Sans titre pour le moment
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silene82
Akinorev31
Al Capuccino
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Sans titre pour le moment
Bonjour, je vous propose ci-dessous le début d'un récit en cours d'écriture...dites moi ce que vous en pensez, merci.
Comment cette histoire a démarré, personne ne le sait sur cette bonne vieille Planète.
Comment cette histoire va terminer, on ne le sait pas encore.
La seule chose que l’on sait, c’est que cette histoire a eu lieu, et elle s’écrit, sous nos yeux, et qu’entre nous, on peut se le dire, elle fout un sacré bordel dans notre bas Monde.
Certains parlent d’un déséquilibre au Royaume des cieux, que la polarité Ciel-Terre se serait inversée. D’autres parlent de la mort du Seigneur. Tandis que d’autres ne préfèrent pas comprendre, ces derniers ne sont pas comme ceux qui nient les faits, de toute façon ils seront morts avant qu’ils ne puissent se rendre compte de leur erreur.
En tout cas moi je suis sûr d’une chose, c’est qu’elles sont là et que je ne peux me laisser faire.
C’est tout de même étrange je trouve, l’eau qui donne la vie et l’entretien, est devenue le plus grand des dangers pour l’homme, et ce depuis ce 21 août.
Certes, par le passé on avait pu voir que l’eau était dangereuse, tsunamis, requins, tempêtes, ou autres noyades ont fait bien des victimes, mais là c’est le comble.
Putain, j’aimais le 21 août pourtant, c’était une date sympa, plein été, chaleur, baignades, vacances…Maintenant il n’est même plus question de se baigner, et les vacances, c’est un mot que j’ai oublié.
En plus moi qui aime tant prendre des bains, je me retrouve à me laver avec des lingettes pour bébés ou des shampoings secs pour clébards que je trouve dans les maisons de ceux qui ont été consommés.
D’ailleurs quel est le terme exact ? Consommé ? Consumé ? Déchiqueté ? Dévoré ? Assassiné ? …
Je ne sais pas, je ne sais pas grand chose d’ailleurs, mais en tout cas ils ne sont plus là. Moi si.
21 août.
Drôle de date, vraiment, moi qui l’oubliais tout le temps, au moins maintenant je m’en rappellerai, mais pas pour les mêmes raisons.
Cette date je l’oubliais parce que c’est un jour d’anniversaire et moi les anniversaire, j’aime pas trop ça. Au moins maintenant je n’aurai pas à me souvenir du sien, sa disparition date maintenant, je ne veux pas être pessimiste, mais ça sent la mort. De toutes façon, le pessimisme est devenu un sentiment bien optimiste à côté de cette réalité.
Parfois je me dis que ce qu’il se passe n’est qu’un rêve, où devrais-je dire un cauchemar, mais un cauchemar qui dure 24/24 ça semble louche.
Bref revenons à ce 21 août.
La journée était belle, ensoleillée, je faisais la sieste dans mon hamac, alors que le clocher de l’église sonnait 16h.
L’heure de manger une petite glace rafraichissante et d’emballer le cadeau, car oui cette année là, j’y avais pensé.
J’ai à peine eu le temps de me dire que j’allais lui faire une petite surprise, que j’ai senti mes jambes flancher, ma tête tourner, et j’ai gerbé.
J’ai gerbé tout ce que j’avais et plus encore, une lumière d’un violet glacial pénétra la pièce et je me suis écroulé sur le sol comme un nourrisson qui apprend à marcher.
Quand je me suis réveillé, il faisait noir, pourtant le Soleil régnait en maître dans le ciel. Et quand je dis noir, je ne veux pas dire sombre, mais noir, réellement noir. Seul cette tâche lumineuse était là, perchée dans le ciel. J’avais l’impression que je portais des lunettes pour observer les éclipses, vous savez, avec lesquelles on peut voir seulement le Soleil, qui ressemble alors à une balle de tennis.
Par sécurité j’ai préféré rester allongé quelques instants encore afin que ce que je croyais être une mauvaise blague de mon esprit, se dissipe.
