Musiciens des Enfers

Ce sont les musiciens du coeur. Tristes et beaux, ils balançent leurs fardeaux sur les coins acérées de mes pensés. Il est temps de réapprendre à vivre avec les couleurs de nos auras corporelles.

Le Juda sombre, contre la prunelle bleue... c'est la séduction aux bord du parfait, qui joue à l'accrobate avec grace, et équilibre. Ce sont mes mots qui tremblent aux bout de mes lèvres, sensiblement indécises.

Je voudrais danser dans les bras du monde avec armonie, or mes gestes grotesques sombrent dans l'océan du non-réel, dans l'océan du non-temps, dans l'océan du négatif... c'est un filtre noir qui renverse le diagramme de mes rêves de mort.

C'est un dos que je souhaite, un dos de fragrances inconnues, un dos à découvrir. J'attend un jour qui ne vient pas, un jour qui ne coule que dans mes soupirs.

C'est le grand miroir de l'incertitude, qui se pâme dans mon âme de certitudes non-certifiés.

Adieu, je voudrais dire adieu à cette bête qui me dévore. Je voudrais la détruire, sans avoir à m'atteindre. La balle de mes détritus sonores, finira t-elle par partir?

Et je tomberai de ces gargouilles familières, pour aller me perdre dans l'infini enfer du non-amour, de la létargie respirante qui chante dans mes entrailles.

Je suis entre le bleu et les ténébres, or je ne sais pas choisir... dommage.



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Bonjour Lilamor, je trouve déjà que vous pourriez choisir de relire un minimum ce que vous écrivez avant de le proposer sur le site. L'accumulation de fautes d'orthographe dans votre texte le rend désagréable à lire. Pourquoi le charger ainsi de handicaps ?

Au lieu de commenter sur le fond, je vais vous indiquer lesdites fautes.

Ce sont les musiciens du coeur. Tristes et beaux, ils balancent (le "c" cédille se place devant les voyelles "a", "o" et "u") leurs fardeaux sur les coins acérés ("coin" est un mot de genre masculin) de mes pensées. Il est temps de réapprendre à vivre avec les couleurs de nos auras corporelles.

Le Judas sombre, contre la prunelle bleue... c'est la séduction aux bords du parfait, qui joue à l'acrobate (un seul "c") avec grâce, et équilibre. Ce sont mes mots qui tremblent aux bouts (ou "au bout") de mes lèvres, sensiblement indécises.

Je voudrais danser dans les bras du monde avec harmonie, or mes gestes grotesques sombrent dans l'océan du non-réel, dans l'océan du non-temps, dans l'océan du négatif... c'est un filtre noir qui renverse le diagramme de mes rêves de mort.

C'est un dos que je souhaite, un dos de fragrances inconnues, un dos à découvrir. J'attends un jour qui ne vient pas, un jour qui ne coule que dans mes soupirs.

C'est le grand miroir de l'incertitude, qui se pâme dans mon âme de certitudes non-certifiées ("certitude" est un mot de genre féminin).

Adieu, je voudrais dire adieu à cette bête qui me dévore. Je voudrais la détruire, sans avoir à m'atteindre. La balle de mes détritus sonores (insérer une virgule ici, comme vous avez fait, entre le sujet et le verbe, en l'absence d'incise, n'a pas de sens) finira-t-elle par partir?

Et je tomberai de ces gargouilles familières, pour aller me perdre dans l'infini enfer du non-amour, de la léthargie respirante qui chante dans mes entrailles.

Je suis entre le bleu et les ténébres, or je ne sais pas choisir... dommage.

Ben moi je vais commenter le fond.
Des expressions comme "les coins acérés de mes pensées" ou "la séductions au bord du parfait" sont nulles et ne veulent absolument rien dire.

Ok c'est vaguement poétique mais déjà mille fois lu et relu, fait et refait par des dizaine de milliers de jeunes apprentis poêtes et complètement incompréhensible, complétement gratuit, completementmasturbatoire. Je sais pas écrit sur un clou, sur un puit sans fond, cherche des images originales, une approche, une accroche...

Plein de fautes !
le tout me paraît un peu verbeux et vide de sens, mais il y a des trucs pas mal

C'est le grand miroir de l'incertitude, qui se pâme dans mon âme de certitudes non-certifiés.

Là, il y a quelque chose, je trouve

Vraiment désolé que ça ne plaise pas. Je tiens juste à dire à lemon a, que j'ai écris ce texte assez vite, je n'ai pas chercher à jouer à la pseudo artiste qui met des mots à la suite pour faire joli. Ce texte n'a pas vraiment de sens, je veut bien le croire, mais si je donne une impression si négative c'est que j'ai vraiment raté mon coup.

Je trouve ça aussi un peu vide, mais plusieurs phrase que l'aime bien :

Le Juda sombre, contre la prunelle bleue... c'est la séduction aux bord du parfait, qui joue à l'accrobate avec grace, et équilibre. Ce sont mes mots qui tremblent aux bout de mes lèvres, sensiblement indécises.

C'est le grand miroir de l'incertitude, qui se pâme dans mon âme de certitudes non-certifiés.

Et je tomberai de ces gargouilles familières

Et j'aime beaucoup le "dommage" à la fin.

Cette phrase, tout seule c'est ce que je reproche à ce texte. Un coup banalissime, baché et rabaché, un coup trouvé et bien trouvé.

C'est un dos que je souhaite, un dos de fragrances inconnues, un dos à découvrir. J'attend un jour qui ne vient pas, un jour qui ne coule que dans mes soupirs.

De belles phrases à garder mais à mettre autre part, soit dans un texte qui va quelque part (là c'est juste des pensées), soit en retravaillant tout pour en faire un exercice de style...

Même sentiment que précédemment : des mots agencés pour faire joli mais sans réelle portée. C'est dommage.

Contrairement à "il était", j'ai trouvé ce texte un peu "verbeux" comme l'ont souligné les autres...Je pense qu'il faudrait supprimer certaines choses ou les reformuler de façon plus légère...et surtout, te relire. Que tu aies écrit ce texte vite, no prob pour moi, mais si tu penses satisfaire tes lecteurs sans le retravailler après le premier jet, je pense que tu te trompes...C'est dommage de ne pas exercer et parfaire (en le retravaillant) un style qui a tout à prouver, et qui aurait tout pour plaire s'il était un peu moins "à l'arrache", tant pour l'orthographe que pour la forme.

Mais ton univers me plaît toujours autant ;-)!

Sorry lilamor, suis passée complètement à côté.
Les fautes bien sûr mais pas que ça. Tu accumules dans des phrases trop chargées une succession de clichés et d'images bancales qui finissent par donner un ton mélo-guimauve à l'ensemble et là, j'ai du mal.