En terre
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En terre
Coeur de vague, essuie le sang de mes racines.
Mes neurones sablent mes inscriptions blessées.
Tout est blanc, battu en neige d'un froid écrasé.
La boîte se ferme, les roses pleurent en sourdine.
La bruine se raidit en aiguilles de glace à la voix
D'angine d'un curé plié comme un saule pleureur.
La trompette biblique plante ses notes à la croix,
Signe de soumission, de rédemption, d'entremetteur.
Du monticule noir, la pelle fait une tête de spleen.
Le ciel accompagne chaque mouvement, affectif.
Un voilier des airs égaré apporte sa note en abyme,
A la scène imposée, à dessein, au monde convulsif.
Le silence n'a pas de montre, l'éternité s'installe.
Un battement de cil, l'oeil se noircit, la peur dîne.
Fracas de la vie prise au piège, la pierre est tombale.
Les parois azurés étouffent des semblants de râles.
Taillader le bois tendre, parmi les asticots forçats.
La terre ronge mes ongles jusqu'aux métacarpes.
Moignons, je découvre l'air libre vicié de nuit, béa.
Ma peau se hérisse en lambeaux, je file tel l'escarpe.
Laver mon reste de corps, la pluie vierge m'encrasse.
Je cherche une rivière et je m'empale jusqu'à la garde,
Au premier poteau sentinelle d'un champ de carcasses,
Je meurs parmi les miens. Soldats, à moi la cocarde !
© Max-Louis MARCETTEAU 2009
Mes neurones sablent mes inscriptions blessées.
Tout est blanc, battu en neige d'un froid écrasé.
La boîte se ferme, les roses pleurent en sourdine.
La bruine se raidit en aiguilles de glace à la voix
D'angine d'un curé plié comme un saule pleureur.
La trompette biblique plante ses notes à la croix,
Signe de soumission, de rédemption, d'entremetteur.
Du monticule noir, la pelle fait une tête de spleen.
Le ciel accompagne chaque mouvement, affectif.
Un voilier des airs égaré apporte sa note en abyme,
A la scène imposée, à dessein, au monde convulsif.
Le silence n'a pas de montre, l'éternité s'installe.
Un battement de cil, l'oeil se noircit, la peur dîne.
Fracas de la vie prise au piège, la pierre est tombale.
Les parois azurés étouffent des semblants de râles.
Taillader le bois tendre, parmi les asticots forçats.
La terre ronge mes ongles jusqu'aux métacarpes.
Moignons, je découvre l'air libre vicié de nuit, béa.
Ma peau se hérisse en lambeaux, je file tel l'escarpe.
Laver mon reste de corps, la pluie vierge m'encrasse.
Je cherche une rivière et je m'empale jusqu'à la garde,
Au premier poteau sentinelle d'un champ de carcasses,
Je meurs parmi les miens. Soldats, à moi la cocarde !
© Max-Louis MARCETTEAU 2009
Re: En terre
Une ambiance zombie assez bien installée, ce qui me plaît. Mais d'un point de vue formel, si vous avez voulu écrire en dodécasyllabes classiques, votre décompte est souvent fautif. Je vous indique les règles présidant à ce décompte, si vous voulez le suivre par la suite.
Dans un vers, toutes les syllabes, même celles muettes oralement, comptent, sauf :
- les syllabes muettes oralement, situées en fin de vers
- dans le corps du vers, une syllabe muette oralement située en fin de mot, si et seulement si elle se termine par un "e" et que le mot suivant commence par une voyelle ou un "h" muet.
Par ailleurs, vous semblez avoir fait le choix de la rime ; si tel est le cas, je vous signale que "spleen" ne rime pas avec "abyme", et que "dîne", dans le quatrième quatrain, n'a pas de rime (mais on pourrait dire qu'il rime avec "spleen", un peu plus haut)
Je vous donne ci-dessous le décompte, pour ceux de vos vers qui ne comportent pas douze syllabes selon les règles de la prosodie française (cela dit, vos vers m'ont l'air beaucoup plus longs, peut-être n'avez-vous pas du tout recherché cette forme !), et vous indique en outre quelques erreurs de langue dans votre poème.
