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Message  Tiaaa Ven 14 Mai 2010 - 18:14

Un début de texte de mon ami, Aurélien ( Non relu ni corrigé)


Où suis-je ?
Qui suis-je ?
...
J’étais dans un endroit très spécial et très flippant. La pièce devait faire quatre mètres sur quatre, elle était carrelée de haut en bas. Les murs, le sol, les plafonds étaient recouverts d’un carrelage blanc. La seule chose qui différenciait le haut du bas était ce néon incrusté dans le plafond protégé par une plaque de Plexiglas rivetée.
Aucunes portes, aucune fenêtres ...
J’étais allongé sur un matelas simple sans draps. Une sorte de blouse blanche me servait de vêtements, et j’avais un bracelets blanc au poignée droit avec le numéro 0712.
J’avais du être drogué par je ne sais quelle substance car je n’ai pas de souvenir de cette état de re-descente, et croyez moi j’en ai essayé des choses pour pouvoir m’évader dans mon esprit.
J’avais sacrément mal au casque, comme on dit dans le jargon.
Le temps de retrouver un petit peu mes esprits et d’analyser cette pièce étrange, j’ai cru entendre des bruits ... puis plus rien.
L’air était sec et frais, une bouche de climatisation devait être incrustée dans un coin.
J’essaya de me souvenir pourquoi j’étais ici, et qui j’étais, ma mémoire était comme effacer ... ou tout du moins très flou.
D’un coup le carrelage situé sur le côté gauche de la pièce s’ouvra, comme par magie. Un homme d’une certaine prestance, entra dans la pièce avec dans la main droite une petite sacoche en cuir marron. Il devait mesurer un mètre quatre vingt cinq, soixante quinze kilos, cheveux court poivre et sel. Ses yeux était bleus. Il portait un pantalon de costume gris anthracite, un pull col roulé noir était dissimulé sous une grande blouse blanche.
Il me regarda un instant avec un air de soulagement.
Bonjour Franck, dit il avec une voie grave mais en même temps très douce et posée.
Comment vous sentez vous ?
Cette situation me paraissait tellement irréaliste, que je suis resté un temps déconnecté.
Je m’appelais donc Franck, en effet ce prénom ne m’était pas inconnu dans mon inconscient. Je n’étais pas totalement surpris de ça réponse.
Je fixa l’homme dans les yeux, puis l’envi de parler me vint :
Qui êtes vous ? dis je.
Je m’appel Thomas, Thomas Porte, répondit l’homme d’un air satisfait.
Etait il satisfait que je pose cette question, ou de dire simplement son nom ?
Quel drôle de nom, pensais je dans ma tête. Une porte caché s’ouvre, un homme entre, et dit s’appeler Thomas Porte. Alors ça pour vous embrouiller le cerveau alors que vous avez déjà mal à la tête, c’est le bouquet.
Je resta un moment a essayé de me souvenir si je connaissais cet homme, mais je ne l’avais jamais vue, jamais entendu parler.
Mon poux était très élevé, et la peur commençait réellement à m’envahir. Je voulais comprendre le pourquoi de tout ceci.
Qui êtes vous, où suis je, pourquoi je n’ai plus de souvenir de quoique que ce soit ? dis je d’un ton sec.
Calmez- vous Franck, vous aurez les réponses très prochainement, mais en attendant il me faut vous examiner, dit il.
L’homme s'avança dans la pièce. J’ai pu à ce moment apercevoir deux ombres de deux autres personnes à proximité de la porte.
Vue mon état, je pensa qu’il était préférable de me faire examiner. Etait il docteur ? ... Surement ...
Il prit quelques accessoires dans sa sacoche, et commença à m’examiner la tension. J’ai bien cru que son tensiomètre n’allait pas tenir le choque vue mon état intérieur de stress.
Après divers test classique Thomas avait l’air serein.
Il se leva après avoir ranger son équipement, et se retourna vers moi
Bien , tout va bien, dit il.
Il se dirigea vers la porte et discuta quelques minutes avec l’une des ombres du couloir. L’autre ombre lui tendit un petit tas de vêtements, qu’il prit, et vint me donner.
Mettez ça, dit il en me regardant fixement.
Il s'agissait d’un pantalon de couleur blanche, surement du synthétique, d’une chemise à manche longue de couleur blanche également, ainsi qu’une paire de crocs noir.
Je pris quelques minutes pour me changer, et à ce moment la, Thomas me dit de le suivre, ce que j'exécuta.
Je sorti donc de cette pièce pour arriver dans un couloir tout aussi étrange. Les deux ombres que j’avais aperçu quelques minutes avant était en réalité deux hommes.
L’un était grand, costaud, et le crâne rasé. Il avait une grande cicatrice sur l’avant bras droit.
L’autre homme moins grand et moins costaud, était pour ça part blond. Dans les deux cas ces deux hommes n’avaient pas l’air de rigolo et me regardait avec un air menaçant.
Ils portaient tous deux un jeans et une chemise style décontractée.
Thomas partit vers la droite, et emboita son pas, suivit de près par ces deux golgottes.
Le couloir dans lequel nous marchions avait du carrelage blanc au sol tout comme la pièce que nous venions de quitter. Pas de fenêtres, pas d’interrupteur, pas de prises de courant, rien .. que du blanc et ces foutus néons au plafond.
Pendant que nous marchions je pouvais observer des portes sur nôtre coté droit. J’imaginais donc que la pièce où je m’étais réveillé, n’étais pas unique.
Arrivé au bout nous avons franchit un sas, pour se retrouver dans un autre couloir identique. Après quelques mètres dans celui ci, Thomas s’arrêta, et entra dans une pièce.
Entrez et asseyez vous, s’il vous plait, me lança t il.
Il referma la porte derrière lui.
Je pris place sur une petite chaise en plastique noir, qui se trouvait devant un bureau en bois. Thomas s'essaya devant moi. La pièce était le clone de l’autre avec une légère différence, un miroir prenait l’ensemble du pan de mur situé devant moi.
Bien, pouvez vous m’éclairer Monsieur Porte, s’il vous plait, que se passe t il ?

