broken love song
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broken love song
Le subconscient assassin qui se casse la gueule dans la chaussé. L’imagination filiforme qui s’étire, s’allonge, jambe de coton, étalon d’un soir, licorne maudite, ca prends aux tripes. Crachez vos cilices ensanglantée, jetez vos cendres sur vos cranes et couronnez vous de ronces, on verra bande d'abrutis si vous vous marrez autant. Tu es penché sur moi, nouveau né, ton sang coule sur ma poitrine, étangs d’âme, étendue de mots qui se perdent, phrasent qui s’égarent, tes bras s’entrechoque, deux cristaux se brisent, tes os a terre je ramasse et ton cœur en miette, la mélasse. Passer du noir au noir, puis au très blanc, s’enfoncer dans les bleues. Ces vomissements de souvenirs, ces pantins désarticulé, enveloppe corporelles vides, cette poupée de cire prénommée Azalée et cet orage qui ne veut éclater. Cette joues sanguinolente de l’intérieure, l’aphte, l’âme rasant l’asphalte, ces articulations qui grincent et suintent, implorant l’huile. Les volutes de fumées mauves en seront témoins. Rire et courir pieds nus sur les rhododendrons, en criant les couleurs, brodant nos nuits sur des naphtes, et des yeux ciel dans un être de pierre, le firmament envahit ta peau cristalline, couverte d’un velours échancré, le dortoirs des anges est vides, 3h45 je ne dors toujours pas, les fées de l’aube s’adonnent a me tenir en vie, des corps lunaires flottent dans la mer, bientôt les nôtres, dans la faunes deux traits dessiner de part et d’autres du nez, la danse des tigres, le temple tout-puissant, ou plus jamais le soleil ne se couchera « GO AWAY ». Une jungle de satin tombe sur nos cheveux, il pleut, enfin. De fluides rivières encres coulent dans les clairières. Je swingue avec mes mots, comme tu valses avec mon cœur, et la nuit se perds dans les voiles de l’aurore. Mourir sous le soleil, s’évaporer dans l’air, la lune pour nous guider. Et le silence régner dans les clochettes scellées a tes poignets. Gorgée à la musique de ton souffle, troupe d’enfants de la terre, fruit de misogynes, et philanthropes, je trempe mes chevilles à l’eau verte de la rosée. Le monolithe dressé devant nos yeux écarquillés comme deux grosses billes.
Roxane- Nombre de messages : 14
Age : 29
Date d'inscription : 11/11/2008
Re: broken love song
Sur le fiond, je trouve le texte très confus et lourd, un alignement de mots jetés un peu n'importe comment pour faire chic. Je n'arrive pas à y voir une idée directrice.
Par ailleurs, le propos est desservi, voire obscurci, par de nombreuses erreurs de langue que je vous signale :
Le subconscient assassin qui se casse la gueule dans (ce serait plutôt "sur") la chaussée. L’imagination filiforme qui s’étire, s’allonge, jambe de coton, étalon d’un soir, licorne maudite, ça prend (et non "prends") aux tripes. Crachez vos cilices ensanglantés, jetez vos cendres sur vos crânes et couronnez-vous de ronces, on verra bande d'abrutis si vous vous marrez autant. Tu es penché sur moi, nouveau-né, ton sang coule sur ma poitrine, étang (et non "étangs", c'est le sang qui est un étang, sauf si vous avez voulu dire que le sang et la poitrine étaient des étangs d'âme) d’âme, étendue de mots qui se perdent, phrases qui s’égarent, tes bras s’entrechoquent, deux cristaux se brisent, tes os a terre je ramasse et ton cœur en miettes (il y a plusieurs miettes), la mélasse. Passer du noir au noir, puis au très blanc, s’enfoncer dans les bleus (et non "bleues"). Ces vomissements de souvenirs, ces pantins désarticulés, enveloppes corporelles vides, cette poupée de cire prénommée Azalée et cet orage qui ne veut