NOS aphorismes et pensées insensées
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Re: NOS aphorismes et pensées insensées
En plus elle se tape un âne, l'oreille lubrique ! Ah ! mon rêve s'effondre !
Invité- Invité
Re: NOS aphorismes et pensées insensées
A la boulange:
"Lalalalalalala...
Mr Dassin? Vous l'achetez ce ptit pain? Paskeu si vous l'achetez il faut arrêter de chanter et payer. Mr Dassin?
Lalalalalalala...
Détonation"... la boulangère range son Riotgun, sort une serpillère, met le panneau "Ouvert" sur "Fermé"
"Lalalalalalala...
Mr Dassin? Vous l'achetez ce ptit pain? Paskeu si vous l'achetez il faut arrêter de chanter et payer. Mr Dassin?
Lalalalalalala...
Détonation"... la boulangère range son Riotgun, sort une serpillère, met le panneau "Ouvert" sur "Fermé"
Jérémie- Nombre de messages : 412
Age : 47
Localisation : Sixfeetunder
Date d'inscription : 27/03/2010
Re: NOS aphorismes et pensées insensées
L'âne se moka de la boulangère Madeleine : arrête de faire cette tronche de cake , laisse tomber Joe ce clafoutis aux pruneaux et faisons un gâteau pour le prince.
Rebecca- Nombre de messages : 12502
Age : 65
Date d'inscription : 30/08/2009
Re: NOS aphorismes et pensées insensées
J'ai vu plus de blondes sur Ve aujourd'hui qu'en 15 ans de vie passée !
Invité- Invité
Re: NOS aphorismes et pensées insensées
Je ne sais même plus comment ça marche un truc comme ça. On peut les toucher, les cheveux, ou c'est juste pour décorer ?
Invité- Invité
Re: NOS aphorismes et pensées insensées
Je fais la cuisine dans une kitch haine épouvantable. Je prépare un cerf-volant soufflé et retombé. Du poste les Quiet Kitten hurlent "Punk's not dinde !" mon regard se calte par le rebord de la hotte et je fais les cœurs comme si la nuit m'avait quitté.
C'est comme ça que tu m’acquittais, Kate. Dans la cuisine.
C'est comme ça que tu m’acquittais, Kate. Dans la cuisine.
Invité- Invité
Re: NOS aphorismes et pensées insensées
pandaworks a écrit:Je ne sais même plus comment ça marche un truc comme ça. On peut les toucher, les cheveux, ou c'est juste pour décorer ?
Alors, voilà. D’abord on s’en extasie, en référence aux rayons dardés par un soleil complice sur un champ de blé, ou une autre quelconque de ces sortes de choses à la couleur pisseuse, puis on les caresse nonchalamment sans les décoiffer pour ne pas casser l’ambiance, parce que trois plombes à les défriser, quand même, ça force le respect, puis on se lasse de la texture filasse et on passe à autre chose, mais là faut reprendre au chapitre « brunes », parce que ça marche pareil.
Re: NOS aphorismes et pensées insensées
conselia a écrit:pandaworks a écrit:Je ne sais même plus comment ça marche un truc comme ça. On peut les toucher, les cheveux, ou c'est juste pour décorer ?
Alors, voilà. D’abord on s’en extasie, en référence aux rayons dardés par un soleil complice sur un champ de blé, ou une autre quelconque de ces sortes de choses à la couleur pisseuse, puis on les caresse nonchalamment sans les décoiffer pour ne pas casser l’ambiance, parce que trois plombes à les défriser, quand même, ça force le respect, puis on se lasse de la texture filasse et on passe à autre chose, mais là faut reprendre au chapitre « brunes », parce que ça marche pareil.
Compris. Le grand amour est une calvitie.
Invité- Invité
Re: NOS aphorismes et pensées insensées
Brune, blonde ou rousse, il avait tout goûté
C'est quand il la sut chauve que tout a basculé
C'est quand il la sut chauve que tout a basculé
Re: NOS aphorismes et pensées insensées
Mamadou fatigue, alors, après la énième poubelle basculée dans la benne, il remonte à l'arrière du camion, ne cherche pas le marchepied ni la barre de maintient. Il va de l'avant et le camion s'éloigne.
Invité- Invité
Re: NOS aphorismes et pensées insensées
Au centre de tri, on avait appris à recycler correctement les Mamadou fatigués. Les organes étaient envoyés aux centres de greffes, avec la graisse, oh il n'y en avait guère mais on pouvait fabriquer des savons certifiés cent pour cent bio, les os réduits en poudre étaient utilisés dans l'industrie cosmétique et la chirurgie réparatrice, les cheveux permettaient de coudre de merveilleuses perruques sur le crâne de nos blondes brunes rousses devenues chauves suite à l'abus de botox, le grand amour était devenu une coiffure afro, Peau d'Ane pouvait aller se rhabiller, les autres dindes aussi, et le Père Noël pouvait continuer d'être une ordure...
Rebecca- Nombre de messages : 12502
Age : 65
Date d'inscription : 30/08/2009
Re: NOS aphorismes et pensées insensées
Qui pense ses plaies guérit plus vite.
C'est nul mais ça me fait marrer.
Et bonsoir Paris !
C'est nul mais ça me fait marrer.
Et bonsoir Paris !
Re: NOS aphorismes et pensées insensées
J'imagine la tête du corbillard : Merde, j'ai perdu un truc en route !
Invité- Invité
Re: NOS aphorismes et pensées insensées
J'imagine une trajectoire depuis la queue du corps billard.
D'après Wikipedia : "Dans le monde du billard professionnel, un coup de chance - notamment lorsqu'il s'agit de mettre la boule noire en fin de partie - s'appelle "un coup de panda".
Mais qui a envie de passer sur le billard ?
D'après Wikipedia : "Dans le monde du billard professionnel, un coup de chance - notamment lorsqu'il s'agit de mettre la boule noire en fin de partie - s'appelle "un coup de panda".
Mais qui a envie de passer sur le billard ?
Rebecca- Nombre de messages : 12502
Age : 65
Date d'inscription : 30/08/2009
Re: NOS aphorismes et pensées insensées
En fait , les mourants ne se bordent pas, ils se lacent avec un genre de drap-camisole dont on entrecroise les lanières sur le corps avant de les fixer aux barreaux du lit. Je sais comment faire depuis la semaine dernière, je l'ai lu dans un vieux Spirou que j'ai retrouvé. La bande dessinée.
Invité- Invité
Rebecca- Nombre de messages : 12502
Age : 65
Date d'inscription : 30/08/2009
Re: NOS aphorismes et pensées insensées
Lyra will a écrit:C'est chouette pour les enfants avant de dormir :0)
Chut ! Ne faites pas de bruit, Lyra fait la sieste dans son petit lit à barreaux, des rêves de panda lui perlant au bord des cils ...
Re: NOS aphorismes et pensées insensées
été 2010, petite ville de Sorana, States, une femme entre dans le commissariat et demande aux policiers de quels moyens légaux elle dispose pour supprimer physiquement un homme qui l'ennuie.
été 2010, petite ville de Sorana, States, les passants s'inquiètent en entendant un homme hurler HELP ! sans relâche.