En vous souhaitant la bienvenue sur Vos Ecrits, à vous lire bientôt !
Cœur-de-va-gue e-ssuie-le-sang-de-mes-ra-cines (11 syllabes ; en outre, l'emploi de la ligature "œ" dans le mot "cœur" fait partie intégrante de la graphie du mot)
Tout-est-blanc-ba-ttu-en-nei-ge-d'un-froid-é-cra-sé (13)
La-boî-te-se-fer-me-les-ro-ses-pleu-rent-en-sour-dine (14)
La-brui-ne-se-rai-dit-en-ai-gui-lles-de-gla-ce à-la-voix (15)
D'an-gi-ne-d'un-cu-ré-pli-é-co-mme un-sau-le-pleu-reur (14)
La-trom-pe-tte-bi-bli-que-plan-te-ses-no-tes-à-la-croix (15)
Si-gne-de-sou-mi-ssion-de-ré-dem-ption-d'en-tre-me-tteur (14)
Du-mon-ti-cu-le-noir-la-pe-lle-fait-u-ne-tê-te-de-spleen (16)
Le-ciel-a-ccom-pa-gne-cha-que-mou-ve-ment-a-ffec-tif (14)
Un-voi-lier-des-airs-é-ga-ré-a-ppor-te-sa-no-te en-a-byme (16)
A-la-scè-ne im-po-sée-à-de-ssein-au-mon-de-con-vul-sif (15)
Le-si-len-ce-n'a-pas-de-mon-tre-l'é-ter-ni-té-s'ins-talle (15)
Un-ba-tte-ment-de-cil-l'œil-se-noir-cit-la-peur-dîne (13, et "œil" s'écrit avec une ligature "œ")
Fra-cas-de-la-vie-pri-se au-piè-ge-la-pie-rre est-tom-bale (14)
Les-pa-rois-a-zu-rées-é-tou-ffent-des-sem-blants-de-râles (14)
Ta-illa-der-le-bois-ten-dre-par-mi-les-a-sti-cots-for-çats (15)
La-te-rre-ron-ge-mes-on-gles-ju-squ'aux-mé-ta-carpes (13)
Moi-gnons-je-dé-cou-vre-l'air-li-bre-vi-cié-de-nuit-bé-at (15)
Ma-peau-se-hé-ri-sse en-lam-beaux-je-fi-le-tel-l'es-carpe (14)
La-ver-mon-re-ste-de-corps-la-pluie-vier-ge-m'en-crasse (13)
Je-cher-che u-ne-ri-viè-re et-je-m'em-pa-le-jus-qu'à-la-garde (15)
Au-pre-mier-po-teau-sen-ti-ne-lle-d'un-champ-de-car-casses (14)
Je-meurs-par-mi-les-miens-Sol-dats-à-moi-la-co-carde (13)
Dans un vers, toutes les syllabes, même celles muettes oralement, comptent, sauf :
- les syllabes muettes oralement, situées en fin de vers
- dans le corps du vers, une syllabe muette oralement située en fin de mot, si et seulement si elle se termine par un "e" et que le mot suivant commence par une voyelle ou un "h" muet.
Par ailleurs, vous semblez avoir fait le choix de la rime ; si tel est le cas, je vous signale que "spleen" ne rime pas avec "abyme", et que "dîne", dans le quatrième quatrain, n'a pas de rime (mais on pourrait dire qu'il rime avec "spleen", un peu plus haut)
Je vous donne ci-dessous le décompte, pour ceux de vos vers qui ne comportent pas douze syllabes selon les règles de la prosodie française (cela dit, vos vers m'ont l'air beaucoup plus longs, peut-être n'avez-vous pas du tout recherché cette forme !), et vous indique en outre quelques erreurs de langue dans votre poème.
En vous souhaitant la bienvenue sur Vos Ecrits, à vous lire bientôt !
