LA PEAU D'UN HOMME

LA PEAU D’UN HOMME

La peau d’un homme c’est comme un livre
Ca raconte tout c’qu’il a du vivre
Dans chaque rides au coin de l’œil
On peut cerner le poids des deuils
Au fond des canyons asséchés
Ou des torrents de larmes on voyagés
Sur chaque épaules un peu courbées
On devine le poids du passé

La bouche d’un homme c’est comme un livre
Ou tant de maux se sont écrits
Ca boit de l’eau ou ce s’enivre
Des baisers qui se sont blottit
Ca peut hurler ça peut se taire
Lancer des flammes de la lumière
Etre sucré salé amer
Remplis de femmes ou de désert

Le cœur d’un homme c’est comme un livre
C’est le jardin de son histoire
Ca s’emprisonne ça se délivre
Ca boit du rouge ça broie du noir
C’est le champ fertile ou il s’aime
Parfois des fleurs souvent des peines
L’arbre fragile de ses poèmes
Le puit des émotions le grenier de sa haine

La mort d’un homme la fin d’un livre
Page tournée l’être effacé
Un souvenir presque une archive
Et quelques vers à sa santé
Qu’il ai été prince ou voleur
Porte qui grince ou bonne humeur
Qu’on soit les pires ou les meilleurs
Un jour pour nous aussi the best c’est l’heure

lerodriguez a écrit:
Etre sucré salé amer
Remplis de femmes ou de désert
...
Ca boit du rouge ça broie du noir
...

Quelques vers qui m'ont plu.
N'est il pas possible que tu fasses corriger tes fautes d'ortho avant de poster ?
Celles-ci sont telles parfois que le sens s'en trouve altéré ou plus difficile à comprendre.

Tu devrais faire corriger l'orthographe lerodriguez, ça prend le dessus sur le reste.

Puis un petit truc pour le Ç: tu maintiens la touche ALT enfoncée et en même temps, tu tapes 128 sur le pavé numérique

Sahkti a écrit:Tu devrais faire corriger l'orthographe lerodriguez, ça prend le dessus sur le reste.

Puis un petit truc pour le Ç: tu maintiens la touche ALT enfoncée et en même temps, tu tapes 128 sur le pavé numérique

Merci Shakti ! J'oublie toujours ! :-)

Je fais simplement répété ce que je t'ai dit sur LOTO ROUTE : corrige tes fautes!

Je reviendrai commenter quand ce sera fait ;-)

jonjon21 a écrit:Je fais simplement répété ce que je t'ai dit sur LOTO ROUTE : corrige tes fautes!

Je reviendrai commenter quand ce sera fait ;-)

Ah et je fais une faute en te disant de corriger les tiennes. Pas fort. Il fallait lire "je fais simplement RÉPÉTER"...

Dis donc! C'est ma deuxième faute en 24 heures... je dois couvrir quelque chose...

jonjon21 a écrit:

jonjon21 a écrit:Je fais simplement répété ce que je t'ai dit sur LOTO ROUTE : corrige tes fautes!

Je reviendrai commenter quand ce sera fait ;-)

Ah et je fais une faute en te disant de corriger les tiennes. Pas fort. Il fallait lire "je fais simplement RÉPÉTER"...

Dis donc! C'est ma deuxième faute en 24 heures... je dois couvrir quelque chose...

Ouille ! moi j'écrirais : "je Vais répéter" au lieu de "je fais" et aussi je dois "couver" et pas "couvrir", mais ce que j'en dis, moi, francophone même pas de métropole non plus... y a sans doute des néologismes et expressions de mes cousins qui m'échappent... ;-)

Mes excuses le rodriguez, peux pas commenter

C'est vrai, l'expression exacte c'est couver, mais au Québec, à l'oral, on dit souvent couvrir.

Y a de l'idée et certains vers sont bien tournés. La reprise thématique de vers en vers est intéressante mais m'a un peu lassée au fil de la lecture. Faut dire, je me lasse vite en poèsie, question de goût sans doute, en général il me faut du rythme et du peps pour que j'accroche et donc ici ça me manque un peu.
On sent néanmoins que tu es as l'aise dans le genre poètique, tu sais varier les thémes et la forme, tu jongles facilement avec les mots mais c'est un peu maladroit parfois.

LA PEAU D’UN HOMME

La peau d’un homme c’est comme un livre
Ca raconte tout c’qu’il a dû vivre
Dans chaque ride au coin de l’œil
On peut cerner le poids des deuils
Au fond des canyons asséchés
Où des torrents de larmes ont voyagé
Sur chaque épaule un peu courbée
On devine le poids du passé

La bouche d’un homme c’est comme un livre
Où tant de maux se sont écrits
Ca boit de l’eau ou ça s’enivre
Des baisers qui se sont blottis
Ca peut hurler ça peut se taire
Lancer des flammes de la lumière
Etre sucré salé amer
Remplie de femmes ou de désert

Le cœur d’un homme c’est comme un livre
C’est le jardin de son histoire
Ca s’emprisonne ça se délivre
Ca boit du rouge ça broie du noir
C’est le champ fertile où il s’aime
Parfois des fleurs souvent des peines
L’arbre fragile de ses poèmes
Le puit des émotions le grenier de sa haine

La mort d’un homme la fin d’un livre
Page tournée l’être effacé
Un souvenir presque une archive
Et quelques vers à sa santé
Qu’il ait été prince ou voleur
Porte qui grince ou bonne humeur
Qu’on soit les pires ou les meilleurs
Un jour pour nous aussi the best c’est l’heure

Juan, ce serait sympa d'essayer de participer à un exo collectif de temps en temps. Histoire d'échanger un peu plus. Ou que tu fasses un tour sur le fil "Des babils & Co".
;-)