Rever debout
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Rever debout
Par la fenêtre de ma chambre,
La mer apparaît en verre
Et la route vers Alger
Comme une planche.
Pendant quelques minutes
Mes ailes me font rêver
Que la barque qui va m'y mener
Fera pour moi mes premiers pas
Sur les vagues ignorantes.
Puis la barque surprenant les sirènes orgiaques, disparaît.
Ce n'est pas pour aujourd'hui le grand saut
Dans le vapeur de l'océan.
La tempête très haute
Avec le désir du vent
A fermé l’horizon.
Et la mer en face
Que je veux encore rêver
Une patte l’efface
La mer apparaît en verre
Et la route vers Alger
Comme une planche.
Pendant quelques minutes
Mes ailes me font rêver
Que la barque qui va m'y mener
Fera pour moi mes premiers pas
Sur les vagues ignorantes.
Puis la barque surprenant les sirènes orgiaques, disparaît.
Ce n'est pas pour aujourd'hui le grand saut
Dans le vapeur de l'océan.
La tempête très haute
Avec le désir du vent
A fermé l’horizon.
Et la mer en face
Que je veux encore rêver
Une patte l’efface
hafsa- Nombre de messages : 43
Age : 46
Date d'inscription : 30/03/2009
Re: Rever debout
Une faute relevée : le vapeur -> la vapeur
Que la barque qui va m'y mener -> je n'aime pas ces deux "que" juxtaposés
Le poème est charmant, agréable à lire, simple...
à bientôt sur VE
Que la barque qui va m'y mener -> je n'aime pas ces deux "que" juxtaposés
Le poème est charmant, agréable à lire, simple...
à bientôt sur VE
boc21fr- Nombre de messages : 4770
Age : 53
Localisation : Grugeons, ville de culture...de vin rouge et de moutarde
Date d'inscription : 03/01/2008
Re: Rever debout
Par la fenêtre de ma chambre,
La mer apparaît en verre
Et la route vers Alger
Comme une planche.
Pendant quelques minutes
Mes ailes me font rêver
Que la barque qui va m'y mener
Fera pour moi mes premiers pas
Sur les vagues ignorantes.
Puis la barque surprenant les sirènes orgiaques, disparaît.
Ce n'est pas pour aujourd'hui le grand saut
Dans la vapeur de l'océan.
La tempête très haute
Avec le désir du vent
A fermé l’horizon.
Et la mer en face
Que je veux encore rêver
Une patte l’efface
La mer apparaît en verre
Et la route vers Alger
Comme une planche.
Pendant quelques minutes
Mes ailes me font rêver
Que la barque qui va m'y mener
Fera pour moi mes premiers pas
Sur les vagues ignorantes.
Puis la barque surprenant les sirènes orgiaques, disparaît.
Ce n'est pas pour aujourd'hui le grand saut
Dans la vapeur de l'océan.
La tempête très haute
Avec le désir du vent
A fermé l’horizon.
Et la mer en face
Que je veux encore rêver
Une patte l’efface
hafsa- Nombre de messages : 43
Age : 46
Date d'inscription : 30/03/2009
Re: Rever debout
Ça m'ennuie de ne pas être séduite parce qu'il y a vraiment quelques belles images qui me parlent mais c'est cette disposition, ce traitement, tout ça qui ne convient pas à mes yeux. Je me demande si cela n'aurait pas mieux donné en prose poétique, de manière plus fluide, telle cette mer qui s'étale devant nos yeux. Ici, ce rythme déséquilibré et saccadé trouble la quiétude du songe et de la vision, dommage.
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: Rever debout
J'aurais personnellement bien vu :
la mer paraît de verre
la route d'Alger (pour ne pas répéter le son ver)
Telle une planche
Fera pour moi les premiers pas
Le grand saut n'est pas pour aujourd'hui
Dans ce vers, trop de qu
Que la barque qui va m'y mener
la mer paraît de verre
la route d'Alger (pour ne pas répéter le son ver)
Telle une planche
Fera pour moi les premiers pas
Le grand saut n'est pas pour aujourd'hui
Dans ce vers, trop de qu
Que la barque qui va m'y mener
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
re
Par la fenêtre de ma chambre,
La mer paraît de verre
A l’heure favorite
Et la route d’Alger
telle une planche.
Pendant quelques minutes
Mes ailes me font rêver
Que la barque qui va m'y mener
Fera pour moi mes premiers pas
Sur les seins des vagues endormies.
Mais celle-ci surprenant brusquement les sirènes orgiaques, se retourne et vire par saccades folles.
Mes yeux tremblent
Je bégaie
Je voudrais
Encore rêver
La mer en face
Une patte l’efface
Ce n'est pas pour aujourd'hui le grand voyage
La mer paraît de verre
A l’heure favorite
Et la route d’Alger
telle une planche.
Pendant quelques minutes
Mes ailes me font rêver
Que la barque qui va m'y mener
Fera pour moi mes premiers pas
Sur les seins des vagues endormies.
Mais celle-ci surprenant brusquement les sirènes orgiaques, se retourne et vire par saccades folles.
Mes yeux tremblent
Je bégaie
Je voudrais
Encore rêver
La mer en face
Une patte l’efface
Ce n'est pas pour aujourd'hui le grand voyage
hafsa- Nombre de messages : 43
Age : 46
Date d'inscription : 30/03/2009
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