A ce moment là, j’ai compris ce qui venait de se passer : Une grosse insolation couplée avec le mauvais Chile Con Carne de la veille. Ma mère me le dit pourtant tout le temps : « malgré ta touffe de cheveux, visse toi cette casquette sur la tête ». Alala les mamans, même à 1000 bornes de vous, et 15 ans après que vous ayez quitté le cocon familial, ça reste des mamans à part entière.
Ma nostalgie maternelle passée, je me suis rendu compte que ça faisait une bonne demi-heure que j’étais allongé au milieu de ma cuisine/salon/chambre/chambre d’invité. Oui, c’est ça d’avoir un petit budget logement, ça ajoute des fonctions aux pièces, l’inverse même de l’automobile, où même pour avoir la clim’, il faut banquer.
Il n’empêche que ne voyant toujours rien, et ayant l’impression que Nirvana s’était recomposé dans ma boîte crânienne, je décidais d’appeler les urgences : « Mieux vaut prévenir que guérir ».
Et bien sûr, chanceux comme je suis, mes poches étaient vides, mon mobile étant toujours en train de faire la sieste dans le hamac. De plus la gerbe me reprenait et la tête recommençait à tourbillonner. Et merde, c’était vraiment pas ma journée, j’avais l’impression que j’allais crever.
Comme quoi, je me trompais une fois de plus, car, je suis toujours là.
Post Blackout
A mon réveil, tout était redevenu normal, enfin presque.
Mes jambes tenaient, ma tête n’organisait plus de Rave et la lumière était revenue. Malgré tout elle demeurait étrange, comme si elle était épaisse, des millions de particules apparaissant sous mes yeux lorsqu’elles croisaient son chemin.
Certains détails m’intriguaient, plus aucun appareil électrique ne fonctionnait, et tous les aimants du frigo gisaient sur le sol. Encore du rangement et des réparations en perspective.
Mais ne voulant pas gâcher ce jour à me plonger dans du travail domestique, je me décidais à sortir, armé du cadeau spécialement acheté pour son anniversaire.
C’est là que la normalité s’évapora. Le sol de mon jardinet était jonché de cadavres de volatiles ainsi que de celui de ma proprio.
Mes doigts s’écartèrent, le paquet glissa et lorsqu’il embrassa le sol, un son bien connu de tous les laveurs de vaisselle s’échappa : « Kling !».
J’étais debout, immobile, la bouche ouverte, en train d’observer le corps de Mme Ponchet, et ce pendant longtemps je pense, car lorsque je me suis décidé à bouger, j’avais la bouche sèche, pâteuse, et mon corps était saisi de crampes.
Ce qui m’a le plus choqué c’est que Mme Ponchet ne semblait pas morte, mais inhabitée, comme si son âme avait décidé de mettre fin à son bail.
Avec du recul je suis quasiment certain que ce cadeau ne lui aurait pas convenu.
Comment cette histoire a démarré, personne ne le sait sur cette bonne vieille Planète.
Comment cette histoire va terminer, on ne le sait pas encore.
La seule chose que l’on sait, c’est que cette histoire a eu lieu, et elle s’écrit, sous nos yeux, et qu’entre nous, on peut se le dire, elle fout un sacré bordel dans notre bas Monde.
Certains parlent d’un déséquilibre au Royaume des cieux, que la polarité Ciel-Terre se serait inversée. D’autres parlent de la mort du Seigneur. Tandis que d’autres ne préfèrent pas comprendre, ces derniers ne sont pas comme ceux qui nient les faits, de toute façon ils seront morts avant qu’ils ne puissent se rendre compte de leur erreur.
En tout cas moi je suis sûr d’une chose, c’est qu’elles sont là et que je ne peux me laisser faire.
C’est tout de même étrange je trouve, l’eau qui donne la vie et l’entretien, est devenue le plus grand des dangers pour l’homme, et ce depuis ce 21 août.
Certes, par le passé on avait pu voir que l’eau était dangereuse, tsunamis, requins, tempêtes, ou autres noyades ont fait bien des victimes, mais là c’est le comble.
Putain, j’aimais le 21 août pourtant, c’était une date sympa, plein été, chaleur, baignades, vacances…Maintenant il n’est même plus question de se baigner, et les vacances, c’est un mot que j’ai oublié.
