elle se dégagea de l’étreinte des draps et s’assit contre le dossier du lit. Ses muscles endolorit semblait ne pas avoir fonctionné depuis des années. Elle rouvra péniblement ses yeux. Instinctivement elle porta la main à sa nuque, elle attrapa son collier et l'enleva délicatement. Des initiales étaient écrites ainsi que Sarah A.O. C'était sans doute son prénom, bien qu'il ne lui disais rien. Une infirmière entra et sursauta, elle ne s’attendait pas à voir réveillée.
« Tu t'es réveillée ? » dit-elle comme si elle s'adressait à un enfant.
Sarah contempla l'infirmière désemparée, elle hocha la tête, elle aurait bien voulu prononcer quelque chose, mais elle ne savait pas quoi dire. Au lieu de passer pour une idiote elle préféra rester muette.
La jeune femme resta près de sa patiente et attendit que deux policiers en uniforme rentrent. Elle ressortir un peut paniquée et chambouler. Les policiers restaient sur le seuil de la porte poli et attendirent que je revienne à moi. L’un était assez grand et jeune il était assez impressionnant, l’autre était tout le contraire gros, petit et plutôt anxieux pour un gendarme ; son front plissé se détendit tout d’un coup et finit pas sourire gaiement. Personne ne saura pourquoi. La jeune fille encore tétanisée, regarda ses visiteurs.
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« Bonjour, sais-tu comment tu t'appelles ? » demanda un des policiers.
Après avoir longuement réfléchie, elle cacha son collier derrière son dos.
- Oui … bredouillât-elle. Je m’appelle Sarah. C’est tout ce que je sais.
-Tu en es sûre ?
Elle les regarda affolée, puis elle comprit que ça ne servait à rien de mentir. A quoi bon ?
-Non. Je ne sais rien.
Dès lors elle comprit, qu'elle n'avait pas de passée. Et surement pas de futur. La pauvre fille se sentait seule, vide et désemparée. Elle avait l’impression de naître, elle ne se sentait pas à l’aise dans son rôle. Qu'elle âge avait-elle ? Sans doute quinze ou seize ans avait affirmée l’infirmière. Qui était ses parents ? Pourquoi l'avait-il abandonnée ? En revanche personne ne le savait. Chaque fois qu'elle se posait cette question elle se disait dès qu'il auront vu que leur pauvre enfant a disparu ils partiront la chercher. Si la chance était de son côté.
Son premier réflexe le lendemain fût de se regarder dans un miroir, à quoi pouvait-elle bien ressembler... Rien de ce qu’elle espérait en tout cas : sa soyeuse chevelure brune quoique grasse cachait son visage pâle et fadasse. Son visage triste semblait âgé, sa bouche pincée la faisait ressembler à une chimère. Elle était maigre et plutôt grande. Ses yeux bleus couleur océan tombaient de fatigue. Ses bras frêles dévoilaient des cicatrices profondes. Elle s’allongea sur son lit et patienta. L’ennuie la gagna peut à peut, personne ne venait lui rendre visite, même les infirmières n'avaient pas le temps au lieu de dire la vérité elles inventaient des excuses. L'adolescente ne leur en voulaient pas, elles avaient sans doute mieux à faire que de discuter avec une fille amnésique.
Cette sensation de vide, elle ne l'avait jamais vécu avant, du moins, c'est ce qu'elle pensait. Elle n’était pas vraiment triste, ni en colère, elle n’était pas vraiment heureuse ni malheureuse. Elle n’exprimait aucun sentiment apparent à l’évidence.
Ca faisait exactement une semaine qu'elle était dans cette clinique, normalement aujourd'hui elle devrait partir. C’était la date fatidique, seulement personne n’avaient signalé sa disparition, elle s’en doutait, de toute façon qui voudrait d’elle ? Pas ses parents en tout cas elle irait sans doute dans un orphelinat, ou bien dans une famille d’accueil. De longues larmes coulèrent s'écrasant les unes après les autres sur son oreiller c’était la première fois qu’elle pleurait : On lui avait tout pris : son passé, et son futur. Il ne lui restait plus qu'un présent vague et incertain.