Police et pompiers sont dépêchés et encerclent le pavillon. L'homme va voir les agents et leur explique qu'il cherche son chat, nommé HELP !
été 2010, petite ville de Sorana, States, les agents fédéraux investissent l'armurerie du 17 Galveston St , des armes y sont trouvées, le propriétaire est mis en garde à vue.
D'après le Colorado Spring municipal office, dans la petite ville de Sorana, States, le taux d'adolescentes enceintes baisse drastiquement après l'âge de 25 ans.
été 2010, petite ville de Sorana, States, l'avocat Andrew Alton fatigue, il écrit son propre nom à la place de celui de l'accusé dans l'ensemble de sa plaidoirie. Le juge saisi les documents et lui recommande du repos.
Il s'en passe des choses, à Sorana, l'été.
été 2010, petite ville de Sorana, States, les passants s'inquiètent en entendant un homme hurler HELP ! sans relâche.
Police et pompiers sont dépêchés et encerclent le pavillon. L'homme va voir les agents et leur explique qu'il cherche son chat, nommé HELP !
été 2010, petite ville de Sorana, States, les agents fédéraux investissent l'armurerie du 17 Galveston St , des armes y sont trouvées, le propriétaire est mis en garde à vue.
D'après le Colorado Spring municipal office, dans la petite ville de Sorana, States, le taux d'adolescentes enceintes baisse drastiquement après l'âge de 25 ans.
été 2010, petite ville de Sorana, States, l'avocat Andrew Alton fatigue, il écrit son propre nom à la place de celui de l'accusé dans l'ensemble de sa plaidoirie. Le juge saisi les documents et lui recommande du repos.
Il s'en passe des choses, à Sorana, l'été.
Invité- Invité
Re: NOS aphorismes et pensées insensées
Tant mieux pour nous !pandaworks a écrit:
Il s'en passe des choses, à Sorana, l'été.
Invité- Invité
Re: NOS aphorismes et pensées insensées
Excellent !!!
Je veux aller vivre à Sorana !
Je veux aller vivre à Sorana !
Jean- Nombre de messages : 162
Age : 35
Localisation : dans un pays qu'On ne gouverne pas.
Date d'inscription : 08/05/2010
Re: NOS aphorismes et pensées insensées
Si ça se trouve la femme qui a demandé un moyen légal d'éliminer physiquement son mari est l'épouse de l'avocat Andrew Alton...Si ça se trouve le juge qui a saisi les dossiers avec son nom va être dessaisi de l'affaire et Andrew Alton étant le nom de l'inculpé dans toute la procédure, le nouveau juge nommé va le condamner à mort...
Si ça se trouve la requête en assassinat légal de son épouse va se trouver merveilleusement satisfaite...Elle vivra sereine à Sorana...Mais il y a pire ...Il y a Pirhana...et là il s'en passe aussi des choses...
Si ça se trouve la requête en assassinat légal de son épouse va se trouver merveilleusement satisfaite...Elle vivra sereine à Sorana...Mais il y a pire ...Il y a Pirhana...et là il s'en passe aussi des choses...
Rebecca- Nombre de messages : 12502
Age : 65
Date d'inscription : 30/08/2009
Re: NOS aphorismes et pensées insensées
Bal Trappes.
– Poule ! tchak ! fizzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz
Bang !
– Tu ne l'as pas eu...
– Bon, ça va, ça va, c'est que le début...
– Poule ! Tchak ! fizzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz
Bang !
– Je l'ai eu ! Enculé de Rom !
– Ouais, mais ça lasse... T'en pense quoi de la caravane à gauche ?
– Passe-moi une roquette.
– Non !
– Si ! Hahahahaha !
– Poule ! Bang.....shiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiWouffff!
– Hahahahhaha ! On se fend la gueule aux universités d'été de L'UMP !
– Ouais ! à table ! que la fête commence : Bandoleîo, Bandoleîa, lalalali lalallala.
– Poule ! tchak ! fizzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz Bang !
– Hahahahaha ! T'es con, c'était une gamine !
– Poule ! hahaha, Poule ! poule ! poule ! poule !
– Bamboleo, bambolea Porque mi vida, yo la prefiero vivir asi lallalal, poule !
– lilallalalala, lilallalalala, Bamboleo, bambolea , poule ! Poule ! Poule !
– Poule ! tchak ! fizzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz Bang !
– Poule ! hahaha, Poule ! poule ! poule ! poule ! Passe-moi le Ricard !
– bamboleo,tchak ! fizzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz Bang !
– Poule ! hahaha, Poule ! poule ! poule ! poule ! bambolea, poule ! Porque mi vida, Poule ! yo la prefiero vivir asi
Bamboleo,tchak ! fizzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz Bang ! Poule ! hahaha, Poule !tchak ! fizzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz Bang ! Poule ! hahaha, Poule ! poule ! poule ! poule ! poule ! poule ! poule ! bambole, poule ! Porque mi vida, yo la prefiero tchak ! fizzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz Bang !Poule ! hahaha, Poule ! poule ! poule ! poule ! vivir asi, Poule ! Bang ! Nicolasaiayayayyaya, sarkosissiiiiiyiiiiiiiiiaaa
Poule ! Bang !,tchak ! fizzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz Bang !
– Hahahahaha, castagnettes tactactactacatactactactactac. olé !
– Les larmes aux yeux... Putain... Les souvenirs qu'on se forge, là !
– Ouais, hahahaha, Poule !
– Poule ! tchak ! fizzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz
Bang !
– Tu ne l'as pas eu...
– Bon, ça va, ça va, c'est que le début...
– Poule ! Tchak ! fizzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz
Bang !
– Je l'ai eu ! Enculé de Rom !
– Ouais, mais ça lasse... T'en pense quoi de la caravane à gauche ?
– Passe-moi une roquette.
– Non !
– Si ! Hahahahaha !
– Poule ! Bang.....shiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiWouffff!
– Hahahahhaha ! On se fend la gueule aux universités d'été de L'UMP !
– Ouais ! à table ! que la fête commence : Bandoleîo, Bandoleîa, lalalali lalallala.
– Poule ! tchak ! fizzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz Bang !
– Hahahahaha ! T'es con, c'était une gamine !
– Poule ! hahaha, Poule ! poule ! poule ! poule !
– Bamboleo, bambolea Porque mi vida, yo la prefiero vivir asi lallalal, poule !
– lilallalalala, lilallalalala, Bamboleo, bambolea , poule ! Poule ! Poule !
– Poule ! tchak ! fizzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz Bang !
– Poule ! hahaha, Poule ! poule ! poule ! poule ! Passe-moi le Ricard !
– bamboleo,tchak ! fizzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz Bang !
– Poule ! hahaha, Poule ! poule ! poule ! poule ! bambolea, poule ! Porque mi vida, Poule ! yo la prefiero vivir asi
Bamboleo,tchak ! fizzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz Bang ! Poule ! hahaha, Poule !tchak ! fizzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz Bang ! Poule ! hahaha, Poule ! poule ! poule ! poule ! poule ! poule ! poule ! bambole, poule ! Porque mi vida, yo la prefiero tchak ! fizzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz Bang !Poule ! hahaha, Poule ! poule ! poule ! poule ! vivir asi, Poule ! Bang ! Nicolasaiayayayyaya, sarkosissiiiiiyiiiiiiiiiaaa
Poule ! Bang !,tchak ! fizzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz Bang !