En plus moi qui aime tant prendre des bains, je me retrouve à me laver avec des lingettes pour bébés ou des shampoings secs pour clébards que je trouve dans les maisons de ceux qui ont été consommés.
D’ailleurs quel est le terme exact ? Consommé ? Consumé ? Déchiqueté ? Dévoré ? Assassiné ? …
Je ne sais pas, je ne sais pas grand chose d’ailleurs, mais en tout cas ils ne sont plus là. Moi si.
21 août.
Drôle de date, vraiment, moi qui l’oubliais tout le temps, au moins maintenant je m’en rappellerai, mais pas pour les mêmes raisons.
Cette date je l’oubliais parce que c’est un jour d’anniversaire et moi les anniversaire, j’aime pas trop ça. Au moins maintenant je n’aurai pas à me souvenir du sien, sa disparition date maintenant, je ne veux pas être pessimiste, mais ça sent la mort. De toutes façon, le pessimisme est devenu un sentiment bien optimiste à côté de cette réalité.
Parfois je me dis que ce qu’il se passe n’est qu’un rêve, où devrais-je dire un cauchemar, mais un cauchemar qui dure 24/24 ça semble louche.
Bref revenons à ce 21 août.
La journée était belle, ensoleillée, je faisais la sieste dans mon hamac, alors que le clocher de l’église sonnait 16h.
L’heure de manger une petite glace rafraichissante et d’emballer le cadeau, car oui cette année là, j’y avais pensé.
J’ai à peine eu le temps de me dire que j’allais lui faire une petite surprise, que j’ai senti mes jambes flancher, ma tête tourner, et j’ai gerbé.
J’ai gerbé tout ce que j’avais et plus encore, une lumière d’un violet glacial pénétra la pièce et je me suis écroulé sur le sol comme un nourrisson qui apprend à marcher.
Quand je me suis réveillé, il faisait noir, pourtant le Soleil régnait en maître dans le ciel. Et quand je dis noir, je ne veux pas dire sombre, mais noir, réellement noir. Seul cette tâche lumineuse était là, perchée dans le ciel. J’avais l’impression que je portais des lunettes pour observer les éclipses, vous savez, avec lesquelles on peut voir seulement le Soleil, qui ressemble alors à une balle de tennis.
Par sécurité j’ai préféré rester allongé quelques instants encore afin que ce que je croyais être une mauvaise blague de mon esprit, se dissipe.
A ce moment là, j’ai compris ce qui venait de se passer : Une grosse insolation couplée avec le mauvais Chile Con Carne de la veille. Ma mère me le dit pourtant tout le temps : « malgré ta touffe de cheveux, visse toi cette casquette sur la tête ». Alala les mamans, même à 1000 bornes de vous, et 15 ans après que vous ayez quitté le cocon familial, ça reste des mamans à part entière.
Ma nostalgie maternelle passée, je me suis rendu compte que ça faisait une bonne demi-heure que j’étais allongé au milieu de ma cuisine/salon/chambre/chambre d’invité. Oui, c’est ça d’avoir un petit budget logement, ça ajoute des fonctions aux pièces, l’inverse même de l’automobile, où même pour avoir la clim’, il faut banquer.
Il n’empêche que ne voyant toujours rien, et ayant l’impression que Nirvana s’était recomposé dans ma boîte crânienne, je décidais d’appeler les urgences : « Mieux vaut prévenir que guérir ».
Et bien sûr, chanceux comme je suis, mes poches étaient vides, mon mobile étant toujours en train de faire la sieste dans le hamac. De plus la gerbe me reprenait et la tête recommençait à tourbillonner. Et merde, c’était vraiment pas ma journée, j’avais l’impression que j’allais crever.
Comme quoi, je me trompais une fois de plus, car, je suis toujours là.
Post Blackout
A mon réveil, tout était redevenu normal, enfin presque.
Mes jambes tenaient, ma tête n’organisait plus de Rave et la lumière était revenue. Malgré tout elle demeurait étrange, comme si elle était épaisse, des millions de particules apparaissant sous mes yeux lorsqu’elles croisaient son chemin.
Certains détails m’intriguaient, plus aucun appareil électrique ne fonctionnait, et tous les aimants du frigo gisaient sur le sol. Encore du rangement et des réparations en perspective.
