Je suis tout

Salut voila mon texte ;

Je suis tout. Je suis le cosmos, je suis l'univers. Je suis la terre et je suis le soleil. Je suis l'oiseau et le vent qui l'aide à voler. Je suis les nuages et je suis sa pluie. Je suis la plante et je suis l'eau. Je suis la matière et le vide. Je suis les animaux et les hommes. Je suis le voyageur et son chemin. Je suis le facteur, sa lettre et celui qui la reçoit. Je suis le couteau, je suis sa main et je suis celui qu'il transperce. Je suis la vie et je suis le mort. Je m'appelle Dieu et je m'appelle Allah, je m'appelle Nature. Je m'appelle le Créateur. J'ai m'appelle de millier de nom. Je suis ce qui existe et ce qui n'existe pas, ce qui existait et qui existera. Je suis l'infini et le vide. Je suis le bien, le mal et je suis l'équilibre. Je suis la force, la réponse, le problème, la vérité, le mensonge, je suis Le. Ou La. Je suis le Paradoxe, car je suis ne suis pas Un. Ni Une. Et pourtant, je reste divisé et me divise par zéro.

A l'intérieur de son vaisseau spatial, Tbal parcourait Orlo, une galaxie grandissante. De par sa conquête de l'univers, l'aventurier en avait déjà appris énormément sur les mystères de l'existence. Depuis peu il venait de découvrir la force de rassemblement. L'union. Car à travers son microscope de Plap, il avait observé des particules qui c'était assemblées pour former quelque chose d'autre qui ne ressemblait à ni l'une ni l'autre. « L'union forme quelque chose de nouveau » avait-il conclu.

Tbal poursuivit son chemin stellaire. Il finit par rejoindre une nouvelle planète. Il fait nuit. « Drôle de monde ». Le vaisseau c'était posé dans un champ. L'aventurier descendis. Au loin, il distinguait de la fumé jaunâtre. Il décida d'aller voir. La bas, un feu, et trois âme rassemblées. « L'union a aussi réussi dans ce monde » conclut-il. Deux créaient le son en soufflant et la dernière en multipliant des vibrations à l'intérieur d'une sphère en bois. Des odeurs nouvelles flottaient dans l'air. Un être s'amusait avec les ronds blancs qui sortaient de sa bouche. Tbal, éternel conquérant de nouvelle expérience voulut essayer. On lui expliqua qu'il fallait inspirer et expirer à travers le tube. Il s'exécuta. « C'est étrange » disait-il.

Tbal continua son exploration. Il suivait des lumières. La bas, des habitations en bois et en pierre de toutes les formes et de toutes les couleurs. Il s'arrêta près d'une qui l'amusait. Des morceaux de natures avaient été rassemblé autour d'une lance plantée verticalement dans le sol. Au sommet on avait accroché un bout de tissu. A coté, des poteaux lumineux en informaient des couleurs bleu, blanc et rouge. La bas des êtres similaires à ceux d'avant, sauf habillé tous pareil, se réjouissaient. « Une belle prise, trois kilos » disait-ils. « Drôle de passion pour cette feuille verte» disait Tbal.

Au levée du jour Tbal finissais sa méditation. Ils voulaient apporter son aide dans ce monde. Ils tenteraient la force de rassemblement qui avait déjà marché sur cette planète. Ils décida d'unir tous ceux qu'ici on appelait les « drogués » et les « policiers ». Il déclara : « Tous, avez un but commun, trouver la feuille verte, unissez-vous au lieu de vous séparer. ».

Marrant ! J'ai bien aimé le principe et l'écriture (à part les fautes, il en reste, faites encore un effort) ; simplement, la déclinaison des Je suis en italique au début me paraît un poil longue.

Les histoires de vaisseaux spatiaux et aventures inter-galactiques ne m'attirent pas, alors je ne me prononcerai pas sur le corps du texte. En revanche, l'introduction avec son énumération de "je suis" m'a plu pour la variété des idées, et la forme de poésie qui s'en dégage.

Attention :

J'ai m'appelle de milliers de nom.

Hum !!

Easter(Island) a écrit:

J'ai m'appelle de milliers de noms.

Beaucoup de fautes...

Une introduction sympathique, j'ai trouvé, mais... Je n'ai pas compris le rapport avec le reste du texte. Suis-je passé à côté de quelque chose ?

Sinon, je trouve qu'il y a de l'idée, mais que le tout est mené de manière trop rectiligne, plate, simple. Je pense que le lecteur aurait besoin de plus de précisions, de détails voire de détours. Mais j'aime bien cette histoire d'union, l'idée ne demande qu'à être davantage développée =)

C'est bien. Moi j'dis que Tbal, il s'retrouvra en bouquin de poche un jour.
Mais alors bazar la route est encore longue. Mais j'y crois quand même.
1/ les fautes: ça commence à bouger dans le bon sens.
2/la moquette: on dirait que t'en roule moins.
3/le temps: si on n'entend pas ta guitare à la noix, c'est que tes doigts sont sur le clavier.
Ces trois élément portent un certain bon espoir. J'suis de ton coté.

En effet quelques fautes mais je sais bien que je suis loin d'être irréprochable sur ce point moi-même. Sinon j'aime bien l'idée, c'est sympa. En plus, on trouve pas beaucoup de textes dans ce registre sur le forum, donc ça change un peu, et j'apprécie pour ma part. Bon courage pour la suite.

Merci pour vos commentaires. Tout d'abord, pour les fautes, sachez que je tente toujours de m'améliorer. Faut bien du défi

C'est bien. Moi j'dis que Tbal, il s'retrouvra en bouquin de poche un jour.
Mais alors bazar la route est encore longue. Mais j'y crois quand même.
1/ les fautes: ça commence à bouger dans le bon sens.
2/la moquette: on dirait que t'en roule moins.
3/le temps: si on n'entend pas ta guitare à la noix, c'est que tes doigts sont sur le clavier.
Ces trois élément portent un certain bon espoir. J'suis de ton coté.

Merci pour le bouquin de poche lol. A l'heure actuelle, Tbal est encore assez maladroit, un peu comme son auteur qui tente de s'améliorer. Sinon loin de moi de fumé la moquette, tu sais bien pourquoi on a inventer les parquets, heins ? Et puis ma guitare est en bois et non à la noix.

Merci à tous pour vos lectures et commentaires.

c'est quoi tout ça ? la conquête du nouveau Graal, le dieu Canabis ? ou j'ai mal compris ?
;-)

Tbal est encore maladroit mais il est attachant, parce qu'il ne nous la joue pa ssuper héros qui roule des mécaniques; j'aime assez ça.
Toute comme j'aime le contratse entre l'énumération d'entame et la suite, plus en recul et en observation.
De ci de là des maladresses d'orthographe ou de grammaire (mais tu as pas mal progressé sur ce point) et un texte parfois très (trop?) distant, mais l'ensemble commence à prendre corps on dirait.