– Hahahahaha, castagnettes tactactactacatactactactactac. olé !
– Les larmes aux yeux... Putain... Les souvenirs qu'on se forge, là !
– Ouais, hahahaha, Poule !
Invité- Invité
Re: NOS aphorismes et pensées insensées
Oh putain je suis saisie là...Bien envoyée la roquette...
Rebecca- Nombre de messages : 12502
Age : 65
Date d'inscription : 30/08/2009
Re: NOS aphorismes et pensées insensées
c'est un court-métrage que j'ai rêvé. Il y a des détails : la lanceuse de disque est réglée avec la hausse horizontale.Rebecca a écrit:Oh putain je suis saisie là...Bien envoyée la roquette...
Les types sont en Armani, cravate tombée, un peu éméchés par la sangria, avec le "name tag" en collier, avec l'élastique bleu. Ils sont approximativement à 150 mètres du campement rom, installés sur une butte et approximativement à 100 mètres de la "garden-party" qui se termine sous son chapiteau. La sono qui y trône crache un discours de fin de conférence. Le ciel est bleu, c'est le milieu de l'après-midi. l'un est assis derrière la machine et l'autre est allongé derrière son fusil mitrailleur sur trépied, lequel fusil comporte un adaptateur lance-roquette en dessous du canon. Il y a des flics en surveillance autour du parc côté meeting, mais ils n'interviennent pas, pour eux, les deux hommes jouent au balltrap, pas de mal à ça. Ils chantent à tue-tête pendant qu'ils tirent, dans une émulsion de joie, d'ivresse légère et de camaraderie. Je ne suis plus sur pour le Ricard. C'est le seul flou dans ce truc très précis.
Invité- Invité
Re: NOS aphorismes et pensées insensées
Ben non, le Ricard, forcément, non. C'était à Vitry, il y a bien longtemps, et de l'autre côté du miroir, donc non.
Re: NOS aphorismes et pensées insensées
Mars 2012
Sarko regardait le Général Montmorency avec sévérité.
5 ans de travail touchaient à leur fin.
Le millier de charge nucléaires souterraines placées sous la ligne orientale de l'Argoad étaient opérationnelles.
- Bon, on y va , alors ?
- Oui, monsieur le Président! Vous ne revenez pas sur votre décision d'épargner la Vendée et la Normandie ?
- Non, mon Général, respectons les vœux du conseil de l'Europe, je vous rappelle que nous agissons en son nom.
- Oui, monsieur le Président. Encore une chose : merci au nom de la France.
- De rien, je ne supporte plus ces pôv'cons non plus.
- Clef rouge ?
- Clef rouge.
- Clef Bleue ?
- Clef Bleue.
- Code Nato ?
- Entré.
- Appuyez sur le bouton, mon Général.
- Fait.
Commença alors pour la péninsule un grand voyage vers l'Ouest. Sur l'image satellite, on pouvait admirer sa progression vers les cotes Floridiennes. Il faudrait , d'après les calculs, 75 ans pour que la ville de Brest touche les premiers pontons de Key West. 34023 km2 qui dérivent, c'était pour le moins inhabituel : l'eau, la terre, le feu, et... l'eau, donc.
Obama regardait le Général Montgomery avec sérieux.
- Écoutez moi bien, Général, on a déjà assez d'emmerdes comme-ça pour se permettre le luxe d'acceuillir une bande de Ploucs estimée à plus de 4 millions. Qui ne payent pas leurs impôts, de plus, c'est bien connu.
- Est-ce que cela signifie ce que cela signifie, Monsieur le Président ?
- Yes, Sir ! Vous avez parfaitement pigé !
Alors s'ébranla une flottille composée de tout ce qui porte un préfixe en "USS" et contient des charges au plutonium.
S'il n'était pas scientifiquement prouvé qu'on puisse couler un tel esquif, au moins réussirait-on à le faire dériver jusqu'au cotes sénégalaises. La terre Promise. Putain, Obama ne savait plus trop quoi faire, rire ou maudire ces enfoirés d'Européens.
Sarko regardait le Général Montmorency avec sévérité.
5 ans de travail touchaient à leur fin.
Le millier de charge nucléaires souterraines placées sous la ligne orientale de l'Argoad étaient opérationnelles.
- Bon, on y va , alors ?
- Oui, monsieur le Président! Vous ne revenez pas sur votre décision d'épargner la Vendée et la Normandie ?
- Non, mon Général, respectons les vœux du conseil de l'Europe, je vous rappelle que nous agissons en son nom.
- Oui, monsieur le Président. Encore une chose : merci au nom de la France.
- De rien, je ne supporte plus ces pôv'cons non plus.
- Clef rouge ?
- Clef rouge.
- Clef Bleue ?
- Clef Bleue.
- Code Nato ?
- Entré.
- Appuyez sur le bouton, mon Général.
- Fait.
Commença alors pour la péninsule un grand voyage vers l'Ouest. Sur l'image satellite, on pouvait admirer sa progression vers les cotes Floridiennes. Il faudrait , d'après les calculs, 75 ans pour que la ville de Brest touche les premiers pontons de Key West. 34023 km2 qui dérivent, c'était pour le moins inhabituel : l'eau, la terre, le feu, et... l'eau, donc.
Obama regardait le Général Montgomery avec sérieux.
- Écoutez moi bien, Général, on a déjà assez d'emmerdes comme-ça pour se permettre le luxe d'acceuillir une bande de Ploucs estimée à plus de 4 millions. Qui ne payent pas leurs impôts, de plus, c'est bien connu.
- Est-ce que cela signifie ce que cela signifie, Monsieur le Président ?
- Yes, Sir ! Vous avez parfaitement pigé !
Alors s'ébranla une flottille composée de tout ce qui porte un préfixe en "USS" et contient des charges au plutonium.
S'il n'était pas scientifiquement prouvé qu'on puisse couler un tel esquif, au moins réussirait-on à le faire dériver jusqu'au cotes sénégalaises. La terre Promise. Putain, Obama ne savait plus trop quoi faire, rire ou maudire ces enfoirés d'Européens.
Invité- Invité
Re: NOS aphorismes et pensées insensées
Pu...rée Panda ! On devrait te propulser historien en chef !
Invité- Invité
Re: NOS aphorismes et pensées insensées
2012 l'odyssée du Kärcher
Sarko ne décolérait pas.
- Comment ça , "coulé" ?
- Perdu, convient mieux, monsieur le Président.
- Vous allez m'expliquez le tout en détail, Montmorency, et vous avez intérêt à être bref.
- Eh bien voilà : pendant l'Opération qui visait à rattacher la Corse à l'Algérie, la charge d'explosifs contenue dans ses sols a éclaté en raison des vibrations générées par l'énergie cinétique induite par un tel déplacement des masses. Les coussins de support ont éclaté, se perçant en de nombreux points. L'ile a purement et simplement sombré au sud de la Sardaigne, Monsieur le président, le matelas ne pouvant plus supporter une telle pression.