L'océan, cet espace bleu infini où les mots se noyaient dans les profondeurs atlantiques. L’océan, cette immensité bleue que rien ne peut détruire ni le vent, ni les tempêtes ni même les hommes. Rien qu'en apercevant ce somptueux paysage mon cœur bâtait la chamade, depuis mon plus jeune âge j’appréciais plonger mon regard dans cet océan. Les vagues légères s'écrasaient sur les rochers abîmés où des crabes se cramponnaient à leurs risques et périls. Au plus profond de moi je sentais cette envie de vivre ici depuis toujours, de passer mes journées à contempler cette merveille de la nature. Sans doute tenais-je ça de mes parents. Les cheveux aux vents je le regardais une fois de plus sans m’en lasser. Plus étonnent que jamais, plus grand, plus profond. Il y avait-il une once de plaisir dans mon regard ? Personne ne le savait. J'étais seule, perdue au fin fond de nulle part. J'avais tout perdu, j'avais pour seul ami que la brise fraîche venant de cet océan. Seulement cela suffisait à mon bonheur. Il était mon seul confident, la seule personne en qui j'avais encore confiance. J'étais là près de lui, à attendre. Quatre heures plus tard et je n'étais plus là. J'étais à plus de deux cent kilomètres, seule dans une rue. Il faisait nuit, j'étais amnésique.
La jeune fille cligna plusieurs fois des yeux, avant de pouvoir filtrer la lumière aveuglante elle se trouvait dans une pièce assez réduite vide. Installée sur un petit lit blanc elle observait attentivement la salle. Elle avait la bouche pâteuse, tellement elle avait soif. Elle se dégagea de l’étreinte des draps et s’assit contre le dossier du lit. Ses muscles endolorit semblait ne pas avoir fonctionné depuis des années. Elle rouvra péniblement ses yeux. Instinctivement elle porta la main à sa nuque, elle attrapa son collier et l'enleva délicatement. Des initiales étaient écrites ainsi que Sarah A.O. C'était sans doute son prénom, bien qu'il ne lui disais rien. Une infirmière entra et sursauta, elle ne s’attendait pas à voir réveillée.
« Tu t'es réveillée ? » dit-elle comme si elle s'adressait à un enfant.
Sarah contempla l'infirmière désemparée, elle hocha la tête, elle aurait bien voulu prononcer quelque chose, mais elle ne savait pas quoi dire. Au lieu de passer pour une idiote elle préféra rester muette.
La jeune femme resta près de sa patiente et attendit que deux policiers en uniforme rentrent. Elle ressortir un peut paniquée et chambouler. Les policiers restaient sur le seuil de la porte poli et attendirent que je revienne à moi. L’un était assez grand et jeune il était assez impressionnant, l’autre était tout le contraire gros, petit et plutôt anxieux pour un gendarme ; son front plissé se détendit tout d’un coup et finit pas sourire gaiement. Personne ne saura pourquoi. La jeune fille encore tétanisée, regarda ses visiteurs.
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« Bonjour, sais-tu comment tu t'appelles ? » demanda un des policiers.
Après avoir longuement réfléchie, elle cacha son collier derrière son dos.
- Oui … bredouillât-elle. Je m’appelle Sarah. C’est tout ce que je sais.
-Tu en es sûre ?
Elle les regarda affolée, puis elle comprit que ça ne servait à rien de mentir. A quoi bon ?
-Non. Je ne sais rien.
Dès lors elle comprit, qu'elle n'avait pas de passée. Et surement pas de futur. La pauvre fille se sentait seule, vide et désemparée. Elle avait l’impression de naître, elle ne se sentait pas à l’aise dans son rôle. Qu'elle âge avait-elle ? Sans doute quinze ou seize ans avait affirmée l’infirmière. Qui était ses parents ? Pourquoi l'avait-il abandonnée ? En revanche personne ne le savait. Chaque fois qu'elle se posait cette question elle se disait dès qu'il auront vu que leur pauvre enfant a disparu ils partiront la chercher. Si la chance était de son côté.
