L'homme qui regardait passer les voitures (2)

Merde ! C'est vrai alors que l'argent ne fait pas le bonheur ?
Tu exagères, mais j'ai bien ri. On en voit des gagnants comme ça à la télé.

Si ça se trouve mon avatar est en MG verte ! Il faut que je vérifie.

Ah les Bidochon !!!
Dommage que la chronologie de la fin ne soit pas claire, enfin pas pour moi. On est en avril ou en juillet ? Si en juillet, je vois mal Robert porter un duffle-coat, même dans une MG décapotable.
Sinon, c'est chouette, j'ai vraiment beaucoup aimé le ton, le rythme rapide, les détails qui font mouche. Oui ça m'a plu.
Vivement la suite, du coup.

il y a des coquilles :

car elle n'avait pas tendance du tout à faire sa prétentieuse ni à exprimer la moindre velléité
des agents immobiliers qui passaient les voir
Ginette – n'oublions pas qu'elle était comptable quand même- avait mis en place ce qu'elle avait jugé être des "mesures raisonnables"
et (leur) avait bourré leurs livrets A jusqu'à la gueule
Une demi-page avec une photographie
Enfin, après quelques ronflements de moteur
un camion plein de gravats

J'aime bien être la femme qui regarde l'homme qui regardait passer les voitures.
Un cliché hyperréaliste. La folle aventure de Robert et Ginette.Leur roue de la fortune. Leur route d'infortune.
J'espère que ce n'est pas ton dernier mot Jean Pierre Narbah

Enfin un texte que je lis d'une traite et jusqu'à la fin. Pas de prise de tête inutile, pas de formules alambiquées, une histoire, simple, mais une histoire...

Ça se laisse lire, et très agréablement. C'est sans prétention, et cependant truffé de clins d'œil, de digressions, d' instantanés bien vus. La suite, please.

Oui ça passe comme une lettre à la poste. Le premier m'avait gonflé mais celui-ci se consomme avec un réel plaisir. Marrant et sans chichi.