Petite flamme

Nous sommes tous des flammes posées sur une bougie, en un coup de vent nous pouvons nous éteindre, au simple contact de l' air... Nos sens bougent, résistent , se débattent mais personne ne nous aidera , nous sommes seul a lutter contre l'obscurité .
Tant de bougies similaires, le reflet de nos ombres s'agitent et se reflètent sur un sol que nous rendons si sale et si mauvais , incapable d'aller plus loin , pris au piège dans de la cire que nous essayons de fondre au risque de nous perdre.

Notre extérieur est rouge vif , le feu attire mais pose ton doigt sur moi tu verras qu'il se remplira de noir , et tu ressentiras ma douleur . Regarde moi , que je suis beau , regarde nous tu en seras ébloui , mais regarde nous plus profondément tes yeux habitueront et tu te lasseras de notre banalité , rigole et ne pleure pas.
Car le mal comme le bien ne dure qu'un instant , un simple moment qui a commence en étincelle et qui se finiras en un souffle.

Petites Flammes que nous sommes espérant un jour être les braises dune montagne de feu.
Née pour espérer servir à quelque chose. « Mais Je ne suis qu'une flamme situe sur une chandelle d'une église. Nous dépendons d'elle , bien que personne ne fait attention à nous , »

Prend moi , je ne suis pas Satan , Prend ma flamme et pose la dans ton cœur
Je ne fais mal que pour me protéger , alors prend moi fort , car toi comme moi aimons cette douleur dont nous nous plaignons si souvent.
Au fond si nous pourrions voler partout dans les airs sans nous éteindre , pourrais ton encore appeler ca liberté. C'est grâce a ce socle, a notre peur, à notre douleur que nous pouvons ressentir le bien d'être heureux et libre.

Alors

Petite flammes que je suis , je remercie cette force et vulnérabilité car c'est ce que nous sommes.
Petite flammes que je suis , je veux briller jusqu'au fin fond de l'ombre
Mais putain petite flammes que je suis , qu'est ce que j'aime la vie.

Votre texte, je pense, aurait pu être intéressant, bien qu'il soit à mon goût plutôt fumeux (sans vouloir faire de jeu de mots) et répétitif, si vous vous étiez donné la peine de relire un minimum. Tel quel, il me donne une impression de bâclé à cause de la densité de ses erreurs de langue et fautes de frappe, faciles à déceler.

Mes remarques :
« nous sommes seuls »
« incapables (enfin, je crois, c’est bien nous qui sommes incapables d’aller plus loin et pas le sol ?) d'aller plus loin »
« Regarde-moi, que je suis beau, regarde-nous tu en seras ébloui, mais regarde-nous plus profondément tes yeux s’habitueront »
« un simple moment qui a commencé en étincelle et qui se finira (et non « finiras ») »
« les braises d’une montagne de feu »
« Mais Je ne suis qu'une flamme située »
« bien que personne ne fasse (« bien que » est suivi du subjonctif) attention »
« Prends-moi »
« Prends ma flamme et pose-la »
« prends-moi fort »
« Au fond si nous pouvions voler partout dans les airs sans nous éteindre , pourrait-on encore appeler ça liberté. C'est grâce à ce socle, à notre peur »
« heureux et libres (il s’agit toujours de « nous », non ?) »
« Petite flamme (et non « flammes ») que je suis »
« Petite flamme (et non « flammes ») que je suis »
« petite flamme (et non « flammes ») que je suis , qu'est-ce que »

J'ajoute que les conventions typographiques veulent qu'on ne mette pas d'espace avant la virgule, et un après ; le fait de voir des virgules isolées entre deux espaces, je trouve, gêne la lecture.

Déjà soigner l'orthographe, le texte se lira d'autant mieux.
Une certaine fraîcheur, une naïveté charmante dans des propos qui ne sont toutefois pas toujours très clairs.

J'ai eu le sentiment d'être face à uen idée étirée dans tous les sens, affirmant plutôt qu'invitant, ne sachant plus trop où elle allait vers la fin et noyant dès lors son errance sous quelques effets pas forcément utiles.
Il y a pourtant l'une ou l'autre idée à exploiter, mais sans doute autrement, avec une structure plus forte et plus cohérente.