- Vous vous rendez compte dans quelle situation vous me foutez, Général ? Je vais finir à La Haye ! Remontez-moi cette foutue ile à la surface, et ce au plus vite. D'autre part, il me semblait que cette technique avait été éprouvée avec succès pour rattacher Taïwan à la Chine.
- Euh, Oui, monsieur le Président, mais Taïwan n'avait pas 2 kg de C4 planqués dans 135000 fonds du jardin à gauche sous le châtaigner...
- Je n'ai que faire de vos conneries, Montmorency ! Rien à branler de vos jardins, de vos fromages, de vos cochons noirs , de vos femme voilées derrière des volets de merde subventionnées à 1670 % ! Récupérez-moi cet ile, Arabes, cochons, glands et locaux compris, c'est compris ? Oui ou non ?
- C'est à dire que... Monsieur le Président, l'immense dispositif pneumatique qui soutient l'écorce terrestre n'est pas totalement détruit, ce qui signifie que, pour faire simple, l'ile dérive entre-deux eaux actuellement, portée par les courants qui sont changeants en cette saison. L'armada de 400 remorqueurs Classe A qui était suffisante pour trainer l'ile en surface ne l'est plus pour soutenir un tel effort face à la résistance de l'eau. Les sonars du Musée océanographique de Monaco, Monsieur le Président, et soyez-en sûr, tournent à bloc pour prévoir le lieu du futur échouage. Enfin, appontage. Enfin, euh, point d'impact.
- Montmorency, je crois que je vais vous virer. Est-ce que la bulle de sécurité s'est déployée ?
- Oui, monsieur le Président, au moins, nous pouvons affirmer que les habitants sont sains et saufs, disposant d'une autonomie en oxygène de 2 ans.
- Bon, dans ce cas la je ne serai pas tenu responsable pour la mort de tous ces pôv'cons, dans l'immédiat. Faites au mieux.
Je veux cette ile les pieds au sec dans 3 mois au plus. Démerdez-vous et alliez-vous avec qui vous voulez. Faites juste en sorte que l'ile ne s'amarre pas sur les côtes françaises, auquel cas, en plus du ridicule auquel vous m'exposez, l'opération elle-même louperait sont objectif.
- Bien Monsieur le Président. Il en sera fait selon vos désirs, monsieur le Président.
Sarko ne décolérait pas.
- Comment ça , "coulé" ?
- Perdu, convient mieux, monsieur le Président.
- Vous allez m'expliquez le tout en détail, Montmorency, et vous avez intérêt à être bref.
- Eh bien voilà : pendant l'Opération qui visait à rattacher la Corse à l'Algérie, la charge d'explosifs contenue dans ses sols a éclaté en raison des vibrations générées par l'énergie cinétique induite par un tel déplacement des masses. Les coussins de support ont éclaté, se perçant en de nombreux points. L'ile a purement et simplement sombré au sud de la Sardaigne, Monsieur le président, le matelas ne pouvant plus supporter une telle pression.
- Vous vous rendez compte dans quelle situation vous me foutez, Général ? Je vais finir à La Haye ! Remontez-moi cette foutue ile à la surface, et ce au plus vite. D'autre part, il me semblait que cette technique avait été éprouvée avec succès pour rattacher Taïwan à la Chine.
- Euh, Oui, monsieur le Président, mais Taïwan n'avait pas 2 kg de C4 planqués dans 135000 fonds du jardin à gauche sous le châtaigner...
- Je n'ai que faire de vos conneries, Montmorency ! Rien à branler de vos jardins, de vos fromages, de vos cochons noirs , de vos femme voilées derrière des volets de merde subventionnées à 1670 % ! Récupérez-moi cet ile, Arabes, cochons, glands et locaux compris, c'est compris ? Oui ou non ?
- C'est à dire que... Monsieur le Président, l'immense dispositif pneumatique qui soutient l'écorce terrestre n'est pas totalement détruit, ce qui signifie que, pour faire simple, l'ile dérive entre-deux eaux actuellement, portée par les courants qui sont changeants en cette saison. L'armada de 400 remorqueurs Classe A qui était suffisante pour trainer l'ile en surface ne l'est plus pour soutenir un tel effort face à la résistance de l'eau. Les sonars du Musée océanographique de Monaco, Monsieur le Président, et soyez-en sûr, tournent à bloc pour prévoir le lieu du futur échouage. Enfin, appontage. Enfin, euh, point d'impact.
- Montmorency, je crois que je vais vous virer. Est-ce que la bulle de sécurité s'est déployée ?
- Oui, monsieur le Président, au moins, nous pouvons affirmer que les habitants sont sains et saufs, disposant d'une autonomie en oxygène de 2 ans.
- Bon, dans ce cas la je ne serai pas tenu responsable pour la mort de tous ces pôv'cons, dans l'immédiat. Faites au mieux.
Je veux cette ile les pieds au sec dans 3 mois au plus. Démerdez-vous et alliez-vous avec qui vous voulez. Faites juste en sorte que l'ile ne s'amarre pas sur les côtes françaises, auquel cas, en plus du ridicule auquel vous m'exposez, l'opération elle-même louperait sont objectif.
- Bien Monsieur le Président. Il en sera fait selon vos désirs, monsieur le Président.
Invité- Invité
Re: NOS aphorismes et pensées insensées
2012 l'odyssée du Kärcher
Sarko était soucieux. Il fallait lever le pied avec les nouvelles technologies. Le risque devenait insensé. On était en 2012, pas en 2212, et vu que les experts français comprenaient avec 10 ans de retard en moyenne ce que les mathématiciens indiens avaient calculé 10 ans avant, leur donner sa confiance revenait à confier un 44 magnum à un gamin qui vient d'achever sa 10ème heure consécutive à la Playstation. Le but n'était pas, bien évidemment, et autant faire ce que peut, au jour d'aujourd'hui, de tuer tout le monde, mais de gagner les présidentielles de 2016. Il fallait revenir à du conventionnel, de l'éprouvé, du stable.
C'est pourquoi il avait imaginé le deuxième tunnel sous la Manche. A la fois sous la Manche, et exactement : au milieu de la Manche. C'était le coup de génie. Un Tunnel qui s'achève au large, pile poil à la croisée des eaux françaises et britanniques.
Son fonctionnement serait très simple : on invitait les Français de souche étrangère sans emploi, vivant de l'aide sociale (1 million ?) à passer un week-end à Londres, aux frais de l'état, au nom de l'équité du droit aux vacances. On les acheminait par wagons (purée, ce truc paraissait un peu bizarre, il n'arrivait pas à saisir pourquoi) dans le centre de vacances sous-marin édifié en fin de tunnel. Une ville. Une Atlantide, mais mieux, une Mantlantide, avec tout confort, toutes allocs, bouffe gratuite, loisirs, polygamie à volonté, atelier d'excision, concert des Gypsies King sur écran géant. Un système de communication avec ceux restés sur le continent piloté par un logiciel surpuissant permettait de limiter les inquiétudes dans les familles temporairement disloquées. L'idéal serait que les gens y éprouvent le désir d'y rester jusqu'en 2016. Le tout parraissait plausible. On savait creuser un tunnel, de même qu'établir des villes sous-marines. Alors, oui, bien sur, il fallait oublier l'image d'anticipation avec les grands dômes à atmosphère, en réalité, ils seraient constitués de cubes 10x10 m accolés. On ne fait pas du Sielverberg avec du JCDecaux. Haha, pensait Sarko, mais sans rire. De toute façon, il avait tous les crédits nécessaires auprès de l'Union Européenne depuis la découverte des gisements pétroliers qui se situaient sous la défunte Armorique. Tout ceci prenait corps, finalement, malgré les quelques ennuis. On pouvait boucler la réalisation du truc en 2 ans. Ce qui laisserait deux ans de marge avant les présidentielles. Au fait, où en était donc ce dossier Corse ?