Son premier réflexe le lendemain fût de se regarder dans un miroir, à quoi pouvait-elle bien ressembler... Rien de ce qu’elle espérait en tout cas : sa soyeuse chevelure brune quoique grasse cachait son visage pâle et fadasse. Son visage triste semblait âgé, sa bouche pincée la faisait ressembler à une chimère. Elle était maigre et plutôt grande. Ses yeux bleus couleur océan tombaient de fatigue. Ses bras frêles dévoilaient des cicatrices profondes. Elle s’allongea sur son lit et patienta. L’ennuie la gagna peut à peut, personne ne venait lui rendre visite, même les infirmières n'avaient pas le temps au lieu de dire la vérité elles inventaient des excuses. L'adolescente ne leur en voulaient pas, elles avaient sans doute mieux à faire que de discuter avec une fille amnésique.
Cette sensation de vide, elle ne l'avait jamais vécu avant, du moins, c'est ce qu'elle pensait. Elle n’était pas vraiment triste, ni en colère, elle n’était pas vraiment heureuse ni malheureuse. Elle n’exprimait aucun sentiment apparent à l’évidence.
Ca faisait exactement une semaine qu'elle était dans cette clinique, normalement aujourd'hui elle devrait partir. C’était la date fatidique, seulement personne n’avaient signalé sa disparition, elle s’en doutait, de toute façon qui voudrait d’elle ? Pas ses parents en tout cas elle irait sans doute dans un orphelinat, ou bien dans une famille d’accueil. De longues larmes coulèrent s'écrasant les unes après les autres sur son oreiller c’était la première fois qu’elle pleurait : On lui avait tout pris : son passé, et son futur. Il ne lui restait plus qu'un présent vague et incertain.
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BloodY- Nombre de messages : 53
Age : 28
Date d'inscription : 11/10/2008
Re: Amnésique.
C'est beaucoup mieux je trouve, plus convaincant, pas mal du tout.
Je relève quelques maladresses ou des choses qui me chiffonnent :
Restent les fautes d'orthographe.
Je relève quelques maladresses ou des choses qui me chiffonnent :
je ne comprends pas le sens de cette phrase qui me semble superfluePersonne ne saura pourquoi.
"en revanche" est inutile, il ne se justifie pas par rapport à la phrase précédentePourquoi l'avait-il abandonnée ? En revanche personne ne le savait.
je ne sais pas si des yeux tombent de fatigueSes yeux bleus couleur océan tombaient de fatigue
il faut un subjonctif après "bien que"C'était sans doute son prénom, bien qu'il ne lui disais rien
deux points : après "elle se disait" ?Chaque fois qu'elle se posait cette question elle se disait dès qu'il auront vu que j'ai disparue ils me chercheront et me ramèneront chez eux.
Restent les fautes d'orthographe.
Invité- Invité
Re: Amnésique.
Merci encore Island. Je vais modifier ça.
BloodY- Nombre de messages : 53
Age : 28
Date d'inscription : 11/10/2008
Re: Amnésique.
Encore pas mal de fautes Bloody, il existe des correcteurs orthographiques gratuits en ligne qui pourraient t'aider.
Je n'ai pas réussi à entrer dans ton texte parce que l'idée, étirée à foison, finit par me lasser. Entre phrases longues (trop, parfois) et succession d'émotions quasi lyriques, tout cela me paraît un brin tarabiscoté.
Pourtant, il y a de la sincérité dans tout cela et j'ai l'impression que tu voudrais faire passer un message, que tu tiens une idée mais ne sait trop comment l'exploiter. Dans ce cas, continue, ça viendra.
Je n'ai pas réussi à entrer dans ton texte parce que l'idée, étirée à foison, finit par me lasser. Entre phrases longues (trop, parfois) et succession d'émotions quasi lyriques, tout cela me paraît un brin tarabiscoté.