Cœur-de-va-gue e-ssuie-le-sang-de-mes-ra-cines (11 syllabes ; en outre, l'emploi de la ligature "œ" dans le mot "cœur" fait partie intégrante de la graphie du mot)
Tout-est-blanc-ba-ttu-en-nei-ge-d'un-froid-é-cra-sé (13)
La-boî-te-se-fer-me-les-ro-ses-pleu-rent-en-sour-dine (14)
La-brui-ne-se-rai-dit-en-ai-gui-lles-de-gla-ce à-la-voix (15)
D'an-gi-ne-d'un-cu-ré-pli-é-co-mme un-sau-le-pleu-reur (14)
La-trom-pe-tte-bi-bli-que-plan-te-ses-no-tes-à-la-croix (15)
Si-gne-de-sou-mi-ssion-de-ré-dem-ption-d'en-tre-me-tteur (14)
Du-mon-ti-cu-le-noir-la-pe-lle-fait-u-ne-tê-te-de-spleen (16)
Le-ciel-a-ccom-pa-gne-cha-que-mou-ve-ment-a-ffec-tif (14)
Un-voi-lier-des-airs-é-ga-ré-a-ppor-te-sa-no-te en-a-byme (16)
A-la-scè-ne im-po-sée-à-de-ssein-au-mon-de-con-vul-sif (15)
Le-si-len-ce-n'a-pas-de-mon-tre-l'é-ter-ni-té-s'ins-talle (15)
Un-ba-tte-ment-de-cil-l'œil-se-noir-cit-la-peur-dîne (13, et "œil" s'écrit avec une ligature "œ")
Fra-cas-de-la-vie-pri-se au-piè-ge-la-pie-rre est-tom-bale (14)
Les-pa-rois-a-zu-rées-é-tou-ffent-des-sem-blants-de-râles (14)
Ta-illa-der-le-bois-ten-dre-par-mi-les-a-sti-cots-for-çats (15)
La-te-rre-ron-ge-mes-on-gles-ju-squ'aux-mé-ta-carpes (13)
Moi-gnons-je-dé-cou-vre-l'air-li-bre-vi-cié-de-nuit-bé-at (15)
Ma-peau-se-hé-ri-sse en-lam-beaux-je-fi-le-tel-l'es-carpe (14)
La-ver-mon-re-ste-de-corps-la-pluie-vier-ge-m'en-crasse (13)
Je-cher-che u-ne-ri-viè-re et-je-m'em-pa-le-jus-qu'à-la-garde (15)
Au-pre-mier-po-teau-sen-ti-ne-lle-d'un-champ-de-car-casses (14)
Je-meurs-par-mi-les-miens-Sol-dats-à-moi-la-co-carde (13)
Invité- Invité
Re: En terre
Bon jour Socque,
Je tiens d'abord à vous remercier de votre accueil. : )
Ensuite, je vous suis reconnaissant de l'attention que vous avez bien voulu porter à mon modeste texte : des conseils à la portée de corrections.
Il fut un temps par laquelle la prosodie était bien installée en mon logis et tenait les rênes mais sa diktat permanente entravait mon comportement. J'étais soumis. Ce qui, en vérité n'est pas pour me déplaire. Cependant, cela ne dure qu'un temps. Ce qui fait, qu'un jour de mauvaise humeur, ma rébellion de service, l'a virée dehors. Vous remarquerez la féminité des deux antagonistes : prosodie et rébellion. Deux femmes dans un même logis, les rôles définis mais difficilement acceptés, le crêpage de chignons n'est pas loin. Rébellion victorieuse, m'embrassa comme du bon pain. Depuis ce jour, ma poésie est libre. Quoi que ! Et oui, comme vous le faites remarquer très justement, cette poésie tient de l'handicap. Cela, suite à une addiction à la prosodie. Je reconnais volontiers ce défaut. Les puristes seront chagrinés, voire mes bourreaux. Qu'importe, j'écris et là, est l'essentiel
Max-Louis
Je tiens d'abord à vous remercier de votre accueil. : )
Ensuite, je vous suis reconnaissant de l'attention que vous avez bien voulu porter à mon modeste texte : des conseils à la portée de corrections.
