Exercice "Figures de style" pour le 11 mars

oui, qu'est-ce que ça va être le rendu des copies !!!
va falloir épingler un gros avertoch style "moins de 15 ans passez votre chemin"... :-)))

mentor a écrit:oui, qu'est-ce que ça va être le rendu des copies !!!
va falloir épingler un gros avertoch style "moins de 15 ans passez votre chemin"... :-)))

En même temps, les moins de 15 ans, ils sont souvent plus éveillés que les vieux hein ;-)

rassurez-moi !
vous n'allez pas tous faire dans la chanson paillarde ?
parce que perso, je vais me lancer dans une histoire dans laquelle il sera certes question de ça, mais pas seulement, presque pas...

c'est qu'une contrainte parmi d'autres quoi
non ?

D'où ma question d'hier : la contrainte, c'est d'écrire une chanson paillarde ou d'en citer une ?

Je ne compte pas du tout écrire de chanson paillarde :-)

grieg a écrit:rassurez-moi !
vous n'allez pas tous faire dans la chanson paillarde ?
parce que perso, je vais me lancer dans une histoire dans laquelle il sera certes question de ça, mais pas seulement, presque pas...

c'est qu'une contrainte parmi d'autres quoi
non ?

ah ? eh bien personnellement j'ai bossé sur une chanson paillarde, je ne dirais pas que ça m'a transportée mais voilà quoi, c'est prêt peu ou prou...

grieg a écrit:rassurez-moi !
vous n'allez pas tous faire dans la chanson paillarde ?
parce que perso, je vais me lancer dans une histoire dans laquelle il sera certes question de ça, mais pas seulement, presque pas...

c'est qu'une contrainte parmi d'autres quoi
non ?

ha bon ? Ben moi je prends ça au premier degré : genre ? "chanson paillarde", j'obéis ! discipline et tout
et même si j'ai encore rien commencé, ça sera une chanson paillarde, point
et même pas je vais me modérer
;-)

pas de souci avec les chansons paillardes - je ne chantais que ça à mes gosses quand ils étaient encore dans le ventre de leur mère -, je voulais juste prévenir que je n'avais pas vu l'exo comme ça, et que ça me gonflerait de ne faire que ça

voila voila

Mais alors à quoi correspond au juste la contrainte "genre littéraire" ?

socque a écrit:Mais alors à quoi correspond au juste la contrainte "genre littéraire" ?

à déterminer le "genre" de l'exo tout entier !
mais, ça c'était avant que tu ne me sortes "chanson paillarde" de ton escarcelle.
à quoi bon les contraintes si ce n'est pour les détourner

c'est un fait : si je dois n'écrire que cela, je m'ennuie, si je m'ennuie, je pense, si je pense, je meurs, si je meurs, je n'écrirai jamais de chanson paillarde.

Bon ben mon pauvre jardinier Pivoine est passé à la trappe ?
Tant pis, au moins il bouchera son trou...

Et bien en élève sage, de mon coté, j'ai travaillé sur le genre "chanson paillarde" même que comme je n'ai proféré aucune insanité de ma vie cela a été un des exercices les plus difficiles de ma vie.
(c'est presque vrai)
Tout ça pour dire que ma chanson paillarde ne poserait pas de problème à un enfant de moins de 15 ans, ni même de moins de 6 ans d'ailleurs (vu qu'il ne sait pas lire)
Et pourtant il me semble bien que c'est une chanson paillarde, mêmes si elle ne restera pas dans les mémoires
Et puis il est hors de question que je retravaille autre chose.
Grieg on compte sur toi pour nous étonner, mais faudra quand même penser mon gars!
Socque quelque chose me dit que ce sera bien si c'est seulement une citation d'une chanson paillarde.
Ba il semble que ton jardinier pivoine ait relevé du trafic d'influence et je crains que ton exemple ait quelque chose à voir avec les dérèglements hormonaux de notre Panda.
Sahkti: même pas cap ;=))

Non non Ba, je voulais débroussailler de mon côté avant de commenter !