Thomas sortit une pochette qu’il plaça devant lui, et l’ouvra.
Il fit glisser une photo devant moi ! Cette photo était d’une atrocité telle, que j’ai de suite eut la nausée et vomi toute mes tripes de bile sur le coté.
Une femme, un homme, un être humain dans tous les cas, mais difficile de détailler vue l’état dans lequel il était. Des sortes de coutures et de sang séché recouvrait l’ensemble du corps.
Mais c’est quoi ça ? dis je
C’est justement la question que j’allais vous posez Franck.
Comment voulez vous que je le sache ? Je me réveil dans un endroit digne de Startrek, avec la mémoire flanchante, vous m’amenez ici, me montrez cette horreur, et la s’est vous qui attendez une réponse ?
Laissez moi vous expliquez Franck. Nous vous avons retrouvez chez vous, inconscient, dans vôtre cave. A proximité de vous, nous avons découvert ce cadavre, ou tout du moins ce qu’il en reste. Donc avec certaine logique, il est évident que nous attendons des réponses de votre part.
Réponse, amnésie, vous comprenez qu’il m’est difficile de vous répondre, malgré ma bonne volonté.

J’essaya, après concentration, de me souvenir ... je repris la photo dans la main et l'examina dans tous les recoins, afin de voir si un petit détail aurait pu me faire retrouver un peu la mémoire.
C’était une pièce en effet très sombre, comme une cave, avec un sol couleur béton ciré, et des murs ayant conservé les pierres de l’époque. Avec l’exposition de la photo on pouvait distinguer un escalier en bois couleur hêtre au fond qui montait à R+1.
Sur le coté droit un établi avec des outils soigneusement rangés, ainsi que divers cartons. A coté de celui ci une BMW R71 de 1949, dans un état de restauration exceptionnel.

Sur la gauche de la photo, en premier plan, cette atrocité. Un être humain, ou devrais je dire, la moitié d’un être humain, d’une femme semble t il. Elle avait le corps coupé en deux. Seul le buste et la tête avait été conservé. Ce haut de corps avait été planté sur un pied en aluminium brossé ou en inox, allez voir ça sur une photo vous. Ce pied était étonnement propre, on aurait pu pourtant imaginer des coulures de sang dessus, et bien non, rien. la partie ventre et poitrine étaient recouvert de grosse cicatrices, comme si on avait recousu pièces par pièces un pull-over de l’époque des hippies. Vous savez le truc avec des morceaux de toutes les couleurs, cousu les une a coté des autres. Et bien la, c’était pareil, il devait y avoir une trentaine de morceaux de peaux cousu les uns avec les autres.
Les coutures était également en peau. Le visage même topo, joue, oreilles, nez, yeux, avaient été assemblé comme un mécano.

Après divers analyse de cette photo, il me semblait vaguement reconnaitre mon garage, dans tous les cas cette pièce ne m'était pas inconnue. Quelque chose de familier en ressortait.

