Tout (sur elles)...

.
partir
vire à gauche

en arrière

Jolie métaphore ( enfilée ) sur les pas de côté, souvent pas de vis inconformes...

Chaplin me vient en tête.

Un chouette poème qui se détache par son originalité qui nécessite une participation active du lecteur obligé lui aussi de se "déplacer" dans le texte, d'aller à droite, à gauche...
Et belle fin aussi!

C'est drôle, c'est frais .
J'aime le sel du dérisoire .

Ca m'fait tourner la tete =)

Peut-être devrais tu prêter tes chaussures à notre équipe de schtroump joueurs de foot...Ils arriveraient peut être à marquer un but avec des chaussures aussi insensées !
Et puis sinon, eh bien bien fait ils auront mal aux arpions...J'entends déjà le son du corps (du cor ?) le soir au fond du stade : aiiieeeee !

Déroutant, mais le sujet s'y prête bien.
Merci pour ces pas avec un clown funambule qui nous ramène dans le monde de l'enfance.

Tu as toujours des idées que les autres n'ont pas et tes écrits sont toujours aussi sympas. Merci pour le sourire que tu as fait naître sur mes lèvres.

J'aime bien ! Déjà parce qu'un petit rien qui fait nos grands tout, tu arrives à créer un morceau de vécu universel.

Lunatiic a écrit:Ca m'fait tourner la tete =)

Suis contente de voir la tienne, tiens ! :-)

Poussetontraino, à l’instar deTati, confère aux choses une prééminence dérangeante et invasive qui force l’être (au péril de son statut dans la hiérarchie du réel) à entretenir avec l’inanimé un dialogue ludique mais tragique où il n’aura jamais le dernier mot. Il révèle de la sorte le dérisoire fondamental d’un monde où l’objet-maître ne fait que tolérer le sujet comme par inadvertance. C’est là , une parenté subtile avec un Ionesco ou un Becket, que cette célébration d’un réalité résolument absurde ne s’acceptant compatible avec l’homme que s’il se fait funambule.

ça t’va, là ?

...




là?















là?













là ?











là?

...justifiant en cela le commentaire :

«Il révèle de la sorte le dérisoire fondamental d’un monde où l’objet-maître ne fait que tolérer le sujet comme par inadvertance.»


Remarque bien, tu prends de la place quand même "là" !

Bonjour Héllian

Je cherche à avoir ton autorisation pour publier ceci en quatrième de couv d'un de mes recueil à venir ( regard implorant )

Noel Noel à l’instar de Tati, confère aux choses une prééminence dérangeante et invasive qui force l’être (au péril de son statut dans la hiérarchie du réel) à entretenir avec l’inanimé un dialogue ludique mais tragique où il n’aura jamais le dernier mot.
Il révèle de la sorte le dérisoire fondamental d’un monde où l’objet-maître ne fait que tolérer le sujet comme par inadvertance.
C’est là , une parenté subtile avec un Ionesco ou un Becket, que cette célébration d’une réalité résolument absurde ne s’acceptant compatible avec l’homme que s’il se fait funambule.