Votre texte est marrant et le rythme me paraît bon, bien allègre, sauf pour
"Nœud sommeil du phallique", impossible à scander en octosyllabe.

Ah ben, Eddy, la contrainte c'est la contrainte !

Sinon, j'y pense : c'est bien mercredi qu'on est censé poster ? Je le ferai un peu en avance parce que je pars à la chorale dans l'après-midi.

Bien, moi j'ai pris les contraintes au pied de la lettre, ce donc sera une chanson paillarde, classique dans le genre.

Après en avoir écouté tout mon dimanche matin (un peu de bite et de couilles entre les croissants et les petits pains), je dois dire que j'étais en forme !

N'empêche que glisser les figures de style là dedans n'est pas une mince affaire mais je me prends au jeu.

À mercredi, les amis.

grieg a écrit:rassurez-moi !
vous n'allez pas tous faire dans la chanson paillarde ?
parce que perso, je vais me lancer dans une histoire dans laquelle il sera certes question de ça, mais pas seulement, presque pas...

c'est qu'une contrainte parmi d'autres quoi
non ?

Une contrainte parmi d'autres ? J'ai tâché, pour ma part, de les prendre toutes au pied de la lettre. Ma foi, si on peut s'accorder un peu de liberté ça y gagnera peut être en légèreté ...

Eddy a écrit:Sahkti: même pas cap ;=))

Ha mais ??!! Tu me mets au défi !? :-))

On poste dans ce fil-ci ou bien textes indépendants?

Si textes indépendants, ça sera intitulé "Figures de style 2" alors ?

Oh, ce seront des textes assez courts, scabreux en plus, je propose de les poster dans ce même sujet...

Tout cela me rassure, je ne suis pas fière de moi. Un peu comme Eddy, pas habituée au langage du genre....

Bon ben je délaisse mon jardinier mélancolique pour un truc plus scabreux alors...
;-))

Merci Socque d'avoir pris la peine de regarder sans rougir comme une...

grieg a écrit:

socque a écrit:Mais alors à quoi correspond au juste la contrainte "genre littéraire" ?

à déterminer le "genre" de l'exo tout entier !
mais, ça c'était avant que tu ne me sortes "chanson paillarde" de ton escarcelle.
à quoi bon les contraintes si ce n'est pour les détourner

Ah, ça ça m'arrange. Les chansons paillardes, c'est pas facile quand on a pas l'habitude.

J'espère que je serai à l'heure cette fois ;-)

Evanescent a écrit:
Ah, ça ça m'arrange. Les chansons paillardes, c'est pas facile quand on a pas l'habitude.

On se demande qui a l'habitude... !

Y a pas mal de trucs à coller... alors si je veux y glisser une racuspoteuse, est-ce que ça va le faire...

Un peu en avance, je vais partir à la chorale. grieg, j'ai terminé le Mitchell, on pourra se voir pour en causer ! Il est excellent.

Le jardinier, le père Antoine
Soupirait devant ses pivoines.
L'œil éteint et la bite basse,
Il soupirait : "Hélas, hélas !
Mes fleurs, mes chéries, belles âmes,
Sèches comm' le con de ma femme,
Se languiss'nt du jus de mon vit,
Mon eau d'homm' qui donne la vie !

Gare à ma lan-an-an-an-ceu !

Vitamines, sels minéraux,
Protéines et oligo-,
J'outrecuidance avec les loups :
Dans mon sperme il y a de tout !
J'ai baisé comme un agouti
(Petit), un titi abruti,
Trompé mes superbes pivoines
Avec des putains." Vieil Antoine,

Gare à ta lan-an-an-an-ceu !

Quinquagénaire buriné,
Au soleil tu t'es démené
Pour arroser en te branlant
Tes fleurs d'un jus bien nourrissant,
Une eau savoureus', frétillante,
Nacrée, goûteuse, étincelante !
Tu te lament's : "On dit bien que
Volcans forts gardent lave en eux,

Gare à leur lan-an-an-an-ceu !