Sarko était soucieux. Il fallait lever le pied avec les nouvelles technologies. Le risque devenait insensé. On était en 2012, pas en 2212, et vu que les experts français comprenaient avec 10 ans de retard en moyenne ce que les mathématiciens indiens avaient calculé 10 ans avant, leur donner sa confiance revenait à confier un 44 magnum à un gamin qui vient d'achever sa 10ème heure consécutive à la Playstation. Le but n'était pas, bien évidemment, et autant faire ce que peut, au jour d'aujourd'hui, de tuer tout le monde, mais de gagner les présidentielles de 2016. Il fallait revenir à du conventionnel, de l'éprouvé, du stable.
C'est pourquoi il avait imaginé le deuxième tunnel sous la Manche. A la fois sous la Manche, et exactement : au milieu de la Manche. C'était le coup de génie. Un Tunnel qui s'achève au large, pile poil à la croisée des eaux françaises et britanniques.
Son fonctionnement serait très simple : on invitait les Français de souche étrangère sans emploi, vivant de l'aide sociale (1 million ?) à passer un week-end à Londres, aux frais de l'état, au nom de l'équité du droit aux vacances. On les acheminait par wagons (purée, ce truc paraissait un peu bizarre, il n'arrivait pas à saisir pourquoi) dans le centre de vacances sous-marin édifié en fin de tunnel. Une ville. Une Atlantide, mais mieux, une Mantlantide, avec tout confort, toutes allocs, bouffe gratuite, loisirs, polygamie à volonté, atelier d'excision, concert des Gypsies King sur écran géant. Un système de communication avec ceux restés sur le continent piloté par un logiciel surpuissant permettait de limiter les inquiétudes dans les familles temporairement disloquées. L'idéal serait que les gens y éprouvent le désir d'y rester jusqu'en 2016. Le tout parraissait plausible. On savait creuser un tunnel, de même qu'établir des villes sous-marines. Alors, oui, bien sur, il fallait oublier l'image d'anticipation avec les grands dômes à atmosphère, en réalité, ils seraient constitués de cubes 10x10 m accolés. On ne fait pas du Sielverberg avec du JCDecaux. Haha, pensait Sarko, mais sans rire. De toute façon, il avait tous les crédits nécessaires auprès de l'Union Européenne depuis la découverte des gisements pétroliers qui se situaient sous la défunte Armorique. Tout ceci prenait corps, finalement, malgré les quelques ennuis. On pouvait boucler la réalisation du truc en 2 ans. Ce qui laisserait deux ans de marge avant les présidentielles. Au fait, où en était donc ce dossier Corse ?
Invité- Invité
Re: NOS aphorismes et pensées insensées
"Remontez-moi cette foutue ile à la surface, et ce au plus vite"
C'est con mais ça me fait rire !!! J'adore
"Atelier d'excision" c'est cruel mais ça aussi ça me fait rire
Entre vieilles techniques, nouvelles technologies, sévérité, souci et colère, Sarko et sarcophages dérivants, ce feuilleton à épisodes ne nous fait pas sombrer dans la morosité. Perso je jubile.
C'est con mais ça me fait rire !!! J'adore
"Atelier d'excision" c'est cruel mais ça aussi ça me fait rire
Entre vieilles techniques, nouvelles technologies, sévérité, souci et colère, Sarko et sarcophages dérivants, ce feuilleton à épisodes ne nous fait pas sombrer dans la morosité. Perso je jubile.
Rebecca- Nombre de messages : 12502
Age : 65
Date d'inscription : 30/08/2009
Re: NOS aphorismes et pensées insensées
Sur les genoux, près de la proue , je regarde les eaux noires tourbillonner. La neige frappe en parcelles sans que buses ou baleines ne se plaignent. Les lotus ont disparu depuis belle lurette et les fougères ne pavanent plus. Et le blanc floconne les surfaces qu'un sage, un artisan, le poète ; dépoussiérerait une vie entière sans jamais créer le printemps. Mon coton a le noir de l'aile des corneilles et la glace le blanc aux queues des pies moqueuses. J'en ai marre du kleenex resté dans la poche arrière quand je fais une machine à 30°C.
Invité- Invité
Re: NOS aphorismes et pensées insensées
2012 l'odyssée du Kärcher
Sarko était dubitatif.
- Bon, c'est quoi votre dernière invention, Montmorency ?
- La nasse, Monsieur le Président, la Nasse à Socialos. Nom de code : N.A.S.
- Purée; ça sonne un peu comme "OAS" votre truc...
- Non, un peu comme "SAS", si vous voulez.
- Expliquez.
- C'est que, nous avons besoin de votre participation, Monsieur le Président .
- Encore ? Mais j'ai tout le monde sur le dos, moi !
- Minime, Monsieur le Président, Minime : il vous suffit d'officialiser une mesure de vos cru, au choix. C'est la phase dite "d'amorçage" un peu comme dans un régime low-carbohydrates. Donnez moi un exemple, celui qui vous vient à l'esprit.
- Bof, pas inspiré, moi... allez, au hasard : " Un stage de Scoutisme sera désormais obligatoire pour tous les enfants scolarisés dans les écoles coraniques de la région Parisienne"
- Hahahahhahahha !
- Montmorency ! Je vous paye à rigoler comme un pôv'con ou quoi ?
- Non, Monsieur le Président, c'est qu'à ma connaissance, il n'est pas d'école islamique en France, du moins pas encore.
- Et bien justement, vaut mieux s'attaquer aux problèmes avant qu'ils naissent. Et puis , c'est un beau sujet pour attraper les Socialos et leurs assos de daube qui s'envoient en l'air avec mon argent du contribuable.
- Très bien, Monsieur le Président. Après la phase dite d'amorçage, la mise en place du NAS est aisée. Un cordon d'étudiants de l'UMP est placé de part et d'autre du circuit Bastille-Nation. Et Oui ! Les communistes sont tellement abrutis qu'ils n'ont jamais songé à modifier le chemin qu'il empruntent. Depuis 20 ans. On ne peut pas défiler et penser en même temps, hein Monsieur le Président ?
- Hahahaha, c'est juste, Général, c'est juste. Mais encore ?