éclater. Cette joue (et non "joues") sanguinolente de l’intérieur (et non "l'intérieure"), l’aphte, l’âme rasant l’asphalte, ces articulations qui grincent et suintent, implorant l’huile. Les volutes de fumées mauves en seront témoins. Rire et courir pieds nus sur les rhododendrons, en criant les couleurs, brodant nos nuits sur des naphtes, et des yeux ciel dans un être de pierre, le firmament envahit ta peau cristalline, couverte d’un velours échancré, le dortoir (et non "dortoir") des anges est vide (et non "vide"), 3h45 je ne dors toujours pas, les fées de l’aube s’adonnent à (par ailleurs, c'est bizarre d'écrire "s'adonner à + infinitif", en général c'est "s'adonner à quelque chose") me tenir en vie, des corps lunaires flottent dans la mer, bientôt les nôtres, dans la faune (et non "faunes") deux traits dessinent (je crois, ou peut-être "déssinés" ? Votre phrase est si confuse que je ne distingue pas bien la construction grammaticale) de part et d’autre (et non "d'autres") du nez, la danse des tigres, le temple tout-puissant, où (je crois, mais la structure de la phrase n'est pas claire ; avez-vous voulu dire "le temple tout-puissant ou bien plus jamais le soleil ne se couchera", ou "le temple tout-puissant sur lequel plus jamais le soleil ne se couchera" ? Dans le premier cas, vous avez bien orthographié "ou") plus jamais le soleil ne se couchera « GO AWAY ». Une jungle de satin tombe sur nos cheveux, il pleut, enfin. De fluides rivières encre (et non "encres" ; quand on emploie un nom commun comme adjectif de couleur, on ne l'accorde pas avec le nom, sauf pour les mots fauve, rose, écarlate, mauve, indigo, pourpre) coulent dans les clairières. Je swingue avec mes mots, comme tu valses avec mon cœur, et la nuit se perd (et non "perds") dans les voiles de l’aurore. Mourir sous le soleil, s’évaporer dans l’air, la lune pour nous guider. Et le silence régner dans les clochettes scellées a tes poignets. Gorgée à la musique de ton souffle, troupe d’enfants de la terre, fruit de misogynes, et philanthropes, je trempe mes chevilles à l’eau verte de la rosée. Le monolithe dressé devant nos yeux écarquillés comme deux grosses billes.
Par ailleurs, le propos est desservi, voire obscurci, par de nombreuses erreurs de langue que je vous signale :
Le subconscient assassin qui se casse la gueule dans (ce serait plutôt "sur") la chaussée. L’imagination filiforme qui s’étire, s’allonge, jambe de coton, étalon d’un soir, licorne maudite, ça prend (et non "prends") aux tripes. Crachez vos cilices ensanglantés, jetez vos cendres sur vos crânes et couronnez-vous de ronces, on verra bande d'abrutis si vous vous marrez autant. Tu es penché sur moi, nouveau-né, ton sang coule sur ma poitrine, étang (et non "étangs", c'est le sang qui est un étang, sauf si vous avez voulu dire que le sang et la poitrine étaient des étangs d'âme) d’âme, étendue de mots qui se perdent, phrases qui s’égarent, tes bras s’entrechoquent, deux cristaux se brisent, tes os a terre je ramasse et ton cœur en miettes (il y a plusieurs miettes), la mélasse. Passer du noir au noir, puis au très blanc, s’enfoncer dans les bleus (et non "bleues"). Ces vomissements de souvenirs, ces pantins désarticulés, enveloppes corporelles vides, cette poupée de cire prénommée Azalée et cet orage qui ne veut éclater. Cette joue (et non "joues") sanguinolente de l’intérieur (et non "l'intérieure"), l’aphte, l’âme rasant l’asphalte, ces articulations qui grincent et suintent, implorant l’huile. Les volutes de fumées mauves en seront témoins. Rire et courir pieds nus sur les rhododendrons, en criant les couleurs, brodant nos nuits sur