Alors Franck, cela vous remémore t il quelque chose ?
Très vaguement, j’ai en effet l’impression que cette pièce ne m’est pas étrangère. Néanmoins cela reste très vague.
Très bien Franck, dis Thomas d’un ton plutôt attentif.
Afin de résoudre cette affaire nous allons avoir besoin de vous.
Il semblerait qu’il y ai plusieurs ADN différents sur ce cadavre, dont le vôtre. Il y a les différents ADN des différents morceaux de peaux, ainsi que quatre autre ADN, aujourd’hui inconnu. Ce qui nous ferait 7 personnes



< Merci de poster vos textes dans la bonne partie du site mais aussi de donner un titre pour une question de catalogage.
Merci enfin de bien vouloir respecter la limite de UN texte par semaine et par catégorie.
Ce texte sera donc déverrouillé vendredi 21 mai.
La Modération >

.

Par ailleurs, il n'est pas habituel de soumettre à commentaire le texte d'un autre auteur. Si Aurélien veut conseils et critiques, il peut s'inscrire sur le forum.
La Modération
Tiaaa
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Message  Invité Ven 14 Mai 2010 - 19:33

Modération, s'il vous plaît, pourriez-vous ajouter au sujet
https://vosecrits.1fr1.net/forum-vos-ecrits-prose-f1/des-critiques-svp-t6815.htm
(verrouillé) le commentaire ci-dessous, que j'ai mis pas mal de temps à élaborer ?

Je ne peux guère avoir d'avis sur le texte dans la mesure où ma lecture a été constamment arrêtée par les nombreuses erreurs de langue qu'il comporte. Je vous indique ci-dessous les anomalies que j'ai relevées, afin que l'auteur ait une chance de corrigier son texte avant de le proposer à la lecture.

