L’homme qui regardait passer les voitures (épisode 14)

Merde, j'ai oublié de faire une relecture orthographique : ça doit-être truffé de couilles, de coquilles pardon, j'avais oublié le Q. Décidément !

J'adore chacun des monologues bonnafiens que tu proposes à notre gourmandise, et tes couilles pardon tes coquilles au milieu du festin ne réussissent même pas à me couper l'appétit ! Qui vient en mangeant comme chacun sait. Donc chaque fois que tu te mets en cuisine pour nous préparer un ragout de toqué , j'accours .
Je n'aime pas les auberges espagnoles où il faut apporter son manger, en conséquence j'apprécie hautement ta table , bien garnie , le service me semble parfait (hormis les bijoux de famille donc, époque De Gaulle, proposés parfois sur le plateau de fruits de mer ), l'addition est certes salée mais les rires qui ne sont pas en conserve sont une denrée rare de nos jours et ça vaut le détour.

J'ai bien aimé, c'est léger, vivant, ça se lit vachement bien, même si ça manque un peu de vieux mots. =) Ouais l'orthographe t'aurais pu faire gaffe, surtout pour Django Reinhardt, enfoiré =)

Loufoque à souhait, j’adore, je suis devenue une épisodovore, vivement le prochain !
Mention spéciale pour Edmond, je kiffe totalement le personnage.

Tout comme.
Et des fautes, oui (appelons un chat un chat pour éviter les lapsus :-))
Garde-le bien Edmond, il fait partie des meubles maintenant.

Ça reprend son vrai rythme, et, y a pas à dire, tu croques des personnages qui ont une vraie gueule, et qui font vraiment poiler.
Un chouia de relecture ferait pas de mal de temps en temps, je comprends qu'après le laborieux Django R, qui ne demande finalement qu'un coup d'œil sur Google tu ne te sois pas hasardé au non moins contrefait Petrucciani, puisque j'imagine que c'est de lui que tu jactes.
En tout cas, quand tu es en forme, c'est un régal. Et on attend avec une impatience respectueuse, mais exigeante, que tu nous craches les arcanes profondes du rire malikien.

Des doutes j'en ai plus : ça vaut le coup d'attendre.
J'ai bien reconnu le style Charles de Gaulle que j'ai beaucoup cotoyé dans mon enfance chez une grand-tante moderne et qui donc possédait le téléphone.
Ta prose de brocante m'enchante. La suite...