journal d'henri deghute
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journal d'henri deghute
Journal d’Henri Deghute.
3 septembre 1926.
MOI qui vais mourir, je vous salue.
VOUS qui vous laisser guider par votre curiosité, sachez que. Mes écris nous lient.
VOUS qui lirez ma vie…vous la ferez perdurer a travers vous
si un jour, une seule de ses phrases, ne pouvais ne serais-ce qu’une seule fois, redonner espérance, gout, confiance ou simple conseille, a qui viendrait à en manquer. vous la gratifierez, j’en aurais été fière
j’aurais pourtant fait de mon mieux pour la voir ainsi, je m’y suis attelé trop tard.
J’ai continuer a pied et je ne regrette pas le moindre pas.
je consacre mes dernières force a l'écriture de mon tant aimer, amis lors de maintes difficultés.
Ceci est mon journal.
Je le tiens depuis mes 16 ans. Et voila que J’en ai presque cent.
Il me fut très précieux ainsi que d’un très grand soutient au court des années que j’ai imprégné en ses pages.
La plume y glisse de moins en moins facilement, la fatigue est maintenant jusque dans mes doigts, que je ne sais plus fermer, pour former le poing !
Je ferais de mon dernier souffle ce point a la ligne, il conclura ma vie, ponctuant définitivement ces lignes que j’ai profilées chacune de la même passion. VIVRE
À vous qui en lisez vos premières.
C’est un début que vous commencerez par la
FIN
3 septembre 1926.
MOI qui vais mourir, je vous salue.
VOUS qui vous laisser guider par votre curiosité, sachez que. Mes écris nous lient.
VOUS qui lirez ma vie…vous la ferez perdurer a travers vous
si un jour, une seule de ses phrases, ne pouvais ne serais-ce qu’une seule fois, redonner espérance, gout, confiance ou simple conseille, a qui viendrait à en manquer. vous la gratifierez, j’en aurais été fière
j’aurais pourtant fait de mon mieux pour la voir ainsi, je m’y suis attelé trop tard.
J’ai continuer a pied et je ne regrette pas le moindre pas.
je consacre mes dernières force a l'écriture de mon tant aimer, amis lors de maintes difficultés.
Ceci est mon journal.
Je le tiens depuis mes 16 ans. Et voila que J’en ai presque cent.
Il me fut très précieux ainsi que d’un très grand soutient au court des années que j’ai imprégné en ses pages.
La plume y glisse de moins en moins facilement, la fatigue est maintenant jusque dans mes doigts, que je ne sais plus fermer, pour former le poing !
Je ferais de mon dernier souffle ce point a la ligne, il conclura ma vie, ponctuant définitivement ces lignes que j’ai profilées chacune de la même passion. VIVRE
À vous qui en lisez vos premières.
C’est un début que vous commencerez par la
FIN
arnaud- Nombre de messages : 4
Age : 38
Localisation : liège
Date d'inscription : 16/10/2010
Re: journal d'henri deghute
Pas tout compris hélas.
Beaucoup trop de fautes qui rendent pénible la lecture de votre texte.
Désolée.
Beaucoup trop de fautes qui rendent pénible la lecture de votre texte.
Désolée.
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