« Aucune porte (et non « aucunes portes »), aucune fenêtre (et non « fenêtres ») ... » : typographie, pas d’espace avant les points de suspension
« j’avais un bracelet (et non « bracelets ») blanc au poignet droit »
« J’avais dû être drogué par je ne sais quelle substance car je n’ai pas de souvenir de cet (et non « cette », c’est un état) état de re-descente, et croyez-moi (trait d’union) »
« j’ai cru entendre des bruits ... » : typographie, pas d’espace avant les points de suspension
« J’essayai de me souvenir pourquoi j’étais ici, et qui j’étais, ma mémoire était comme effacée ... ou tout du moins très floue » : typographie, pas d’espace avant les points de suspension
« le carrelage situé sur le côté gauche de la pièce s’ouvrit »
« Un homme d’une certaine prestance, (pourquoi cette virgule entre le sujet et son verbe ?) entra dans la pièce »
« Il devait mesurer un mètre quatre-vingt-cinq (traits d’union), soixante-quinze (trait d’union) kilos, cheveux courts poivre et sel. Ses yeux étaient bleus »
« Dit-il (trait d’union) avec (« d’une », plutôt « qu’avec une ») une voix grave »
« Comment vous sentez-vous (trait d’union) »
« pas totalement surpris de sa réponse à quoi il a répondu, le gars ? Il me semblait au contraire qu’il venait de poser une question…). »
« Je fixai l’homme dans les yeux, puis l’envie de parler me vint :
Qui êtes-vous (trait d’union) ? dis-je (trait d’union).
Je m’appelle Thomas »
« Etait-il (trait d’union) satisfait que je pose cette question »
« Quel drôle de nom, pensai-je (et non « pensais je », le passé simple s’impose ici et non l’imparfait) dans ma tête. Une porte cachée s’ouvre »
« Je restai un moment à essayer de me souvenir si je connaissais cet homme, mais je ne l’avais jamais vu (et non « vue ») »
« Mon pouls était très élevé »
« Qui êtes-vous (trait d’union), où suis-je (trait d’union), pourquoi je n’ai plus de souvenir de quoi que (et non « quoique ») que ce soit ? dis-je (trait d’union) d’un ton sec. »
« Calmez-vous (et non « Calmez- vous ») Franck »
« il me faut vous examiner, dit-il (trait d’union) »
« Vu (et non Vue) mon état, je pensai qu’il était préférable de me faire examiner. Etait-il (trait d’union) docteur ? ... Sûrement ... » : typographie, pas d’espace avant les points de suspension
« son tensiomètre n’allait pas tenir le choc vu (et non « vue ») mon état intérieur de stress »
« Après divers tests classiques (s’ils sont divers, il y en a plusieurs) »
« Il se leva après avoir rangé son équipement, et se retourna vers moi (manque le point ici) »
« Bien , (typographie : pas d’espace avant une virgule) tout va bien, dit-il (trait d’union). »
« Dit-il (trait d’union) en me regardant fixement. »
« Il s'agissait d’un pantalon de couleur blanche, sûrement du synthétique, d’une chemise à manches longues (je crois pas qu’il y ait une seule manche longue sur la mimise)
à ce moment-là (trait d’union), Thomas me dit de le suivre, ce que j'exécuta (je ne pense pas qu’on utilise exécuter dans ce sens ; on dirait plutôt : « Je m’exécutai », ou « Ce à quoi j’obéis »). »
« Je sortis donc de cette pièce pour arriver dans un couloir tout aussi étrange. Les deux ombres que j’avais aperçues (il a aperçu quoi ? que, mis pour les ombres ; le participe passé du verbe conjugué avec avoir s’accorde avec le complément d’objet direct quand celui-ci est placé avant le verbe, ce qui est le cas ici) quelques minutes avant étaient en réalité »
« une grande cicatrice sur l’avant-bras (trait d’union) droit »
« moins grand et moins costaud, était pour sa part blond. Dans les deux cas ces deux hommes n’avaient pas l’air de rigolos et me regardaient avec un air menaçant
une chemise style décontracté (et non « décontractée », je pense que c’est le style qui est décontracté, pas la chemise). »
« Thomas partit vers la droite, et emboita son pas (lui emboîta le pas), suivi (et non suivit) de près »
« pas de prises de courant, rien .. que du blanc » : typographie, pas d’espace avant les points de suspension, et il en manque un, de point, pour atteindre le quorum suspension
« des portes sur notre côté droit. J’imaginais donc que la pièce où je m’étais réveillé, (pourquoi une virgule ici ?) n’était pas unique »
« nous avons franchi (et non « franchit ») un sas, pour nous retrouver dans un autre couloir identique. Après quelques mètres dans celui-ci (trait d’union) »
« asseyez-vous (trait d’union), s’il vous plait, me lança-t-il (traits d’union) »
« Thomas s'assit devant moi »
« Pouvez-vous (trait d’union) m’éclairer Monsieur Porte, s’il vous plait, que se passe-t-il (traits d’union) »
« une pochette qu’il plaça devant lui, et l’ouvrit »
« j’ai de suite eu (et non eut) la nausée et vomi toutes mes tripes de bile sur le côté »
« difficile de détailler vu (et non « vue ») l’état dans lequel il était. Des sortes de coutures et de sang séché recouvraient l’ensemble du corps »
« Mais c’est quoi ça ? dis-je (trait d’union) »
C’est justement la question que j’allais vous poser Franck. »
Comment voulez-vous (trait d’union) que je le sache ? Je me réveille dans un endroit digne de Star Trek, avec la mémoire flanchante (Certes, on a la mémoire qui flanche, mais on n’utilise pas, en général, flanchante dans ce contexte), vous m’amenez ici, me montrez cette horreur, et là c’est vous qui attendez une réponse ?
Laissez-moi (trait d’union) vous expliquer Franck. Nous vous avons retrouvé chez vous, inconscient, dans votre cave »
« J’essayai, après concentration, de me souvenir ... je repris la photo dans la main et l'examinai » : typographie, pas d’espace avant les points de suspension
« Sur le côté droit un établi avec des outils soigneusement rangés, ainsi que divers cartons. A côté de celui-ci (trait d’union) »
« Ou (je pense qu’une virgule ici serait intéressante)(/b] devrais[b]-je (trait d’union) dire, la moitié d’un être humain, d’une femme semble-t-il (trait d’union) »
« Seuls le buste et la tête avaient été conservés »
« des coulures de sang dessus, eh bien non, rien. La partie ventre et poitrine était (et non étaient, c’est la partie qui est recouverte) recouverte de grosses cicatrices, comme si on avait recousu pièce par pièce (et non « pièces par pièces », une pièce à la fois) »
« des morceaux de toutes les couleurs, cousus (les morceaux) les uns (les morceaux) à côté des autres. Eh bien là, c’était pareil, il devait y avoir une trentaine de morceaux de peaux cousus (les morceaux) les uns avec les autres. »
« Les coutures étaient également en peau. Le visage même topo, joue, oreilles, nez, yeux, avaient été assemblés comme un meccano »
« Après diverses analyses de cette photo »
« cela vous remémore-t-il (traits d’union) quelque chose »
« dit Thomas d’un ton plutôt attentif »
« Il semblerait qu’il y ait plusieurs ADN différents sur ce cadavre, dont le vôtre. Il y a les différents ADN des différents morceaux de peaux, ainsi que quatre autres ADN, aujourd’hui inconnus. Ce qui nous ferait 7 personnes » : manque le point final

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