Pourtant, il y a de la sincérité dans tout cela et j'ai l'impression que tu voudrais faire passer un message, que tu tiens une idée mais ne sait trop comment l'exploiter. Dans ce cas, continue, ça viendra.
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: Amnésique.
Merci, j'ai continuée a écrire même si je doute de mon "talent"(qui n'ai pas vraiment un talent à vrai dire), je vous remercie pour vos précieux conseils qui me sont d'une grande aide; et je me permet de remonter le topic.
Voilà la suite, dans un style plus différent :
La jeune fille cessa de s’agiter quand elle aperçu un couple rentrer dans sa chambre, on ne peut pas dire qu’il luit ressemblait tellement : la femme avait des cheveux mi longs châtains foncé, et de grands yeux marrons, ses sourcils paraissait mal épilées et touffus. L’homme lui portait des lunettes, et paraissait assez âgé, tout comme sa femme il n’était pas vraiment beau. Pleine d’espoir, Sarah se mordit la lèvre pour ne pas succomber à sa joie. Elle était tellement heureuse à cet instant précis qu’elle en pleurait presque. Tout comme le couple, sauf qu’eux pleuraient de tristesse, ce n’était pas leur fille. Elle les contempla un instant, le temps qu’une infirmière les fassent sortir. Son cœur éclata un mille morceaux en l’espace de quelques secondes, elle fondit en larmes. La pauvre fille ne s’était même pas rendu compte que la jeune femme portait le même collier qu’elle ; même initiales, même couleurs. Elle finit par se ressaisir. Il le fallait bien, un autre jour peut-être … Au moins, ils n’étaient pas venus pour rien, le couple avait retardé son départ pour l’orphelinat.
On la fit sortir, elle enfila son seul et unique ensemble quel avait, c’était ce qu’elle portait le jour où ils l’avaient retrouvée errant dans la rue. Elle quitta l’hôpital, assise à l’arrière d’une voiture, on l’emmenait à l’orphelinat. C’était le grand jour, elle contempla la voiture, qui ressemblait plus avait une épave, le chauffeur ne valait pas mieux, il ne semblait pas aimable, et peut agréable. Sarah se regarda dans le rétroviseur; elle n’était pas plus belle que la dernière fois, même chevelure repoussante, même yeux plus ou moins globuleux. Sans s’en rendre compte, elle commençait à revivre, elle avait perdu sans doute une bonne dizaine d’années de sa vie, les plus belles sans doute. La route serait longue. Une nouvelle épreuve s’offrait à elle. Entre le ronronnement du moteur de la voiture, les bruits incessants des klaxons, Sarah réfléchissait, sans oser déranger le chauffeur qui s’énervait pour un rien, elle chercha quelque chose histoire de l’occuper pendant les trois bonnes heures de routes qui lui restaient. La voiture s’immobilisa soudainement. L’adolescente releva lourdement sa tête et aperçut une file de voiture alignées devant elle. Sans pouvoir voir le début ou la fin de cette longue file. Le chauffeur lui contempla sa passagère, avec mélancolie.
« Tu veux une feuille ? » demanda t-il en désignant un bloc notes et un stylo sur le siège avant de la voiture.
« Ca détend parfois … » dit-il d’une voix a peine audible.
Ne voulant pas le vexer, Sarah s’empara du carnet et du stylo. Elle écrivit, des phrases insignifiantes, entre deux lignes elle dessinait des formes ne ressemblent à rien, elle repassait par-dessus les lignes du bloc notes, et écrivait encore et encore. Après avoir barbouillée entièrement la feuille d’encre, elle tourna la page, et continua. Ce petit jeu dura plus d’une heure. Elle finit vite par s’en lasser comme un bébé se lasse d’un morceau de plastique.