Il fut un temps par laquelle la prosodie était bien installée en mon logis et tenait les rênes mais sa diktat permanente entravait mon comportement. J'étais soumis. Ce qui, en vérité n'est pas pour me déplaire. Cependant, cela ne dure qu'un temps. Ce qui fait, qu'un jour de mauvaise humeur, ma rébellion de service, l'a virée dehors. Vous remarquerez la féminité des deux antagonistes : prosodie et rébellion. Deux femmes dans un même logis, les rôles définis mais difficilement acceptés, le crêpage de chignons n'est pas loin. Rébellion victorieuse, m'embrassa comme du bon pain. Depuis ce jour, ma poésie est libre. Quoi que ! Et oui, comme vous le faites remarquer très justement, cette poésie tient de l'handicap. Cela, suite à une addiction à la prosodie. Je reconnais volontiers ce défaut. Les puristes seront chagrinés, voire mes bourreaux. Qu'importe, j'écris et là, est l'essentiel
Max-Louis
Re: En terre
Bien aimé l'évolution du poème, je ne m'attendais pas à ça en commençant ma lecture.
Je retiens en particulier cette image, bien trouvée :
Tout est blanc, battu en neige d'un froid écrasé.
La boîte se ferme, les roses pleurent en sourdine.
Sur la forme, j'ai quand même ressenti que la rime était forcée par endroits, par exemple dans la troisième strophe.
note : béat
Je retiens en particulier cette image, bien trouvée :
Ceci aussi n'est pas mal :La bruine se raidit en aiguilles de glace à la voix
D'angine d'un curé plié comme un saule pleureur.
Tout est blanc, battu en neige d'un froid écrasé.
La boîte se ferme, les roses pleurent en sourdine.
Sur la forme, j'ai quand même ressenti que la rime était forcée par endroits, par exemple dans la troisième strophe.
note : béat
Invité- Invité
Re: En terre
Vous le dites très bien vous-même :
Vous gardez la rime, la disposition en quatrains de vers qui pourraient passer pour dodécasyllabes ...
Puisque vous semblez vouloir vous débarrasser des règles de la prosodie classique il me semble que vous devriez le faire plus franchement en brisant vos lignes et surtout, ne pas les terminer presque toutes, systématiquement, par un point, celà leur donne une raideur inutile qui nuit à la souplesse de l'ensemble.
Il ne s'agit là, bien entendu, que d'un avis qui m'est personnel au sujet d'un texte dont l'ambiance est très bien rendue et qui mérite notre attention. Bienvenue sur VE.
et c'est justement ce crêpage de chignon permanent qui me gêne dans vos vers. Pas franchement libérée votre poésie me fait l'effet de ces boissons qui ont La couleur de l'alcool, le goût de l'alcool mais qui ne sont pas de l'alcoolDeux femmes dans un même logis, les rôles définis mais difficilement acceptés, le crêpage de chignons n'est pas loin.
Vous gardez la rime, la disposition en quatrains de vers qui pourraient passer pour dodécasyllabes ...
Puisque vous semblez vouloir vous débarrasser des règles de la prosodie classique il me semble que vous devriez le faire plus franchement en brisant vos lignes et surtout, ne pas les terminer presque toutes, systématiquement, par un point, celà leur donne une raideur inutile qui nuit à la souplesse de l'ensemble.
Il ne s'agit là, bien entendu, que d'un avis qui m'est personnel au sujet d'un texte dont l'ambiance est très bien rendue et qui mérite notre attention. Bienvenue sur VE.
Re: En terre
Bon jour Easter,
Merci de votre accueil.
Effectivement, j'ai parfois la coquille légère ou insoutenable et des lacunes orthographiques et grammaticales. ( et je vous passe les barbarismes, oxymores et autres mots de notre rhétorique superbe et bien plantée de notre langue française). Je ne suis point sans défauts. Merci à vous.
Max-Louis
Merci de votre accueil.
Effectivement, j'ai parfois la coquille légère ou insoutenable et des lacunes orthographiques et grammaticales. ( et je vous passe les barbarismes, oxymores et autres mots de notre rhétorique superbe et bien plantée de notre langue française). Je ne suis point sans défauts. Merci à vous.
