Maman
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Maman
Chaque matin, tu as glissé des paillettes d’or sur mon visage.
Alors laisse-moi, t’extirper ces remords.
Pleines de refrains et de rêves, tu as bercé ce monde de fou, de tes joies et de ta pudeur.
Fragile et invincible, tu as emporté mes peurs, mes doutes et mes blessures.
J’aimerais tant, te voire virevolter avec le vent.
Offre-moi d’assister à ce voyage, que ta vie tu as passé à rêver.
Déchirée par la vie, légère et rêveuse, tu n’as jamais jugé mes préférences.
Pleines de refrains et de rêves, tu as bercé ce monde de fou, de tes joies et de ta pudeur.
Tu m’as guidée dans mes dilemmes, en buvant mes caprices.
Le vent t’appelle. Vas-y, laisse toi guider.
Vas au bord de cette rivières, cueilles ces poussière de lune.
Prends ce répit.
Oui respire : ces refrains et ces rêves.
Tu as assez pleuré en secret.
Envole-toi.
Si le vertige te prend, je volerais à tes côtes.
Maman je t’en prie, cesse d’oublier de vivre en pensant à ceux que tu abandonnes, car un demi-siècle tu leur as donné.
Toi qui t’es effacé pour nous, prends cet envol qui t’implore.
Et enivre-toi de tes refrains et de tes rêves.
Alors laisse-moi, t’extirper ces remords.
Pleines de refrains et de rêves, tu as bercé ce monde de fou, de tes joies et de ta pudeur.
Fragile et invincible, tu as emporté mes peurs, mes doutes et mes blessures.
J’aimerais tant, te voire virevolter avec le vent.
Offre-moi d’assister à ce voyage, que ta vie tu as passé à rêver.
Déchirée par la vie, légère et rêveuse, tu n’as jamais jugé mes préférences.
Pleines de refrains et de rêves, tu as bercé ce monde de fou, de tes joies et de ta pudeur.
Tu m’as guidée dans mes dilemmes, en buvant mes caprices.
Le vent t’appelle. Vas-y, laisse toi guider.
Vas au bord de cette rivières, cueilles ces poussière de lune.
Prends ce répit.
Oui respire : ces refrains et ces rêves.
Tu as assez pleuré en secret.
Envole-toi.
Si le vertige te prend, je volerais à tes côtes.
Maman je t’en prie, cesse d’oublier de vivre en pensant à ceux que tu abandonnes, car un demi-siècle tu leur as donné.
Toi qui t’es effacé pour nous, prends cet envol qui t’implore.
Et enivre-toi de tes refrains et de tes rêves.
amandinemary- Nombre de messages : 51
Age : 40
Localisation : liège
Date d'inscription : 28/09/2009
Re: Maman
C'est un sujet qui est toujours émouvant cependant, sans vouloir casser votre enthousiasme à écrire, il faut que je vous dise qu'en ce qui me concerne, je ne peux pas ranger cet écrit dans la catégorie "poésie" mais plutôt dans "petite prose " ou cahier-journal.
Par ailleurs, il est indispensable que vous vérifiiez l'orthographe avant de poster.
C'est un cri du coeur, une confidence à votre mère et rien d'autre, même si , je le reconnais, c'est beaucoup pour vous et fort heureusement, d'ailleurs.
Par ailleurs, il est indispensable que vous vérifiiez l'orthographe avant de poster.
C'est un cri du coeur, une confidence à votre mère et rien d'autre, même si , je le reconnais, c'est beaucoup pour vous et fort heureusement, d'ailleurs.
Soliflore- Nombre de messages : 380
Age : 71
Date d'inscription : 17/02/2009
Re: Maman
Difficile à commenter tant ça semble personnel (et tant certaines images me font mal, moi qui ai dit oui un jour pour que le départ s'effectue...).
Si je tente de faire abstraction de cette émotion qui prend le dessus, je trouve que cette disposition ne sert pas le poème, au contraire. Ça saccade ce fleuve qu'est la vie en des morceaux qui ne se marient pas harmonieusement et je ne sens pas vraiment le coeur qui bat dans tout cela, c'est un peu artificiel (je parle ici de la technique bien sûr et pas du tout des émotions et de la sincérité de l'auteur, que ce soit clair). Le tout manque de liant, de fluidité, comme si le besoin de bien faire, bien dire, prenait le dessus sur le "que" dire. (suis peut-être pas claire là...)
Mais c'est sans doute lié à l'intensité du sujet personnel.
Si je tente de faire abstraction de cette émotion qui prend le dessus, je trouve que cette disposition ne sert pas le poème, au contraire. Ça saccade ce fleuve qu'est la vie en des morceaux qui ne se marient pas harmonieusement et je ne sens pas vraiment le coeur qui bat dans tout cela, c'est un peu artificiel (je parle ici de la technique bien sûr et pas du tout des émotions et de la sincérité de l'auteur, que ce soit clair). Le tout manque de liant, de fluidité, comme si le besoin de bien faire, bien dire, prenait le dessus sur le "que" dire. (suis peut-être pas claire là...)
Mais c'est sans doute lié à l'intensité du sujet personnel.
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: Maman
Le sujet est touchant, tant il est difficile de s'adresser à une mère, l'émotion n'a pas trop suivi en lisant vos mots. Désolée
Invité- Invité
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