Ne la crachent pas à tout va
Dans des orgies, d'impurs ébats.
Que n'ai-je écouté la sagesse
Populaire au lieu de bougresses
Bourrer, niquer, enculer, foutre !
Mon braquemard comme une poutre
Les défonçait, perdait son eau,
Fuyait tel un pauvre tuyau.

Gare à sa lan-an-an-an-ceu !

J'ai cru ma pin' source infinie
De délices taille maxi,
Ai privé mes seules amours
De ma pluie suave. Dans leur cour
Elles sont mortes desséchées,
Victim's de mes affreux péchés.
Leurs dépouilles je dois, fin soûl,
Ramasser, ranger, classer." Fou !

Gare à ta lan-an-an-an-ceu !

Vieux dément lubriqu', sale bouc,
Tu as foutu un sacré souk.
Admire-le de ton fauteuil,
De prix agricol's fais ton deuil.
Contrairement à cet avion
Qui décolle, plus de ton fion
Ne s'élèvera ton engin :
Tu as trop fourré de vagins.

Finie ta lan-an-an-an-ceu !

socque s'est amusée, on dirait :-))

Hubert le jardinier

Hubert était las de cultiver les pivoines.
Pourtant, Dieu sait qu'Hubert adorait cela. Il les observait, les regardait, les admirait, leur parlait, les classait, les nommait, les choyait. Il les aimait. Toutes et chacune.
Ses pivoines étaient pour lui autant de filles qu'il n'avait jamais eues.
Puis arriva le jour où Hubert en eut assez.

On aurait pu penser que la cause de ce désintérêt était le décollage incessant d'avions au-dessus de la tête de ses bien-aimées mais cela durait depuis plusieurs années et n'avait jamais eu l'air d'affecter qui que ce soit. Ni les pivoines, ni Hubert.
Ce n'était pas non plus la panne d'un volcan en plastique aux lumières incandescentes qui diffusait un courant d'air frais bienvenu en période de canicule. Non, ce souvenir de Hong-Kong n'était pour rien dans le dépérissement de Hubert. Ou de ses pivoines.

L'air était tiède, un tilleul tibétain étirait sa tiare vers un timide soleil.
Hubert était assis dans un fauteuil plus fatigué que lui, faisant face à un sombre tableau, celui de ses fleurs longtemps chéries, aujourd'hui proches de l'anéantissement total.
Les pétales fanés des pivoines se mariaient désormais avec le teint jauni du visage ridé d'Hubert mais la ressemblance s'arrêtait là. Car ces fleurs sur le départ faisaient preuve à l'égard de leur protecteur d'une certaine outrecuidance, dansant encore au gré d'une brise légère, alors que leur protecteur tenait entre ses mains des feuillets noircis et chiffonnés.

Un regard averti n'aurait pas manqué de remarquer le mélange de honte et de colère ressenti par Hubert lorsqu'il posait les yeux sur le papier maculé.

Connaissez-vous le lubrique jardinier
Qui aime voir son pieu se dresser
Lorsqu'il contemple ses jolies fleurs
Et leur témoigne manuellement son ardeur

Hubert a pourtant une gentille voisine
Dont il aime caresser vigoureusement l'échine
Mais notre homme est plus pervers que moine
Et préfère encore s'astiquer la pivoine

Avant la flore ce furent de pauvres poules
Qu'il embrochait comme un maboul
Au point que sa femme excédée
Lui acheta une plantureuse poupée.

La suite de la chanson fut emportée par les mains d'Hubert dans un déchirement brutal. Tout aussi sauvage fut le geste irréversible de verser du désherbant sur les parterres colorés. Aucune eau, quelle soit métaphorée ou filée, ne parvint à réparer les dégâts.

Vexation, vanité et perversité sont de bien piètres jardinières...