Mais ne voulant pas gâcher ce jour à me plonger dans du travail domestique, je me décidais à sortir, armé du cadeau spécialement acheté pour son anniversaire.
C’est là que la normalité s’évapora. Le sol de mon jardinet était jonché de cadavres de volatiles ainsi que de celui de ma proprio.
Mes doigts s’écartèrent, le paquet glissa et lorsqu’il embrassa le sol, un son bien connu de tous les laveurs de vaisselle s’échappa : « Kling !».
J’étais debout, immobile, la bouche ouverte, en train d’observer le corps de Mme Ponchet, et ce pendant longtemps je pense, car lorsque je me suis décidé à bouger, j’avais la bouche sèche, pâteuse, et mon corps était saisi de crampes.
Ce qui m’a le plus choqué c’est que Mme Ponchet ne semblait pas morte, mais inhabitée, comme si son âme avait décidé de mettre fin à son bail.
Avec du recul je suis quasiment certain que ce cadeau ne lui aurait pas convenu.
Al Capuccino- Nombre de messages : 15
Age : 33
Localisation : Aveyron
Date d'inscription : 30/03/2009
Re: Sans titre pour le moment
Un début sympa, mais qui s'attarde un peu trop à mon avis ("Oh, c'est affreux ! Moi qui n'aimais pas les anniversaires, eh bien maintenant je saurai !" etc. ; cela manque de sobriété selon moi). La notation sur l'eau, mystérieuse et non résolue, c'est une bonne idée.
Plusieurs erreurs de langue, dont les trois classiques ci-dessous :
"au moins maintenant je me la rappellerai" : on se rappelle quelque chose et on se souvient de quelque chose
"Seule cette tache" : et non "tâche" ; une tache est une souillure, une tâche un travail à faire
"15 ans après que vous avez quitté le cocon familial" : "après que" est suivi de l'indicatif et non du subjonctif
Plusieurs erreurs de langue, dont les trois classiques ci-dessous :
"au moins maintenant je me la rappellerai" : on se rappelle quelque chose et on se souvient de quelque chose
"Seule cette tache" : et non "tâche" ; une tache est une souillure, une tâche un travail à faire
"15 ans après que vous avez quitté le cocon familial" : "après que" est suivi de l'indicatif et non du subjonctif
Invité- Invité
Re: Sans titre pour le moment
ça met du temps à se mettre en place, une impression d'idées qui se répètent, parfois même de remplissage, mais une fois que c'est parti ça se lit agréablement. Ce qui est bien c'est d'avoir suscité la curiosité du lecteur avec l'allusion à la pénurie d'eau. Et j'aime bien les petites réflxions en aparté, qui donnent de la viacité au récit.
Invité- Invité
Re: Sans titre pour le moment
Merci Socque pour les fautes
Et merci à vous pour les remarques, toujours constructives
Et merci à vous pour les remarques, toujours constructives
Al Capuccino- Nombre de messages : 15
Age : 33
Localisation : Aveyron
Date d'inscription : 30/03/2009
Re: Sans titre pour le moment
Ben, ce qui agace c'est de ne pas en savoir plus, car le début est prometteur mais laisse sur sa faim. Elle arrive la suite???
V.
V.
Re: Sans titre pour le moment
Oui je sais désolé, mais actuellement je suis en pleine périodes d'examens, mais une fois qu'ils seront passés, je m'y recolle ;-)
Merci, ton compliment m'a touché
Merci, ton compliment m'a touché
Al Capuccino- Nombre de messages : 15
Age : 33
Localisation : Aveyron
Date d'inscription : 30/03/2009
Re: Sans titre pour le moment
Tu marches sur les brisées de madame socque avec la mise en place de ce décor insolite, sinon que la jeunesse délaie quand la maturité élague. Ma foi, le teaser n'est pas mauvais, un peu lourd par moment, à mon goût: se regarder écrire est toujours dangereux. Mais rassure-toi, ce que je te dis là pourrait tout aussi bien s'appliquer à moi, parfois. Donc, sigue adelante por favor
silene82- Nombre de messages : 3553
Age : 67
Localisation : par là
Date d'inscription : 30/05/2009
Re: Sans titre pour le moment
J'ai beaucoup aimé au début :
"La seule chose que l’on sait, c’est que cette histoire a eu lieu, et elle s’écrit, sous nos yeux, et qu’entre nous, on peut se le dire, elle fout un sacré bordel dans notre bas Monde.
