Adiemus

Adiemus Adiemus
Quand tu me tiens je ressens le vide en moi , quand je te vois, j'imagine l'Afrique,
Quand je te sens, je me vois oranger, quand tu me parles, je croise la voix des sages,
Quand je t'écoute, je me plis sous les ordres de dieu,
Quand je me plis je descend dans les profondeurs abyssales de mon esprit,
Quand je descend j'entrevois une lumière,
Quand je fusse lumière, j'eus été assagis,
Quand j'avais la sagesse, j'aurai eu la compréhension
Quand je comprend, je pourrait me tromper
Quand je me tromperais, je ne pourrait plus être
Si je ne suis plus, je ne vie plus
Si je ne vie plus, alors j'aurai été toutes les erreurs comprise à travers la sagesse transmise des lumières des profondeurs abyssales de mon esprit et je descendrais sous les ordres de dieu à l'écoute de la voix des sages qui me parle, des orangers, de leur senteur, de l'Afrique,
Et qui vois un vide que je ressens et qui me tiens.

Adieu mous .

Ouhlà, c'est du hard, garçon : rien que les fôtes, on dirait un strip-tease, on enlève le bas, le haut...
Allez, je retourne lire, j'ai mis mes lunettes, ça devrait me protéger la rétine : les scories attaquent aisément la cornée.

J'affine : pathétique pathos. Ou son contraire.
La logique syntaxique et la concordance des temps n'étant manifestement pas de vos compétences actuelles, pourquoi vous y attaquez vous ? Écrire simple, lisible, intelligible, c'est trop peu ? Sans faire le kéké avec des subtilités de construction que vous ne maîtrisez pas ?
Simplifiez ce que vous voulez transmettre ; avant d'improviser brillamment sur un thème, il faut monter la gamme sans erreurs.
Évidemment, me direz vous, il y a Rimbaud...

Hommage à Karl Jenkins?
Si oui, c’est pas mal fait, ça reste dans l’esprit, même s’il est difficile de retranscrire des sensations musicales en mots.
Si non, désolée, je reste extérieure à cette lecture.