Max-Louis
Re: En terre
Bon jour Arielle
Merci de votre accueil : )
J'adore l'expression : "La couleur de l'alcool, le goût de l'alcool mais qui ne sont pas de l'alcool " que vous soutenez. Vous me semblez un tantinet déçue que le degré de mon texte ne vous brûle pas les papilles, si ce n'est qu'il vous picote. Je l'avoue, je ne bois pas d'alcool. : )Cause à effet ? Je ne sais. De plus, les points marquent la solennité de l'action en cours. De là, c'est votre ressenti qui vous met mal à l'aise à la lecture.
Max-Louis
Merci de votre accueil : )
J'adore l'expression : "La couleur de l'alcool, le goût de l'alcool mais qui ne sont pas de l'alcool " que vous soutenez. Vous me semblez un tantinet déçue que le degré de mon texte ne vous brûle pas les papilles, si ce n'est qu'il vous picote. Je l'avoue, je ne bois pas d'alcool. : )Cause à effet ? Je ne sais. De plus, les points marquent la solennité de l'action en cours. De là, c'est votre ressenti qui vous met mal à l'aise à la lecture.
Max-Louis
Re: En terre
Il me faudra certainement lire de vous d'autres textes, le temps de m'imprégner. J'ai trouvé de l'admirable :
Le silence n'a pas de montre, l'éternité s'installe.
et des choses que je goûte moins :
Taillader le bois tendre, parmi les asticots forçats.
Du monticule noir, la pelle fait une tête de spleen.
Bienvenue et au plaisir de vous lire bientôt.
Le silence n'a pas de montre, l'éternité s'installe.
et des choses que je goûte moins :
Taillader le bois tendre, parmi les asticots forçats.
Du monticule noir, la pelle fait une tête de spleen.
Bienvenue et au plaisir de vous lire bientôt.
Invité- Invité
Re: En terre
Bon jour Pandaworks,
Tu as apparemment 18 ans et cette phrase de sagesse : " Il me faudra certainement lire de vous d'autres textes, le temps de m'imprégner. " Merci à toi.
Max-Louis
Tu as apparemment 18 ans et cette phrase de sagesse : " Il me faudra certainement lire de vous d'autres textes, le temps de m'imprégner. " Merci à toi.
Max-Louis
Re: En terre
Bon jour Easter,
Toute apparence à son défaut. Qu'importe, d'ailleurs. La phrase a été posée. Je l'ai cueillie.
Max-Louis
Toute apparence à son défaut. Qu'importe, d'ailleurs. La phrase a été posée. Je l'ai cueillie.
Max-Louis
Re: En terre
Max-Louis, juste pour info, mais c'est écrit sur la page d'accueil, il est recommandé de répondre aux commentaires ici :
https://vosecrits.1fr1.net/forum-vos-ecrits-poesie-f3/reponses-aux-commentaires-poesie-t3397-720.htm
sinon ce sont toujours les mêmes textes qui restent en haut de page au détriment des autres
merci pour la compréhension !
(et c'est moi qui fais encore remonter...)
;-)
https://vosecrits.1fr1.net/forum-vos-ecrits-poesie-f3/reponses-aux-commentaires-poesie-t3397-720.htm
sinon ce sont toujours les mêmes textes qui restent en haut de page au détriment des autres
merci pour la compréhension !
(et c'est moi qui fais encore remonter...)
;-)
Re: En terre
Je n'ai pas totalement réussi à entrer dans ce texte et ce, non pas en raison de contraintes techniques dont je ne suis pas assez spécialiste pour pouvoir en juger, mais en raison d'une accumulation d'images fortes qui m'ont laissée peu d'air et pas assez de temps pour respirer. Des images dont certaines sont belles, mais ainsi disposées, elles se mangent les unes les autres et je trouve ça dommage; ça atténue la puissance de ce texte.
J'ai un petit bémol sur les rimes qui m'ont paru parfois trop simples, trop visibles.
Sinon, il y a du potentiel que je découvrirai avec plaisir dans d'autres textes. Bonne continuation ici !
J'ai un petit bémol sur les rimes qui m'ont paru parfois trop simples, trop visibles.
Sinon, il y a du potentiel que je découvrirai avec plaisir dans d'autres textes. Bonne continuation ici !
Sahkti- Nombre de messages : 31659
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Date d'inscription : 12/12/2005
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