- Donc nous mettons en place un dispositif de barrières, sans CRS, mais avec étudiants de l'UMP, qui scandent des slogans
anti-socialos : " Sélogolène, si tu savais, lalalèrre, lalalèrre" avec le ton de gauche et tout : pas lavés, pas rasés, pas éduqués,pas religieux, pas instruits, pas polis, bien paresseux, mous et si c'est possible avec des lunettes et des pancartes aillée dans des Cartons Ed l'épicier. La totale quoi. Le but c'est d'énerver le Socialo avec en face, du Socialo pareil, mais de droite, qui le stimule pour aller un peu plus vite, prendre de l'élan, en quelque sorte. Parce que si la manif va au rythme qu'on lui connais aujourd'hui ( 2km/h, faut pas se fatiguer hein ?) le NAS ne peux pas fonctionner.
- Je comprends, continuez.
- Le "groupement de soutien" est placé derrière. Vous savez, habituellement, les fins de cortèges sont constitués de manière
autonome : les vendeurs de merguez, les casseurs, les motos-crottes, les balayeurs, et enfin les camions de la voirie. Et bien, nous allons changer ceci. Nous allons mettre des Roms montés sur caravanes.
- Tiens ? Il en reste encore de ça ?
- Non, Monsieur le Président, mais on peut toujours les libérer une journée pour la tâche. Tant que y a un salaire, vous savez, les Roms, y sont bosseurs. En captivité ou pas.
- Ok. Je comprends. Le socialo, en vrai épouvanté par l'idée de se faire gauler son portefeuille, par un gitan, en plus, ce qui n'arrange rien, ne va pas traîner en route !
- Et Oui ! Vous commencez à y voir clair, Monsieur le Président ! Cette technique nous vient des parcs à bestiaux texans,
quand il s'agit d'amener un troupeau conséquent à un point donné. Le plan des barrières est à votre disposition. Bastille, Passage large, Nation : demi- tour Droite, passage Réduit, Bastille : Passage individuel : Plouf ! dans le Canal !
- Génial; Montmorency ! Génial ! Et les Roms en fin de cortège aussi ! Plouf ! Hahahahaha. Mais comment générer la panique finale ? Les gens vont bien se douter que la nasse opère ?
- Un forfait Bouygues, Monsieur le Président.
- Comment ça "un forfait Bouygues" ?
- He bien : un immense stand Bouygues Télécom, qui enjambe le canal, avec bannière géante qui annonce que les 100000 premiers arrivés se verront offrir un Iphone 4 avec un forfait illimité, appel internationaux inclus !
- Montmorency, vous allez finir au Panthéon. Heu dites-moi, vot' plan, il tient debout, mais ou je vais trouver autant d'étudiants
affiliés UMP pour rabattre tant de socialo ?
- Ah oui, je n'y avais pas pensé, mais c'est de votre ressort, Monsieur le Président. L'armée ne fait pas de politique, Monsieur le Président.
- Ok, Mon général, je vais faire autant ce que je veux ce peut de mon coté.
- Pardon, Monsieur le Président ?
- Heu... Rien, Montmorency, rien.
Sarko était dubitatif.
- Bon, c'est quoi votre dernière invention, Montmorency ?
- La nasse, Monsieur le Président, la Nasse à Socialos. Nom de code : N.A.S.
- Purée; ça sonne un peu comme "OAS" votre truc...
- Non, un peu comme "SAS", si vous voulez.
- Expliquez.
- C'est que, nous avons besoin de votre participation, Monsieur le Président .
- Encore ? Mais j'ai tout le monde sur le dos, moi !
- Minime, Monsieur le Président, Minime : il vous suffit d'officialiser une mesure de vos cru, au choix. C'est la phase dite "d'amorçage" un peu comme dans un régime low-carbohydrates. Donnez moi un exemple, celui qui vous vient à l'esprit.
- Bof, pas inspiré, moi... allez, au hasard : " Un stage de Scoutisme sera désormais obligatoire pour tous les enfants scolarisés dans les écoles coraniques de la région Parisienne"
- Hahahahhahahha !
- Montmorency ! Je vous paye à rigoler comme un pôv'con ou quoi ?
- Non, Monsieur le Président, c'est qu'à ma connaissance, il n'est pas d'école islamique en France, du moins pas encore.
- Et bien justement, vaut mieux s'attaquer aux problèmes avant qu'ils naissent. Et puis , c'est un beau sujet pour attraper les Socialos et leurs assos de daube qui s'envoient en l'air avec mon argent du contribuable.
- Très bien, Monsieur le Président. Après la phase dite d'amorçage, la mise en place du NAS est aisée. Un cordon d'étudiants de l'UMP est placé de part et d'autre du circuit Bastille-Nation. Et Oui ! Les communistes sont tellement abrutis qu'ils n'ont jamais songé à modifier le chemin qu'il empruntent. Depuis 20 ans. On ne peut pas défiler et penser en même temps, hein Monsieur le Président ?
- Hahahaha, c'est juste, Général, c'est juste. Mais encore ?
- Donc nous mettons en place un dispositif de barrières, sans CRS, mais avec étudiants de l'UMP, qui scandent des slogans
anti-socialos : " Sélogolène, si tu savais, lalalèrre, lalalèrre" avec le ton de gauche et tout : pas lavés, pas rasés, pas éduqués,pas religieux, pas instruits, pas polis, bien paresseux, mous et si c'est possible avec des lunettes et des pancartes aillée dans des Cartons Ed l'épicier. La totale quoi. Le but c'est d'énerver le Socialo avec en face, du Socialo pareil, mais de droite, qui le stimule pour aller un peu plus vite, prendre de l'élan, en quelque sorte. Parce que si la manif va au rythme qu'on lui connais aujourd'hui ( 2km/h, faut pas se fatiguer hein ?) le NAS ne peux pas fonctionner.
- Je comprends, continuez.
- Le "groupement de soutien" est placé derrière. Vous savez, habituellement, les fins de cortèges sont constitués de manière
autonome : les vendeurs de merguez, les casseurs, les motos-crottes, les balayeurs, et enfin les camions de la voirie. Et bien, nous allons changer ceci. Nous allons mettre des Roms montés sur caravanes.
- Tiens ? Il en reste encore de ça ?
- Non, Monsieur le Président, mais on peut toujours les libérer une journée pour la tâche. Tant que y a un salaire, vous savez, les Roms, y sont bosseurs. En captivité ou pas.
- Ok. Je comprends. Le socialo, en vrai épouvanté par l'idée de se faire gauler son portefeuille, par un gitan, en plus, ce qui n'arrange rien, ne va pas traîner en route !
- Et Oui ! Vous commencez à y voir clair, Monsieur le Président ! Cette technique nous vient des parcs à bestiaux texans,
quand il s'agit d'amener un troupeau conséquent à un point donné. Le plan des barrières est à votre disposition. Bastille, Passage large, Nation : demi- tour Droite, passage Réduit, Bastille : Passage individuel : Plouf ! dans le Canal !
- Génial; Montmorency ! Génial ! Et les Roms en fin de cortège aussi ! Plouf ! Hahahahaha. Mais comment générer la panique finale ? Les gens vont bien se douter que la nasse opère ?
- Un forfait Bouygues, Monsieur le Président.
- Comment ça "un forfait Bouygues" ?
- He bien : un immense stand Bouygues Télécom, qui enjambe le canal, avec bannière géante qui annonce que les 100000 premiers arrivés se verront offrir un Iphone 4 avec un forfait illimité, appel internationaux inclus !