La circulation semblait reprendre son cours après avoir stagné à la même place pendant une heure ou deux, la voiture démarra et roula aisément et le moteur continua de ronronner. Sarah sombra dans un profond sommeil, durant les deux heures qu’il restait, elle s’endormit. Lorsqu’elle se réveilla, elle aperçut un gigantesque établissement, vieux et délabré. Il comportait environ quatre étages sans compter le rez-de-chaussée. Sarah regarda à travers la vitre ruisselante à cause de la pluie. Et parvînt à apercevoir le chauffeur discuter à l’extérieur de la voiture avec un homme plutôt âgé. La voiture était garée au milieu de la petite route de campagne, il n’y avait aucune voiture et un silence de mort. Le mystérieux inconnu devait avoir la cinquantaine, le crâne dégarni et le teint livide on aurait dit un fantôme flottant dans l’air à la recherche de personne à effrayer. Pourtant il semblait gentil, il souriait sans cesse, hochant la tête pour un rien à chaque parole énoncé par le chauffeur. Jusqu’à ce qu’il aperçoit Sarah dissimuler sous les sièges, le cœur battant. Les deux hommes s’approchèrent, son visage blanc se décomposa ; il ouvra brutalement la portière et remercia chaleureusement le chauffeur. Il marmonna et appela une femme assez âgée qui trainait derrière elle, accrochée à sa pochette plaquée contre son chemisier.
« Bonjour, Sarah. Bienvenue dans notre établissement. Le célèbre orphelinat du village d’Anguier. »
_Melle Martine va te faire visiter l’établissement.
La secrétaire s’avança d’un pas sûr et empoigna Sarah brutalement par le bras.
_ Mais il est tard, protesta Sarah. Je n’ai rien mangée, je suis extrêmement fatiguée.
_ Voyons Sarah, tu n’a rien fait de la journée ! Ne me dit pas que trois heures de routes t’on épuisée !
Ne se sentant pas d’humeur à riposter Sarah suivit tant bien que mal la secrétaire. La jeune fille s’attendait à ce qu’ils se montrent plus compréhensifs avec elle. Silencieuse elle suivit Melle Martine ; elles pénétrèrent dans l’établissement sombre et calme. Un long couloir s’étendait à perte de vue. Cette dernière désigna deux grandes salles à gauche du couloir.
« Voici le réfectoire, il comporte deux salles. »
La salle opposée était le bureau du Directeur et à côté se trouvait le secrétariat ainsi que le bureau de la sous directrice. Les pièces avaient l’air plutôt spacieux quoique poussiéreuse. Elles arrivèrent à l’escalier principal et accédèrent au premier étage. Entre temps Sarah avait aperçut plusieurs bureaux de professeur ainsi que des toilettes, des vestiaires et des appartements privés. Le premier étage concernait les élèves dit : « Rouges.» (couleur des uniformes.) Les élèves devaient avoir entre treize ans et quatorze ans et demi. Les quatre salles de classes étaient assez réduites tout comme les chambres bien qu’elles ne soient pas individuelles. Les deux autres étages étaient identiques, tout élèves devait rester dans son étage appropriés, les seuls fois où les élèves de différent étages pouvaient se voir était au réfectoire, dans la cour et en sortie ou voyage. Le deuxième étage quant à lui était accessible au « Vert. » élèves ayant entre quatorze ans et demi et seize ans. Et pour le troisième étage il fallait avoir entre seize et dix huit grand maximum leurs uniformes eux sont de couleurs bleu. Les orphelins plus jeunes étaient dans l’établissement voisin.
« La visite est terminée jeune fille, vous pouvez disposée, votre dortoir est le numéro 009. Pour le moment vous aurez un uniforme de couleur rouge. Vous serez donc au premier étage.»
La secrétaire laissa Sarah désemparée, les bras ballant au milieu du couloir. Au bout de quelques secondes, elle réagit et se dirigea vers sa chambre. En entrant, elle comprit vite que ce n’était pas par charité qu’il la laissait seule cette nuit : la chambre comportait deux lits dont l’un était en vrac avec plusieurs sacs et magazines dessus. Le lit occupé se trouvait près du radiateur et de la fenêtre : la place idéale. Sarah s’installa tranquillement et s’endormit.
