Enfance sucrée, vieillesse amère

Enfance sucrée, Vieillesse amère

Il souriait sur son cheval de bois, le manège tournait, rien n’aurait pu gâcher son bonheur . Sa grand-mère le regardait, elle avait beau lui sourire, quelque chose l’a tourmentée depuis sa dernière visite chez son médecin, elle n’avait qu’une crainte à présent : oublier à jamais que ce petit bonhomme blondinet qui était son petit fils. « La maladie progresse petit à petit lui a-t-il dit pour la rassurer .Mais aujourd’hui en le regardant, elle avait de nouveau la boule dans l’estomac de la veille. Elle regardait ce manège tourner, elle se disait au fond d’elle-même que sa maladie allait sans doute allait aussi vite que lui, de plus en plus vite, de plus en plus de souvenirs oubliées, effacées. Le manège s’est arrêté, son petit fils est descendu, elle sécha ses larmes.

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Un flash intéressant, qui aurait mérité une relecture plus attentive avant de poster. Dans un texte aussi court, les erreurs et maladresses se voient beaucoup et donnent une impression dommageable de bâclé.Je vous précise ci-dessous ce qui a arrêté ma lecture.

Il souriait sur son cheval de bois, le manège tournait, rien n’aurait pu gâcher son bonheur . Sa grand-mère le regardait, elle avait beau lui sourire, quelque chose la tourmentait depuis sa dernière visite chez son médecin, elle n’avait qu’une crainte à présent : oublier à jamais que ce petit bonhomme blondinet qui (il faut choisir entre "que" et "qui", la phrase telle quelle n'est pas grammaticale) était son petit- fils. « La maladie progresse petit à petit lui a-t-il dit pour la rassurer .Mais aujourd’hui en le regardant, elle avait de nouveau la boule dans l’estomac de la veille (formulation maladroite). Elle regardait ce manège tourner, elle se disait au fond d’elle-même que sa maladie allait sans doute aller (je suppose ; si c'est ce que vous avez voulu écrire, la répétition est très maladroite) aussi vite que lui, de plus en plus vite, de plus en plus de souvenirs oubliés, effacés (et non "oubliées, effacées" ; on dit un souvenir). Le manège s’est arrêté, son petit fils est descendu, elle sécha ses larmes. (je trouve que mélanger passé simple et passé composé dans un même texte peut constituer un choix intéressant, mais, à mon avis, le mélange ne fonctionne pas dans cette dernière phrase)

Les erreurs que Socque a signalées empêchent la lecture, en effet. C'est dommage.

Beaucoup d'erreurs, en effet. Le texte et court, j'en attendais donc plus dans un si petit bloc. L'idée du sujet était sympathique, et bien menée, aurait pu être source d'émotion. Mais je suis resté insensible au texte. Et j'avoue que comme Socque la sensation de bâclage y était pour beaucoup. Mais, je ne sais pas si c'était voulu ou pas, la dernière phrase du texte m'a parlé, et j'y ai vu quelques symboles. J'espère ne pas m'être trompé. Bon courage pour la suite, Machka.

J'aime beaucoup le titre.
On peut supposer que tu as observé ces deux personnages, que le contraste t'a ému, et tu traduis bien cette émotion, mais hélas en très mauvais français, ce qui empêche le lecteur d'apprécier vraiment.
La forme doit être impeccable pour pouvoir apprécier le fond. Un conseil : fais-toi aider pour les corrections avant de poster, et surtout ne te décourages pas. Merci.
embellie

Un texte saisissant de par sa brièveté et tout ce qu'il donne à comprendre et imaginer en si peu de mots. Dommage que les fautes, de temps et de ponctuation surtout, en gâchent la qualité.

je suis la soeur de machka et jai utilisé le même pseudo qu'elle et j'ai envoyé mon brouillon sans me relire ! impossible de faire marche arrière

Les erreurs et maladresses ont déjà été signalées, dommage qu'il y en ait eu autant.
Outre cet aspect, j'ai également trouvé le ton général un peu niais, trop doux, très attendu. Avec un thème pareil, personne ne va sauter de joie ou trouver formidable ce qui arrive à ces gens, alors j'ai ici le sentiment de voir des portes ouvertes qu'on tenterait d'enfoncer et je suis passée à côté, désolée.