De vrais cas binés. Heuheueu...

Le jardinier Pivoine
en voyant sa voisine
semer la folle avoine
dans tous les potagers,
répendant le boxon
dans les chastes foyers
de son petit canton,

Refrain : Le jardinier Pivoine
..............se fait bien du mouron.

"Foutre! L'outrecuidance
de cette Margoton
met en péril les culs
terreux des besogneux
qui ne besognent plus
ni leur terr' ni la mère
de leurs pauvres rej'tons,
C'en est calamiteux !"

Refrain : Le jardinier Pivoine
..............énonce son mouron.

La famine nous guette
alors que Margoton
tortillant du croupion,
comblée est à la fête
arrosée par ces glands,
tous ces pèr's pervertis
tirant - hardi petit-
la gueuse au con plus grand
qu'un cratèr' de volcan

Refrain : Le jardinier Pivoine
..............arrose son mouron.

Soulevant sa casquette
soucieux le bonhomme
a lâché sa binette
et se gratte le front.
à force de tourner,
triturer et classer
ses trois petits neurones,
Jaillit la solution

Refrain : Le jardinier Pivoine
..............se fait plus de mouron !

De l'eau, de l'eau, de l'eau
pour éteindre Margot
et le feu au derrière
de la foutue sorcière !
De l'eau, de l'eau, de l'eau
arrosez vos poireaux
indignes maraîchers,
Ramez vos haricots !

Le jardinier Pivoine
s'en va chez les pompiers
exposer cette idée
génial' qu'il a trouvée :
en moins d'temps qu'il en faut
pour noyer la Margot
on règle cette affaire
en envoyant en l'air
un train de Canadairs.

Refrain : Le jardinier Pivoine
.............n'a plus d'mouron à s'faire !

Le jardinier de Roissy

Dans le parc de Roissy,
Était un jardinier
Qui n’était plus si jeune
La tige plus trop fière

Il y a longtemps que d’sa pine
Coule plus que des gouttes d’urine

Notre brave bonhomme
D’amour était épris
Pour une hôtesse de l’air
Qu’était une belle cochonne

Il y a longtemps que d’sa pine
Sort plus que des gouttes d’urine

Dans un élan de courage
Il laissa ses pivoines
Pour dans l’aérogare
Lui déclarer sa flamme

Il y a longtemps que d’sa pine
Passe que des gouttes d’urine

La belle fit la promesse
Qu’une chaude nuit d’été
Son pilote oubliera
Pour un simple jardinier

Il y a longtemps que d’sa pine
Glisse plus que des gouttes d’urine

Un soir elle arriva
Son joli berlingot
Tel un volcan humide
Mais il n’en voulut pas

Il y a longtemps que d’sa pine
Tombe plus que des gouttes d’urine

Son vit bien engorgé
Il eut l’outrecuidance
Dans ce cul bien serré
D’y planter sa semence

Il y a longtemps que d’sa pine
Jaillit plus que des gouttes d’urine

En rythme sur sa lancée
La queue tant enfoncée
Qu’il lui brisa le fond
Lui déclassa le fion

Il y a longtemps que d’sa pine
Sourd plus que des gouttes d’urine

A la fin de la nuit
Il ressorti l’outil
L’anus anéanti
Au taf elle repartit

Il y a longtemps que d’sa pine
Gicle plus que des gouttes d’urine

Quand l’avion s’envola
Son trou de cul élargi
Un tel bruit émit
Qu’honteuse elle se cacha

Il y a longtemps que d’sa pine
S’écoule que des gouttes d’urine

La morale d’cette chanson,
Elle n’est pas compliquée
Si on t’encule profond,
Vaut mieux au lit rester

Ah le coquin derrière sa haie
Qu’est-ce qu’il fait donc le jardinier ?
Il se triture le bistouquet
En reluquant la belle Dédée