Je m'excuse encore des fautes d'orthographes, seulement j'ai de gros problème avec ma connection internet assez merd*que, du coup j'ai du mal à acceder au forum régullièrement et à trouver un correcteur qui ne fasse pas ramer mon ordi.
Voilà la suite, dans un style plus différent :
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La jeune fille cessa de s’agiter quand elle aperçu un couple rentrer dans sa chambre, on ne peut pas dire qu’il luit ressemblait tellement : la femme avait des cheveux mi longs châtains foncé, et de grands yeux marrons, ses sourcils paraissait mal épilées et touffus. L’homme lui portait des lunettes, et paraissait assez âgé, tout comme sa femme il n’était pas vraiment beau. Pleine d’espoir, Sarah se mordit la lèvre pour ne pas succomber à sa joie. Elle était tellement heureuse à cet instant précis qu’elle en pleurait presque. Tout comme le couple, sauf qu’eux pleuraient de tristesse, ce n’était pas leur fille. Elle les contempla un instant, le temps qu’une infirmière les fassent sortir. Son cœur éclata un mille morceaux en l’espace de quelques secondes, elle fondit en larmes. La pauvre fille ne s’était même pas rendu compte que la jeune femme portait le même collier qu’elle ; même initiales, même couleurs. Elle finit par se ressaisir. Il le fallait bien, un autre jour peut-être … Au moins, ils n’étaient pas venus pour rien, le couple avait retardé son départ pour l’orphelinat.
On la fit sortir, elle enfila son seul et unique ensemble quel avait, c’était ce qu’elle portait le jour où ils l’avaient retrouvée errant dans la rue. Elle quitta l’hôpital, assise à l’arrière d’une voiture, on l’emmenait à l’orphelinat. C’était le grand jour, elle contempla la voiture, qui ressemblait plus avait une épave, le chauffeur ne valait pas mieux, il ne semblait pas aimable, et peut agréable. Sarah se regarda dans le rétroviseur; elle n’était pas plus belle que la dernière fois, même chevelure repoussante, même yeux plus ou moins globuleux. Sans s’en rendre compte, elle commençait à revivre, elle avait perdu sans doute une bonne dizaine d’années de sa vie, les plus belles sans doute. La route serait longue. Une nouvelle épreuve s’offrait à elle. Entre le ronronnement du moteur de la voiture, les bruits incessants des klaxons, Sarah réfléchissait, sans oser déranger le chauffeur qui s’énervait pour un rien, elle chercha quelque chose histoire de l’occuper pendant les trois bonnes heures de routes qui lui restaient. La voiture s’immobilisa soudainement. L’adolescente releva lourdement sa tête et aperçut une file de voiture alignées devant elle. Sans pouvoir voir le début ou la fin de cette longue file. Le chauffeur lui contempla sa passagère, avec mélancolie.
« Tu veux une feuille ? » demanda t-il en désignant un bloc notes et un stylo sur le siège avant de la voiture.
« Ca détend parfois … » dit-il d’une voix a peine audible.
Ne voulant pas le vexer, Sarah s’empara du carnet et du stylo. Elle écrivit, des phrases insignifiantes, entre deux lignes elle dessinait des formes ne ressemblent à rien, elle repassait par-dessus les lignes du bloc notes, et écrivait encore et encore. Après avoir barbouillée entièrement la feuille d’encre, elle tourna la page, et continua. Ce petit jeu dura plus d’une heure. Elle finit vite par s’en lasser comme un bébé se lasse d’un morceau de plastique.
