L’homme qui regardait passer les voitures (épisode 4)

Ce feuilleton me semble à chaque fois plus goûteux ! Et concourant à la bonne amitié des peuples, ce qui n'est pas rien.
Bonne continuation dans cette odyssée, et merci pour ces bons moments.

Dépêche-toi de finir, d'abord parce que je suis impatiente d'en savoir plus et parce qu'il faut le publier à temps pour qu'il devienne le best-seller de l'été !
Je ne peux pas dire tout ce qui m'a fait rire, c'est presque à chaque ligne...
De la cruauté de Martin-Delabotte (ils sont comme ça !) à la gymnastique digitale (je sens que je vais m'y mettre) à la description très précise du Robocop. Quant à Wagner, on ne dira jamais assez les dégâts qu'il a provoqués. "Quand j'écoute Wagner, j'ai envie d'envahir la Pologne" (Woody Allen bien sûr).
Que veux-tu que je te dise ? J'adore...

Un style tout à fait jubilatoire.

ouah!
Belle manière de s'attaquer au handicap, j'aime beaucoup cette entrée.
Le ton est vif, légèrement désabusé sans trop, et le récit ne manque pas d'humour.
Ça prend.
Va me falloir maintenant lire les autres épisodes.

je me régale, vivement la suite

J'en suis partie lire le début. (si c'est pas un compliment, ça !)

ça prend bien ! Donc, j'attends la suite

On y croit absolument. Et on attend la suite avec trépidation. Toutefois et ne t'en déplaise, parce que c'est aussi la vocation du site comme tu peux le constater ici et là, je t'indique les coquilles et erreurs d'orthographe, pas dans un esprit de remontrance mais parce que cela t'aidera peut-être pour la suite :

Quand il vit que Bébert était enfin sorti du coma,
Bébert voulut parler.
Nénette n’avait pas survécu.
Bébert appritpar ses enfants que Nénette avait "tout bien fait comme il faut".
Il toucha une prime d’assurance-vie (tiret) mirobolante contractée sur sa tête à elle

De ce côté-là (tiret) disons que les choses s’arrangeaient pour le mieux.
Bébert finit par réussir à bouger péniblement trois doigts de la main gauche et à en entretenir la relative mobilité. .
Malik fut embauché et bénéficia donc bientôt d’un contrat à durée indéterminée, à plein temps et bénéficia d’émoluments plus que convenables.
Il remplissait, outre ses fonctions proprement médicales

prime de panier, (vraie question : qu'est-ce ?)

Ce n’était pourtant pas ces aspects matériels qui avaient motivé Malik à s’attacher au service de l’étrange créature qu’était devenue Bébert. C’était, à l’exception des touts petits membres dont nous avons déjà parlé, la seule ressource conservée dans ce corps déglingué ; avec l'ouïe.
Bébert se passionna pour la musique. Les Pink Floyds (sans "s" normalement) et Wagner en particulier.
digne d'être inscrit au Guiness (Guinness)Word Records Book".
Mais bientôt, grâce aux soins attentifs et aux encouragements de Malik qui ponctuaient la plus infime victoire
notre homme sentit peu à peu la confiance et le désir de vivre s'éveiller en lui.Les longues, patientes et douloureuses séances d'habillage te (et) de déshabillage
(appelons-le (tiret) désormais Monsieur Robert puisque c'est ainsi que le nomme respectueusement Malik),
Son esprit commença à divaguer agréablement et il perçut peu à peu
Toutefois le résultat restait assez laborieux et peu adapté au badinages et saillies des salons.
Pourtant on y en raffola. (le "y" paraît inutile et alourdit la phrase)
Monsieur Robert se sentait chaque jour un peu plus gonflé d'importance. Il commença à penser que

Oui j'aime toujours mais je mets bémol sur cet épisode que je trouve moins pimpant que les deux précédents.
Aisance dans l'écriture troublée par des répétitions et un manque général de finalisation. Le brouillon se voit un petit peu trop.