Certains parlent d’un déséquilibre au Royaume des cieux, que la polarité Ciel-Terre se serait inversée."
Un lieu commun dans les premières propositions, à chaque fois, qui me fait aimer d'autant plus les fins de ces phrases. :-)
Sinon, j'ai trouvé ce texte un peu lourd par moment, à affiner peut-être. Mais un début sympathique.
"La seule chose que l’on sait, c’est que cette histoire a eu lieu, et elle s’écrit, sous nos yeux, et qu’entre nous, on peut se le dire, elle fout un sacré bordel dans notre bas Monde.
Certains parlent d’un déséquilibre au Royaume des cieux, que la polarité Ciel-Terre se serait inversée."
Un lieu commun dans les premières propositions, à chaque fois, qui me fait aimer d'autant plus les fins de ces phrases. :-)
Sinon, j'ai trouvé ce texte un peu lourd par moment, à affiner peut-être. Mais un début sympathique.
Re: Sans titre pour le moment
C'est bien parti, bien posé, je ne peux en dire plus avant la suite...
si ce n'est qu'elle est attendue,
donc pour l'instant une réussitte...
si ce n'est qu'elle est attendue,
donc pour l'instant une réussitte...
boc21fr- Nombre de messages : 4770
Age : 54
Localisation : Grugeons, ville de culture...de vin rouge et de moutarde
Date d'inscription : 03/01/2008
Re: Sans titre pour le moment
Ah, ce début d’histoire me fait penser à ce 21 décembre 2012 où le champ magnétique de la Terre est censé s’inverser... J’aime bien imaginer ce que ça donnerait, si cela se passait réellement, une inversion de champ magnétique… Je suppose que les bouleversements que cela causerait sont à peu près impossibles à prévoir, mais en tout cas ton histoire m’intrigue et je veux en savoir plus ! Bon, OK, j’attendrai après tes examens…
Une phrase m’a un peu fait tiquer : « Certes, par le passé on avait pu voir que l’eau était dangereuse, tsunamis, requins, tempêtes, ou autres noyades ont fait bien des victimes, mais là c’est le comble. » Je trouve que ça fait un peu « La pluie, ça mouille » (mais ça m’arrive souvent, aussi, d’écrire des phrases de ce genre, et ça m’énerve - comme dirait Helmut Fritz :-))
J’ai bien aimé en revanche : « (…) inhabitée, comme si son âme avait décidé de mettre fin à son bail. » Pour une propriétaire, ça colle au poil !
Sinon ça se lit bien, à part quelques lourdeurs déjà évoquées plus haut.
Une phrase m’a un peu fait tiquer : « Certes, par le passé on avait pu voir que l’eau était dangereuse, tsunamis, requins, tempêtes, ou autres noyades ont fait bien des victimes, mais là c’est le comble. » Je trouve que ça fait un peu « La pluie, ça mouille » (mais ça m’arrive souvent, aussi, d’écrire des phrases de ce genre, et ça m’énerve - comme dirait Helmut Fritz :-))
J’ai bien aimé en revanche : « (…) inhabitée, comme si son âme avait décidé de mettre fin à son bail. » Pour une propriétaire, ça colle au poil !
Sinon ça se lit bien, à part quelques lourdeurs déjà évoquées plus haut.
Re: Sans titre pour le moment
J'ai trouvé ça intéressant mais pas moments très laborieux, avec une insistance pour créer des effets et maintenir une tension qui s'apparente à un gros risque, du genre "Tout ça pour ça ?"
Le texte a dès lors tendance à se traîner de ci de là en longueur et à masquer quelques bons passages, mais ça se corrige et s'allège tout ça! :-)
Le texte a dès lors tendance à se traîner de ci de là en longueur et à masquer quelques bons passages, mais ça se corrige et s'allège tout ça! :-)
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: Sans titre pour le moment
A propos, ces examens? Ça s'est bien passé?
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
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