Ecrivain maudit

Ecrivain maudit
Portant à sa main la plume sacré,
Ecrivain aigri
Faisant glisser la plume sur son cahier.
Les mots se mêlent, les mots jouent
Dans l'esprit de cet homme qui peu à peu devient fou.
Il écrit ses état d'âmes,
Souvent il emploi le nom d'une femme.

Perdu dans ses pensées,
Il porte à sa main la plume sacré.
L'écrivain maudit
Pleur, cri, et enfin sourit...

Ecrivain maudit
Possedant entre ses doigts la plume sacré,
Ecrivain aigri
Au sourir profond et nevrosé.
Les mots s'entre-mêlent, se perdent telle une larme sur une joue,
Dans l'esprit du poéte qui dans ce monde sans goût
Ecrit simplement son mal,
Souvent en employant le nom d'une femme...

Perdu dans ses pensées,
La plume sacrée dans sa main glacée,
L'écrivain maudit
Pleur, cri, et enfin sourit...

Bonsoir Toinou,

pas pour moi cette fois-ci, j'ai trouvé votre poème empli de clichés.

Bonsoir Peter Pan, pouvais vous être plus constructif s'il vous plait?
Donner des exemples de clichés et de choses a ne pas faire... ? Cela me sera toujours util pour la fois prochaine

Merci pour votre avis.

Vous avez entièrement raison Toinou, mon commentaire est à mille lieues d'être étoffé ainsi que constructif. Pour l'instant je ne peux pas faire mieux mais attendez d'autres avis, ils seront sûrement plus appropriés et sensés à votre poème que le mien... et de rien...

Déjà, pour vous être utile, je vais vous signaler les erreurs de langue dans votre poème. Je ne commenterai pas sur le fond parce que le sujet m'insupporte et que je deviendrais tout de suite violente.
Si, une remarque quand même : je trouve vos rimes fort négligées. "Âme"/"femme", "pensées"/"sacrée" et "maudit"/"sourit" (rimes pauvres en "é" et en "i", faciles, qui donnent tout de suite une impression de manque de travail).

"la plume sacrée"
"ses états d'âme (et non "d'âmes", il en a qu'une, d'âme, le gars)"
"Souvent il emploie le nom d'une femme"
"la plume sacrée"
"L'écrivain maudit
Pleure, crie"
"Possédant entre ses doigts la plume sacrée"
"Au sourire profond et névrosé"
"Dans l'esprit du poète "
"L'écrivain maudit
Pleure, crie"

de mémoire je dirais :
" Il n'a plus été question que de vent et d'orages, que de maux inconnus livrés aux nuages et à la nuit. Il n'y a pas de grimaud sortant du collège qui n'ai rêvé être le plus malheureux des hommes ; de bambin qui à seize ans n'ait épuisé la vie, qui ne se soit cru tourmenté par son génie ; qui, dans l'abîme de ses pensées, ne se soit livré au vague de ses passions ; qui n'ait frappé son front pâle et échevelé [...] "
vous aurez reconnu Chateaubriand in Mémoires d'outre-tombe (livre XIII, chapitre 10)

voilà je crois un des clichés dont parle Peter : celui du poète (maudit de préférence), accoudé à son bureau, la main dans les cheveux (longs et sales), triturant une plume à la lueur d'une bougie (chancelante bien sûr).

Clairement : maintenant les plumes sont Bic ou Waterman et les bougies à 40 watts (de la belle bougie !). Je suis sûr que René aurait aimé avoir un ordinateur pour le traitement de texte !

Plusieurs E se sont fait la malle dans ton texte, ça en devient gênant, d'autant plus que tu étires la même idée du début à la fin sans réellement donner de consistance à l'ensemble. Passée à côté, désolée.