- Montmorency, vous allez finir au Panthéon. Heu dites-moi, vot' plan, il tient debout, mais ou je vais trouver autant d'étudiants
affiliés UMP pour rabattre tant de socialo ?
- Ah oui, je n'y avais pas pensé, mais c'est de votre ressort, Monsieur le Président. L'armée ne fait pas de politique, Monsieur le Président.
- Ok, Mon général, je vais faire autant ce que je veux ce peut de mon coté.
- Pardon, Monsieur le Président ?
- Heu... Rien, Montmorency, rien.
Invité- Invité
Re: NOS aphorismes et pensées insensées
T'es l'meilleur panda : ))
un occis mort
est un pléonasme
comme quoi la stylistique
est plus encore plus complexe qu'on ne le pense
"Vous aurez une cadence mineure avec une petite apodose. C'est une question de longueur"
Vive la stylistique !
un occis mort
est un pléonasme
comme quoi la stylistique
est plus encore plus complexe qu'on ne le pense
"Vous aurez une cadence mineure avec une petite apodose. C'est une question de longueur"
Vive la stylistique !
Re: NOS aphorismes et pensées insensées
2012 l'odyssée du Kärcher
Sarko se grattait la couille gauche. Il fait toujours ça quand il avait une idée. En fait, il se grattait les couilles en permanence.
Certains hommes le font. C'est toujours un geste caché, mais toujours effectué de manière à ce qu'il soit public. Un con qui passe pourrait décréter qu'il est pubien. Mais les couilles sont plus au sud. Bref, Sarko avait une idée. Il redoutait l'escarre de
couille, à force. Carla lui passait de la crème au Zinc. Ou Zaya. Ou Mirza.
- Allo ? Montmorency ?
- Oui Monsieur le Président ?
- Oui, je n'arrivai pas à dormir, là, dites-moi, pour ces bouannas de Skri-Lankais que Rocard nous a déterré dans les années 80 ont fait comment ? Vous avez vu la gueule du 17e ? On dira un curry d'agneau avec trop de cardamone !
- Monsieur le Président, je vous prie de modérer votre langage, nous sommes probablement sur écoute, ce n'est pas convenable de parler de ces gens-ci sur ce ton.
- C'est la meilleure ! Vous même les appelez les marrons d'Inde ! C'est le comble !
- Oui, mais c'est au siège ou aux Invalides, nous n'employons pas de tels termes pour ces métèques puants dans un cadre officiel.
- Bon, Bref, on en fait quoi des Sriblanquettes j'sais pas quoi ? La guerre civile est finie non ? Qu'il retournent se faire griller
l'aubergine d'où ils sont venus, merci, et...bonne nuit , Général.
- C'est qu'ils ont de bons avocats, Monsieur le Président, c'est une communauté vivante, adroite et qui ma foi s'intègre plutôt bien : allocs, unedic, rmi, regroupement familial, pal, smic, faux et usages de faux, travail au noir, fraude fiscale. Sinon, ils se fondent dans la société avec un certain succès !
- Oui oui, au début c'est le Banania, ensuite c'est le Benco, et après on se retrouve avec la moitié du Commonwealth qui pionce ou transit entre Pigalle et Notre Dame de Lorette, qu'il aillent tous se faire stériliser au Pakistan. Non mais oh !
- Et bien, justement, Monsieur le Président, nous avons à l'étude un petit projet qui pourrait vous intéresser. Il s'agit du sulfate de plomb...
- Ha non ! Pas de gazages ! Je m'y refuse tout net ! Plus tard, bien entendu, après ma réélection, mais dans l'immédiat, c'est Niet ! C'est que j'ai une réputation à soutenir, moi. Enfin! Réfléchissez deux minutes. Sans blagues.
- Ne vous emportez pas , Monsieur le Président. Je pensais simplement à une distribution dans les rations des cantines.
Comme d'habitude : 75% de menu sans porc, 25% de menu avec porc. Nous pensions simplement que dans les menus avec porc, nous pourrions ajuster l'assaisonnement avec quelque cocktail stérilisant.
Sarko se frottait la couille droite. Il fait toujours ça quand il pense. De manière à ce que tout le monde se dise : "tiens, il pense". Le gens avaient élu un drôle de bonhomme, vraiment, maintenant, il fallait en accepter les usages. Alors les gens copiaient. Il était rare d'observer un français sans son pantalon en tergal qui n'aie l'une ou l'autre main qui s'applique à se gratter les parties. Dans l'air du temps. On avais renommé l'UMP : l'UMP : l'Union pour la Malléabilité des Parties. En France, on avait pas d'argent, pas d'idées, pas pétrole mais: des couilles. C'est Carla qui avait inventé la citation. Ou Zaya. Ou Maya.
Sarko ne savait plus au juste. L'était pas membre d'une asso littéraire. Jusqu'à nouvel ordre. Prix, évènements, flonflons et pédales qui récitent de la philosophie de tantouses, même financé par son gouvernement, il s'en battait l'œil : sauvage.
Montmorency, lui , dans son lit, n'avait qu'une idée en tête : se rendormir. Dormir. 3h45 du matin. Dormir. Nicolas le Petit n'arrêtait plus depuis un moment. La fusion du ministère de la défense avec celui de l'intérieur commençait à lui paraitre
la plus grosse connerie du Siècle, et Dieu sait qu'une échelle de valeur était improbable à établir. Et Madeleine Montmorency qui refusait toujours, à plus de 50 ans de pratiquer la moindre bonne vieille pipe des familles qui lui aurait permis de décompresser un tant soi peu ou au minimum, un temps soit peut. Il fallait saisir le conseil constitutionnel. Pour Madeleine, qu'on s'entende, pas pour le Président, qui lui, avait l'immunité en tout et sur tout et surtout. Il restait la solution de démissionner, mais Montmorency savait ce qui attendait les déserteurs : pas de retraite, pas de pension, pas d'appart gratuit dans le 16e, pas de voiture avec chauffeur jusqu'à la tombe, alors bon, merci, s'il avait choisi militaire, c'était pas pour rien non plus. Il ne faut pas exagérer.
- Monsieur le Président, j'ai une réunion Otan en vision de nuit dans 10 minutes, nous reparlerons des babouins demains.
- Vous voyez Montmorency ! C'est vous qui commencez , haha !
- Nous nous voyons demain, Monsieur le Président !
- Entendu, ne dormez pas trop comme les communistes noirs, Général... Mon petit conseil.
Sarko était plutôt songeur, les quatre doigts de la main gauche sur une couille, les cinq de la main droite sur une autre et le pousse enfoncé entre méat et prépuce. Il fait toujours ça quand il pense, qu'il a une idée et qu'il est songeur. Montmorency montrait des signes de faiblesses et ça, ce n'était pas bon , mais alors du tout du tout du tout, mais du tout. Oui oui oui oui mais non, comme l'avait déclamé un philosophe breton d'avant. Sarko avait oublié qui au juste. Il avait d'autres chats à fouetter. Le salut venait de l'intérieur et il le savait. Il fallait encourager toutes ces communauté à s'auto-détruire, plutôt que de forcer les imites du raisonnable. L'Algérie l'avait bien fait, dans les années 90 avec ses faux militaires intégristes déguisés en militaires intégristes qui zigouillaient des villages entiers d'intégristes militaires. C'était donc possible. Et ce con de Montmorency qui dormait au téléphone au lieu d'avoir la même idée ! La solitude du chef d'état face à ses responsabilité. Et Carla qui dormait aussi. Enfin Zaya. Ou Mara. Peu importe.