Mais c’est pas tous les jours dimanche
Le lundi c’est l’repos du manche
Le mardi c’est fait pour la s’mence
Mercredi fête à la boutanche
Et l’jeudi on tient la cadence
Pour que l’vendredi, les pervenches
Comme le samedi se déhanchent

Celles qu’il préfère c’est ses pivoines
Celles qui l’font bander comme un âne
Plus que Dédée, plus que Suzanne
A se damner, à tourner moine

Ah le coquin derrière sa haie
Qu’est-ce qu’il fait donc le jardinier ?
Il se triture le bistouquet
En reluquant la belle Dédée

Un jour pourtant, pourtant pluvieux
Pivoines séchées crénom de dieu !
Y s’branle la tige, leur crache dessus
Que dalle, bernique, elles sont foutues
C’est mal parti, cet abruti
Tout décati se fait tout p’tit.
Voilà pourquoi depuis c’temps là
Derrière la haie y a plus not’gars
La belle Dédée qu’est plus r’luquée
A pris l’avion pour s’en aller

Ah le coquin derrière sa haie
Qu’est-ce qu’il faisait le jardinier ?
Y s’triturait le bistouquet
En reluquant la belle Dédée

.

À la petite semaine

Il chantonnait au volant de sa voiture, en jetant quelques coups d’oeil satisfaits à son reflet dans le rétroviseur.
Lundi,
Larguer les amarres, mar…
Il pensait qu’il avait plutôt bien réussi dans la vie, sans doute grâce à son intelligence fine et constante. Même quand il chantait, il chantait en anadiploses, et il se disait, sans outrecuidance aucune, que ce n’était quand même pas donné à tout le monde.
Mardi,
Écumer la mer, mer…
Et paf, une métaphore filée dans la foulée, y a pas à dire, le talent, ça s’invente pas.
Son génie n’avait pas échappé à Pivoine, faut dire qu’il avait mis le paquet. Avec un nom pareil, il n’avait pas résisté à faire un bon mot : « Tu vois, Pivoine, moi je suis jardinier dans l'âme, j’ai la sensibilité à fleur de pot. » Pour être sûr qu’elle comprenne, il lui avait épelé « pot ».
Mercredi,
Sortir le grand jeu, jeu…
Il stationna la voiture en bas de chez elle et s’aspergea le fond de la gorge avec un spray mentholé avant de sonner :
— Salut Piv’, prête à décoller ?
Elle n’avait rien dit, s’était contentée de refermer la porte derrière lui tandis qu’il chantonnait toujours :
Jeudi,
Le calme avant, ven…
Elle lui tâta le spaghetti, histoire de le mettre en appétit. À ce stade de la relation, il estima opportun de l’encourager :
— Vas-y chérie, je suis chaud bouillant !
Vendredi,
Sans dessus et vice versa, sa…
Et pour réveiller le volcan qu’était en lui, il s’efforça de faire le vide dans son esprit. Parmi les centaines de théories qu’il avait eu l’occasion de développer au cours de sa vie, il y avait celle-ci : jouir c’est comme dormir, plus on y pense, moins on y arrive. Et c’est ainsi qu’il s’endormit.
Samedi,
Réveil maudit, di…
Avachi sur le fauteuil, il ouvrit un œil inquiet, posa son regard sur Pivoine, adossée au mur, les genoux sérés sur sa poitrine, repliée, fanée. Il ne se souvint pas de sa soirée mais décida que quoi qu’il en soit, ce serait une affaire classée, oubliée, balayée. Pivoine, il la reverrait peut-être…
Dimanche,
À la Saint-glinglin, lun…

Sahkti, j'ai beaucoup aimé cette histoire mélancolique, très élégante...

Easter(Island), le texte est marrant, mais je le trouve un peu pirouette - cacahuète...

Arielle : oui ! bien rythmé, entraînant.

abstract : bien vu ! Chapeau pour
"Son joli berlingot
Tel un volcan humide", c'est tout mimi...

mentor : chouette aussi, bien rythmé, un texte qui suit les codes du paillard.