des naphtes, et des yeux ciel dans un être de pierre, le firmament envahit ta peau cristalline, couverte d’un velours échancré, le dortoir (et non "dortoir") des anges est vide (et non "vide"), 3h45 je ne dors toujours pas, les fées de l’aube s’adonnent à (par ailleurs, c'est bizarre d'écrire "s'adonner à + infinitif", en général c'est "s'adonner à quelque chose") me tenir en vie, des corps lunaires flottent dans la mer, bientôt les nôtres, dans la faune (et non "faunes") deux traits dessinent (je crois, ou peut-être "déssinés" ? Votre phrase est si confuse que je ne distingue pas bien la construction grammaticale) de part et d’autre (et non "d'autres") du nez, la danse des tigres, le temple tout-puissant, où (je crois, mais la structure de la phrase n'est pas claire ; avez-vous voulu dire "le temple tout-puissant ou bien plus jamais le soleil ne se couchera", ou "le temple tout-puissant sur lequel plus jamais le soleil ne se couchera" ? Dans le premier cas, vous avez bien orthographié "ou") plus jamais le soleil ne se couchera « GO AWAY ». Une jungle de satin tombe sur nos cheveux, il pleut, enfin. De fluides rivières encre (et non "encres" ; quand on emploie un nom commun comme adjectif de couleur, on ne l'accorde pas avec le nom, sauf pour les mots fauve, rose, écarlate, mauve, indigo, pourpre) coulent dans les clairières. Je swingue avec mes mots, comme tu valses avec mon cœur, et la nuit se perd (et non "perds") dans les voiles de l’aurore. Mourir sous le soleil, s’évaporer dans l’air, la lune pour nous guider. Et le silence régner dans les clochettes scellées a tes poignets. Gorgée à la musique de ton souffle, troupe d’enfants de la terre, fruit de misogynes, et philanthropes, je trempe mes chevilles à l’eau verte de la rosée. Le monolithe dressé devant nos yeux écarquillés comme deux grosses billes.
Invité- Invité
Re: broken love song
Même en admettant que l'on puisse faire abstraction des fautes d'orthographe et de grammaire gentillement corrigées par socque, je ne trouve rien à quoi m'accrocher dans ce texte, c'est brouillon et étouffant.
Quand arrêtera-t-on de faire croire que le talent se passe de travail, que n'importe quel texte torché sur le coin d'un bureau puisse être digne d'intérêt ? !!
Quand arrêtera-t-on de faire croire que le talent se passe de travail, que n'importe quel texte torché sur le coin d'un bureau puisse être digne d'intérêt ? !!
Invité- Invité
Re: broken love song
Enormément de fautes de toutes sortes, c'est un peu beaucoup désagréable
La volonté de faire de l''effet a pris le dessus sur tout le reste et moi qui suis généralement fan des phrases longues, irrespirables et décousues, je dois dire que je me suis franchement ennuyée ici. Le côté disparate ne me dérange pas en tant que tel mais ici, il obéit justement à une structure de faux désordre, avec une volonté d'aligner les mots pour les rendre clinquants et donner de la gueule au texte (enfin, moi je l'ai perçu de la sorte). Tout ceci sonne donc faux à mes yeux.
Une autre fois, qui sait...
La volonté de faire de l''effet a pris le dessus sur tout le reste et moi qui suis généralement fan des phrases longues, irrespirables et décousues, je dois dire que je me suis franchement ennuyée ici. Le côté disparate ne me dérange pas en tant que tel mais ici, il obéit justement à une structure de faux désordre, avec une volonté d'aligner les mots pour les rendre clinquants et donner de la gueule au texte (enfin, moi je l'ai perçu de la sorte). Tout ceci sonne donc faux à mes yeux.
Une autre fois, qui sait...
Sahkti- Nombre de messages : 31659
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