Sarko se grattait la couille gauche. Il fait toujours ça quand il avait une idée. En fait, il se grattait les couilles en permanence.
Certains hommes le font. C'est toujours un geste caché, mais toujours effectué de manière à ce qu'il soit public. Un con qui passe pourrait décréter qu'il est pubien. Mais les couilles sont plus au sud. Bref, Sarko avait une idée. Il redoutait l'escarre de
couille, à force. Carla lui passait de la crème au Zinc. Ou Zaya. Ou Mirza.
- Allo ? Montmorency ?
- Oui Monsieur le Président ?
- Oui, je n'arrivai pas à dormir, là, dites-moi, pour ces bouannas de Skri-Lankais que Rocard nous a déterré dans les années 80 ont fait comment ? Vous avez vu la gueule du 17e ? On dira un curry d'agneau avec trop de cardamone !
- Monsieur le Président, je vous prie de modérer votre langage, nous sommes probablement sur écoute, ce n'est pas convenable de parler de ces gens-ci sur ce ton.
- C'est la meilleure ! Vous même les appelez les marrons d'Inde ! C'est le comble !
- Oui, mais c'est au siège ou aux Invalides, nous n'employons pas de tels termes pour ces métèques puants dans un cadre officiel.
- Bon, Bref, on en fait quoi des Sriblanquettes j'sais pas quoi ? La guerre civile est finie non ? Qu'il retournent se faire griller
l'aubergine d'où ils sont venus, merci, et...bonne nuit , Général.
- C'est qu'ils ont de bons avocats, Monsieur le Président, c'est une communauté vivante, adroite et qui ma foi s'intègre plutôt bien : allocs, unedic, rmi, regroupement familial, pal, smic, faux et usages de faux, travail au noir, fraude fiscale. Sinon, ils se fondent dans la société avec un certain succès !
- Oui oui, au début c'est le Banania, ensuite c'est le Benco, et après on se retrouve avec la moitié du Commonwealth qui pionce ou transit entre Pigalle et Notre Dame de Lorette, qu'il aillent tous se faire stériliser au Pakistan. Non mais oh !
- Et bien, justement, Monsieur le Président, nous avons à l'étude un petit projet qui pourrait vous intéresser. Il s'agit du sulfate de plomb...
- Ha non ! Pas de gazages ! Je m'y refuse tout net ! Plus tard, bien entendu, après ma réélection, mais dans l'immédiat, c'est Niet ! C'est que j'ai une réputation à soutenir, moi. Enfin! Réfléchissez deux minutes. Sans blagues.
- Ne vous emportez pas , Monsieur le Président. Je pensais simplement à une distribution dans les rations des cantines.
Comme d'habitude : 75% de menu sans porc, 25% de menu avec porc. Nous pensions simplement que dans les menus avec porc, nous pourrions ajuster l'assaisonnement avec quelque cocktail stérilisant.
Sarko se frottait la couille droite. Il fait toujours ça quand il pense. De manière à ce que tout le monde se dise : "tiens, il pense". Le gens avaient élu un drôle de bonhomme, vraiment, maintenant, il fallait en accepter les usages. Alors les gens copiaient. Il était rare d'observer un français sans son pantalon en tergal qui n'aie l'une ou l'autre main qui s'applique à se gratter les parties. Dans l'air du temps. On avais renommé l'UMP : l'UMP : l'Union pour la Malléabilité des Parties. En France, on avait pas d'argent, pas d'idées, pas pétrole mais: des couilles. C'est Carla qui avait inventé la citation. Ou Zaya. Ou Maya.
Sarko ne savait plus au juste. L'était pas membre d'une asso littéraire. Jusqu'à nouvel ordre. Prix, évènements, flonflons et pédales qui récitent de la philosophie de tantouses, même financé par son gouvernement, il s'en battait l'œil : sauvage.
Montmorency, lui , dans son lit, n'avait qu'une idée en tête : se rendormir. Dormir. 3h45 du matin. Dormir. Nicolas le Petit n'arrêtait plus depuis un moment. La fusion du ministère de la défense avec celui de l'intérieur commençait à lui paraitre
la plus grosse connerie du Siècle, et Dieu sait qu'une échelle de valeur était improbable à établir. Et Madeleine Montmorency qui refusait toujours, à plus de 50 ans de pratiquer la moindre bonne vieille pipe des familles qui lui aurait permis de décompresser un tant soi peu ou au minimum, un temps soit peut. Il fallait saisir le conseil constitutionnel. Pour Madeleine, qu'on s'entende, pas pour le Président, qui lui, avait l'immunité en tout et sur tout et surtout. Il restait la solution de démissionner, mais Montmorency savait ce qui attendait les déserteurs : pas de retraite, pas de pension, pas d'appart gratuit dans le 16e, pas de voiture avec chauffeur jusqu'à la tombe, alors bon, merci, s'il avait choisi militaire, c'était pas pour rien non plus. Il ne faut pas exagérer.
- Monsieur le Président, j'ai une réunion Otan en vision de nuit dans 10 minutes, nous reparlerons des babouins demains.
- Vous voyez Montmorency ! C'est vous qui commencez , haha !
- Nous nous voyons demain, Monsieur le Président !
- Entendu, ne dormez pas trop comme les communistes noirs, Général... Mon petit conseil.
Sarko était plutôt songeur, les quatre doigts de la main gauche sur une couille, les cinq de la main droite sur une autre et le pousse enfoncé entre méat et prépuce. Il fait toujours ça quand il pense, qu'il a une idée et qu'il est songeur. Montmorency montrait des signes de faiblesses et ça, ce n'était pas bon , mais alors du tout du tout du tout, mais du tout. Oui oui oui oui mais non, comme l'avait déclamé un philosophe breton d'avant. Sarko avait oublié qui au juste. Il avait d'autres chats à fouetter. Le salut venait de l'intérieur et il le savait. Il fallait encourager toutes ces communauté à s'auto-détruire, plutôt que de forcer les imites du raisonnable. L'Algérie l'avait bien fait, dans les années 90 avec ses faux militaires intégristes déguisés en militaires intégristes qui zigouillaient des villages entiers d'intégristes militaires. C'était donc possible. Et ce con de Montmorency qui dormait au téléphone au lieu d'avoir la même idée ! La solitude du chef d'état face à ses responsabilité. Et Carla qui dormait aussi. Enfin Zaya. Ou Mara. Peu importe.
Invité- Invité
Re: NOS aphorismes et pensées insensées
Il a la niaque le héros insomniaque. Bouleversifiant ! Rigolifiant!
Ca sent le roussi pour Son mort ranci, en sursis . Le maillon faible.
Ca sent le roussi pour Son mort ranci, en sursis . Le maillon faible.
Rebecca- Nombre de messages : 12502
Age : 65
Date d'inscription : 30/08/2009
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