La circulation semblait reprendre son cours après avoir stagné à la même place pendant une heure ou deux, la voiture démarra et roula aisément et le moteur continua de ronronner. Sarah sombra dans un profond sommeil, durant les deux heures qu’il restait, elle s’endormit. Lorsqu’elle se réveilla, elle aperçut un gigantesque établissement, vieux et délabré. Il comportait environ quatre étages sans compter le rez-de-chaussée. Sarah regarda à travers la vitre ruisselante à cause de la pluie. Et parvînt à apercevoir le chauffeur discuter à l’extérieur de la voiture avec un homme plutôt âgé. La voiture était garée au milieu de la petite route de campagne, il n’y avait aucune voiture et un silence de mort. Le mystérieux inconnu devait avoir la cinquantaine, le crâne dégarni et le teint livide on aurait dit un fantôme flottant dans l’air à la recherche de personne à effrayer. Pourtant il semblait gentil, il souriait sans cesse, hochant la tête pour un rien à chaque parole énoncé par le chauffeur. Jusqu’à ce qu’il aperçoit Sarah dissimuler sous les sièges, le cœur battant. Les deux hommes s’approchèrent, son visage blanc se décomposa ; il ouvra brutalement la portière et remercia chaleureusement le chauffeur. Il marmonna et appela une femme assez âgée qui trainait derrière elle, accrochée à sa pochette plaquée contre son chemisier.
« Bonjour, Sarah. Bienvenue dans notre établissement. Le célèbre orphelinat du village d’Anguier. »
_Melle Martine va te faire visiter l’établissement.
La secrétaire s’avança d’un pas sûr et empoigna Sarah brutalement par le bras.
_ Mais il est tard, protesta Sarah. Je n’ai rien mangée, je suis extrêmement fatiguée.
_ Voyons Sarah, tu n’a rien fait de la journée ! Ne me dit pas que trois heures de routes t’on épuisée !
Ne se sentant pas d’humeur à riposter Sarah suivit tant bien que mal la secrétaire. La jeune fille s’attendait à ce qu’ils se montrent plus compréhensifs avec elle. Silencieuse elle suivit Melle Martine ; elles pénétrèrent dans l’établissement sombre et calme. Un long couloir s’étendait à perte de vue. Cette dernière désigna deux grandes salles à gauche du couloir.
« Voici le réfectoire, il comporte deux salles. »
La salle opposée était le bureau du Directeur et à côté se trouvait le secrétariat ainsi que le bureau de la sous directrice. Les pièces avaient l’air plutôt spacieux quoique poussiéreuse. Elles arrivèrent à l’escalier principal et accédèrent au premier étage. Entre temps Sarah avait aperçut plusieurs bureaux de professeur ainsi que des toilettes, des vestiaires et des appartements privés. Le premier étage concernait les élèves dit : « Rouges.» (couleur des uniformes.) Les élèves devaient avoir entre treize ans et quatorze ans et demi. Les quatre salles de classes étaient assez réduites tout comme les chambres bien qu’elles ne soient pas individuelles. Les deux autres étages étaient identiques, tout élèves devait rester dans son étage appropriés, les seuls fois où les élèves de différent étages pouvaient se voir était au réfectoire, dans la cour et en sortie ou voyage. Le deuxième étage quant à lui était accessible au « Vert. » élèves ayant entre quatorze ans et demi et seize ans. Et pour le troisième étage il fallait avoir entre seize et dix huit grand maximum leurs uniformes eux sont de couleurs bleu. Les orphelins plus jeunes étaient dans l’établissement voisin.
« La visite est terminée jeune fille, vous pouvez disposée, votre dortoir est le numéro 009. Pour le moment vous aurez un uniforme de couleur rouge. Vous serez donc au premier étage.»
La secrétaire laissa Sarah désemparée, les bras ballant au milieu du couloir. Au bout de quelques secondes, elle réagit et se dirigea vers sa chambre. En entrant, elle comprit vite que ce n’était pas par charité qu’il la laissait seule cette nuit : la chambre comportait deux lits dont l’un était en vrac avec plusieurs sacs et magazines dessus. Le lit occupé se trouvait près du radiateur et de la fenêtre : la place idéale. Sarah s’installa tranquillement et s’endormit.
Je m'excuse encore des fautes d'orthographes, seulement j'ai de gros problème avec ma connection internet assez merd*que, du coup j'ai du mal à acceder au forum régullièrement et à trouver un correcteur qui ne fasse pas ramer mon ordi.
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